Cela faisait déjà six mois que nous vivions une relation passionnée avec Aurélie à l?insu de tout le monde. Enfin tout le monde le mot n?est pas juste car certains de nos amis respectifs étaient au courant. En tout cas, elle me faisait redécouvrir les bonheurs du sexe et plus elle m?en offrait plus j?en redemandais. A chaque fois que nous étions éloigné par nos voyages d?affaires respectifs, je me sentais frustré de sexe. A tel point que les autres femmes ne m?étaient pas insensible.
Nous avions établi une telle relation de complicité qu?un soir je lui en avais parlé en lui avouant que je me sentais mal de désirer d?autres femmes qu?elle. Elle a apprécié ma franchise et m?a tout de suite rassuré : elle m?a toujours répété qu?elle voulait une relation sensuelle et pas forcément exclusive. A priori, elle n?avait pas envie d?autres hommes en ce moment mais elle acceptait que j?ai d?autres relations sexuelles. Je me sentais en fait pas près à sauter le pas.
Si il y avait une autre femme qui me faisait fantasmer, c?était bien Nelly. Une amie d?enfance d?Aurélie du même âge (21 ans). Une fille pétillante, toujours enjouée qui ne m?avait pas regardée comme une bête curieuse quand elle avait appris que ce vieux machin de 47 ans couchait avec son amie. Elle était simplement heureuse pour Aurélie qu?elle trouvait plus épanouie que jamais. Elle était encore étudiante contrairement à Aurélie (qui me disait que ce serait une éternelle étudiante). Elle apprenait la communication et la publicité (vaste programme). Ses histoires amoureuses semblaient toujours compliquées. Elle était à la recherche du grand amour mais à chaque fois les hommes s?amusaient plutôt avec elle et la laissait tomber pour une nouvelle aventure. Ses cibles se situaient entre 20 et 30 ans, rien à voir avec les hommes bien mûrs comme moi. Ca ne devait pas être bien difficile de les attirer car elle était craquante : 1m70, assez fine de taille alors qu?elle paraissait presque rondelette avec ses formes appétissantes, un visage rond d?ange juvénile encadré d?une épaisse chevelure auburn et frisottée. Elle n?avait pas vraiment de style vestimentaire particulier pouvant un jour être en jean tee-shirt et le lendemain en tailleur assez chic. Mais le jean moulant ses fesses rondes ou un chemisier léger entrouvert dévoilant juste son sillon mammaire faisaient tomber dans ses rets n?importe quel mâle.
Un soir, Aurélie m?avait rejoins à la maison pour passer une soirée avant son départ pour deux semaines aux Etats Unis. Nous discutions dans une de nos situations favorites. A moitié nu en bas, elle me branlait très lentement alors que je caressais ses deux poires et ses tétons du bout des doigts entre son chemisier soyeux ouvert. On pouvait se caresser ainsi de longs moments avant de passer à des actes plus dynamiques?
— alors en mon absence, tu vas être encore tenté par les autres femmes
— oui, mais je ne succomberai pas à la tentation dis je en riant mais un ton très sentencieux
— et pourquoi pas ? je t?ai dit que je n?y voyais aucun inconvénient
— qu?est ce que tu manigances ?
— A ton avis ?
— Je ne vois pas
— Tu donnes ta langue au chat
— Je suis bien obligé !
— Eh bien voilà, mais d?abord que penses tu de Nelly ?
— Elle est adorable mais peut être un peu compliquée
— D?accord mais physiquement
— Un charme fou
— L?envie de lui faire l?amour ne t?a jamais effleuré l?esprit ?
— Franchement, quel homme pourrait rester insensible à son charme ?
— Toi, elle m?a dit qu?elle te trouvait assez froid avec elle
— Froid ?, euh, disons que c?est pour garder une certaine distance, je t?avoue que des fois on aurait envie de lui sauter dessus surtout avec les décolletés qu?elle porte, alors si je peut paraître froid c?est pour éviter ça hihi. Mais elle s?est plainte ?
