J’ai obtenu depuis peu mon diplôme de vétérinaire. Après de longues études acharnées et de multiples concours passés, j’ai enfin décroché le job de mes rêves … Ou presque.
Avant de pouvoir ouvrir mon propre cabinet et de se faire un nom, il faut souvent se contenter de peu. C’est pour cela que j’ai postulé un peu partout : En tant qu’assistante dans les cabinets, dans les laboratoires animaliers, dans des chenils …
C’est ainsi que j’ai été recrutée dans un zoo pour veiller à la bonne santé des animaux, après un rapide entretient avec un homme sympathique. Je pense que mon corps mince, mes atouts attirants et mon joli visage surmonté d’une magnifique chevelure blonde doivent aider, vu comment il me regardait. Franchement, ça aurait pu être pire.
Les consignes sont rapidement données : Je devais venir le soir tard, après la fermeture, pour vérifier si les animaux ont bien vécu la journée et tôt le matin pour une nouvelle inspection. Facile sur le papier et j’ai la journée devant moi à profiter de visites gratuites et illimitées dans le parc.
Le propriétaire m’a amené faire un tour pour me familiariser avec mon nouvel environnement, il y a de tout : De hautes girafes, des lions féroces, des loutres curieuses, des zèbres fougueux et surtout un gorille solitaire. En le regardant, celui ci avait l’air bougon et blasé, tandis qu’on m’expliquait qu’il était souvent comme ça, même s’il a des accès rares de vigueur où il s’amusait en cage. Je haussais les épaules, j’irais voir si ces moments de faiblesses étaient dû à une maladie ou une pathologie. Mais de vue, rien d’inquiétant, la vie en cage n’étant guère palpitante.
Je passe la première journée est calme. Les enfants sont émerveillés et les parents veillent. Les animaux ont l’habitude, regardant sans trop comprendre ces petits bouts gazouillants tandis qu’ils mènent leur vie tranquille. Pour ma part, je passe la moitié de la journée à regarder le gorille qui ne bouge pas beaucoup, sauf pour aller chercher le repas qu’un employé lui donne.
A un moment, je le surprend en train de me regarder en continu, semblant intéressé. Inexplicablement, ça me trouble qu’il y met autant d’insistance, surtout venant de la part d’un gros gorille épais. Il semble un peu moins bougon quand je suis présente.
Malgré la gène que cela me cause, je crois qu’une petite vérification va s’imposer ce soir.
Le soir est venu, le zoo est désert. Le propriétaire m’avait bien prévenu que je serais seule et que la prudence s’impose, même si j’ai un portable sur moi. Je m’attaque donc au travail, qui heureusement est surtout visuel. Après avoir bien vérifié si tout le beau monde était en bonne santé et bien nourris, je me retrouvais devant la cage, où le gorille était toujours à sa place, le dos tourné.
Quelque chose me perturbait : Son corps était secoué de soubresauts et l’animal grognait. Était-il souffrant ?
Inquiète, je voulais en avoir le cur net. J’ouvrais la cage et je m’introduisais à l’intérieur, approchant de la bête armée de ma trousse de premiers soins et de tranquillisants. Il dû m’entendre car il se redressait, puis tourna sa tête vers moi. J’affrontais timidement son regard, puis il retourna son corps à son tour.
Je retins ma respiration. Sa main droite était en train de tenir un sexe énorme, accompagnés de grosses testicules. J’en fut d’autant plus estomaquée que le sexe d’un gorille était normalement minuscule. Là, il devait faire un bon 18cm, bien épais, plus que celui d’un humain. Il le secouait.
Il n’était pas malade, il se masturbait !
Je pris peur quand il s’avança vers moi. Lentement, mais semblant sur de lui, sa main toujours en train de caresser son sexe rouge et suintant. Immobile, n’osant rien faire, je le voyais progresser et porter la main sur mon bras. Ce contact m’électrisa et je m’évadais très vite hors de la cage avant qu’il ne me capture.
Courant à travers les allées du zoo, j’étais dans un état second, encore sous le choc de ce que j’avais vue. Je m’enfermais rapidement dans mon local et essayait de recouvrer mes esprits. J’étais troublée, le ventre serré, tordant mes mains pour me réchauffer. Je ne savais pas trop quoi faire.
Je repensais à ce que j’avais vu, son sexe rouge pointé vers moi et le puissant gorille s’avançant. Qu’est ce qui se serait passé si j’étais restée ? A cette question, je sentis l’humidité envahir ma culotte. Je mouillais ! J’essayais de chasser ses pensées contre nature de mon esprit tandis que je rentrais chez moi. Sans succès.
La nuit fut humide, des rêves de gorilles copulant avec moi m’envahissaient. Au réveil, j’étais en sueur, le ventre bouillant de désir. A ma grande honte, je glissa mes doigts entre les lèvres de mon vagin pour commencer à me masturber, n’arrivant à penser à autre chose qu’un grand gorille qui me prenait bestialement. J’eu un sublime orgasme, gémissant pendant que mon corps se cambrait, la honte multipliant le plaisir procuré.
