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2 trous et 23 cms – Chapitre 7




— Stop ma chérie, tu m’en as assez dit, je me souviens d’un certain temps où tu disais que le sexe ne devait se passer que dans une chambre et en parler voire d’y penser devenait de la perversité !

— Oui ! Je sais mais je me rends compte que parfois ce sont les circonstances qui te font agir ainsi et crois-moi, je ne regrette rien, si tu savais comme c’était bon de sucer une belle queue et de tout avaler, de jouir sous les caresses de mon père, oui ! Je dis bien de mon père, certainement que toi Cécile tu ne connais pas cette merveilleuse chose et puis j’ai hâte d’être à demain matin pour qu’il me baise comme il baise ma mère !

— Et tu envisages peut-être de faire l’amour avec ta mère ?

— Depuis que je l’ai vue se faire sodomiser par papa et de la voir jouir sous les coups de queue, alors oui j’ai envie de la faire jouir avec ma langue.

— Bon, je suis sur le cul de t’entendre parler ainsi, je pense aussi que depuis quelques jours tu penses au sexe et te faire prendre par des hommes surtout bien montés et par des femmes en même temps qu’un mec te baise !

— Tu as raison, je crois que j’aimerais que deux hommes me pénètrent, maman en a envie alors c’est que cela doit être bon donc pourquoi pas moi.

— En résumé, tu pratiques et tu vas pratiquer l’inceste.

— Je m’en fiche totalement, pour moi mon père est avant tout un homme et ma mère une femme qu’importe le reste.

— Et si je te proposais de faire l’amour cette nuit, ou bien que mon père ou ma mère te caresse et te baise soit ensembles soit seuls avec toi ?

— Tout de suite si tu veux, j’ai tellement envie de toi, et avec tes parents je te dirais oui ! J’ai envie maintenant de rattraper le temps perdu et avec ton père je sais qu’il serait doux et tendre avec moi tout comme ta mère je pense !

— Cela ne te fait rien que je sache que tu baises avec ton père ou ta mère ?

— Non ! Pas du tout, je t’aime et j’ai confiance en toi.

— Bon ! Je crois que tu es mûre pour connaître certaines vérités. Moi aussi je baise avec mon père et je pense que ces jours-ci je vais baiser avec ma mère, pendant que mon père sera au boulot. Mon père est monté comme un cheval, sa taille est de 23 cms sur 6, tu vois ton père et le mien ont des atouts pour faire jouir n’importe quelle femme, tu n’aimerais pas avoir sa bite dans ton sexe ou ton petit trou et je suis certaine que ta mère aimerait l’avoir aussi bien là où je pense et aussi dans sa bouche.

— Je crois que les avoir toutes les deux dans mes trous, j’aimerais ! Pas toi ?

— Oh ! Oui que j’aimerais et en plus tu viendrais placer ta chatte sur la bouche de celui qui serait couché sur le dos, comme cela je pourrais te lécher ou mordre tes tétons ou bien te rouler une belle pelle amoureuse. J’allais oublier de te dire que nous avons décidé de vivre nus dans la maison afin que chacun puisse assouvir son désir.

— Ce qui veut dire ?

— Facile à comprendre, si j’ai envie de sucer la queue de papa, je me place à genoux devant lui je lui prends la tige et je me l’enfourne sans rien lui demander, s’il a envie de baiser ou sodomiser ma mère ou moi, il ne demande rien il nous pénètre et s’astique le manche et on jouit, alors je te propose que demain matin on se lève et quon aille prendre le petit-déj toutes nues et on verra bien ce qu’il se passe.

— Tu crois que je vais plaire à tes parents lorsqu’ils me verront toute nue ? Et je vais être excitée de les voir ainsi surtout en voyant la queue de ton père.

— Es-tu prête à baiser avec eux ? Es-tu prête à les faire jouir quels que soient la position et l’orifice ?

— Je ne sais pas mais je ferai exactement comme toi ! Ton père sera doux au moins ?

— Il est très doux et une fois qu’il a sa tige dans ton corps c’est la douce violence qu’il apporte avec ses coups. Bon pour le moment, on va se rouler une belle pelle et ensuite plus rien, on va dormir car, moi, je suis crevée pas toi ?

