En route j’écris à Catherine :
— OK pour ce soir, serai accompagné.
On arrive devant le boulot de Kate qui est déjà là. Je dis à Michel de se mettre juste devant elle. Il se gare, j’ouvre la portière arrière et me décale pour lui laisser la place.
— Ah oui, tu as un chauffeur ?
— C’est tout récent !
— Cool.
Elle porte un manteau court, une jupe aux genoux en cuir, légèrement fendue sur le côté, des bas autofixants, des bottes à talons, et un top.
— Tu sais que j’ai dû mentir et prétexter une urgence pour toi !
— Tu le regrettes ?
— Non.
— Alors, que veux-tu faire ?
— Je n’habite pas très loin tu sais.
— Parfait ! Donne l’adresse au chauffeur.
Elle le fait en souriant. Je me penche vers elle et l’embrasse. Elle hésite, je pose ma main sur sa cuisse, elle fond, sa langue se lie à la mienne.
Elle n’habite effectivement pas loin, en cinq minutes on est chez elle. Michel se gare. Je lui dis de m’attendre, ça fait rire Kate. Elle me tient par la main. Dans l’ascenseur on s’embrasse comme des fous, on entre chez elle. Elle me montre le salon. Je m’assieds dans le canapé.
— Tu veux boire quelque chose Isaiah ?
— Franchement ? Non.
Je lui tends la main et l’attire vers moi, elle est à califourchon sur moi, ses mains posées sur mon torse, les miennes sur ses hanches. On s’embrasse ; elle me sourit.
— Tu sais que je n’ai jamais fait ça.
— Fait quoi ?
— Chauffer un client, ramener un mec chez moi après lui avoir parlé en tout cinq minutes.
— Ah. Je pensais te faire un black.
— Ah ça aussi tu vois, c’est une première.
— Mmmm tant mieux. Je préfère être le premier.
— Ah ah, je ne sais pas pourquoi mais je m’en doutais.
— Ah bon ?
— Tu n’as pas franchement l’air d’être partageur.
— C’est vrai.
— Au fait, ta copine a aimé la nuisette.
— Beaucoup oui. Merci de tes conseils.
— Elle me sourit et m’embrasse.
— De rien mon chéri.
— Comment ça se fait que ce soit autant de premières fois là ? Tu dois te faire draguer tout le temps.
— Souvent oui, mais je n’ai jamais eu envie de céder.
— Ni à un client ni à un black ?
— Oui. Les clients jamais eu de mecs vraiment canon.
— Et les blacks ?
— Jamais été trop attirée.
— Ah ?
— Mais toi…
— Moi ?
— Toi c’est différent.
— En quoi ?
— Déjà tu es canon. Et puis tu dégages quelque chose, je ne sais pas, comme un super pouvoir quoi.
Je l’embrasse.
— Quand tu es parti du magasin samedi, j’ai tenu à peine quelques minutes avant de t’écrire, je n’ai pas pu résister. Et là pareil, tu m’écris, me dis dans 15 minutes, et je ne sais pas, c’est le ton de tes messages et puis toi, j’ai craqué.
Mes mains glissent sur ses fesses, pendant que l’on s’embrasse, je commence à la faire boucher au-dessus de moi. Elle se cambre. Ma langue joue avec la sienne.
— Et maintenant que tu es là, dans mes bras, tu te sens comment Kate ?
— Trop bien, Isaiah. Épanouie, complètement.
— Tu sais ce que ça veut dire ?
— Non… pas vraiment…
— Simplement que tu es à moi.
Elle se colle à moi.
— Oui, je crois bien oui.
— Dis-le.
— Je suis à toi Isaiah.
Je l’embrasse.
— Déshabille-toi.
Elle me sourit, se lève, ne me quitte pas des yeux, retire son top, sa poitrine est prise dans un soutien-gorge en dentelle rouge, très joli. Elle fait glisser la jupe à ses pieds. Elle porte le string assorti au soutien-gorge. Des bas noirs et ses bottes à talons aiguilles.
