Pendant les vacances scolaires, Sabrina a trouvé un stage dans une agence touristique.
« Sabrina, apportez-moi le dossier touristique. C’est urgent ».
« Très bien, monsieur. Tout de suite ».
Sabrina était arrivée depuis deux semaines au bureau. À vingt ans, elle avait déniché cet emploi d’été grâce à sa mère. Elle était qualifiée pour le poste offert, mais sa sélection était due en partie par sa personnalité et surtout par son apparence attirante. Daniel, le responsable du personnel, entre autre, s’était laissé envoûté par le charme de la stagiaire aux cheveux châtains et à la silhouette longiligne. C’était le premier emploi de Sabrina dans ce domaine.
« Voilà, monsieur. »
« Ah! Hum. Ce n’est pas complet. Il n’y a que le devis. Où sont les études techniques »?
« Ça, je ne le sais que trop. C’est tout ce que j’ai pu déniché dans le classeur principal. »
« Ah, lalala. Ça ne va pas. Il me faut le reste immédiatement. Il nous faut transmettre une proposition dans deux jours. Et il est presque cinq heures. Ce sera un weekend d’enfer, je le sens. »
« Monsieur, je peux rester, si vous le voulez. Je suis libre ce weekend. »
« Je vous remercie, Sabrina. Je crois que je n’aurai pas le choix de vous retenir. Ça ne vous dérange pas trop? »
« Bien sûr que non. »
« Et ce soir, vous pouvez rester? Tout le monde a déjà quitté.»
« Oui, certainement. »
« Bon. C’est sympa. Allez voir dans les archives au sous-sol, c’est sans doute là que les documents se trouvent».
« Oui, tout de suite. »
Sabrina descendit les quelques marches qui donnaient accès au sous-sol. C’était un lieu étroit mais haut où l’on entreposait tous les documents archivés sur des étagères. Elle entreprit sa recherche, mais se rendit compte, après un certain temps, que les documents recherchés devaient se trouver à un niveau supérieur.
« Sabrina, ça vient? »
« Je fais ce que je peux, monsieur. Il y en a des dossiers, ici. »
« Attendez, je descend. »
Daniel alla retrouver Sabrina qui commençait à s’angoisser. Elle voulait tellement bien faire.
« Et puis? »
« Ça doit se trouver en haut. J’ai fait le tour des dossiers du bas et je n’ai rien trouvé. Attendez, il y a cette boîte que je n’ai pas fouillée. »
Sabrina se mit à genoux pour inspecter le colis. Daniel, qui se tenait à ses côtés, fut saisi par la vue qui se présentait à lui. La jeune femme, penchée, laissait paraître le dessus de ses seins fermes que cachaient mal son chemisier blanc, léger et déboutonné. Il prolongeait son regard vers son postérieur combien proportionné qui était couvert d’une jupe noire courte, puis vers ses jambes qu’il imaginait de satin à travers ses bas nylon ambre.
Daniel fixait Sabrina et pour la première fois, il s’était rendu compte qu’il pouvait profiter de la situation pour la séduire et peut-être l’empaler. Son bas-ventre se mit à trembler.
« Non, ce n’est pas là-dedans. »
«Ah non? Euh. Essayez la rangée du haut. Il me semble que c’est là que j’y ai mis les derniers dossiers. »
Ce n’était pas vrai, mais Daniel commençait à improviser un plan pour séduire son employée.
« C’est trop haut, je n’y arriverai pas. »
« Bon, prenez l’échelle. Regardez au milieu de l’étagère du haut, je crois que c’est là ».
Daniel n’en avait aucune idée, mais il croyait que son stratège lui permettrait de se frôler à Sabrina de façon anodine en apparence.
« Ce n’est pas très solide, ce machin ».
« Ne craint rien, je te tiendrai ». Il était passé au tutoiement de manière instinctive, prêt à faire un geste pour la déstabiliser un peu plus encore…
Sabrina se mit à grimper maladroitement jusqu’au troisième échelon en s’agrippant du mieux qu’elle pouvait aux étagères, n’étant pas particulièrement fervente des hauteurs.
« Ouhh! Ça branle ».
« Vas-y, je te tiens ».
