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Marie ou la vie d'une femme de chambre – Chapitre 7




Marie passait maintenant le plus de son de temps avec ses deux esclaves, jouissant des humiliations quelle pouvait leur faire subir, sachant maintenant pertinemment quils étaient totalement soumis à ses désirs les plus pervers, si bien que son travail de femme de chambre sen trouvait plus que délaissé. Le désordre ambiant qui régnait alors dans le séjour lui valut rapidement les réprimandes de Madame Karine, tout dabord de manière courtoise avant den arriver aux méthodes plus fortes. Ainsi, Marie fut rapidement convoquée par sa maîtresse dans le bureau du Docteur.

     Ma petite Marie, je ne comprends pas, votre travail se dégrade de jour en jour. Jai été assez gentille avec vous mais maintenant, les bornes étant dépassées, je vais être obligée de vous punir puisque vous ne voulez rien entendre.

Marie, baissant les yeux, regardant ses chaussures, les mains entrecroisées dans son dos, se dandinant doucement devant Karine, simulait parfaitement la petite bonne prise en faute. En fait, elle était bien décidée à cesser cette relation quelle lui imposait depuis des mois, et de faire de sa maîtresse une femme aussi soumise à ses désirs quelle avait pu le faire avec les deux autres.

     Je suis désolée Madame, je ne men suis pas rendu compte, répondit-elle.

     Maîtresse, je veux que tu mappelles Maîtresse, sénerva alors Karine.

Marie, releva doucement sa tête et planta alors son regard dans les yeux de Karine qui, surprise de cette initiative, se retrouva muette devant son attitude

     Va te faire foutre sale gouine, jen ai marre de te lécher la chatte et de me faire prendre par tes godes, attaqua alors sèchement Marie.

     Tu ne penses qu te faire brouter le minou et tu me donnes des leçons sur mon ménage, tu es pourrie par le fric de ton mari au point de ne pas savoir ce quest un plumeau, pour la peine je vais te le mettre dans le cul et te feras le ménage avec, tu comprendras alors pourquoi ta baraque de merde est mal entretenue.

Complètement abasourdie par les propos si vulgaires et surtout colériques de sa petite bonne, Karine resta coite. Marie en profita pour la saisir par le bras et de la pousser vers la table dexamen, ly allonger et sans quelle ne puisse esquiver un seul geste pour sa défense, lui fixa les poignets aux montants supérieurs de la table, grâce aux deux bracelets prévus à cet effet. Karine commença alors à se rendre compte de la situation dans laquelle elle se trouvait et tenta de raisonner Marie dune voix plus douce quassurée

     Marie, soyez raisonnable, que faites-vous là, je vous rappelle que je suis votre patronne.

     Raison de plus, répondit Marie, je pensais simplement vous attaquer en justice pour harcèlement sexuel.

Et de sortir de la poche de son tablier 3 photos qui montraient Karine dominant Marie. Sur la première, Marie, à quatre pattes, se faisait prendre par le gode ceinture de Madame. Sur la seconde, Karine était accroupie sur son visage et la forçait à lécher son sexe ouvert et, enfin, sur la troisième, dans la même position, légèrement soulevée, on distinguait parfaitement le filet doré qui coulait directement dans la bouche de Marie.

     Avec cela, je pense que le juge ne pourra que vous donner tous les torts.

     Mais doù viennent ces photos.

     Il faut surveiller vos amies ma chère. Maintenant, il ne vous reste que deux solutions, soit vous retrouvez en prison, soit vous laisser faire. Et croyez-moi, je crois que la seconde vous sera plus agréable.

Et sans attendre sa réponse, elle prit ses jambes et les posa dans les étriers, ceux-ci placés dans la position offrant lécart le plus important. Elle déboutonna ensuite la fine robe dété sous laquelle un seul petit string couvrait le reste de son corps, string qui ne laissa pas Marie indifférente car elle remarqua rapidement quil était légèrement humide sous les fines lèvres de son sexe.

