Après les embrassades du soir, chacun rejoignit sa chambre. Christian fut le premier à utiliser la salle deau pour une toilette intime, après léjaculation qui lui avait souillé le bas-ventre.
Sitôt la porte de sa chambre refermée derrière lui, Christian, vêtu uniquement de son pantalon de pyjama, sempressa daller ouvrir la porte-fenêtre donnant sur le balcon, comme le lui avait demandé sa tante. Jetant un coup dil à lextérieur, il comprit le plan de sa parente. Tout le long de la façade courait le balcon de bois, desservant les deux chambres ; la sienne et celle de sa tante. Cétait donc par là que cette dernière viendrait le rejoindre
Prenant soin de laisser entrouverte la porte-fenêtre, ainsi que lui avait recommandé Solange, Christian alla sétendre sur le lit, terriblement excité et quelque peu angoissé. Il tâcha dimaginer ce que serait la suite de sa nuit. Presque inconsciemment, il porta une main à son sexe qui lentement, au fil de ses pensées, se redressait lentement. Ne voulant pas se montrer trop ridicule vis-à-vis de sa tante, Christian, dans un effort de concentration, tenta de se souvenir de ses lectures érotiques, glanées çà et là sur internet.
De lautre côté de la cloison, aussi excitée que pouvait lêtre son neveu, et peut-être aussi angoissée, Solange se préparait pour son rendez-vous secret. Cétait la première fois quelle allait rejoindre un adolescent pour faire lamour, elle qui était habituée à rencontrer des hommes plus murs. Et cet adolescent à qui elle sapprêtait à offrir ses charmes était le propre fils de son frère.
Assise entièrement nue devant sa coiffeuse, elle sefforça deffacer les outrages que les ans et les abus sexuels avaient imprimés sur son visage. Christian qui toute la soirée, et sur lesplanade de la Vierge et dans la voiture, ne lavait vu que dans la pénombre, allait dans quelques minutes la découvrir en pleine lumière, telle quelle était : avec ses fines pattes doies à la commissure des yeux et ses rides péribuccales autour de la bouche. Elle ne voulait surtout pas que lado la découvre ainsi. Aussi, avec beaucoup de soins, elle utilisa du fond de teint pour cacher les marques de lâge. Puis méticuleusement elle appliqua à la brosse, du mascara "volumisant" sur ses cils, après avoir étendu du fard à paupières "satiné", afin de donner de l’éclat et de l’intensité à son regard.
Satisfaite du résultat, au bout dun quart dheure dapplications, Solange décida alors de soccuper de sa bouche. Choisissant un rouge à lèvres rouge nacré, elle lappliqua au pinceau sur ses lèvres ourlées, leur donnant plus de relief, les rendant encore plus sensuelles quelles étaient. Jugeant du résultat obtenu, Solange fixa limage que le miroir lui renvoyait. Son visage allongé à la peau mate, héritage de ses parents espagnols, sencadrait dune longue chevelure brune qui lui retombait souplement sur les épaules. Sous des sourcils fins en arc de cercle, quelle épilait consciencieusement chaque semaine, ses yeux aux pupilles noires brillaient ce soir dun éclat tout particulier. Ses narines dilatées, par rapport à son nez mince et droit, conféraient un air de sensualité attesté à son visage ; sensualité renforcée encore par ses lèvres particulièrement charnues, qui concédaient à sa bouche un charme gourmand. Une bouche à faire les pipes aimaient lui signifier ses différents amants.
Jugeant son examen satisfaisant, rassurée sur lattrait de son visage, Solange quitta la coiffeuse pour aller choisir la chemise de nuit la mieux adaptée à la visite quelle allait faire. Passant devant limmense miroir sur pied placé au centre de la pièce, elle simmobilisa, face à lui. Dun il critique, elle scruta sa silhouette. Du fait de sa petite taille, elle ne mesurait quun mètre soixante, son corps sen trouvait quelque peu enveloppé. Ses hanches fortement évasées, dans lesquelles ses amants aimaient crochetés leurs doigts, donnaient naissance à des cuisses fortes et musclées ; à la jointure de celles-ci moussait une toison aussi brune que sa chevelure. Toison quelle taillait fréquemment, afin déviter quelle se transforme en une forêt impénétrable. Et surtout cette tonte permettait de rendre accessible sa longue fente aux chairs incarnat. Ses seins ronds, sans être énormes, étaient suffisamment volumineux pour attirer les regards des hommes quelle croisait. Bien que toujours fermes au toucher, ils navaient plus larrogance de leur jeunesse ; leurs poids les faisaient légèrement se ployer sur son torse, sans pour cela leur ôter leur sensualité. Elle était sure que Christian, comme tous les amants qui les avaient passionnément triturés, serait conquis par le velouté de ses mamelles.
Pivotant sur elle-même, Solange scruta limage que lui renvoyait le miroir. Ses hanches agréablement rebondies donnaient naissance à une croupe large et charnue. Deux masses rondes et pulpeuses séparées lune de lautre par la longue et profonde raie des fesses. Etait-ce du fait de la cambrure de ses reins qui donnait un relief particulier à sa croupe, mais tous les amants qui lavaient baisé lui avaient laissé des marques douloureuses sur ses fesses triturées. Ses rondeurs fessières étaient la partie de son anatomie que ses amants semblaient le plus apprécier lors de leurs joutes amoureuses. En serait-il pareil avec Christian ?