Après une douche revigorante et un solide petit déjeuné pour calmer l’esprit confus, je repartis au travail. Je fis ma visite matinale en prenant bien soin d’éviter tout regard vers la cage du gorille. Je ne voulais simplement plus y penser, c’était mal.
Le propriétaire est venu plus tard, demandant de mes nouvelles pour mon premier service. Je mentis en disant que tout allait bien. Il fut soupçonneux face à mon air hésitant, mais n’insista pas, pensant que c’était mon trait de caractère.
La journée se passait sans accroc, j’évitais toujours la cage du gorille pour contempler les zèbres. Les équidés m’ignoraient. Pas de regard soutenus, juste des galopades au travers du champs pendant que les familles essayaient de les attirer en vain. Un manque me prit. Serais je tombée sous le charme du gorille ? Non, non, je ne veux pas émettre cette hypothèse. Je ne dois pas me sentir attirée par un animal.
Mais pourtant, je ne pouvais m’empêcher d’y penser. Gorille ou pas, il avait une aura sauvage, cette aura qui dit qu’il te baisera bestialement, frottant son corps musclé contre ta poitrine et son sexe chaud dans les profondeurs de ton ventre, violemment. Qu’il te retournant dans tout les sens pour calmer son envie de mâle.
Un frisson incontrôlé me parcourait tandis que ma culotte se trempait de nouveau. A quoi pensais je ? Je devenais folle, totalement folle. Il fallait que j’arrête ce fantasme sordide.
Je décidais de m’occuper en m’instruisant médecine sur internet. Mais la suite des liens qui s’offrait à moi m’amenait, hasard ou non, vers une vidéo d’accouplement de gorilles. Je pinçais mes lèvres, visionnant la vidéo. Je voyais les hanches qui se collaient et qui donnaient des coups. Inévitablement, le désir m’envahit de nouveau et je changea rapidement de page pour passer à autre chose.
Plus tard, le propriétaire vint me voir et me demandait si j’étais allé voir le gorille hier soir pour juger son état. Je suis restée incapable de parler un instant, avant de lui demander pourquoi.
"La grille n’était pas fermée, fais attention la prochaine fois, il pourrait s’évader".
Je m’excusais profondément, promettant de ne plus jamais faire pareille erreur. Quelle idiote j’étais, j’avais oubliée sous le coup de ma panique.
Mais je me souvins que je devais vérifier si le gorille allait bien. Un frisson de le dos. Il le fallait, je ne devais pas faillir à ma tâche. J’entre, je l’endors, je vérifie et je m’en vais, c’était aussi simple que ça. Ça devait l’être, je devrais être capable de garder mon sang froid.
Ça devait se faire ce soir. Affronter la bête. J’espérais être assez forte.
J’espérais.
Depuis mon local, je voyais le soleil se coucher et le zoo être déserté. Bientôt, les portails se fermèrent et tout le personnel partait. J’étais seule. C’était à mon tour de travailler. M’équipant en conséquence, je commençais la tournée.
Je pris mon temps, la volonté oscillante. Parfois je me sentais d’attaque, prête à entrer en trombe dans la cage du gorille pour m’occuper de lui, mais en faisant un décompte dans ma tête pour me lancer à la fin de celui ci, je me dégonflais et retournais vérifier les autres animaux. Trop longtemps.
Il faisait nuit quand j’eu fini. Seule la lumière faible des lampes éclairait le zoo. Je me trouvais face à la fameuse cage.
Avec un rapide coup d’oeil, je repérais le gorille. Il était là, me faisant face. Il se masturbait en me regardant, ne se donnant plus la peine de se cacher. Je regardais sa main faire des allées et venues sur sa hampe, hypnotisée tandis que ma volonté et mon ventre fondaient.
Je pris une grande inspiration, je m’armais de la seringue et j’ouvrais la cage pour pénétrer dedans, prête à en découdre. J’avançais, faisant face au gorille qui continuait de se masturber en me regardant. Intimidée, je ralentis avant de m’arrêter complètement, seringue en main. Qu’est ce que je faisais ?
Le primate se leva, comme hier, et s’avançait vers moi. Je devais planter l’aiguille dans sa peau et ce serait fini. Mais je n’arrivais pas à bouger. Il se masturbait encore et encore tandis qu’une lueur de convoitise se lisait dans ses yeux.
Comme hier, il arriva à mon niveau et m’attrapa la bras. Je ne bougeais pas, soumise à des sentiments divers : Peur, courage, curiosité … désir …
Je ne fuyais pas, tandis qu’il se redressait, atteignant mon niveau. Son buste était deux fois plus large que le mien, ses yeux se plantaient dans les miens. Il dégageait une odeur animale, virile …
Il se pencha vers moi, j’essayais de lever mon bras pour abattre la seringue, mais avant de faire quoique ce soit, il passa sa langue sur mes lèvres, me donnant un énorme frisson, paralysée.
Il le refit une seconde fois, avant de le faire de manière plus soutenue. Il m’embrassait ? Comment ? Était ce en regardant les couples s’embrasser dans le public ? Voulait il les imiter ?