     Mais cette petite salope de gouinasse mouille sa culotte, et bien quitte à la mouiller, tu vas la mouiller !

Et dappuyer alors sur le ventre de Karine

     Tu vas pisser dedans, la souiller de tes jus, je sais que tu aimes cela.

Et Karine, après une légère concentration, poussa sur sa vessie jusqua ce que quelques gouttes ne viennent mouiller un peu plus son string avant de se laisser aller totalement. Marie saisit alors le flacon vide posé sur la tablette et, entre les cuisses, récupérait le filet doré de lurine qui traversait le string. Une fois terminé, elle posa le flacon a moitie plein sur la tablette, pris une paire de ciseaux et coupa le string sur chaque hanche. Elle se saisit alors du tissu imbibé de pisse, le mit en boule et força la bouche de Karine avec.

     Tiens, prends ça, tu comprendras ce que jai ressenti la première fois que tu me las fait.

Elle cala correctement le tissu dans sa bouche si bien quelle ne pouvait lenlever sans aide extérieure et, ne pouvant garder sa bouche constamment ouverte, à chaque fois quelle la refermait, le contact de ses lèvres et ses dents sur le string faisait couler un peu durine dans sa bouche. Marie avait alors placé sa main entre les cuisses de Karine et bien vite un doigt entra à lintérieur de son sexe.

     Hum, je vois que tu nes quune grosse salope qui aime se faire doigter. Attends un peu, tu vas en avoir pour ton compte.

Elle enfila aussitôt un doigt dans lanus de Karine.

Elle ouvrit ensuite le tiroir de la tablette et sortit les six godes quil contenait.

.

     Et bien, tu vois, on va tous les essayer un par un, lui dit elle malgré le regard imploré de Karine, surtout en voyant le plus gros.

     Allez, au boulot.

Et elle prit le plus fin, le fit aller et venir quelques instants dans la chatte avant de lui introduire directement dans le cul, laissant échapper un soupir de bien-être de la part de la belle.

     Ça rentre tout seul dans tes deux trous, tes vraiment quune chienne, lui dit Marie

     Remarque, comme cela, je passe directement au quatrième, dit-elle en saisissant celui qui faisait cinq centimètres de diamètre.

Elle le pointa sur sa chatte et celle-ci souvrit comme par enchantement pour accueillir lobjet. Karine, trempée comme une éponge, supportait avec plaisir cette pénétration perverse que lui infligeait sa bonne. Ses hanches, remuant au rythme des va et viens de Marie, ne faisaient quamplifier la montée du plaisir en elle, si bien que, dans un rictus significatif, elle laissa échapper ses gémissements de bonheur résultant dun premier orgasme.

     Je te baise depuis 5 minutes et tu jouis déjà, tes vraiment une chaude, lui dit alors Marie. Mais il ne faudrait pas moublier non plus, ajouta-t-elle.

Il faut dire que son string était aussi mouillé que celui de Karine, uniquement à cause de ses sécrétions du plaisir quelle prenait à torturer son ex maîtresse. Elle laissa alors le gode planté dans sa chatte et ôtant sa jupe et son chemisier, elle monta sur la table, vint se placer au-dessus de la tête de Karine et saffaissa doucement sur celle-ci, retirant le string souillé qui était encore dans sa bouche et écartant de sa main le fin tissu de sa culotte.

     Tu as 30 secondes pour me faire jouir sinon je te mets le gode dans le cul.

Elle déposa sa chatte nue sur la bouche de Karine et bien vite, elle senti sa langue venir fouiller son intimité et il lui suffit que quelques léchouilles pour libérer sa jouissance. Une vingtaine de secondes suffirent, mais le temps importait guère car Marie savait très bien la suite quelle donnerait à cette séance.

     Dommage, ma belle, mais jai compté 32 secondes, dit-elle cyniquement après avoir récupéré de son orgasme.