Jugeant quil était temps daller rejoindre son neveu, Solange chercha dans ses vêtements de nuit, celui qui serait le plus apte à affoler ladolescent. Elle opta pour une nuisette translucide, au profond décolleté en carré, qui en fait, laissait dénudée la partie supérieure de ses seins, ainsi que la presque totalité de ses cuisses. La parure vaporeuse sarrêtant à ras son pubis était bordée dun galon de dentelle mauve au niveau du décolleté et au bas, ce qui dissimulait quelque peu la toison de son sexe.
Ainsi peu vêtue, Solange emprunta le balcon qui allait la mener jusquà la chambre voisine, où Christian devait lattendre impatiemment. Un léger courant dair sengouffra sous la nuisette, lui caressant les fesses ainsi que la chatte, la faisant déjà frissonner de plaisir. Lépiderme traversé par des frissons érotiques, elle poussa la porte-fenêtre laissée entrebâillée par Christian, comme elle le lui avait recommandé. Le cur battant la chamade, plus émue quelle ne leut cru, elle pénétra dans la chambre où son neveu lespérait. Elle découvrit celui qui allait devenir son amant, étendu sur son lit, torse nu, vêtu uniquement du pantalon de son pyjama. Faisant des efforts pour atténuer lémotion qui létreignait, elle avança vers ladolescent qui la fixait dun regard extasié.
Lorsque sa tante pénétra dans sa chambre, Christian demeura comme statufié sur sa couche. Vêtue de sa nuisette translucide, sa parente lui apparut encore plus sexy que dans ses fantasmes. Son regard ne pouvait vraiment sarrêter à un endroit précis du corps merveilleusement troublant quil découvrait. Le tissu transparent laissait apparaître les seins, qui pour lui qui nen avait jamais vu autrement quen images, lui apparurent énormes. Les mamelons foncés se détachaient nettement, comme deux pièces rapportées sur les rondeurs plus claires des mamelles. Sil laissait descendre son regard, cest la touffe noire délimitant le sexe féminin qui lhypnotisait. Soudain, Christian se rendit compte que sa main était toujours enfouie dans le pantalon de son pyjama, à étreindre sa verge incroyablement gonflée. Vivement il la retira, espérant que sa tante ne sétait aperçue de rien.
Ayant repris le contrôle de son émotion, Solange sapprocha du lit où Christian la regardait sapprocher le regard brillant.
Tu me fais une petite place, demanda-t-elle en sallongeant à ses côtés, nattendant pas de réponse de lado.
Comme Christian continuait de la regarder sans parler, trop intimidé, semblait-il, pour pouvoir prononcer la moindre parole, Solange éprouva un énorme sentiment de tendresse envers le fils de son frère. Jugeant quelle se devait de tranquilliser son neveu paralysé par la situation, elle se pencha doucement vers son visage pour poser sa bouche contre la sienne dans un tendre baiser. Comme sortant de léthargie, Christian lui ouvrit ses lèvres entre lesquelles elle sempressa de glisser sa langue. Lentement, puis de plus en plus passionnément, à mesure que le désir grandissait dans ses entrailles, elle fouilla la bouche de lado, léchant son palais, lintérieur de ses lèvres et de ses joues, tout en labreuvant de sa salive.
Dabord passif, Christian sanima peu à peu sous le baiser passionné de sa tante. Comprenant quil se devait de réagir, il repoussa la langue qui sagitait à lintérieur de sa bouche, à laide de la sienne. Alors à son tour il entreprit de rendre le baiser, fier de montrer son savoir. Commença alors un ballet fougueux entre les deux langues où celles-ci se frôlèrent, se taquinèrent pour enfin se nouer dans un baiser plein de fougue et de sensualité. Dans un élan plein de passion, Christian entoura les épaules de sa tante, lattirant à lui.
Sous ce baiser chargé dérotisme, Solange sentit son désir saccroitre au plus profond de ses entrailles. Une source bien connue sécoulait subtilement de sa chatte en émoi. Sans cesser de jouer avec la langue de son neveu, elle posa une main impatiente sur le torse glabre de celui-ci. La douceur de la chair la fit frissonner ; cela la changeait des torses velus de ses amants ordinaires. Avec une délectation sensuelle, elle caressa lentement le buste de Christian, glissant insensiblement sa main en direction du bas-ventre, but de son exploration. Lorsquelle arriva à la ceinture du pyjama, elle glissa habilement sa main sous lélastique, le cur battant. Un même frisson secoua les deux complices lorsque les doigts fureteurs entrèrent en contact avec le gland dilaté et largement décalotté par lérection.
Avec un sentiment de joie extrême, Solange referma sa main autour du pal de chair palpitant. Enfin elle pouvait empoigner cette verge tant désirée. Cette verge, qui en se frottant à elle toute la soirée, avait allumé cet incendie au tréfonds de son vagin. Comme elle laurait fait avec un jeune animal apeuré quelle aurait voulu rassurer, elle caressa doucement la jeune bite, faisant habilement coulisser la peau mobile le long de la collerette sensible du gland. Le tressaillement qui secoua le bas-ventre de Christian néchappa pas à Solange, lui procurant un plaisir incontestable. Accélérant alors sa sensuelle masturbation, elle murmura à son jeune partenaire :
Tu es bien ?… Tu aimes ?…
Aimer ! Le mot était faible pour exprimer ce que Christian éprouvait. Déjà dans la voiture, lorsque sa tante lavait branlé à travers son slip, il avait découvert un plaisir encore jamais ressenti. Mais présentement, aucun écran ne se trouvait entre sa verge et la main qui le masturbait, et le plaisir sen trouvait décuplé. Enfin, pour la première fois, une main féminine lui caressait le sexe et le résultat dépassait tout ce quil avait pu simaginer. La main de sa tante uvrant le long de queue exacerbée était dune douceur surprenante.