— Mmmmm, ravissante.
— Je te plais ?
Je sors mon téléphone.
— Beaucoup oui.
Je la prends en photo.
— Tu les gardes pour toi.
— Oui. Je veux juste demander son avis à ma copine.
— T’es sérieux ?
— Quand une jolie fille est en lingerie devant moi je le suis toujours.
Elle me sourit et prend la pose. Je prends des photos.
— Suce-moi Kate.
— Mmmmm avec plaisir.
Elle s’agenouille entre mes jambes, fait glisser mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles. Ma queue jaillit et manque de la heurter au visage. Elle pousse un cri de surprise.
— Ohhhhh mon Dieu.
— J’espère que tu n’es pas déçue ?
— Ah ah, je suppose que ça ne doit jamais arriver d’être déçue.
— En effet.
Elle prend ma queue dans une main et la branle lentement, sa langue lèche mes couilles, puis remonte tout le long de la hampe. Elle l’embrasse. Je me recule dans le canapé, pour être bien confortable.
— Elle est trop belle ta queue Isaiah. Et trop bonne.
— Alors régale-toi ma belle.
Elle me suce maintenant, enfournant ma queue chaque fois un peu plus loin dans sa bouche. Pendant ce temps j’envoie une photo d’elle à Manon, avec comme commentaire : « qu’en penses-tu ma chérie ? »
Bien qu’en cours, sa réponse ne tarde pas :
— Oui, très jolie ; c’est la vendeuse de lingerie ?
— Oui.
— Amuse-toi bien mon amour. Faudra qu’on aille la voir ensemble un jour, faire un peu de shopping;-)
— Volontiers ma belle.
Kate me pompe à fond, je glisse ma main dans ses cheveux pour l’accompagner. Elle fait claquer mon gland sur sa langue. Elle ne me quitte pas des yeux.
— Tu mouilles là ?
— Comme une folle.
— Pourquoi ?
— Pour toi Isaiah, trop envie de toi.
— Tu as envie que je te fasse mienne ?
— Ouiiiiii, que tu me prennes, que tu me baises.
— Ça n’arrivera pas aujourd’hui !
— Quoiii ???
— Tu as ma queue dans ta main Kate, tu peux arrêter à tout moment, je me lève et je pars. Mais si tu veux être mienne, aujourd’hui seule ta bouche aura le privilège de goûter à ma queue. A toi de voir ma belle.
— Mais je mouille tellement là.
— Je sais.
Elle me regarde, regarde ma queue, me regarde. Sans qu’elle le réalise, sa main n’arrête pas d’aller et venir sur ma bite, son autre main se porte instinctivement sur son string. Elle se mordille la lèvre.
— De toute façon je ne sais même pas pourquoi j’hésite, je suis à toi je le sens. Isaiah…
— Et donc ?
— Je t’appartiens mon chéri.
Elle se jette sur ma queue et me suce, me branle dans sa petite bouche.
— Mmmmm c’est bon Kate… Ne t’arrête pas.
Elle me masse les couilles et aspire mon gland. Elle bave sur ma pine. Je me penche pour l’embrasser et en profite pour d’une main lui dégrafer son soutien-gorge. Elle me sourit.
— Je suis ta petite salope Isaiah.
— Je sais ma belle.
Elle bave entre ses seins et glisse ma pine entre ses mamelles. Elle me branle dans sa poitrine. Je me lève et lui baise les seins, avant de lui prendre la bouche. Je jouis de longs et puissants jets dans sa bouche, elle avale les premiers, puis je lâche les derniers jets sur ses seins et son visage. Elle est couverte de ma semence, et lèche ma queue de tout son long. Je la relève et on va dans la salle de bain je l’aide à se nettoyer et elle me nettoie la queue. On retourne dans le salon, je la tiens dans mes bras, je l’embrasse.