— Oui ! Moi aussi avec toutes ces émotions et confidences.

Elles s’embrassèrent langoureusement, sans se faire aucune caresse, puis collées l’une à l’autre, elles s’endormirent. Vers neuf heures les deux jeunes filles se roulèrent un bon patin puis se firent une caresse sur un sein et se levèrent.

— Tu as de la chance ma chérie, mes parents sont encore couchés, je vais préparer le café, rien qu’à l’odeur ils vont se lever. Prépare la table tu sais où se trouvent les bols !

— Tu es sûre que tes parents vont être nus en arrivant ? Je me sens excitée à l’idée de voir la queue de ton père, mais en réalité je suis un peu troublée.

Tout était prêt sur la table, les deux donzelles assises l’une à côté de l’autre commencèrent à se servir du café lorsque les parents entrèrent dans la cuisine et quelle ne fut pas leur surprise de voir voir les deux jeunettes nues comme eux-mêmes.

Bonjour les filles dit Claude ! Julia en dit autant et tout ce petit monde se fit la bise, puis les parents prirent place de l’autre côté de la table.

— Je vois que tu as informé Marjorie de notre décision de rester nus dans la maison, ton père m’a demandé si tu le dirais à Marjorie. Tu es très belle Marjo, tu as un corps magnifique et tes seins n’ont rien à envier aux miens ou à ceux de Cécile.

— Moi en tant qu’homme, tu peux me croire ils sont magnifiques et j’ai bien envie de les caresser voir de les embrasser enfin si tu le veux aussi ! Dis-moi, Cécile t’a parlé un peu de notre style de vie tous les trois ?

— Oui monsieur !

— Moi c’est Claude et ma chérie c’est Julia maintenant OK ?

— Oui Claude ! Cécile m’a parlé hier soir de votre vie, et je dois dire que je l’envie. Ne vous méprenez pas sur mon compte, mais je vais vous avouer comme je l’ai fait hier soir avec ma chérie, j’ai sucé la grosse queue de mon père et lui m’a fait jouir en me léchant la chatte, j’ai joui comme jamais c’était merveilleux et j’ai hâte qu’il s’enfonce dans mon vagin.

— On déjeune puis si tu veux je veux bien remplacer ton père si personne n’y voit d’inconvénient, regardes dans quel état je suis, suite à ton explication.

Claude s’était levé de sa chaise et montra aux trois femmes sa terrible érection. Plus une parole ne sortait de la bouche des femelles qui n’avaient d’yeux que pour l’objet du désir. Julia n’y tenant plus, elle se pencha et goba le sexe dont le gland était décalotté au maximum. Elle se l’enfonça au fin fond de la gorge et d’une main commença une douce et lente masturbation !

— Tu aurais pu laisser le privilège de me sucer en premier à notre invitée, viens ici Marjorie, tu vas prendre le relais.

Marjorie prit la queue dans sa main tandis que l’autre commençait à jouer avec les grosses boules pleines de liqueur, Claude avait placé une main sur la tête de la jeune fille et de cette main ainsi qu’avec ses hanches il donnait le tempo.

— Vous pouvez jouir dans ma bouche Claude j’aimerais.

— Non ma chérie je vais tout larguer dans le bol de ma femme, elle boira un bon et grand café crème et peut-être qu’elle vous en donnera à boire une gorgée. Marjo chérie je sens que ma sève monte doucement, vas plus vite chérie, tu la sens bien ma grosse queue dans ta bouche, Julia approche le bol je sens que le moment est venu. Oh oui ma chérie joue avec mon gland, ta langue est délicieuse.

À peine avait-il terminé sa phrase quil présenta sa tige au-dessus du bol, Julia espérait qu’au moins un jet viendrait atterrir dans sa bouche, mais Claude avait bien placé le récipient afin que tout sperme tombe bien dedans. Puis il présenta de nouveau sa tige à Marjorie afin que celle-ci lui nettoie le gland et le rende aussi brillant que possible. Cécile s’était approchée de sa mère d’un côté, Marjorie de l’autre côté et toutes les trois regardaient le café à la crème.

— Mes chéries dit Julia ! Comme c’est la liqueur d’amour de mon mari et que je suis pute, je vais en boire la moitié, l’autre moitié je vous le laisse. Tu as déjà bu enfin avalé du sperme Marjo ?