Tu as une copine, interrogea soudain Solange, prise dune curiosité perverse ?
Heu, oui, avoua Christian que la question de sa tante avait tiré de son alanguissement voluptueux.
Cest une fille de ton âge ?
Ouui
Continuant dans son intérêt vicieux, Solange continua :
Et quest-ce vous faites tous les deux ?… Elle te branle ?
Oh, non !
Avec Angèle, quil fréquentait depuis deux mois seulement, ils navaient fait quéchanger quelques baisers. Angèle se refusait systématiquement à tout attouchement. Aussi devait-il se branler après chaque rendez-vous pour calmer ses sens en ébullition.
Une bouffée de moiteur submergea Solange. Elle allait être la première à faire connaître à ladolescent le plaisir quune femme peut offrir à un garçon. Elle allait être son initiatrice sexuelle
Mon pauvre chéri, susurra-t-elle Laisse-moi faire
Pivotant sur elle-même, elle se plaça de façon à pouvoir soccuper de ce membre quelle sentait frémir entre ses doigts. Prestement elle repoussa le pyjama, impatiente. Libéré le jeune membre viril se redressa plein dorgueil, tel un menhir de chair consacré au dieu « Priape ». Galvanisée, Solange sempara de la verge qui semblait la narguer, refermant passionnément ses doigts autour. Comme elle lavait deviné dans la voiture, alors quelle la branlait à laveuglette, la verge quelle contemplait était plutôt courte, par rapport aux nombreuses bites quelle avait manipulées auparavant ; mais par contre, point de vue du diamètre, elle navait rien à envier aux plus grosses quelle avait dû subir, dans sa chatte, et entre ses fesses.
Terriblement émue à la pensée que la queue quelle tenait en main était celle du fils de son frère ; ce frère, à qui elle avait si souvent vidé les couilles du temps de leurs propres adolescences, Solange repoussa délicatement le prépuce. Dégagé, le gland lui apparut comme une énorme friandise de chair rose. Fixant le méat doù allait jaillir ce divin nectar, elle agita sa main le long de la verge tendue, la masturbant lentement, mais avec beaucoup démotion.
Immobile, Christian se laissa envahir par ce plaisir qui prenait naissance depuis son membre viril voluptueusement caressé. La main de sa tante officiant le long de sa verge tendue lui offrait une réelle délectation. Le plaisir quil ressentait était tellement plus voluptueux que ce quil connaissait lorsquil se branlait lui-même. Mais alors quil se laissait peu à peu emporter par leuphorie que lui procurait la savoureuse masturbation, Christian sentit soudain ses couilles malaxées par sa sensuelle tante. Tout en le branlant dune main, Solange lui avait saisi les bourses pour les presser délicatement entre ses doigts. Cette nouvelle caresse, encore inconnue, lui procura un tel ravissement, quil ne put empêcher son bas-ventre de se contracter subitement. Jamais il naurait imaginé que lon puisse éprouver un pareil plaisir à se faire ainsi palper les couilles. Lorsquil se branlait, le soir seul dans son lit, il navait jamais eu lidée de se tripoter les bourses. Sa tante venait de lui apprendre combien cela était agréable.
Tu aimes ? Lui murmura Solange, qui éprouvait elle-même une véritable félicité à branler cette jeune queue à la chair si douce… Cest meilleur que lorsque tu te le fais toi-même ?
Oh oui ! Gémit Christian aux anges.
Ressentant une volupté insolite, mais terriblement émouvante à masturber cet adolescent quétait son neveu, Solange continua à faire longuement coulisser sa main refermée le long de la verge durcie. Véritable experte dans lart de la masturbation, de temps à autre elle se penchait sur la verge quelle tenait entre ses doigts, pour cracher sur le gland congestionné, rendant ainsi sa caresse plus fluide, plus sensuelle… Jamais elle navait éprouvé une telle jouissance à branler un homme ; et Dieu sait quelle en avait manipulé des bites : de la petite massive à la longue effilée. Le fait de masturber un ado, la renvoyait à lâge où adolescente elle-même, elle branlait son frère dans lintimité de leur chambre ; elle retrouvait les mêmes émois quà lépoque.
Sous cette caresse nouvelle pour lui, Christian ne tarda pas à éprouver une incroyable sensation au niveau du bas-ventre. Comme animées dune vie propre, ses hanches sagitèrent de plaisir.
Comprenant, aux secousses de plus en plus désordonnées qui agitaient les reins de son neveu, que ce dernier nallait pas tarder datteindre le point de non-retour, Solange cessa immédiatement son affolante masturbation. Et afin dempêcher ladolescent déjaculer trop rapidement, elle pressa fortement la base du gland prêt à exploser, létranglant franchement.
Essaye de te retenir, conseilla-t-elle doucement à lado… Tu verras, ce nen sera que meilleur… Nous avons toute la nuit devant nous.
Dans un effort prodigieux, Christian contracta frénétiquement son bas-ventre, tentant dans un effort désespéré de retenir léjaculation quil sentait prête à jaillir de sa verge palpitante. Aidé par létranglement que sa habile parente pratiquait autour de son gland dilaté, il réussit avec beaucoup de contractions à refouler le jaillissement quil sentait imminent.
Ce nest que lorsquelle sentit le bourgeon de chair cesser de frémir entre ses doigts, que Solange relâcha sa pression autour du membre palpitant. Alors seulement elle libéra le gland cramoisi.
Ça va mieux ? Questionna-t-elle émue.
Oui, balbutia Christian qui se sentait quelque peu lésé, de ne pas avoir été au bout de sa jouissance.
