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Premières expériences hospitali&egra – Chapitre 1




Deux heures que j?étais assis là, à attendre mon tour, alors que j?aurais du être devant mon bureau à réviser mes examens, capitaux pour la suite…

    Pendant cette semaine de révisions, des douleurs, d?abord sourdes, puis de plus en plus aiguës, s?étaient faites sentir dans le bas de mon ventre. Plus moyen de se concentrer. Mon médecin soupçonnait bien une appendicite, mais tous les symptômes n?étaient pas flagrants.

    Et ma douleur qui continuait, alors que ces examens allaient pouvoir m?ouvrir, en cas de succès, les portes d?un troisième cycle. Mais en cas d?échec, ou pire d?absence, tout serait à refaire…

    En plus de la douleur, le stress me saisissait l?estomac, depuis deux heures que j?attendais aux urgences.

    Enfin, mon nom fut prononcer, et après quelques démarches administratives pénibles, une infirmière me guida et je me retrouvais dans une de ces petites salles de consultation. Elle me demanda de retirer mes vêtements et d?enfiler une de ces blouses, toujours trop petites, qui se ferment dans le dos. Elle quitta la pièce, et je me mis à l?aise. Slip et chaussettes sous la blouse, je m?allongeais sur la table de consultation, en évitant de provoquer ces douleurs lancinantes dans mon ventre.

    La seule position que je pus trouver fut de replier une de mes jambes, alors que la seconde restait allongée sur le lit. Pris dans mes réflexions sur la suite de mes études, je ne pris pas conscience que la blouse, par cette position, était remontée au niveau de mon ventre et dégageait donc mon bas-ventre. Alors que mon esprit restait fixé sur ces satanés examens, l?infirmière pénétra dans la pièce. Combien de temps elle resta là, figée, je l?ignore, mis quand je m?aperçus de sa présence, elle semblait fixer mon entrejambes avec intérêt. Je pus rapidement la détaillé : d?origine nord africaine, elle était de petite taille, avec des cheveux noirs tombant sur ses épaules, des yeux noirs, la peau mate, et sa blouse laissait deviner des formes généreuses : sa blouse était tendue par une poitrine de taille plus que respectable. Les quelques secondes que durèrent cette situation eurent l?effet de tendre légèrement le tissu de mon slip.

    Je me raclais légèrement la gorge, ce qui la fit sortir de cet état hypnotique. Elle rougit légèrement en voyant la réaction qu?elle provoquait, et s?excusant, elle m?avoua :

    – Désolé mais je suis élève infirmière, et je débute ma formation pratique par les urgences. Il y a encore certaines situations dont je n?ai pas l?habitude…

    – Pas de problème, je comprends. Je suis moi même étudiant et mon premier stage de l?année dernière m?a laissé parfois dans de pareils états…

    – Merci, je venais vous avertir que le médecin allait bientôt passer vous voir…

    – Très bien, je commence à m?impatienter : le temps passe et les révisions n?avancent pas…

    Et je lui expliquait la situation. Elle compatit à mes difficultés, en comprenant les enjeux que cela entraînait.

    C?est alors que le médecin fit, enfin, son apparition. La jeune infirmière s?effaça et avant de quitter la pièce, me souhaita bon courage…

    J?expliquai alors au médecin, qui s?avéra être chirurgien, mes douleurs et ma situation peu enviable. Il m?ausculta et arriva à la même conclusion que mon généraliste : soupçon d?appendicite mais fallait encore attendre, mais il préférait me garder en observation pendant 24 heures.

    Et voilà, si l?opération avait lieu, les examens étaient à l?eau, sinon, de toute façon, mes révisions étant peu avancées, mes examens seraient ratés…

    Je fus dirigé vers le service de chirurgie, où les deux infirmières de garde, peu accueillantes, me trouvèrent une chambre avec un autre patient. Elles m?avertirent qu?il s?agissait d?un homme de 70 ans, qui était, au même moment, en salle d?opération, pour une opération de la prostate. Rien que dit penser, le petit effet de ma jeune infirmière fut oublié, et je sentis mon sexe se rétracter…

    Après m?être installé dans mon lit, qui par bonheur était le plus proche du coin toilettes – salle de bain, j?appelais ma mère, lui expliquais la situation et lui demandais de me ramener des affaires de toilettes ainsi que des vêtements pour mon séjour.