— J’ai avalé celui de mon père lorsque je l’ai sucé, il est très bon et je crois que je vais lui en redemander.

— Celui de mon père est également très bon tu verras, tu vas avoir l’occasion de le sucer et d’avaler la purée, moi je l’adore et maman en redemande tout le temps. Il faut que tu saches ma chérie, c’est que papa, maman et moi, nous sommes de véritables salops, nous les femmes de vraies putes et papa est un monstre du sexe, un indébandable, regardes sa grosse queue, rien qu’en la regardant on a envie de se faire prendre par tous les trous, tu t’imagines ma chérie la queue de ton père dans ta chatte et celle de mon papa dans ton petit trou pendant que tu lécheras ma chatte ou celle de maman ?

— Oui ! Je vois la scène et j’avoue que rien que d’y penser je mouille déjà, bon ! Je dois me préparer pour rentrer je veux que mon père me saute ce matin.

— Je propose quelque chose, dit Claude. On connait tes parents grâce à ce que Cécile nous en dit, et je pense que tes parents sont au courant grâce à ce que tu leur racontes sur nous !

— En effet et je sais que mes parents aimeraient faire un jour votre connaissance.

— Très bien, alors je vais leur téléphoner et les inviter à manger ce midi et pour ne pas les effrayer nous nous habillerons d’une tenue sportive. Cela te dit jeune fille, puis je te conseille de prendre ton père à part et de lui parler de ma queue et tout lui avouer sur ce que tu m’as fait et sur notre pratique et que nous vivons librement tous à poil, et s’il veut qu’il me fasse signe, nous arrangerons le coup afin que ta mère ne se vexe pas de notre attitude et nous arriverons peut être à lui faire comprendre que toi et nous on aimerait bien lui faire l’amour.

— Ouf ! Tout cela va très vite chez vous ! Mais si ma mère voit mon père à poil en bandant et si elle vous voit également la pine dressée vers le ciel alors j’espère qu’elle va bien réagir, je pense qu’il faudra que votre femme intervienne pour la décider.

— Ne t’en fais pas, pour ce genre d’action Julia et Cécile sont très performantes. Bon, je vais leur téléphoner dans mon bureau.

Quelques minutes après, Claude arriva dans la cuisine avec un grand sourire, expliqua que son père (de Marjorie) avait été surpris par cet appel et qu’ils étaient lui et son épouse heureux de nous rencontrer. Vers onze heures Cécile et Marjorie entrèrent dans le salon et s’exposèrent devant Claude et Julia.

— Marjo a mis un de mes petits shorts et juste un minuscule débardeur lança Cécile, d’ailleurs on peut voir ses jolis seins sur le côté, c’est très sexy et moi j’ai un short très court, avec ce short transparent, cela devrait exciter son papa et toi maman comment vas-tu te mettre ?

— Moi, je vais mettre une mini-jupe avec un string et juste un léger soutien-gorge presque transparent, puis ton père va enfiler un short ample mais court afin que lorsqu’il bandera, non seulement on verra très bien la grosse bosse mais sa grosse tige risque de sortir soit par le haut soit par le côté d’une jambe enfin selon comment il aura placé l’engin.

Les trois femmes préparèrent la table basse pour l’apéritif, cette table fut installée sur le gazon avec des fauteuils en osier autour. Claude avait décidé de chauffer l’atmosphère à cet apéritif, il proposerait du punch, ou du pastis ou du whisky. Vers midi Michel et Lyse arrivèrent, ils ne furent pas surpris de voir les tenues très légères et Michel le père de Marjorie ne savait plus trop où regarder, sur le moment, il avait peur de se mettre à bander. Après les présentations et quelques mots gentils concernant l’invitation, Marjorie pria son père de la suivre dans la chambre de Cécile.

— Mon papa chéri, moi qui voulais que tu me baises ce matin, j’ai tellement envie de ta grosse queue, que tu te vides dans mon ventre !

— Ne t’inquiètes pas ma chérie ce n’est que partie remise, je voulais te dire aussi, que hier soir en rentrant de chez nos amis, j’ai profité que ta mère avait un peu chaud aux joues suite aux deux ou trois verres qu’elle a picolé, pour lui reparler de faire l’amour avec deux hommes et aussi de le faire avec une femme.