Devant lair désappointé de son compagnon de jeu, Solange éprouva une affectueuse pitié :
Mon pauvre chéri, tu mas lair vraiment malheureux Attends, je sais comment me faire pardonner.
Le désir quelle avait de sentir une bite senfoncer dans sa chatte était trop intense pour quelle manque loccasion qui soffrait à elle. En laissant Christian se vider les couilles, alors quil avait déjà joui quelques instants auparavant, était un risque que Solange ne pouvait se permettre si elle voulait être embrochée par ce gourdin de chair quelle tenait en main. Comme Christian était étendu sur le dos, livré à ses fantasmes, elle lenjamba prestement lui faisant face. Elle saccroupit au-dessus de son pubis, en ondulant légèrement des hanches, de façon à ce que les grandes lèvres de sa vulve gorgées de cyprine épousent les contours de la jeune verge. Percevant la dureté du membre contre les chairs intimes de son sexe, un long frisson de désir la traversa. Découvrant alors le regard extasié avec lequel Christian fixait ses seins que sa nuisette mettait plus en valeur quelle ne les cachaient, elle sentit ses mamelons se gonfler tandis que ses tétons sérigeaient, telles deux minuscules bites.
Sous le regard insistant de ladolescent, Solange se sentit comme enveloppée dun écrin érotique. Toute sa chair réclamait un apaisement. Aussi, ne pouvant résister plus longtemps à ce désir qui la faisait frissonner, elle se débarrassa promptement de sa nuisette, offrant avec extase sa nudité à son jeune compagnon.
Les yeux fixés sur les lourdes mamelles qui oscillaient sensuellement à quelques centimètres de son visage, Christian sentit avec émotion une chaude humidité envelopper sa verge. Comme quelques instants auparavant, à bord de la voiture, sa tante mouillait ; et au vu de lextrême chaleur quil percevait à même sa queue, sa parente et complice sexuelle était en proie à une incroyable excitation. La vision des merveilleux seins étonnamment gonflés, objets de ses fantasmes les plus fous, joint à labondante humidité qui lui engluait la bite, bouleversa totalement Christian ; au point de lui enlever toute volonté. Lors de leur retour de Biarritz, lobscurité qui régnait à lintérieur de lhabitacle de la « 308 » avait été la complice de ses attouchements sur sa tante. Mais présentement, en pleine lumière, même si celle-ci était diffusée par la lampe de chevet posée sur la table de nuit, le fait que sa tante prenne les initiatives et cela dans la plus complète nudité le statufiait. Seul son regard sactivait, allant des seins en forme de poire, qui à cause de leur volume saffaissait légèrement, effleurait le bas-ventre délicieusement arrondi, où moussait une toison noire.
Cétait la première fois quil pouvait contempler une femme entièrement nue, autrement quen images, et le spectacle qui soffrait ainsi à ses yeux, sil le fascinait, lintimidait aussi. Il nosait pratiquer le moindre geste de crainte de paraître ridicule aux yeux de sa tante.
Solange, dont la chatte extrudait une véritable rivière de mouille ardente, jugea quelle se devait de se montrer plus active dans son rôle dinitiatrice. Christian se montrait étonnamment complexé, alors que quelques instants auparavant, à bord de la voiture, il avait fait montre de plus daudace.
Tu aimes mes seins, interrogea-t-elle, sachant pertinemment combien son neveu était attiré par sa poitrine Tu les trouves à ton goût ?
Plus dune fois, elle avait surpris ladolescent jeter des regards furtifs en direction des saillies que faisaient ses seins sous ses corsages. Si cela lavait quelque peu amusé, linsistance de Christian à lorgner ses appas mammaires avait fini par lui procurer un certain plaisir. Aussi ce soir elle tenait à lui offrir ses appas mammaires, comme un cadeau.
Tu les trouves beaux, insista-t-elle en les pressant dans ses mains, afin de leur donner un peu plus de volume Tu ne veux pas les toucher ?… Je sais que tu en meurs denvie !…
Se décidant enfin, Christian avança ses deux mains en direction de cette merveilleuse poitrine qui lavait tant fait fantasmer. Brutalement, il crocheta ses doigts dans les lourdes mamelles moelleuses, arrachant un petit gémissement à sa tante.
Sous cet attouchement maladroit et quelque peu brutal, Solange ressentit un plaisir surprenant. Ce nétait pas exactement ce quelle en espérait, mais la maladresse de ladolescent lui procurait quand même une certaine sensation voluptueuse. Aussi décida-t-elle dencourager ce dernier, de le guider. Nétait-ce pas ce quelle avait désiré en lui proposant de passer la nuit près de lui.
Doucement mon chéri, conseilla-t-elle Caresse bien les bouts Tu sens comme ils sont durs !
Se souvenant de tout ce quil avait pu apprendre, par ses lectures et aussi par le visionnage de films pornos, sur les caresses à prodiguer aux femmes, Christian entreprit de mettre en pratique ce quil avait mémorisé. Plaçant ses mains tout contre les larges mamelons bistre, il entreprit de les masser à laide de ses paumes. Percevant la raideur des tétons, il sappliqua à les écraser tout en les frottant par un mouvement tournant de ses mains. Voyant sa tante se cambrer, la bouche entrouverte sur un doux gémissement, il sut quil avait réussi sa caresse. Le résultat allait au-delà de ses rêves les plus fous ; sous son attouchement, sa tante se comportait comme ses filles quil avait si souvent contemplées sur les vidéos visionnées sur internet.