    La douleur commençait à empirer. Je décidais d?appeler une infirmière pour demander des calmants. C?est seulement après un quart d?heure que l?une des deux chiennes de garde de l?accueil en chirurgie entra dans ma chambre pour se renseigne. Elle parut sceptique quant à la réalité de mes douleurs, puis s?en retourna en me promettant rapidement un calmant.

    10 minutes, un quart d?heure, 20 minutes, une demi-heure… C?est seulement au bout de 45 minutes que la porte s?ouvrit. J?allais faire une réflexion, lorsque l?infirmière qui apparut me fit l?effet d?un ange, descendu du ciel.

    Autant la jeune élève infirmière des urgences était mate, brune et petite, autant celle qui venait de pénétrer dans ma chambre était élancée et avait la peau blanche, avec de petites taches de rousseur discrètes, des cheveux roux comme le feu, des yeux verts derrière de petites lunettes rondes. Ses yeux me regardèrent avec un petit air mutin, alors que son visage montrait avant même qu?elle est ouvert la bouche, combien elle était désolée.

    Mon aigreur disparue aussitôt et je réussis à lui adresser un petit sourire malgré la douleur. Elle me rendit mon sourire et me tendit un cachet en m?avouant :

    – Je suis vraiment désolé pour l?attente, mais nous n?avions pu de calmants dans notre pharmacie à l?étage.

    – Je me doute bien qu?avec tous les patients qu?il doit y avoir ici, ces médicaments doivent partir comme des petits pains…

    Elle sourit à ma remarque, et continua :

    – Je sas que vous n?êtes qu?en observation, mais comme l?opération est toujours possible, nous allons vous mettre sous perfusion. Comme ça, si le chirurgien décide demain, vous serez dans les meilleures conditions…

    – Très bien…

    Comme elle se retournait pour quitter la pièce, je pus admirer sa silhouette bien dessinée sous la blouse, avec une poitrine qui semblait jaillir de son corps. Son ventre paraissait plat comme les grandes plaines américaines alors que la blouse laissait imagine une paire de fesses rondes, dodues et bien tenues… Encore une fois, face à cette vision, mon sexe ne fit qu?un tour. Mais cette fois le drap me couvrait un peu plus que la blouse… Je me pris à espérer que c?est elle qui me mettrait sous perfusion…

    Je ne me rendit pas compte du temps qui passait, plongé dans les visions plus que prometteuses qu?avaient été ces deux belles infirmières. Mais les douleurs abdominales reprirent le dessus, et commençaient à vraiment devenir insupportables. C?est alors que l?on frappa à ma porte. C?était ma mère, qui venait de quitter en catastrophe son travail pour pouvoir être auprès de son fils. Morte d?inquiétude, je la rassurais rapidement, tout en lui faisant part de mes réflexions concernant la suite de mes études. Nous partîmes dans de grandes réflexions quant aux moyens à mette en oeuvre pour que tout ce passe pour le mieux pour moi.

    Je dois dire que mon esprit était de plus en plus perturbé par les douleurs devenues lancinantes, d?autant plus que ma vessie commençait à réclamer une vidange expresse. Je m?excusais auprès de ma mère et effectuais tout un numéro d?acrobate pour m?extraire du lit sans trop réveiller les douleurs. Cela me prit bien 30 secondes à une minute, puis une autre minute pour franchir, courber en deux les 3 mètres me séparant du coin toilettes. Je refermais la porte sur moi, et m?approchais de mon objectif. Je me mis face à la lunette, et m?appuyais de la main droite sur la poignée permettant aux personnes handicapées de se redresser. Je sortis avec quelques difficultés mon sexe de mon slip et après l?avoir bien pris en main, je pus enfin me relâcher. Je sentis ma vessie se vider peu à peu, en ressentant un bien-être presque jouissif après le parcours que je venais de faire.

    Puis alors que je terminais, je sentis une douleur extrêmement aiguë me traverser le ventre. J?eu juste le temps de ranger mon engin, avant d?appeler rapidement ma mère que je savais dans la chambre. Je tombais à genoux alors qu?elle ouvrait la porte et alors que je me sentais tomber dans les pommes, je l?entendis sortir dans le couloir à la recherche d?une infirmière….

    Ce sont des claques, données de plus en plus fortement, qui me réveillèrent… J?ouvrais lentement les yeux pour voir tout autour de moi 4 infirmières qui s?activaient pour me réanimer. Deux d?entre-elles me giflaient, une troisième était en train de chercher un gant humide alors que la quatrième dirigeait la manoeuvre.