Sa langue chaude et gluante passa entre mes lèvres. Sans résistance, je desserrais mes dents pour la laisser rencontrer la mienne. Son haleine était fruitée, grâce à son alimentation. Ma résistance vola en éclat et la seringue tomba à terre. J’avais perdu … Le regrettais je ?
Ma langue s’anima, dansant avec celle du gorille. J’étais folle, totalement. Mais le désir était si fort que je ne pouvais m’y soustraire. Je sentais son doigt glisser sur l’intérieur de la cuisse, me palpant, remontant pour arriver à mon entrejambe. Je vacillais. Il me masturbait à travers le jean. Je ne pu tenir debout et je m’asseyais par terre. Il me suit dans le mouvement, m’embrassant toujours.
Chaude comme de la braise, sans réfléchir, je déboutonnais le pantalon et le faisait glisser le long de mes jambes, me débarrassant de cette protection. Le doigt rude repartait à l’assaut, se frottant contre mon sous vêtement un moment, avant qu’il ne l’enlève pour me mettre à nu. J’étais soumise à lui.
Je tendais ma main à la rencontre de son gros sexe. Je touchais le membre chaud et humide et je l’empoigna, coulissant de haut en bas. C’était gluant mais atrocement excitant.
Semblant électrisé par le contact, le gorille s’agita, pris sous l’effet du plaisir. Il me prit dans ses grosses mains et me retourna, me voici à quatre pattes, un gorille en rut derrière moi.
Je le savais qu’il allait faire de moi sa femelle et je ne résistais pas. J’allais me livrer à un gorille, un animal et je le souhaitais. Il allait me prendre et venir dans mon ventre. J’étais rouge de honte et de désir. Je pouvais encore partir mais je ne le voulais pas .
Je sentais ses mains sur mes fesses, les écartant. J’entendais les bruits de ses mouvements qui le rapprochaient de moi, je ressentais la chaleur de son corps qui irradiait. Une chose gluante se posa sur mon fessier. Son sexe, il allait vraiment le faire, je n’arrivais pas à le réaliser. Il se retira et donnait des coups de bassins pour tenter de me pénétrer. Il touchait ma cuisse, mes fesses, s’approchant de plus en plus de l’orifice qui menait à mon utérus chaud et fertile.
Je le sentis soudainement à l’entrée, je me crispais. Il avança son bassin et je sentis son long et gros sexe m’envahir, m’enfiler toute entière. Le membre bouillant et gluant écartait les parois de mon vagin humide avant qu’il n’atteigne le font de mon ventre. J’étais à lui désormais. J’étais sa femelle.
Tête baissée, gémissante de plaisir, je le laissais me besogner, me secouant dans tout les sens. Mon ventre se contractait autour de sa bite, qui me pilonnait violemment. Regardant sous mon ventre, je voyais ses grosses testicules remplies de sperme frapper mon clitoris et son sexe entrer et sortir en moi. Cette vision me rendait folle d’excitation. J’eu un orgasme ravageur.
Je n’avais jamais autant pris mon pied. Un gorille était en train de me baiser, je le sentais bien en moi. Ça glissait rapidement, cognant contre l’entrée de mon utérus. Mon corps était en feu, des vagues insoutenables de plaisir m’envahissait. Je voulais qu’il se vide en moi.
Ses grognements s’intensifièrent, signe de son éjaculation approchant. Je m’allongeais sur le sol, présentant ma croupe pour mieux m’offrir, pour mieux me faire pénétrer tandis que ses mouvements brutaux accéléraient. Il soufflait bruyamment.
Puis je sentis son fluide m’envahir. Il se vidait dans mon ventre. Mon utérus accueillait le jus fertile. J’hurlais dans un orgasme extrêmement puissant au point de me faire perdre pied. Son sperme me remplissait tellement que ça débordait, faisant couler de grosses gouttes sur mes cuisses.
Il restait un moment enfoncée en moi, donnant des petits coups de hanches pour glisser son sexe palpitant en moi encore un peu. Puis il se retira et alla se rasseoir à sa place habituelle.
J’étais hagarde sur le sol, le ventre rempli. Je me relevais lentement, tremblante encore à cause des orgasmes. Je regardais la flaque de sperme au sol, qui se formait à partir du liquide qui s’échappait de mon ventre. Je l’avais fait, j’avais été baisée par un gorille.
Je récupérais mes affaires et sortait de l’enclos, lentement, comme dans un rêve. Ça paraissait tellement irréel. C’était honteux, mais le plaisir était tellement immense.
Je rentrais au local pour me nettoyer, l’esprit déconnecté. Je passais une nuit blanche, dans le même état, puis je repris mon travail comme si de rien n’était. Tout semblait normal.
En jetant un oeil vers la cage du gorille, je me demandais si ça allait se reproduire et si j’allais devenir de nouveau sa femelle … Non, je ne pouvais pas céder une nouvelle fois, je n’oserais plus me regarder dans la glace.