Elle vint se replacer entre les cuisses de son esclave et retirant le gode qui emplissait toujours son sexe, elle se trouva devant cette chatte impudiquement ouverte, qui ferait plaisir à nimporte quel gynécologue. Mais maintenant, cétait son petit trou qui avait son intérêt et planta un doigt dedans, elle lui dit :

     Taimes ça te faire prendre le cul, mon doigt sy promène tout seul tellement tes large !

Karine, libérée de son bâillon, pouvait maintenant exprimer son plaisir.

     Oh oui, je le sens, remplie moi le cul.

     Ne tinquiète pas, tu vas avoir ta dose, rassura Marie.

Elle prit alors le tube de gel et en mit une bonne dose sur le gode. Elle approcha ensuite celui-ci de lillet palpitant de Karine et samusa à pointer le bout sur la rosette qui réagissait en souvrant à chaque pression. Dun coup, elle lenfonça de moitié dans son trou, ce qui provoqua un cri mélangeant surprise, douleur et bien-être de Karine.

     Oh, oh, que cest gros, je suis remplie, réussit-elle à gémir.

Marie accentuait alors la pression sur le gode, pour lenfoncer pratiquement en entier dans le fondement de la jeune femme. Elle se recula alors quelques instants pour observer la scène quelle avait devant elle, la maîtresse de maison, les bras attachés au-dessus de sa tête, les seins gonflés de plaisir, les cuisses largement écartées, son sexe offert, totalement ouvert qui ne cachait rien du plaisir quelle ressentait, et le bout du gode qui sortait de son cul complètement dilaté par le diamètre important de celui-ci. Elle ne put sempêcher de glisser une main entre ses cuisses et deffectuer une petite masturbation, plantant deux doigts dans sa chatte quelle fit aller et venir quelques instants.

     Alors, madame la gouinasse, toujours ma patronne ? demanda-t-elle, une lueur perverse dans le regard.

     Fais de moi ce que tu veux mais fais-moi jouir, gémit Karine.

     Ce que je veux ? Bien ! cela ne fait que commencer !

Et elle approcha le tabouret et se plaça entre ses cuisses telle une experte en médecine. Sassurant que le gode était bien en placé en le poussant encore un peu plus profond, elle sattaqua alors au sexe de Karine. Deux doigts plantés en elle, elle les faisait venir dans le con trempé, bientôt accompagné dun troisième. Elle la branlait ainsi quelques instants avant de les sortir dun coup, provoquant un soupir de frustration de Karine. Marie se leva et alla lui donner ses trois doigts à sucer, ce quelle sempressa de faire.

     Mouille-les bien, tu vas en avoir besoin, lui souffla simplement Marie.

Elle retourna entre ses cuisses et ce sont 4 doigts, bien serrés les uns contre les autres, qui ont investi lâtre chaud et mouillé de Karine. Le pouce sappliquant alors à exciter son clitoris, Marie commença à les faire aller et venir en elle, surveillant aussi la montée du plaisir de celle-ci, ne voulant pas la faire venir avant la fin de son expérience. Car son but final arrivait, en effet, elle sortit ses doigts, vint placer son pouce entre eux et pointant lensemble entre les lèvres dilatées de Karine, elle appuya lentement tout en faisant pivoter sa main. Bien vite, la petite mimime de Marie fut entièrement absorbée par le sexe béant de Karine, ne laissant maintenant apparaître que la moitié de son avant bras. Karine soufflait, gémissait, râlait mais subissait cette double pénétration inhabituelle avec autant détonnements que de plaisir. Elle se sentait complètement emplie et la chaleur du bras de Marie, sa douceur, sa moiteur rendait la situation de plus en plus excitante. Marie, qui lui avait laissé le temps de shabituer à cette pénétration, commença alors à remuer doucement sa main, la faisant pivoter ou écartant légèrement les doigts. Elle-même surprise de lavoir ainsi prise, elle sentait maintenant parfaitement les parois de son vagin, butant au fond de celui-ci, se doutant alors quelle ne devait pas être loin de lutérus de sa partenaire.