    J?étais parcourus de sueurs froides, et encore si faible que je ne pouvais me relever seul. L?infirmière en chef désigna les 2 qui me giflaient, et leur demanda de me transporter jusqu?à mon lit. Puis elle sortit, accompagnée de la quatrième pour aller calmer ma mère.

    Etant plutôt assez grand et massif, j?ouvris un peu plus les yeux pour voir qui aurait cette lourde de tâche et évaluer les chances de réussite. Si la première que je dévisageais m?était encore inconnu, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir en ma personne de la seconde, celle qui m?avait promis une transfusion, qui maintenant arriverait un peu tard. La première demanda à ma belle rousse de me prendre par les épaules, vu qu?elle était plus jeune et sportive.

    Elles se mirent en position, et essayèrent de me soulever un première fois. Pour cette première tentative, elles ne s?y prirent pas très bien, en restant les jambes tendues et ne comptant que sur leurs bras et leur dos. Elles me soulevèrent légèrement, et me portèrent sur quelques dizaines de centimètres. Pendant ce court trajet, je pus ouvrir les yeux discrètement et admirer les jambes de mon infirmière : elles semblaient de nacre et avait un galbe parfait. La cheville fine, s?ouvrait vers le haut sur un mollet parfaitement dessiné, à la fois souple et musclé. Puis celui-ci retrouvait un genou rond, qui laissait deviner une cuisse musculeuse.

    Dans une toute autre situation, être aussi près des jambes d?une aussi jolie jeune femme m?aurait fait réagir, mais la douleur était trop intense. Elles me reposèrent. Celle qui m?avait pris par les pieds s?approcha pour voir comment j?allais. J?esquissai un sourire pour lui montrer que je n?en mourrai pas tout en gardant les yeux fermés. Puis elles se mirent à discuter, le temps de récupérer.

    Ma belle rousse avait garder la même position, avec un pied de chaque côté de mon visage, et parlait dons avec sa collègue. Ma tête tournée vers le côté ne me laissait que peu d?opportunité d?admirer nouveau ses jambes. Je simulais alors une légère crampe, et en profitais, tout en gardant les yeux fermés, pour tourner mon visage vers le plafond. Mon coeur battait encore plus rapidement qu?au moment du malaise. Avait-on déjoué mon stratagème ? De toute façon je n?aurai pas beaucoup de temps. En tout cas, elles continuaient de discuter comme si elles n?avaient rien remarqué. Je me lançais et entrouvrais légèrement les yeux…

    Je faillis m?en étouffer : j?étais sous un chapiteau blanc. Les deux jambes montaient haut, au-delà du genou. Comme je l?avais deviné, ses cuisses étaient également d?un blanc de nacre magnifique. Je du me contrôler pour ne pas glisser mes mains le long de cette peau que l?on devinais douce et soyeuse. Et en remontant plus haut quelle ne fut pas ma surprise de constater qu?elle ne portait sous sa blouse et sous la taille, aucune jupe, minijupe ou autres. Non, seul un petit carré de dentelle protégeait son intimité. Je pouvais deviner, au travers des motifs dessinés , quelques poils qui ressortait sur ce fond blanc. Le contre-jour ne me permettait pas d?en identifier la couleur exacte. Elle eu un petit mouvement de coté, et je pu découvrir toute l?étendue de mon erreur. Ce petit carré de dentelle n?était nullement une culotte banale… Son mouvement, lent, fit apparaître à mes yeux une fine bande de tissu qui avait bien du mal à recouvrir le fruit pulpeux caché au creux de ses cuisses. Là encore, quelques poils sauvages s?échappaient de cette barrière de dentelle. Le string moulait parfaitement le triangle d?or (ou de feu) délimité par le pubis, le creux des cuisse et son intimité la plus profonde avant de remonter en une fine bande de tissu en s?insinuant en ses deux globes laiteux. Ils paraissaient encore plus fermes et tendus que ce que m?avait laissé croire ma première impression…

    Admirant toujours le spectacle que m?offrait mon infirmière, je perçus dans le lointain que la fine équipe était en train de changer de stratégie. La belle rousse athlétique avait imposé son point de vue : en fléchissant les genoux, et ensuite en se redressant en poussant sur les cuisses, cela devrait selon elle, suffire à me soulever et à me porter sur les deux mètres qu?il restait à parcourir. Joignant le geste à la parole, elle fléchit les genoux et se retrouva presque accroupie, elle me saisit sous les épaules. La seconde infirmière semblait hésiter, peu sûre d?elle-même. Elle ajouta :

    – Regarde-toi, s?il se réveille, il se retrouvera sous tes jupes…

    - ?a m?est égal, il est évanoui, et je suis infirmière. Il faut bien le ramener dans son lit, qu?importent les moyens… Tu préfères peut-être faire appel à une aide masculine ?