— Elle a dû être surprise non ?

— C’est moi qui fut surpris, elle me laisse carte blanche pour lui trouver un mec bien membré et aussi une belle femme jeune de préférence ou alors de son âge et compétente. J’en suis resté sur le cul. Je lui ai avoué dans la foulé que l’après-midi je t’avais caressé et léché la chatte et que tu avais beaucoup aimé et beaucoup jouis, puis je lui ai dit que tu m’avais sucé et que là encore tu avais beaucoup aimé la fellation et avaler mon sperme.

— Et bien ! Qu’a-t-elle répondu ?

— Que ce devait être toi qui fasses le premier pas vers elle et que pour nous deux, que j’avais autorisation de te baiser qu’une fois, ensuite on ferait des partouzes à trois !

— C’est tout ! Maintenant je comprends pourquoi après m’avoir fait la bise, elle m’a caressé la joue, chose qu’elle ne fait jamais. Bon alors je vais t’informer que Claude et Julia ainsi que Cécile et moi, on devait tout faire pour vous amener à vous mettre à poil et ensuite arriver à faire une partouze ensemble, est-ce que maman ne sera pas choquée ?

— Non ! Le mieux c’est de lui servir un bon apéritif enfin deux ou trois et elle va partir au quart de tour car en même temps je la caresserai discrètement là où il faut, moi, je suis partant, tu peux le dire à Claude.

— Lui et toi vous avez pratiquement le même sexe, de véritables queues de cheval et comme maman aimerait se faire prendre en doublette alors elle va être servie. Retournons avec eux.

— Prenons un apéritif dit Claude, les filles ont préparé la petite table ou bien on se met directement à table dans la salle à manger ?

— Directement à table dit Michel cela évitera des déplacements et je me place à côté de ma petite femme si cela ne vous dérange pas !

En se plaçant ainsi, Michel voulait pouvoir caresser discrètement les cuisses et monter plus haut de sa chère et tendre épouse et arriver à la mettre en condition pour après, il savait que quelques caresses plus deux ou trois verres d’alcool, Lyse ne pourrait pas tenir longtemps sans jouir. Après s’être enfilés trois apéros, Lyse avait chaud, Julia tenait bien l’alcool et les deux jeunettes avaient tendance à rire un peu trop for. Pendant le repas, Claude n’hésitait pas à caresser les cuisses de Julia, celle-ci fit un clin d’il à son mari et lui dit :

— As-tu fini de me caresser les cuisses parfois je sens tes doigts sur ma chatte.

— Ah ! Tu vois chéri, dit à son tour Lyse, je ne suis pas toute seule dans ce cas, on n’est pas à la maison chéri, tu pourrais attendre qu’on ait fini de manger, c’est bon et excitant mais cela risque de nous emmener trop loin !

— Moi aussi j’aime ce que me fait mon mari même à table mais comme vous êtes présents j’avais peur que cela vous dérange, et vous les filles cela vous dérange si nos maris nous caressent la chatte en mangeant ?

— Maman, tu sais bien que rien ne me dérange et tu vois Marjorie et moi avons très chaud alors nous allons enlever le haut, nous serons mieux ainsi. Toi Marjorie ma chérie si tu as envie de me caresser les seins, je t’autorise à me faire ce que tu as envie. Comme ton père est à côté de moi, je vais lui caresser son sexe si ta maman n’y voit pas d’inconvénient ?

— Ba c’est que je ne suis pas habituée à voir mon mari se faire caresser la bite devant moi et toi Lyse ma chérie, tu ne vas dire que tu veux aussi caresser celle de Claude ?

— Oui maman, je vais la caresser, elle est tellement belle que j’ai même envie de la prendre dans ma bouche ou ailleurs comme toi tu prends celle de papa, je vous ai vu l’autre jour, tu poussais des cris de bonheur en disant à mon père lorsqu’il te sodomisait, « Allez mon chéri enfonce la bien, défonce-moi mon cul etc. » Alors maman chérie, moi j’ai envie d’une ou deux grosses queues comme celle de papa ou de Claude, elles sont énormes et toi aussi je sais que tu en as envie, comme je suis certaine que vous bandez, papa et toi Claude levez-vous et baissé votre short.