Les reins cambrés, comme pour mieux offrir sa poitrine aux caresses, Solange lui avait saisi les mains, le guidant dans ses palpations tout en lencourageant de la voix Soudain, un détail précis, lu sur une des histoires de « Xstory » lui revint en mémoire. Il saisit les deux tétons, étonnamment raides, entre ses doigts pour les pincer délicatement. Avec application, il entreprit de les rouler entre ses pouces et ses index, les tirants à lui, étirant bizarrement les tendres mamelles. Un léger râle langoureux, émit par sa sensuelle partenaire, accompagna son initiative érotique. Sa tante semblait aimer ce genre dattouchement, car elle se mit à onduler immédiatement des hanches, en un mouvement davant en arrière, frottant vigoureusement sa chatte trempée contre sa verge.
Le massage humide de sa queue par les lèvres sexuelles procura un tel plaisir à Christian, que dans un réflexe instinctif il serra plus fortement ses doigts sur les tétons quil malaxait. Aussitôt un nouveau râle, plus profond, plus jouissif séchappa de la gorge de sa tante.
Si elle avait compté initier son jeune neveu aux sensuels jeux érotiques quil devrait plus tard pratiquer avec ses conquêtes féminines, Solange se trouva vite dépassée par les initiatives de son élève. Dabord timide, Christian avait peu à peu trouvé de lassurance. Aussi lorsquil avait entrepris de se concentrer sur ses tétons, déjà fortement érigés, les pinçant entre ses doigts, Solange avait perdu toute volonté. Sans le savoir, ladolescent venait de découvrir lun de ses points érogènes. Les palpations de ses seins lui avaient toujours apporté une véritable volupté, mais la partie la plus sensible était indiscutablement ces excroissances qui se dressaient au centre de leurs aréoles. Il suffisait que son partenaire du moment sen prenne à ses tétons, pour que ce déclenche une véritable décharge électrique dans tout son corps ; et cela depuis sa puberté. Le premier qui lui avait fait découvrir cette particularité avait été évidemment son frère jumeau avec lequel elle avait connu ses premiers plaisirs.
Au fil des années, cette singularité navait fait que samplifier. Il lui était arrivé, à maintes reprises de mouiller sa culotte lors dun orgasme foudroyant, créée par un amant fou de désir lui triturant sauvagement les tétons.
Percevant, affolée, la jouissance prendre possession de ses organes génitaux ; et cela à cause des pincements que Christian infligeait à ses tétines érigées, Solange le stoppa en lui emprisonnant les mains dans les siennes.
Non !… Arrête !…
Devant lair surpris de lado, elle tenta de lui expliquer :
Cest trop bon, mon chéri !…
Son plan, quand elle avait décidé de rejoindre son jeune neveu dans sa chambre, était de lui procurer le maximum de plaisir, et cétait exactement le contraire qui se passait. Elle avait laissé Christian devenir lorganisateur de leurs jeux érotiques, alors que cétait à elle à mener les ébats.
Interrogatif, Christian la fixait, quémandant une réponse. Repoussant alors les mains qui enveloppaient toujours ses seins gonflés, elle amena sa lourde poitrine jusquau visage de son diabolique neveu. Plaquant lun de ses mamelons que le désir grossissait sur sa bouche, elle lui murmura :
Embrasse mes seins !…
Désappointé davoir été stoppé lors de ses attouchements mammaires, Christian retrouva immédiatement lenvie de montrer à sa tante son savoir-faire. Il sempressa de gober le mamelon qui sécrasait contre sa bouche. Tel un nourrisson, il entreprit de téter le sein que sa tante lui offrait, éprouvant une véritable ivresse sexuelle. Aspirant fortement le mamelon dilaté, il referma ses dents autour de lexcroissance rigide qui en émergeait, le mordillant à la manière dun chiot affamé. Une série de petits gémissements séchappèrent de la gorge de sa complice.
Huumm, cest bon Oh oui mon bébé. Tête-moi bien !… Oui, jaime !…
Dans le mouvement quelle avait effectué pour offrir ses seins à la bouche de son neveu, Solange avait relâché la pression de sa vulve contre la virilité de ladolescent. Libérée de la contrainte que lui imposait le sexe féminin, la verge, tel un ressort soudain détendu, se redressa brusquement. Malgré le plaisir quelle ressentait sous les succions avides de son jeune partenaire et qui la plongeait dans une espèce de cocon voluptueux, Solange perçut immédiatement ce qui se passait entre ses cuisses. Le gland mafflu avait glissé le long de sa fente et par rapport à sa position, était venu se placer à lentrée de sa vulve. Ce contact quelle avait tant désiré tout le long de la soirée, au point de se retrouver présentement au lit avec celui qui avait chamboulé ses sens, déclencha en elle une bouffée de chaleur. Ne pouvant résister plus longtemps à ce besoin de pénétration, à sentir le bourgeon dilaté du gland senfoncer au cur de son vagin, Solange lança sa croupe en arrière. Avec un plaisir fabuleux, elle sentit le sexe masculin senfoncer à lintérieur de sa chatte. Reins arqués, le corps parcourut par une onde voluptueuse qui lenveloppa dans un bulle de bien-être, elle sempala avec ivresse sur la queue tendue de son jeune neveu.
Alors quil tétait avec enivrement le sein moelleux que sa tante lui offrait, Christian sentit soudain un manchon brûlant envelopper son membre. Leffet fut si prodigieux, si intense quil en cessa sa succion. Il navait jamais eu de rapport sexuel avec une femme, autrement quen rêve, mais il comprit immédiatement où son membre était enfoui !… Cette chaleur, jointe à labondante humidité qui enveloppait sa verge, ne pouvait venir que de la chatte de sa tante. Celle-ci sétait embrochée sur sa bite. Sous ce brasier qui lui échauffait le gland, Christian simmobilisa appréciant cette sensation nouvelle.