Daniel retint la courte échelle de ses deux mains, son épaule gauche s’appuyant sur l’arrière de la cuisse droite de Sabrina, tout juste en bas de son cul. La jeune fille se sentit plus en confiance et entreprit ses recherches de dossiers. Dans sa position, Daniel se mit à scruter les jambes galbées de la stagiaire. La forme de ses jambes lui semblait parfaite, droite, ferme, sans défauts. Il lui prit soudain l’envie de la tripoter de ses mains. Sabrina lui en donna l’occasion bien malgré elle lorsqu’elle vacilla légèrement de côté. Daniel lâcha alors l’échelle pour agripper les genoux de Sabrina de ses mains.
— « Ça va, ma belle »?
« Oui, je crois. Je pense que je suis sur une bonne piste ».
Daniel avait pris contact. Il ne songeait plus aux dossiers déjà lointains et se concentrait désormais sur sa prise. Il tenait maintenant les genoux de Sabrina, fermement, appuyant toujours son épaule sur sa cuisse. Il se sentait entrer dans un autre monde. Celui de la volupté. Son statut de cadre supérieur ne tenait plus. Il était redevenu un être humain, ressentant des pulsions sexuelles intenses. Il jeta un regard vers le haut. La jeune femme, s’affairant toujours naïvement dans les archives, lui paraissait comme une statut frêle qu’il pouvait caresser dans les moindres détails. Les bras tendus vers le haut, dans ses efforts pour trouver les études techniques, son chemisier s’était détaché de sa jupe, laissant paraître la peau basanée de ses hanches. Daniel se mit à bander. D’autant plus qu’il croyait percevoir nettement les odeurs naturelles et suaves de Sabrina. Sa bouche ne se trouvait qu’à quelque centimètres d’une caresse intense lui permettant de goûter langoureusement ce corps de fée.
« Essaie la boîte sur le dessus. Il me semble que c’est celle-là ».
« Vous croyez? Bon. Humpff! C’est loin ».
Elle allongea davantage les bras au point qu’elle dû élever la pointe de ses pieds. Daniel se positionna alors complètement à l’arrière de la stagiaire. Toujours les mains soutenant ses genoux, Daniel avait maintenant une vue superbe. En abaissant quelque peu la tête, il pouvait percevoir la culotte blanche de sa stagiaire à travers ses bas nylon. Son antre était protubérant, donnant l’impression d’un coussin moelleux.
Elle prit un moment de répit et s’abaissa sur ses talons.
« Il y a plusieurs dossier dans cette boîte. J’y retourne ».
Elle reprit sa position étendue. Daniel trouvait que cette situation était provoquée par le destin. La même vue sur son entrejambe, les deux mains sur ses genoux, que lui fallait-il de plus? Il risqua finalement un harcèlement calculé. Il se mit à bouger les doigts de ses deux mains.
« Sabrina, je peux te remplacer, si tu veux ».
« Non, non, j’y arriverai ». Elle était quelque peu fière, ce que Daniel appréciait particulièrement à cet instant.
Le mouvement de ses doigts fit place à celui de ses mains au complet. Daniel caressait les genoux de Sabrina, les tripotant d’un rythme accéléré. Ce faisant, ses pensées étaient orientées vers l’intérieur de ses cuisses. Il ne songeait qu’à atteindre graduellement son clitoris. Elle, là-haut, qui n’avait jusque là rien soupçonné, se rendit compte soudainement qu’elle se trouvait en position de faiblesse. Les deux mains dans les dossiers pêle-mêle, les bras étendus, presque suspendue par l’étagère du haut, toujours sur la pointe des pieds et tremblant de plus en plus, elle sentit les avances réelles de Daniel comme une révélation choquante. Elle ne savait plus comment réagir, sinon que son corps au complet ne trouvait plus aucune force. Les mains de Daniel s’étaient faufilées de mouvements attentionnés vers le haut de ses cuisses. Les palpant pleinement, glissant sur ses bas nylon, avec l’idée de les libérer délicatement des dessous féminins, elles avaient atteint le coussin moelleux convoité.
« Monsieur.!
Sabrina était retombée sur ses talons, les bras toujours suspendus vers le haut. Elle avait encore le choix de refuser les avances de Daniel. Elle pouvait protester fortement ou se débattre par exemple d’un coup de pied ver l’arrière, mais c’était la première fois qu’elle ressentait pareille sensation. Des caresses sexuelles évidentes qu’elle n’avait jamais ressenties auparavant, dans une position où elle pouvait s’offrir entièrement.