L’un comme l’autre obéir à Marjo, une fois debout les quatre femmes observèrent les engins tout raides, les femmes sentaient leur sexe se mouiller de la cyprine, elles avaient envie de bondir sur les queues et se les enfourner n’importe dans le corps.

— Lyse dit Julia, vient sucer la bite de mon mari et moi je vais sucer celle de Michel, pendant ce temps vous les filles, faite-vous un beau et bon 69.

Lyse regarda la queue de Claude puis celle de son mari, hésita un petit instant avant de se lever, et les deux femmes changèrent de place.

— Votre invitation est un piège s’exclama Lyse, vous aviez tout prévu n’est-ce pas? J’avais un drôle de sentiment en moi que je ne m’expliquais pas !

— Oui et non ! Marjorie nous a parlé de votre fantasme de baiser avec deux hommes tout comme moi, elle nous a dit que son père était super bien monté alors comme Claude et moi nous faisons l’amour avec Cécile, que Marjorie suce son père et qu’elle a envie de baiser avec toi alors, on a trouvé que c’était la bonne occasion de se réunir. Pour le moment on va vider les couilles de nos hommes puis finir repas ensuite on s’installera sur le gazon et tu vas me lécher la chatte, comme tu es notre invitée, tu auras l’honneur de gouter à ma liqueur ensuite ce sera moi, et il n’y a rien à redire n’est-ce pas ma chérie, tu permets que je te dise ma chérie ?

— Oui je te le permets, mais moi, je n’ai jamais fait l’amour avec une femme !

— T’inquiète, tu vas aimer, regarde nos filles comme elles se régalent, de vraies salopes comme moi. Je propose qu’ensuite, sur le gazon, mon mari et le tien aillent t’enculer, te sodomiser à fond, ensuite ce sera mon tour puis lorsqu’ils auront assez défoncé notre fondement, ils se videront dans la bouche de nos filles.

— Je suis d’accord ! Et vous les filles ?

— Cécile et moi on est toujours d’accord pour recevoir la liqueur des hommes, mais nous espérons que d’ici ce soir, ils vont nous défoncer également, nos chattes ont tellement besoin de recevoir de si belles bites ! Allez maman suce bien Claude tu vas voir comme il est bon son gland.

Les deux femmes se mirent à genoux devant les sexes déjà tout raides. Lyse prit à deux mains l’une au-dessus de l’autre, l’énorme queue de Claude, et après une lèche ou deux sur le gland, elle se l’enfonça doucement jusqu’au fond de sa gorge. Julia en avait fait autant avec celle de Michel. De concert, elles astiquaient les deux énormes tiges, grosses et très larges, pour elles c’étaient un régal. Pendant qu’elles suçaient, elles caressaient les couilles de leur partenaire respectif, Julia alla plus loin en enfonçant son majeur dans l’anus de Michel, qui ne dit rien et qui se trémoussa de plaisir.

Les deux jeunes filles se faisaient un 69 terrible, elles se retournaient pour que l’une ou l’autre se retrouve en dessous, pendant qu’elles léchaient, elles enfonçaient un voir deux doigts dans le fion de l’autre. C’était une orgie de plaisir pour les deux familles, les hommes avaient les mains posées sur la tête de leur équipière et donnaient la cadence, seul Michel bougeait son cul d’avant en arrière certainement pour mieux enfoncer sa grosse tige mais peut être aussi pour mieux senfoncer le doigt dans son rectum. Les femmes ayant la bouche pleine pour les mamans et pour les jeunes filles leur langue étant enfoncée dans une chatte, aucun son ne pouvait sortir de leur bouche, seuls les hommes commençaient à gémir, on pouvait entendre : « Allez ma chérie enfonce toi bien ma queue, ou avale ma tige ma petite salope de suceuse » mais ils étaient très concentrés pour se retenir afin que leur fille consomme gratuitement une bonne quantité de sperme.