    Cette remarque parut piquer la seconde à vif. Elle devait être de ses femmes célibataires, capables de se débrouiller toutes seules quelque soit la situation. Je sentis ses mains attraper mes mollets. Elle devait avoir céder sous la remarque acide…

    Pendant cet échange, je n?avais pas hésité une seconde, et mes yeux grands ouverts constatèrent que mon visage n?était plus qu?à quelques 20 ou 30 centimètres de son string ! Je pouvais enfin déterminer avec certitude que la magnifique infirmière était une véritable rousse. Les quelques poils qui dépassaient avaient une couleur encore plus vive que sa belle chevelure. Sa position lui avait fait légèrement ouvert ses cuisses nacrées, et la fine ficelle blanche s?insinuait à présent au milieu du fruit défendu qu?elle ne défendait plus du tout. Elle remontait ensuite entre les deux globes fessiers maintenant séparés et couvrait à peine sa pastille froncée, qui semblait respirer.

    Ce spectacle magnifique faillit encore une fois avoir des conséquences gênantes, vu ma position… Le plus beau fut de profiter du parfum qui s?exhalait de ces cuisses. Un parfum envoûtant, puissant et capiteux, dont sûrement peu de personnes avant moi avaient pu saisir tous les arômes. Je profitais de cet instant magique.

    Les deux infirmières finirent par essayer une nouvelle fois de me soulever. Sentant que cette fois serait la bonne, je humais une dernière fois à pleins poumons ce délicieux parfum. J?en savourais le goût avec un bonheur indescriptible. Oubliant la discrétion qui m?avait jusque là bien servi, j?expirais sans contrôle cette bouffée… directement entre les cuisses de la belle. Elle resta figée quelques secondes, me faisant penser au pire. Sa collègue lui demanda si elle s?était fait mal, ou bloquée une vertèbre. Elle ne répondit pas tout de suite. J?osais à peine respirer. Elle lui répondit que non, que tout allait bien et me souleva.

    Cette fois, j?avais failli être découvert, mais tout se finissait bien. Personne n?avait rien remarqué, et je me sentais libéré comme jamais.

    Elles finirent par me porter jusqu?à mon lit, où elles me déposèrent en douceur. Je fis mine de reprendre mes esprits et ouvris mes yeux. Les deux infirmières s?affairaient autour de moi. Je pouvais maintenant voir la seconde infirmière. Une femme d?une quarantaine d?années, assez forte, qui semblait essoufflée de son effort précédent. Elle portait des lunettes et était très nerveuse. Elle ne cessait de me demander si je me sentais bien, si je ne m?étais pas fait mal… Je lui assurais que tout ce qui me faisait souffrir, c?était mon coté droit.

    Ma belle rousse me répondit avec un petit sourire et un regard étrange :

    – Effectivement , vous semblez avoir retrouvé toue votre vigueur, mais j?imagine que votre bas-ventre doit être en feu… Viens Danielle, laissons ce jeune homme se reposer. Je vais lui apporter sa perfusion que je lui ai déjà promise…

    J?étais enfin seul. Je repensais à ces visions magnifiques, et aux derniers mots de la belle. Avais-je bien compris ? Y avait-il un double sens dans ces phrases ? Reviendrait-elle seule pour avoir des explications et me faire la morale ?

    Je retournais toutes ces questions dans mon esprit, oubliant presque mes douleurs.

    Après quelques minutes, la porte s?ouvrit de nouveau, et la rousse entra dans la chambre. Ses yeux, derrière ses petites lunettes rondes, avaient toujours cette expression détendue que je lui avais vu plus tôt. Peut-être que toutes mes prévisions étaient trop pessimistes, et que tout avait déjà été oublié. Elle s?approcha de moi :

    – Je vous apporte une perfusion. Il va falloir que je vous pique pour que vous soyez soulager. Si vous voulez bien me donner votre bras…

    Je lui tendais mon bras velu.