Lorsque sa tante changea de position, lui ôtant de la bouche le mamelon quil tétait, Christian en éprouva un sentiment de dépit ; mais lorsque Solange, sétant allongée sur lui, colla sa bouche à la sienne, lexcitation reprit le dessus. Avant que sa sensuelle parente ne tente dintroduire sa langue entre ses lèvres, il la devança en enfonçant vivement la sienne dans la bouche accueillante. Alors sengagea un nouveau ballet harmonisé entre les langues de la tante et de son neveu ; chorégraphie passionnée pleine de fougue dans un océan de salive savoureuse. Tout en sappliquant à montrer à sa tante son savoir-faire sur lart du baiser, Christian perçut soudain le manchon brûlant coulisser lentement le long de sa verge. Leffet fut si saisissant quil en cessa dagiter sa langue dans la bouche de sa partenaire.
Tu aimes, lui murmura Solange, stoppant de même son baiser ?
Oh oui, réussit à gémir Christian !…
Cest vrai, tu nas jamais fait lamour ?… Cest la première fois que tu baises une femme ?
Oui
A la pensée quelle était en train de dépuceler son adolescent de neveu, comme elle lavait fait quelques années plus tôt avec son père, Solange éprouva une incroyable exaltation. Le destin se répétait étonnamment. Déjà à lépoque, cest elle qui avait dirigé les ébats, Luc, comme son fils aujourdhui avait été son partenaire passif ; elle lavait pratiquement violé, même sil navait rien fait pour se défendre.
Cependant, ce mandrin de chair qui la pourfendait échauffait diaboliquement les chairs de sa vulve, Solange accéléra ses coups de reins. Avec ivresse elle fit coulisser ses lèvres sexuelles, gorgées de sang, le long de bitte juvénile qui la pourfendait ; depuis la racine jusquau gland. Un plaisir de plus en plus soutenu se répandait à lintérieur de son sexe dégoulinant dune rosée épicée, lui mordant le bas-ventre avant de se répandre en vagues successives le long de ses reins. Ses seins eux-mêmes captaient ces ondes voluptueuses, les gonflant dun désir dominant. Cependant, malgré leuphorie sexuelle que lui prodiguait la bitte enfouie à lintérieur de sa vulve, et quelle masturbait à laide des parois spongieuses de son vagin, Solange désirait autre chose. Tout son corps appelait plus de caresses. Bizarrement, alors que lors du trajet en voiture, Christian sétait montré audacieux, osant des attouchements très précis, là il demeurait particulièrement passif, comme paralysé par lémotion de se retrouver à faire lamour. Solange songea quelle se devait dorienter son neveu, de lui faire prendre confiance ; navait-elle pas décidé de linitier ! Posant de nouveau lun de ses seins contre la bouche de Christian, elle lui murmura dune voix la plus sensuelle possible :
Embrasse-le !… Jaime quand tu me suces les bouts !…
Soudainement réveillé de sa léthargie sexuelle, Christian aspira le mamelon boursouflé que sa tante lui offrait. Comme quelques instants plus tôt, il referma ses lèvres autour du téton rigide, le tétant avec ivresse. Ses fantasmes les plus fous se réalisaient grâce à sa sensuelle tante. Tout à sa fougue sexuelle, il sacharna sur lexcroissance de chair, le pinçant entre ses dents tout en le flagellant de sa langue.
Sous les morsures que lado faisait subir à son téton gercé, Solange poussa un gémissement où se mêlaient plaisir et douleur combinée.
Oh, oui Cest bon, mon chéri Continue !…
Tous pincements de ses tétons lui procuraient toujours une félicité extraordinaire. Christian venait, de déclencher des ondes voluptueuses de plus en plus intenses dans son corps. De longs frémissements de plaisir, prenant naissance depuis ses seins martyrisés, irradièrent le creux de ses reins. Emportée par ces vagues de volupté, Solange agita fébrilement sa croupe, se pistonnant le vagin avec une passion grandissante.
Caresse mes fesses, haleta-t-elle soudain, au summum du désir.
Lorsquelle faisait lamour dans cette position, placée sur son partenaire, elle ressentait toujours le besoin de se faire malaxer les fesses, cet attouchement exacerbait les terminaisons nerveuses de sa croupe, accentuant encore son plaisir.
Enfin libéré de son indolence due à la crainte de se montrer maladroit, Christian lança ses deux mains en direction de la croupe remuante de sa sensuelle parente. Sans cesser cependant de suçoter et mordiller lexcroissance du sein quil avait en bouche, il referma ses doigts dans les rondeurs fermes et pourtant malléables. A la manière dun marmiton pétrissant sa pâte, il malaxa les chairs veloutées, éprouvant une véritable excitation à modeler de ses doigts la croupe nerveuse qui ondulait sensuellement sous ses attouchements.
A se faire ainsi pétrir les fesses, Solange perdit toute retenue. Sous le bien-être qui lenvahissait, lenfermant dans un bien-être voluptueux, elle se démena de plus en plus sensuellement sur le membre qui la pourfendait.
Oh oui Cest bon Oui ! Continue Hhuummm
Ne pouvant répondre, du fait du mamelon qui lui obstruait la bouche, Christian, sous le plaisir qui le gagnait, lança son bas-ventre en avant, poussant sa verge dans les tréfonds du vagin ardent.
Sous cette brutale pénétration, Solange poussa un long râle.