Après une bonne quinzaine de minutes Claude demanda aux deux filles de venir s’installer devant eux, Cécile recevrait la jute de Michel et Marjorie celle de Claude. Il ne fallut pas attendre très longtemps pour que les hommes présentent le bec verseur de sperme devant la bouche grande ouverte de chaque fille. Ensemble les deux hommes jouir à fond en envoyant un premier jet de liqueur, puis les filles enfoncèrent le sexe jusqu’au fond de la gorge et la liqueur se déversa en grande quantité pour descendre directement dans l’estomac. Lorsque Claude et Michel eurent fini de se déverser, les deux mamans d’autorité prirent chacune un sexe et le nettoyèrent afin de rendre une douce et belle queue bien brillante prête à un deuxième usage.

— Maintenant, dit Julia on continuer à grignoter, alors tous à table et cela ne vous empêchera pas de nous caresser la chatte tout en mangeant ! Je voudrais que vous les hommes vous soyez excités au maximum car je voudrais avoir votre sperme pour napper le dessus du gâteau, tout le monde dégustera ce bon dessert au sperme, ensuite on continuera à faire connaissance avec nos sexes et en plus j’ai une idée pour deux les mecs.

— Dis-moi maman salope, qu’est-ce que tu leur réserves ?

— Ce sera une surprise surtout pour Michel.

Julia apporta le dessert et le posa sur la table basse, Claude et Michel vinrent se placer au-dessus du gâteau enfin surtout leur grosse queue qui était tendue au maximum, normal après le tripotage que les filles et leur mère avaient prodigué pendant la fin du repas. Les deux jeunettes prirent chacune une grosse bite dans leur main et commencèrent une magistrale branlette, puis sentant la sève monter, elles dirigèrent le gland vers le gâteau afin que toute la liqueur tombe sur le dessus du dessert. Une fois fait, Julia étala correctement toute la liqueur et tout ce petit monde se régala du gâteau à la crème de sperme. Marjorie prit la parole.

— Papa et toi Claude avez-vous récupéré des forces et vous couilles sont-elles suffisamment remplies ? Car maintenant, vous allez vous mettre sur le canapé et toi Claude tu vas faire voir à mon père comment tu t’es fait une auto fellation, vous allez vous sucer la queue et avaler votre sperme, pendant ce temps nous allons nous lécher la chatte mais on va vous surveiller afin de vous voir avaler votre liqueur. Moi j’ai envie de lécher la douce petite chatte de Julia et de la faire jouir. Aller en place les hommes !

Claude montra à Michel la bonne position et en cur, ils commencèrent à se sucer, les femmes n’en perdaient pas une et seuls les gémissements de l’une et de l’autre se firent entendre dans le salon, les deux hommes se suçaient sans peine, vu la longueur de leur grosse queue et le côté sportif leur permettait de bien se courber ainsi ils pouvaient avaler la moitié de leur bite, un petit geste de Claude et de Michel fit comprendre aux femmes qu’ils allaient jouir, lesdites femmes voulaient assister à la jouissance et voir qu’ils avalaient tout leur sperme. Des bravos et applaudissements furent leur récompense.

— C’est bien bon mes chéries dit Claude et toi Michel ?

— Oui ! C’est bon et je pense recommencer pour confirmer le bon goût de ma liqueur. Je crois que pour aujourd’hui mes couilles sont vides et je crois qu’il serait bien de recommencer notre partie un autre jour qu’en pensez-vous, mais ce sera chez nous, qu’en dis-tu ma chérie ?

— Oui ! Chez nous, c’était formidable, comme nous sommes en vacances dans deux jours, on pourrait organiser une soirée pour fêter les vacances et peut-être vous proposer de venir avec nous dans une maison que nous louons au bord de la mer, elle est assez grande pour nous six et en plus sans voisins.

— D’accord pour toute ta proposition répondit Claude, à une condition, c’est que l’on reste nus toute la journée tout le temps quand nous serons ensembles.

— Entièrement d’accord dit Michel, nos filles n’ont pas eu tout à fait leur compte de queue mais ce soir ma chérie, s’adressant à Marjorie, pendant que ta mère prendra sa douche moi, je t’enculerai à fond et je vais te démonter le fion, demain tu auras mal pour marcher correctement.

— Moi aussi j’en veux dit Cécile en regardant son père !

— Tu y auras droit ma chérie. Et peut-être que ta mère voudra que tu viennes dans notre lit, bref, on en reparlera. Mes amis on s’embrasse et rentrez bien chez vous, cette baise était merveilleuse. FIN.

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