— Comment te sens-tu Kate ?
— Terriblement bien.
— Bien.
— Et terriblement trempée aussi.
On rit et on s’embrasse. Je la laisse dans son salon et sors, je referme la porte derrière moi. Je ne bouge pas. J’attends quelques minutes. Je reçois un SMS, c’est Kate.
— Je suis toute à toi Isaiah, inutile de le nier. Je suis ta petite salope.
Je ne réponds évidemment pas. Je sonne à sa porte. Je devine qu’elle regarde dans le judas. Elle ouvre. Elle sourit. J’entre et l’embrasse. La porte jusque dans sa chambre. Je l’allonge sur le dos et lui retire son string. Je la lèche, longuement, je la fais jouir deux fois avec ma langue, mes lèvres et mes doigts, je fais gonfler son clito, je l’aspire, je bois sa mouille.
Quand elle se remet de son deuxième orgasme, j’écarte ses jambes que je relève et je me glisse en elle doucement. Elle est tellement trempée, que même si elle est serrée, j’entre sans trop de difficulté. J’y vais doucement, j’entre et je sors, m’enfonçant un peu plus loin à chaque fois. Je ne tarde pas à la limer de plus en plus fort, et à fond, je la baise et elle hurle de plaisir, avant de jouir, un orgasme d’une telle puissance, qu’elle en tremble durant de longues minutes. Durant lesquelles je la caresse, je l’embrasse. Puis je m’allonge sur le dos et la fais venir sur moi face à moi. Elle s’empale directement sur mon pieu et me chevauche comme une folle. Ses seins ballottent au-dessus de moi. Puis je la plaque contre moi et la lime à fond pour lui donner son quatrième orgasme qui ne tarde pas. Elle s’écroule sur moi. Je suis toujours en elle. Je me lève et la baise debout, ses jambes autour de ma taille. Je la fais sauter sur ma queue. Alors que je suis tout au fond d’elle, je lui glisse un doigt dans le cul.
Elle me sourit.
Je me retire d’elle et la fais se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle se cambre à fond pour moi. Je la prends en levrette et continue de lui préparer son cul. Je me retire et fais claquer mon gland sur sa rondelle. J’enfonce tout doucement juste le gland. Elle se contracte. Tout son corps se tend. Mais elle me supplie de lui prendre le cul. J’y vais doucement, et finis après quelques minutes par pouvoir aller et venir dans ce superbe cul qu’elle me tend. Je lui caresse le clito et lui doigte la chatte en même temps. Assez vite un nouvel orgasme l’envahit, et alors qu’elle s’en remet à peine je la plaque sur le lit et lui pilonne le cul. Puis je lui reprends la chatte. Après quelques minutes de ce traitement, je sens que je vais jouir. Je le lui dis.
— Viens en moi mon amour.
J’accélère et me vide en elle. Sa chatte déborde, mais je reste en elle encore de longs moments. Ma queue est tout au fond d’elle, et je tourne lentement, tant et si bien qu’elle jouit une dernière fois.
Quand je ressors ma queue, elle est couverte de foutre et de mouille. Je m’allonge et Kate vient me sucer, doucement, tendrement.
— Mmmmm dis-moi que c’était pas un rêve, Isaiah.
— Je crois que tu as entre les jambes la preuve que ça n’en était pas un.
— Et apparemment la preuve est comment dire… abondante.
— Ça va mieux ?
— Ouiiiii. Merci mon chéri. Tu serais revenu si je ne t’avais pas écrit ?
— On ne le saura jamais.
— J’étais dégoûtée.
— Je peux juste te dire que j’avais vraiment trop envie de toi.
— Mmmmm c’est vrai ?
— Oh oui.
— Ta copine a de la chance.
— Je crois que je suis le vrai chanceux.
Elle m’embrasse et me sourit.
— Je te revois quand ?