    – Il va falloir que je vous rase, pour installer l?aiguille…

    Elle sortit un petit rasoir jetable d?un étui, et me rasa le dessous de l?avant-bras. Je ne m?étais toujours que raser le visage et sentir la lame sur la peau sensible me fis frissonner et je sentis une légère chaleur envahir mon bas-ventre. Elle me parlais, me disant que ma mère avait été rassurée et était repartie à son travail.

    Ayant terminé le rasage, elle passa la main sur mon bras pour en tester la douceur :

    - ?a devrait aller comme ça. Ce n?est qu?un petit entraînement pour vous… Si vous devez passer en salle d?op?, il vous faudra passer une deuxième fois sous la lame du rasoir…

    Je me rendis compte de ce qui m?attendrait demain ou après-demain. J?en fus un peu effrayé, bien que sentant une certaine excitation me gagner. Heureusement, le drap était bien installé, car je me sentis durcir à nouveau.

    – Si vous n?avez pas l?habitude des piqûres, je vous conseille de ne pas regarder et de respirer bien profondément. Je sais que vous allez y arriver…

    Cette dernière phrase, dite en souriant, voulait tout dire. Elle me faisait comprendre qu?elle avait senti mon souffle sur sa toison dissimulée derrière une fine barrière de dentelle. Et surtout que si ça l?avait dérangée, elle l?aurait dit. De savoir qu?elle le savait et qu?elle était consentante me fis me dresser complètement. Le drap ne pouvait plus dissimuler mon érection. C?est à ce moment qu?elle enfonça l?aiguille dans mon bras. Je sentis la douleur, mais elle semblait atténuée par la situation dans laquelle je me trouvais.

    Elle brancha la perfusion et la fixa sur une barre située au dessus de ma tête. Elle fit alors tomber le capuchon de la seringue qui venait de me piquer. Elle se baissa pour la retrouver. Le petit morceau de plastique avait roulé sous le lit voisin. Elle s?accroupit pour tenter de le récupérer, mais sans succès. Elle finit par se mettre à quatre pattes pour s?avancer sous le lit. La courte blouse couvrait à peine ses cuisses. Je pouvais admirer plus globalement ses jambes galbées. Mais le capuchon était vraiment loin. Elle se coucha au sol pour se glisser sous le lit. Alors qu?elle glissait, je pus admirer le haut de ses cuisses. Elle poussa un cri de victoire. Elle avait réussi à le récupérer, et se glissait à présent dans l?autre sens. Sa blouse resta collée sur le sol, et lentement la blouse découvrait son fessier rebondi, qui semblait totalement nu : la ficelle était bien enfoncée entres les globes musclés. Elle se redressa, mon membre l?était déjà depuis un moment, et me montra fièrement le bouchon.

Son regard se posa alors sur le lit et elle resta interdite pendant un court laps de temps. Puis elle réagit :

    – Je vois que la perfusion vous fait déjà de l?effet…

    – Excusez-moi, mais je ne peux malheureusement pas me contrôler…

    – C?est tout à fait normal, le calmant endort les liaisons nerveuses, et il est difficile de contrôler des réactions instinctives… C?est un peu gênant, surtout dans votre cas : imaginez que quelqu?un entre dans la chambre…

    Elle avait dit naturellement, en me regardant au travers de ces petites lunettes. Son regard s?était fait plus profond, son sourire plus naturel, moins compatissant comme le sont les sourires d?infirmières.

    – Laissez-moi voir ça, que je vois ce qu?on peut faire pour vous empêchez de vous sentir mal devant un ou une inconnue. Moi, je suis dans la médecine, j?en ai vu d?autres !!

    Elle souleva doucement la couverture puis le drap. Ma blouse était déformée par une bosse conséquente, et je sentais que mon slip, sous la pression, se décollait de mon bas-ventre. Elle tira lentement ma blouse vers le haut, découvrant mon slip tendu par le désir. Par la légère ouverture, je pouvais voir mon sexe tendu, le gland déjà découvert, ce qui, vu la taille de mon prépuce, est exceptionnel. Le tissu battait la mesure.

    – Je vois que vous avez retrouvé tous vos moyens, ou plutôt que vous les avez toujours. J?ai été surprise de ne pas voir une telle réaction après le petit spectacle que je vous ai offert tout à l?heure. Votre souffle m?a surprise, mais je dois avouer que vous avez su réveiller ma libido.