Rrhhaaa ! Oh oui !… Je sens ton bout au fond de mon ventre ! Cest merveilleux !…
Aussitôt, comme si le gland en percutant son utérus avait déclenché un raz de marée à lintérieur de son vagin, une onde de volupté dune force incroyable lui parcourut les reins, la cambrant sur le corps de son jeune amant. Sous cet impact qui la projetait dans une houle lubrique, Solange lança sa croupe dans une chorégraphie érotique. Elle agita ses hanches dans une impulsion pleine de sensualité. Elle entreprit de remuer sa croupe de droite à gauche, tout en continuant de faire coulisser sa vulve de bas en haut le long du mandrin qui lemplissait. En exécutant ce mouvement circulaire, elle forçait le gland blotti dans son vagin à frotter lintégralité des parois de sa vulve gorgée de sève.
Cette façon particulière quavait entamée sa tante de lui masser la verge surprit étrangement Christian, au point quil en lâcha le téton quil suçait, pour mieux apprécier ce quil ressentait au niveau de son sexe. Cétait comme si celui-ci, prisonnier dun vibreur, était malaxé en tous sens. La gaine brûlante qui lenserrait se resserrait convulsivement, pressant lextrémité de sa verge dans un étau incandescent, puis la pression se relâchait pour reprendre aussitôt. Sa tante, par un procédé auquel il ne sattendait pas, forçait son vagin à se contracter à loisir. Sous cette étonnante caresse quil découvrait, Christian éprouva un tel plaisir quil sentit la jouissance lui crisper le bas-ventre. Affolé à lidée de jouir à lintérieur du ventre qui le masturbait dune manière affolante, il voulut prévenir sa tante de limminence de son orgasme. Mais trahi par ses sens, il ne réussit quà émettre un grognement de bête blessée lorsque sa bitte cracha sa semence.
Solange perçut immédiatement à la crispation des mains de son neveu sur ses fesses, que celui-ci approchait de lorgasme. Excitée à lidée dêtre la première à permettre à ladolescent à se vider les couilles dans un sexe féminin, elle accéléra le mouvement de ses hanches, branlant frénétiquement la jeune verge à laide de ses parois vaginales. Lorsquelle sentit Christian se cambrer frénétiquement elle comprit que lado allait jouir, et comme tous les hommes qui avaient joui en elle, il allait annoncer son orgasme par un râle incontrôlable. Or la chambre dans laquelle ils faisaient lamour était proche de celle des parents de Christian, le couloir les séparant, et il nétait pas question que ceux-ci soient alertés par les cris de leurs fils. Avant que son jeune amant nexprime son plaisir, elle le bâillonna de sa bouche.
Au moment même où elle posait ses lèvres sur celle de son neveu, Solange sentit la verge de lado tressauter à lintérieur de sa grotte intime, libérant sa semence. La chaleur du sperme lui emplissant le vagin, déclencha alors chez elle, un formidable raz de marée sexuel. Une onde sensuelle dune incroyable intensité lui traversa le corps, la faisant se cambrer convulsivement. La jouissance la saisit à son tour.
Tout à son orgasme, les doigts crochetés dans les fesses de sa tante, Christian sentit avec émotion, le vagin aspirer son gland, comme pour en extraire les ultimes gouttes de sa semence
*
* *
La première Solange reprit ses esprits. Délicatement elle libérera sa vulve de la verge inerte qui lui avait inondé le vagin, mais qui présentement avait perdu de sa rigidité. Au moment où le gland ramolli séchappa de sa chatte, elle sentit un chaud liquide sécouler dentre ses grandes lèvres, lui engluant lintérieur des cuisses.
"Mon dieu, quest-ce quil ma mis, songea-t-elle émue et attendrie"
Portant une main curieuse à son sexe comblé, elle recueillit avec son majeur un peu de cette liqueur, faite de sperme et de cyprine. Curieuse, elle porta son doigt souillé à ses lèvres. Avec gourmandise, elle lécha son majeur maculé, se régalant du goût épicé de sa jouissance mêlée à celle de son jeune amant.
Comme Christian semblait reprendre ses esprits à son tour, elle se pencha vers lui pour lembrasser tendrement.
Tu es bien mon chéri ?… Cétait bon ?
Oh oui, bégaya Christian au comble du bonheur.
Sachant par expérience quen général tous les hommes ont besoin dêtre encensés sur leurs performances sexuelles, Solange sempressa de complimenter son jeune amant.
Moi aussi jai aimé que tu me fasses lamour Cétait formidable
Même si en fait cétait plutôt elle qui avait mené leurs ébats, elle nen continua pas moins.
Tu mas énormément fait jouir Mais tu avais une sacrée réserve ! Surtout quil me semblait que je tavais déjà vidé les couilles dans la voiture !… Tu décharges toujours autant quand tu jouis ?
Heu, je ne sais pas
Empaumant les couilles de lado, Solange lembrassa de nouveau tendrement.
Cest bon, maintenant Je pense quelles sont vides
Puis comme Christian la regardait dun air suppliant, elle comprit sa préoccupation quil nosait émettre.
On recommencera, dès que lon pourra Mais il ne faut pas que tes parents se rendent compte de ce qui sest passé Tu es daccord ?
Oh oui, sempressa dacquiescer Christian, tout heureux à lidée quil pourrait de nouveau connaître la jouissance dans le sexe dune femme, même si cette femme était sa tante.
