Marie était inquiète en cette nuit du 24 au 25 décembre… Minuit était passé depuis longtemps déjà, et le Père Noël n’était pas encore passé chez elle ! D’habitude, à cette heure, il y avait longtemps qu’elle avait arrangé les cadeaux sous le sapin et était partie retrouver la douce chaleur de sa couette… Mais cette année le temps passait et rien ne se produisait ! Elle avait d’abord commencé par arranger le sapin, que les jeux des enfants avaient quelque peu mis à mal, replacé quelques boules multicolores, arrangé les guirlandes pour qu’elles entourent bien son bel arbre de Noël… Elle avait ensuite, même si cela avait déjà été fait, ciré les chaussures qui attendaient leur dû… mais l’heure tournait, tournait… et toujours rien ! Elle s’était assise dans le grand fauteuil en cuir, avait repassé une fois de plus dans sa tête ce qu’elle aurait à faire dans la matinée pour le déjeuner, avait de nouveau revu comment elle arrangerait sa table, comment elle la décorerait pour la joie de tous mais il n’y avait rien à faire… le Père Noël ne venait toujours pas ! Jamais les aiguilles de l’horloge du salon ne lui avaient semblé avancer aussi vite…

Soudain, elle fut prise d’un doute affreux… et si c’était pour la punir, la punir de toutes ses frasques conjugales que le Père Noël -qui savait tout- ne passait pas chez elle… Non, ce serait trop injuste ! Qu’elle soit punie, bon ! Cela à la limite elle pouvait le comprendre ! Son mari aussi, à la rigueur, même si elle savait déjà que ce serait pour elle un très mauvais moment à passer… Mais pas ses enfants ! Ils n’y étaient pour rien eux… et comment le leur expliquer ???

Assise dans le grand fauteuil, elle repense à tous ces hommes qui se sont vidés en elle ces derniers temps… Certains -peu nombreux à vrai dire- en la faisant jouir. Les autres étaient soit trop brutaux soit trop rapides pour qu’elle ressente le moindre plaisir. Ceux qui la brusquaient et la prenaient par l’anus, ce qu’elle n’apprécie pas spécialement… ceux qui éjaculaient sur son visage… et, pire que tout, ceux qui ne voulaient rien entendre et la prenaient sans utiliser de préservatif…

Mais, même si après chacune de ces coucheries elle n’avait ressenti qu’un sentiment de honte, sa sensation de manque était si intense qu’elle ne pouvait s’empêcher de rechercher un nouveau mâle pour pallier à ses besoins…

Les minutes passaient toujours, et rien ne se produisait, tandis qu’elle continuait d’être rongée non pas par le remord, mais par la complexité de trouver quelque chose à dire à ses enfants…

Soudain, il lui sembla entendre un faible bruit… elle tourna son regard vers la cheminée, pleine d’espoir… Non ! Elle ne se trompait pas… un peu de poussière tombait par le conduit, puis une botte apparaissait, suivie bientôt d’une seconde, puis un pantalon rouge, une grosse ceinture noire… Et bientôt le Père Noël était devant elle, les bras chargés de cadeaux aux papiers multicolores…

« Excuse-moi Marie, je viens chez toi plus tard que d’habitude… mais cette année j’ai tenu à terminer par toi… je t’expliquerai pourquoi tout à l’heure… mais dépose vite ces cadeaux au pied de ton joli sapin » Ses enfants, son mari… personne n’avait été oublié… et puis pour elle aussi une petite boîte enrubannée dont elle se demandait bien ce qu’elle pouvait contenir… Elle commençait à remercier le Père Noël quand celui-ci l’interrompit. « Attends, j’ai encore quelque chose pour toi… mais à ne pas mettre au pied du sapin… (Il plongeait sa main dans sa grande poche rouge et en retirait un petit paquet rectangulaire) Voilà, spécialement pour toi… une boîte de préservatifs… magiques ! (elle commençait à rougir… généralement cela ne lui faisait rien d’en parler mais, devant cet homme…) oui, magiques ! Cest-à-dire qu’ils se mettent tout seul au sexe de ton amant, que celui-ci ne sent rien, qu’il n’a pas l’impression d’en avoir… et toi tu es bien protégée… et puis, la boîte est presque inépuisable… tu devrais en avoir assez… du moins jusqu’au prochain Noël » ajouta-t-il en lui faisant un grand clin d’il ! Bien qu’habituée à beaucoup de choses, elle se sentit rougir sous le regard de cet homme après cette réflexion… « Mais attends, ce n’est pas encore terminé… et c’est la raison pour laquelle je suis passé chez toi en dernier… tiens, donne-moi la main »

Toujours rouge de confusion elle ne pouvait que lui obéir et lui tendit la main… ils disparurent bientôt tout deux par le conduit de la cheminée…

C’est d’abord le froid qui la saisit (elle n’avait sur elle qu’un mince peignoir)… mais le traîneau du Père Noël était là, empli de chaudes fourrures où elle se glissa avec délice. D’un mot, le Père Noël commanda ses rênes et ils partirent dans la nuit étoilée…

Le Père Noël la prit dans ses bras, la serra contre son corps. Elle se sentait bien au contact de ce corps viril. Ils échangèrent un long baiser, puis le père Noël, un à un, dégrafa tous les boutons de son peignoir… ses mains caressaient maintenant ses jolis seins, qu’elle sentait gonfler et dont la petite framboise, bien rouge, se tendait vers ses lèvres. Des lèvres qui bientôt se pressèrent dessus et commencèrent à les lécher et à les mordiller… c’est alors qu’elle commença à gémir… N’y pouvant plus, elle chercha et trouva vite son gros ceinturon qu’elle défit rapidement pour prendre son sexe en bouche. Que ce sexe sentait bon ! Il avait la saveur des Noëls de son enfance… Elle n’avait plus froid… des couvertures du traîneau montait une douce chaleur, et serré contre cet homme elle vivait le plus beau de ses Noëls… Ensuite, tendrement, il repoussa la bouche de Julie de son sexe et c’est sa bouche à lui qui se dirigea vers son sexe à elle. C’est vrai, au début elle avait craint que la barbe du vieil homme, bien taillée mais abondamment fournie ne la gratte un peu et lui ôte du plaisir, mais elle changea rapidement d’avis… il était vraiment expert et ses lèvres et sa langue semblaient se multiplier, étant partout sur elle en même temps. Jamais elle n’avait autant joui et ses gémissements se transformèrent rapidement en grands cris de plaisirs… Doucement alors, le Père Noël la pénétra… Jamais elle n’avait connu de sexe aussi chaud, aussi dur, aussi long… elle était aux anges et ne se retenait plus pour crier son plaisir. Pendant un temps qui lui sembla très long le Père Noël fit en elle de longs va-et-vient. Puis, la serrant bien contre lui il s’arrêta au fond de son vagin… Un homme autre que son mari jouissait en elle et pour la première fois elle n’éprouvait aucune honte : c’était Noël, c’était son Noël…

Le puissant cri de bonheur qu’elle poussa quand son sperme l’inonda, les étoiles s’en souviennent encore…

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