    Ainsi, tout avait été ressenti durant ce court transport vers mon lit !! Je n?en revenais pas, j?étais découvert, et elle m?avouait qu?elle n?était pas insensible au désir qu?elle avait su développer en moi. Avec un sourire coquin, elle me chuchota :

    – Si vous permettez, à mon tour de profiter de la situation…

    La situation devenait de plus en plus torride. Le fantasme de l?infirmière me paraissait jusqu?alors qu?une vue de l?esprit, que tous les hommes ou presque espéraient, mais qui ne se réalisait jamais… Et j?avais maintenant à mes côtés, cette belle rousse en uniforme blanc, qui, je le savais, ne recouvrait que peu de tissus…

    Elle approcha ses mains, qu?elle posa sur le tissu palpitant. Ce contact déclencha en moi de nouveau frissons, et un nouvel afflux de sang, augmentant mon désir comme jamais. Elle allait et venait doucement, testant de ses doigts la consistance de mon membre. Elle semblait le trouver de taille plus qu?acceptable pour un patient…

    Elle fit passer deux doigts entre le tissu et mon ventre, et vint caresser le sommet de mon gland palpitant. Ses mains étaient d?une extrême douceur, et d?une fraîcheur surprenante. Elle passa ses deux mains sous le tissu et fit descendre doucement mon slip jusqu?à mes genoux puis m?en débarrassa totalement. Mon sexe était plaqué contre mon ventre, gonflé comme jamais.

    Elle me fit quelques compliments, et remonta doucement les mains le long de mes jambes. Elles se glissèrent entre mes cuisses et vinrent frôler mes testicules avant que l?une d?elle remonte le long de la hampe. Seul le sommet de mon gland était découvert. Elle prit le prépuce entre ses doigts et commença à le masser légèrement, pendant que sa seconde main continuait de me masser doucement entre les cuisses. Ce massage divin eut des conséquences prévisibles : je libérais peu à peu du liquide pré séminal, qui commençait à faire briller mon gland rougi. Voyant cela, elle remonta légèrement ses doigts qui vinrent s?enduire de ce lubrifiant pour l?étendre sur tout le gland, repoussant peu à peu le prépuce. Elle continua son massage pendant quelques minutes qui me parurent une éternité… Puis sa seconde remonta le long de mon membre, et elle commença un long et lent va et vient, qui partait du sommet et descendait jusqu?à me flatter les couilles. Elle fixait intensément mon sexe alors que je la fixais.

    J?avançais ma main jusqu?à sa blouse, et je commençais à caresser les formes rebondies de son postérieur. Je pouvais sentir la frontière de son string et la ficelle qui disparaissait plus bas. Je passais la main sous sa blouse et remontais ses cuisses vers son beau fessier. Je commençais alors à lui prodiguer quelques caresses. Elle me regarda et me dit :

    – Cette fois-ci, vous ne pourrez que toucher superficiellement, qui sait, si quelqu?un entrait et me trouvait nue…

    Je ne dis rien mais continuais mes caresses. C?était une remarque étrange, si quelqu?un entrait, comment expliquerait elle que ses mains étaient autour d?un sexe dressé ? Je me contentais quand même de mes mains sur son fessier doux et ferme.

    Pendant ce temps, je la voyais toujours concentrée sur sa caresse. Pendant que j?admirais son cul, elle s?était penchée, ce qui me laissait deviner le haut de ses cuisses et même une petite partie de ses fesses rebondies. Je me retournais vers elle. Penchée vers mon sexe qu?elle branlait, elle semblait fascinée par ce qu?elle faisait. Peut-être humait elle mon parfum comme je l?avais fait plus tôt avec le sien… Elle sembla hésiter un instant puis approcha encore un peu plus son visage.

    Non ! Elle ne pouvait comme pas faire ça ici, dans cette position. Le tableau ne laisserait aucune ambiguïté à celui ou celle qui entrerait !! Mais si, elle osait !!

    Elle posa ses lèvres sur mon gland pour déposer un baiser chaste. Elle refit le même geste en descendant jusqu?à la base, puis en remontant. Elle releva alors la tête et me regarda profondément. Je la fixais intensément alors que je voyais sa bouche s?ouvrir, et engloutir mon sexe, sans pour autant le toucher. Je ressentis tout de suite le changement. Mon sexe semblait être dans une cavité chaude et humide, sans pour autant avoir un seul contact. Elle resta comme ça, me faisant sentir son souffle chaud, puis elle referma les lèvres à la base de mon gland. Je sentis alors sa langue s?activer, tourner autour de mon bout rougi et gonflé de désir. Elle s?attardait toujours sur le frein, provoquant des gémissements que j?avais du mal à retenir. Puis doucement, elle descendit encore et je me sentais englouti comme jamais.