Cette sensation, nouvelle pour elle également, lexcitait de plus en plus, surtout quelle sentait aussi, contre la fine paroi séparant son sexe et son cul, le cylindre qui déformait le conduit anal, et elle pensa alors que lon ne pouvait pas être plus "pleine" que ne létait son cobaye. Saisissant alors le gode anal, elle se mit à branler les deux orifices simultanément, laissant alors Karine monter dun cran sur léchelle de la jouissance, remplaçant ses gémissements par de véritables hurlements de plaisir, jusquà ce que la jouissance ne vienne la prendre et lui faire perdre connaissance. Marie qui, sans même se toucher, venait davoir un nouvel orgasme, continua quelque instant à branler Karine avant de se rendre compte de létat inanimé dans lequel elle se trouvait. Dun seul coup affolée, elle se retira assez brusquement de lorifice vaginal, ce qui provoqua un dernier soubresaut de Karine, qui eut comme effet de faire sortir naturellement le godemiché de son anus. La main trempée, Marie, toujours aussi inquiète, son premier réflexe fut de la poser directement son oreille sur le cur de sa partenaire pour vérifier sil battait toujours et le rythme élevé de celui-ci la rassura quelque peu. Elle se pencha alors au-dessus de sa bouche pour vérifier si sa respiration était normale et elle fut alors surprise de la voir ouvrir les yeux, et lui offrir le plus beau des sourires.

     Je nai jamais autant joui, lui dit-elle doucement. Jamais je navais ressenti autant de plaisir, ajouta-t-elle avant de lui dire doucement dans un souffle de bien être : je taime.

Ce dernier mot fit frémir Marie, qui dans un élan de désir, ne put que déposer ses lèvres sur les siennes et y déposer un baiser léger qui bien vite dégénéra dans un mélange fougueux de leurs deux langues. Elle détacha doucement ses poignets, frottant au passage sa douce poitrine contre le visage de sa victime, elle lembrassa à nouveau avant de la prendre par la main. Elle la fait lever, et prenant ensuite sa place sur la table dexamen, elle lui dit:

     Viens me lécher, me doigter, me faire jouir.

Les jambes écartées par les étriers, elle lui offrait maintenant sa chatte nue sur laquelle Karine ne tarda pas à semployer. Avec sa langue, avec ses doigts, alternant entre son sexe et son anus, Karine se démenait à rendre Marie heureuse. En rythmant ses caresses sur lintensité de ses gémissements, elle se démenait si bien que lorgasme prit Marie, foudroyant, violent, exténuant. Karine, fière delle, remonta doucement le long du corps de Marie pour venir partager les sécrétions de plaisir de cette dernière dans un baiser plein de passion. Allongée sur Marie, elle continuait à lui caresser les flancs tout en partageant ce bonheur davoir pris autant de plaisir. Marie la repoussa alors doucement, lamenant à retourner entre ses cuisses et, appuyée sur ses coudes, elle regardait la jeune femme embrasser une nouvelle fois son sexe rougi par le bonheur. Elle passa sa main gauche derrière la nuque de Karine, lattira complètement sur sa chatte et la tenant bien en place lui dit:

     Bois-moi !

Et elle se laissa aller dans la bouche de la jeune femme, lemplissant de son liquide doré. La bouche bientôt pleine durine quelle ne pouvait plus déglutir, le liquide chaud coulait maintenant sur son corps, sur ses seins, pour venir glisser le long de son sexe avant de ségoutter sur le sol. Cétait la première fois que Karine recevait cette offrande, et sapercevant alors que les rôles étaient désormais inversés, elle ne put que se rendre compte quelle venait alors de se soumettre aux bons plaisirs de sa bonne et que leurs relations en seraient maintenant totalement changées. Marie, une fois sa vessie complètement vidée, sassit alors sur le bord de la table, regarda ensuite Karine dun air amusé et, la prenant par le menton, lui dit simplement:

     Maintenant tu mappartiens, tu es à moi, pour mon plaisir.