Bon ! Dors maintenant, il se fait tard
Comblé sexuellement, Christian regarda sa sensuelle parente remettre sa nuisette qui en fait ne cachait rien de ses magnifiques appas. Lorsque pour quitter la chambre, sa tante se dirigea vers la porte, il ne put sempêcher de fixer, émerveillé, les larges hanches charnues, ainsi que la croupe dodue, sabrée par le long sillon séparant les fesses. Comme elle atteignait la porte, Solange lui confia :
Tu mas donné soif ! Je descends à la cuisine boire un verre deau. Endors-toi !… Et surtout demain matin, pas un mot, pas un signe.
Après un discret coup dil dans le couloir desservant les chambres, Solange sassura que celui-ci était éteint. Preuve que ni son frère ni sa belle-sur ne se trouvaient là. Alors elle referma la porte de la chambre de Christian. Puis actionnant linterrupteur permettant déclairer le couloir, elle se dirigea en direction de lescalier de bois qui menait au rez-de-chaussée. Comme elle poussait la porte de la cuisine, une silhouette lui apparut dans la pénombre, limmobilisant de surprise.
Excuse-moi, surette, javais soif, je tai pris une bière au frigo !
Solange sentit son cur semballer dans sa poitrine. Se trouver avec son frère au milieu de la nuit : la pendule accrochée au mur indiquait deux heures. Vêtue dune nuisette si translucide que ses appas ne pouvaient quattirer les regards de son jumeau, lui procura un trouble émotionnel. Certes Luc lavait déjà vue entièrement nue, mais cela remontait à plusieurs années : avant son mariage avec Isabelle. Une étrange sensation sempara de Solange ; elle ressentait une certaine gêne de se montrer ainsi, dans une tenue terriblement érotique, et en même temps elle éprouvait une intense excitation à lui dévoiler ses charmes. Depuis seize ans quils avaient cessé toutes relations sexuelles, son corps avait subi les outrages des ans ; ses seins qui sétaient considérablement alourdis savachissaient mollement sur son torse. Ses hanches avaient pris de lampleur, ainsi que sa croupe qui sétait élargie en sarrondissant.
Je vais prendre un jus de fruit réussi à articuler Solange dont lémotion nouait la gorge.
Elle se présenta face au réfrigérateur dont elle ouvrit la porte. Lorsque la lumière interne du réfrigérateur lillumina, elle comprit soudain que cette lumière dévoilait ses formes dans un halo suggestif ; elle en éprouva aussitôt un plaisir pervers à offrir les contours de son corps aux regards de son frère.
Tu veux une autre bière ? demanda-t-elle à Luc, la voix soudainement enrouée par un étrange désir.
Sa question navait pour but que de prolonger sa présence devant léclairage, devinant que Luc ne devait rien perdre du spectacle quelle lui offrait.
Je veux bien, entendit-elle dans son dos Je te tiendrais compagnie
Alors seulement Solange changea de position. Les boissons se trouvant dans le bas du frigo, elle se pencha pour se saisir des bouteilles, consciente que dans cette position, elle offrait à son jumeau la vision de sa croupe évasée, fendue en son centre.
Adossé à la table de la cuisine, sa bouteille de bière vide à la main, Luc, dabord surpris par lapparition de sa sur à cette heure de la nuit, demeura ébahi en constatant la tenue de celle-ci. Il y avait si longtemps quil navait plus contemplé le corps de sa jumelle, que ce quil découvrait là le ramena dix-huit ans plus tôt. A lépoque où en plus des liens de fratrie qui les unissaient, ils partageaient leurs premiers émois sexuels. Lorsque la lumière du frigo éclaira de face sa jumelle, les contours de son corps sensuel se découpèrent nettement sous la transparence de la nuisette qui la vêtait. La vision des hanches agréablement arrondies et de la croupe large et charnue déclencha en lui une bouffée de désir : ce même désir quil éprouvait dix-huit ans plus tôt. Il sentit avec émoi son membre se redresser lentement dans son pantalon de pyjama.
Lorsque Solange lui faisant face sapprocha pour lui tendre sa bouteille de bière, son regard accrocha les rondeurs qui déformaient le devant de la nuisette. Les dômes supérieurs des seins ronds émergeaient largement du décolleté. Devant le spectacle affolant des aréoles sombres des lourdes mamelles visibles sous le tissu ténu de la nuisette, Luc demeura comme pétrifié, hypnotisé par les mamelons ocre.
Linterjection moqueuse de Solange le tira brutalement de sa léthargie sexuelle :
He bien, quest-ce que tu as à fixer mes seins comme ça ?… Je sais quils ne sont plus comme tu les as connus… A lépoque ils étaient beaucoup plus fermes !
Heu, non !… Je les trouve encore plus beaux quà lépoque, sempressa de corriger Luc.
Menteur !… Mais cest gentil Regardes comme ils sont devenus, ils ne se tiennent plus, continua Solange en saisissant ses seins dans ses mains pour les soulever, leur donnant plus de volume.
Ne dis pas ça, bégaya Luc, le regard fixé sur les masses mammaires que Solange comprimait de ses paumes. Ils sont magnifiques !
Cest vrai ?… Tu les trouves encore beaux ?
Tu es encore plus belle maintenant. Jai le souvenir dune jeune fille un peu maigrichonne et je retrouve une femme pleine de sensualité Comment se fait-il que tu sois toujours célibataire ?… Les hommes du coin sont vraiment aveugles.
Jai connu beaucoup dhommes, tenta dexpliquer Solange. Jai eu des amants. Beaucoup Mais aucun na réussi à me décider à faire ma vie avec lui Jai compris au fil du temps que dans chacun deux, cest toi que je recherchais Aucun na jamais réussi à me faire oublier nos étreintes Aucun ne ma procuré ce plaisir que je ressentais lorsque tu me fais