Je vais planter le décor de cette histoire : moi hétéro la bonne quarantaine, en visite dans un sex-shop de ma ville:
Je fréquente depuis plusieurs années, un sex-shop situé au rez de chaussée d’une maison de maître en centre-ville. Un immeuble discret si ce n’est sa devanture reconnaissable avec des vitrines avenantes mais dont le décor permet de ne pas offenser la bonne bourgeoisie de cette petite ville de province.
Lorsque l’on franchit la porte d’entrée, on arrive dans un hall d’entrée très lumineux. De part et d’autre de ce hall, deux grandes pièces avec d’un côté des livres et dvd et l’autre ce qui est matériel, accessoires, gadgets et lingerie.
Au bout du couloir, une porte sécurisée donnant sur un escalier permettant l’accès aux étages. Pour passer ce sésame, il faut payer son entrée au comptoir de l’accueil, on vous remet alors un ticket à présenter à l’étage. En échange de celui-ci, vous recevez essuie de bain, pantoufle et clé de vestiaire. Le précieux sésame en poche, le gérant vous donne accès aux étages en déverrouillant la porte par une télécommande d’ouverture.
Le premier niveau est composé d’un bar avec une petite piste de danse et barre de pool dance, un vestiaire, une pièce avec les douches et un jacuzzi. Et sur l’arrière de ce niveau, un fumoir et une petite pièce de service pour le personnel.
Au second étage, plusieurs pièces, deux aménagées en petit cinéma avec canapés ou fauteuils individuels et trois autres pièces aménagées en chambre dont une équipée pour le sm. Les deux parties « cinéma » diffuses en permanence des films « gay » pour l’une d’entre elle, dans la seconde des films « hétéro ou bi ». Chacun a le choix. Des « glory-hole » se trouvent entre les deux espaces « cinéma » et les autres pièces sont accessibles par un couloir central situé entre ceux-ci et les chambres. Ce qui permet de passer d’une ambiance à l’autre sans aucune difficulté.
Voilà, le décor du lieu étant défini, je vous raconte une aventure qui m’est arrivée, il y a déjà quelques temps. Je fréquente ce lieu soit en couple et parfois seul. En fonction des jours et moments de la journée, un public très varié se retrouve ici. J’ai déjà passé d’excellents moments avec mon amie, d’autres couples ou des hommes seuls avec qui nous réalisons des trios ou plus bien endiablés, tout dépend de ce que l’on cherche.
Nous étions un jeudi début d’après-midi, je m’y étais rendu seul, ayant vu sur un forum qu’un couple cherchait à rencontrer des hommes à cette date. Entrée payée et passage par le vestiaire, je me retrouve avec ma serviette autour de la taille à déambuler à l’étage supérieur. Quelques hommes seuls dans les fauteuils des cinémas, un couple de mecs dans une des chambres, des personnes dans les « glory hole », pas de couple en vue.
Bon, on va patienter, je me rends au bar, une petite consommation, et direction le fumoir autant tuer le temps de cette manière. En plus de là, on voit qui entre vers le bar ou se dirige vers les étages après être sorti du vestiaire. La tv de la pièce diffuse un porno ou un transsexuel est occupé avec un couple. J’étais à peine installer de cinq minutes qu’un homme d’une bonne cinquantaine vient s’asseoir à mes côtés et engage la conversation.
Nous échangeons des banalités ce qui en soit ne me dérange pas, par contre, il me regarde avec envie. Sa serviette est ouverte et son sexe est bien visible pendant entre ses jambes. Bon ok, c’est un endroit fait pour cela, mais je ne suis pas particulièrement intéressé par une queue. Il devient insistant, me caresse le bras, essaye de mettre sa main sur ma cuisse. Je retire sa main, lui expliquant ne pas être intéressé. Et là j’ai fait la connerie de lâcher en fin de phrase « pour le moment ». Je termine mon verre et reprend la direction du cinéma.
Je m’installe dans un fauteuil en fond de salle, bien tranquille tout seul et mate le film, un joli trio avec deux mecs bien montés et une gonzesse hyper gaulée. Ma main passe sous ma serviette et je me caresse le sexe et les couilles, j’ai un début d’érection. Je savoure le moment, cela permet de patienter en espérant l’arrivée du couple. Mais pour le moment, il n’y a que cinq mâles présents, pas de femme en vue.
Et revoilà mon bonhomme de tout à l’heure, il s’installe dans le divan à côté de moi. Il s’y cale bien profondément, ouvre sa serviette et commence à se masturber de sa main gauche. Je ne peux m’empêcher de jeter un coup d’il. Son sexe est en érection, un beau calibre je suis admiratif comparé au mien, il est plus épais mais moins long pas de beaucoup, mais je suis sûr qu’il est moins long. Mais retournons plutôt à notre film. Je me concentre sur l’écran et je reprends ma caresse sous mon essuie. Lorsque je sens une main toucher mon bras. Ce n’est pas vrai, il recommence. Je dégage mon bras. Il insiste, il tape discrètement sur mon accoudoir. Je tourne mes yeux, il me fait un signe de la tête en me montrant son sexe. Je me détourne à nouveau, mais il continue son cirque.
Mais que faire, il ne comprend pas que je ne suis pas intéressé, me lever, partir. Non, j’ai bien le droit de regarder mon film tranquillement. En plus avec sa discrétion, les autres n’arrêtent pas de se retourner pour nous regarder.