    Les abîmes dans lesquelles elle me plongeait étaient nouveaux pour moi. Ma copine hollandaise de l?époque (et avec qui je suis toujours), était ma première, et pour moi aussi, c?était les vrais débuts. Bien entendu, nous avions déjà essayé la fellation, et j?y prenais du plaisir, mais pour ma copine, il y avait un frein et sa ? technique ? était assez rudimentaire. Bref, c?était une redécouverte de la fellation…

    Elle allait et venait avec s bouche pendant que sa main me caressait les couilles. De temps en temps, elle inversait, et me léchait les couilles doucement. Ma main se faisait de plus en plus présente sur ses fesses que je saisissais maintenant à pleines mains. Mes doigts avaient repoussé la fine cordelette, et je passais et repassais mes doigts dans la faille qui s?ouvrait. La situation l?avait excitée. Je sentais la sueur commencée à se former, facilitant le glissement de mes doigts. Je passais de plus en plus sur son petit trou froncé que je sentais palpiter. La sueur qui perlait commençait à rejoindre ce lieu intime. Je le sentais s?ouvrir de plus en plus…

    Ma caresse avait du déclencher une vague de plaisir chez elle. Je sentis ses globes fessiers se contracter autour de mes doigts. Ses mains resserrèrent leur étreinte autour de mon sexe et je la sentis m?aspirer, alors qu?elle accélérait son mouvement masturbatoire. Je sentais ma sève monter progressivement. Mes doigts se crispèrent dans sa raie, et un de mes doigts s?enfonça légèrement dans son petit trou froncé, qui m?accueillit facilement. Elle accéléra encore le mouvement de ses mains et se releva légèrement pour regarder le résultat prochain de son oeuvre.

    Cela ne tarda pas. J?explosais soudainement, jouissant comme rarement sous les caresses d?une femme. Les deux premiers jets jaillirent et atterrirent sur le visage de la belle et sur ces lunettes. Elle du s?apercevoir de son erreur en se retirant et vint rapidement réparer son erreur en me reprenant entre ses lèvres et aspirant toute la jouissance qui continuait à s?échapper. Elle me regardait avec des yeux plein de malice, et semblait savourer l?instant présent. Je n?en revenais pas : non seulement elle m?avait jouir avec sa bouche, mais elle buvait tout le jus qui continuait lentement à couler. Jamais mon amie n?avait osé un tel geste. J?avais à chaque fois éjaculer entre ses mains, puis venait le traditionnel Kleenex.

    La belle rousse finit par quitter mon entrejambe et ramassa avec ses doigts ce qui coulait de son visage pour le faire disparaître entre ses lèvres. Elle souleva lentement le bas de sa blouse pour essuyer ses lunettes souillées. Je pus enfin admirer le devant de son string. Plus de doute, les poils qui s?apparaissaient étaient couleur feu, et il me sembla apercevoir quelques reflets brillants preuves du plaisir qu?elle venait de prendre. Elle rabaissa ma blouse et remonta le drap et la couverture.

    – Voilà, nous sommes quittes quoique vous ayez sûrement pris plus de plaisir que moi… Je vais vous laisser reprendre vos esprits. Et votre voisin de chambre ne devrait pas tarder à revenir du bloc opératoire.

    Elle me quitta sur ces mots. Je l?avais totalement oublié ce voisin et sa prostate… Son retour ne tarderait pas et sûrement que le réveil ne serait pas agréable pour lui, et sûrement pour moi aussi…

    Mais il allait encore se passer quelques épisodes dans ce centre hospitalier : l?infirmière n?allait sûrement pas laisser passer l?occasion de prendre son plaisir avec un pauvre malade sans défense, l?épreuve du rasage me laissait perplexe. Et malgré tout le plaisir déjà pris, je pensais bien que mon amie hollandaise traverserait la Belgique et une partie de la France pour me voir, et je comptais bien lui montrer que je n?étais pas infirme…

    Si vous voulez les connaître, faîtes-moi part de vos impressions et vos désirs…

E-mail: [email protected]

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