Karine se releva, le regard plein damour envers sa nouvelle maîtresse et voulu la prendre dans ses bras pour lembrasser. Marie se dégagea brutalement, se leva et lui dit simplement

     Je nen ai plus envie maintenant, je te ferais signe lorsque jaurais besoin de toi. Par contre, tu as plutôt intérêt à tout nettoyer avant que ton gros porc de mari ne rentre, il serait capable de mengueuler, ce con !

Et elle quitta le bureau, fière de son effet et surtout décidée à mettre ses nouveaux talents en uvre pour avilir sa dernière victime, le docteur L.

*********** EPILOGUE *************

Lorsque le téléphone sonna en cet après-midi ensoleillé, Marie était seule et cest elle qui reçut la nouvelle du décès du Docteur L. La gendarmerie prévenait la famille de laccident dhélicoptère qui mit fin aux jours du Docteur et de ses deux collègues Bernard et Gérard et que le seul survivant était le chien Victor. La seule réaction de Marie à cette triste nouvelle fut de penser à sa place qui, faute de payeur, pouvait être menacée. Après avoir annoncé cette fin tragique aux membres de la famille, et procédé aux obsèques de monsieur, la vie sen trouvait quelque peu bouleversée sous le toit de la demeure familiale. Quinze jours plus tard, Marie fut étonnée de recevoir une convocation chez le notaire en même temps que Karine, Mélodie et Julien. Habillée pour la circonstance, ces quatre personnes se retrouvaient devant un vieux monsieur qui ne pouvait sempêcher de lorgner sous les jupes toutes aussi courtes que fendues des trois jeunes femmes assises devant lui, ressenti même un début dérection en apercevant les jarretelles de chacune. Après lecture de tout un tas de boniments qui laissèrent insensible lassistance, il arriva au paragraphe mentionnant le legs de sa fortune. Marie, légèrement en retrait, écoutait dune oreille distraite, occupée à regarder le clerc. En effet, une jeune et jolie femme assistait ce vieux notaire, et elle se demandait si elle lui faisait profiter de ses charmes qui, pour elle, ne la laissaient pas insensible. Ainsi, lorsquelle entendit son prénom annoncé par le notaire, lorsquelle vit les trois membres de la famille se retourner sur elle, elle ne put que dire:

     Pardon ?

Et le notaire de répéter :

     Je soussigné, Docteur L désigne par ce testament léguer toute ma fortune personnelle, mes biens, mes voitures, ma maison à une jeune femme exemplaire et qui mérite ses égards Marie !

Et elle sévanouit, tombant de sa chaise pour venir saffaler aux pieds du clerc.

Lorsquelle ouvrit les yeux, il vit les trois visages souriants de Karine, Mélodie et Julien, qui, visiblement heureux quelle reprendre connaissance, ne lui en voulait absolument pas de ce legs puisquils étaient dorénavant sous lemprise de leur maîtresse. Elle regarda alors au-dessus delle pour avoir une vue directe sous la jupe du clerc, apercevoir les bas gris fixés à un porte-jarretelles blanc et surtout, une petite chatte totalement épilée quaucune culotte ne venait recouvrir.

La vie de Marie se trouvait maintenant complètement transformée. Allongée sur le transat au bord de la piscine, une jeune femme accroupie entre ses cuisses occupée à écarter son string et planter sa langue dans son sexe rose, Marie passait divers coups de téléphone. Âpres avoir débauchée le clerc pour lui offrir un poste de secrétariat doublé dune position damante, accroupie entre ses cuisses, elle menait maintenant ses affaires de mains de maître. Une société de production de films pornographiques dont la vedette principale était la jolie Mélodie, un service lucratif de téléphone rose mené de main de maître par Karine et enfin un service Internet escorte-boys dont la vedette était tenue par Julien, qui, après opérations, était devenu la transsexuelle la plus recherchée de la région.

FIN

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