J’essaie de nouveau de me concentrer sur le film et mon sexe, lorsqu’à nouveau, sa main se retrouve sur mon bras. Je la retire, mais aussi vite, sa main est de retour. Je le repousse, mais avant que je ne comprenne ce qu’il se passe, il étend son bras et me saisit par les cheveux. Il tire et je me retrouve à genou devant lui. Je suis entre ses jambes devant son sexe. Il tire plus fort ma tête vers son sexe. Son gland est contre mes lèvres. Il le frotte de gauche à droite. Mais il est cinglé ou quoi. A ce moment, j’entends sa voix, plus du tout la même que lorsque nous avions parlé en bas.
— Suce, tu en as envie.
— Non, je ne veux pas.
— Raclure, ouvre ta bouche et gobe mon gland. Allez, suce pouffiasse.
Le ton qu’il a utilisé, son sexe devant moi, l’atmosphère et les odeurs du lieu. Je me soumets à cet homme, j’ouvre la bouche et son gland prend possession de ma bouche. Je suis à genou devant lui, mes bras posés sur le canapé de chaque côté de ses jambes. Ma bouche est emplie de son membre. Je m’affaire de mon mieux sur cette colonne de chair. Curieusement, j’y prends du plaisir. Soumis et me comportant comme une vulgaire lopette.
Dans cette position, je ne vois pas grand-chose de ce qu’il se passe dans la salle. Mais je devine des mouvements, les cinq gaillards ont quitté leurs places et s’approchent pour assister au spectacle. A genou, les fesses cambrées, je dois donner envie à certains. Heureusement que j’ai toujours cette serviette autour des reins, qui couvre mon sillon. Mais voilà que des mains s’aventurent sur mon dos, une main me saisit un téton. Il est étiré, pincé si fortement qu’en reprenant mon souffle, la queue sort de ma bouche et je laisse entendre un râle de douleur mêlé de plaisir.
— Salope, reprend ma queue en bouche.
Les autres hommes y vont de leurs commentaires.
— Chiennasse, suce-le.
— Tes tétons réagissent comme ceux d’une gonzesse.
— Allez les gars, enlevez lui sa serviette, elle n’attend que cela. Vu la manière dont elle suce, elle va aimer se faire bourrer le fion.
Cette fois ca y est, je suis cul nu. Des mains se baladent sur tout mon corps. Celui que je suce me saisit les bras, je ne sais plus me dégager. Mes tétines sont martyrisées. Des mains écartent mes fesses et je sens une langue qui entame des allers-retours dans la raie de mon cul. Il mouille mon illet. Pas moyen de me dégager, j’essaie de relever la tête mais une main m’empoigne la nuque, m’obligeant à sucer encore et encore.
— Putain quelle suceuse, les gars. Elle est presqu’aussi douée que ma femme.
— Allons-y les gars, on va lui casser son cul, cette petite merde n’attend que ça.
Je sens qu’une queue s’insinue dans ma raie, elle fait des va et vient en passant à chaque fois sur ma rondelle. Elle s’y arrête et le mec commence à pousser et forcer ma petite porte. Le gland passe les premiers replis. J’entends que l’on me crache sur le cul. Le gars se sert de salive pour s’enduire le manche. Je vais prendre cette queue dans le fondement. Une bonne poussée, il entre. Je ne sais combien il m’a mis mais mon anneau me brûle, et j’ai l’impression que tout ne fait que débuter. Nouvelle poussée, je sens le ventre de mon sodomite contre mes fesses, voilà, je suis intronisé. Une fiotte soumise et enculée, un défouloir à bites.
Il commence à me tringler, agripper à mes hanches, chaque coups de boutoir me propulse sur la queue de celui que je suce. Les autres jouent avec mon corps, mes tétons, mes couilles, on me tire la queue. Impossible, j’ai un début d’érection, vite remarqué par un des spectateurs qui aussitôt s’active à me branler vigoureusement et y va de ses commentaires.
— Elle bande cette pute. Elle va finir par jouir de la bite, mais également du cul.
— Putain les gars, elle suce bien, je vais en faire ma femelle de substitution.
— D’abord on va tous lui passer dessus, t’en feras ce que tu veux après.
— Tu n’auras qu’à la fringuer en pouf, elle sera encore plus bandante avec des bas.
Pendant de longues minutes encore, j’ai subi les assauts de ces mâles en rut. Les cinq lascars sont passés par mon cul. J’ai été éclaté comme jamais. Celui que je suçais avait une endurance folle. Il a joui lorsque le dernier se fut vidé dans mes entrailles. J’ai dû avaler cette crème épaisse qui est venue me tapisser le gosier et la bouche. Il s’est essuyé la queue sur mon visage. J’étais là devant lui à genou, humilié, le cul en feu. J’ai été baisé par certains sans protection. Mon fion entrouvert laissait suinter les restes de leurs jouissances.
— Désormais tu seras ma putain attitrée la fiotte.
J’allais ouvrir la bouche pour protester lorsque je me suis pris une gifle qui m’a coupé toute envie de résistance. J’ai baisé les yeux, soumis, brisé. Je suis devenu sa pute, sa chose, son vide couilles attitré à lui et beaucoup de ses amis. Mais également à des inconnus, lorsqu’il a décidé que je devais lui rapporter de l’argent, il me louait pour des parties fines.