« Que faites-vous? Non! Oooh »!
Daniel avait atteint son objectif de palper Sabrina à la hauteur de son vagin. Sa main droite couvrait la région de son clitoris et il s’appliquait à frotter ses doigts sur le coussin moelleux qui s’humidifiait de plus en plus à travers ses dessous. Elle choisit de s’abandonner. Elle se laissa aller aux douces caresses de son patron.
« Hummmm! Monsieur. Je…. »
Daniel était dans un état second. Bandé comme un taureau, il savourait pleinement ses manipulations. Elle descendit d’un coup de deux échelons pour mieux s’offrir à lui, elle qui appréciait déjà la stimulation de son clitoris. Maintenant à sa portée, Daniel porta sa main gauche vers les seins de sa jeune proie. Il les massa, ses doigts s’attardant sur leur pointe endurcie. La main droite de Daniel délaissa la région clitoridienne de Sabrina pour la libérer de ses dessous. Il fit glisser lentement sa culotte vers le bas, à mi-cuisse.
Caressant toujours ses seins de sa mains gauche, il introduisit lentement son index dans son vagin.
« Ohh. Daniel!! Ohh »!
Daniel lui embrassa le cou, puis le lobe de son oreille gauche, son index toujours enfoncé dans son vagin lubrifié avec un mouvement lent de va-et-vient. Elle répondit avec de courts mouvements de bassin incontrôlés.
« Hummmmh! »
Daniel libéra rapidement son pénis de son pantalon. Il positionna son membre dur à l’entrée de l’antre de la mignonne. Sentant l’initiative, elle écarta légèrement les jambes et se pencha vers l’avant pour faciliter l’introduction. D’un seul coup Daniel investit l’ouverture moite. Elle poussa un faible cri de satisfaction. Après quelques secondes, Daniel amorça un mouvement de va-et-vient qu’elle encouragea de murmures audibles. Elle agrippa de ses mains les fesses de son patron de façon à augmenter la cadence.
« Oui. Oui. Oui. Aaaahhh! »
« Ohhh! Sabrina. Que c’est bon! »
Daniel enfonçait son membre vigoureusement. Il tripotait en même temps les seins de Sabrina de sorte qu’elle ne songeait qu’à son plaisir qu’elle expérimentait la première fois aussi intensément.
L’accouplement dura longtemps. Au cours des ébats, Sabrina dégagea elle-même son chemisier et son soutien-gorge. Daniel fit de même de ses vêtements. Le contact physique était complet et les mains fureteuses des acteurs parcouraient toutes les avenues possibles. Sabrina manipulait les gonades de Daniel qui, en retour, stimulait son clitoris en la pénétrant.
Se sentant sur le point d’éjaculer, Daniel se retira et retourna Sabrina d’un mouvement sec. Elle se retrouva dos à l’échelle, face à Daniel, les jambes écartées, les seins nus pointant vers lui. Daniel l’embrassa tendrement en enfonçant sa langue dans sa bouche. Leurs langues s’entremêlèrent tandis qu’elle, repris le membre de Daniel pour le guider vers ses lèvres inférieures non repues. D’instinct, Daniel, toujours bandé durement, pistonna sa partenaire en la serrant de toute ses forces, ses pectoraux défiant alors les seins de la stagiaire d’un contact ferme.
« Daniel, fourre-moi. Encore! Oui! Bourre-moi! Vas-y! Hummph! »
Daniel se déchargea, ressentant comme un choc électrique. Ce fut pour lui un orgasme sans précédent. Sabrina réussit à coordonner le sien au même moment. Elle sentit sa semence couler comme un torrent de plaisir dans ses entrailles. Daniel la tenait par les fesses, son pénis ramolli enfoui dans son antre, l’embrassant sur le cou, les oreilles, le visage. Elle lui caressait le dos et les fesses tendrement. Un rituel qui dura plusieurs instants.
« Daniel. Daniel. ».
« Sabrina, j’espère que tu ne m’en veux pas. Je te trouve très attirante. Tu es jeune. Je ne veux pas te troubler ».
« Ne t’en fais pas. Tu viens de me dévoiler un aspect de ta personnalité que je ne soupçonnais pas. Je pense que c’est à ton avantage. Je dois partir maintenant. On pourra reprendre cette conversation demain, si tu veux ».
« Oui, nous avons du pain sur la planche. Allez, à demain. »