— Non, enfin pas vraiment, elle se demandait si tu lui en voulais ou si tu étais jaloux
— Pas du tout
— Je sais et je l?ai déjà rassuré. Elle vient encore de se faire larguer, je l?ai récupéré en pleurs l?autre jour. Elle a décidé de rester vieille fille toute sa vie.
— Ce serait dommage
— Eh oui, alors je l?ai convaincu qu?une aventure purement sexuelle avec un homme mûr pourrait la revigorer
— C?est sûr, et ce pourrait être moi par exemple
— Que tu es intelligent mon chéri !
— C?est pour ça que tu m?as choisi
— Alors qu?en dis tu ?
Qu?est ce que je pouvais dire ? Elle avait tout organisé. J?ai bien fait mine d?un peu de résistance mais l?aventure était trop tentante.
10 H, Roissy. Je vois s?éloigner ma muse sur l?Escalator qui l?emmène vers le hall d?embarquement. Elle me sourit. Elle sort son portable et parle à je ne sais qui en me regardant. Bien sûr, c?est Nelly. Je repars vers ma voiture en souriant.
En rentrant à la maison, je trouve un message de Nelly sur le répondeur me demandant de la rappeler. Je la sens très tendue au téléphone alors que je me trouve très à l?aise à ma plus grande surprise. Elle me propose de se voir le soir même. Je lui répond qu?on pourrait même se voir à la maison en milieu d?après midi, je suis seul ce week-end car ma fille est chez ses grands parents pour les vacances. Elle accepte.
En milieu d?après midi, elle est arrivée comme penaude dans son grand manteau bleu marine. Elle a à peine esquisser un sourire lorsque nous nous sommes fait la bise comme d?habitude.
— tu as trouvé facilement, c?est la première fois que tu viens ici
— oui, tes explications m?ont bien aidé
— donnes moi ton manteau, je vais le ranger
Je l?ai regardé défaire nerveusement son manteau. Je l?observais aussi. Ses yeux d?un bleu verts si profonds soulignés élégamment d?un peu de crayon sombre, ses joues rosées d?un fond de teint léger, sa bouche pulpeuse mise en valeur par un rouge à lèvre carmin, ses petites oreilles ornées de créoles dorées et enfin sa chevelure vaporeuse qui semblait vouloir s?envoler au premier courant d?air. Je l?ai débarrassé de son manteau d?hiver. Elle est apparu en jupe mi longue d?un tissu très fluide aux motifs fleuris blancs et bleus, jupe retenue par une petite ceinture noire, avec une veste en velours marron ouverte sur une blouse blanche d?une soie on ne peut plus légère.
— tu es en grande beauté dis moi
— ça te plaît ?
— tu es déjà adorable mais alors là
— tu es gentil
— j?ai préparé du café au salon, tu en veux
— avec plaisir
Tout en buvant le café, je lui ai fait raconté cette dernière et malheureuse relation avec un homme. Elle se plia à l?exercice de bonne grâce car elle aimait toujours parler d?elle.
Je l?écoutais mais plus le temps passait, plus mon esprit et surtout mes yeux étaient occupé par le guet des écarts du pan de sa veste.
— tu ne m?écoutes plus
— mais si, Nelly, je t?écoute
— ne mens pas, tu as l?air absent
— je n?ai pas l?air absent, je suis absorbé
— absorbé par quoi ?
— par la curiosité
Plutôt que d?expliquer ce qui me préoccupait, j?ai saisi le pan de sa veste le plus proche de moi pour l?écarter et dégager tout un sein. La soie blanche était si fine qu?elle laissait transparaître nettement une large tâche sombre au sommet du mont impérieux. Avec le même soin j?ai dégagé l?autre sein. La vue de sa blouse gonflée par sa poitrine voluptueuse et de ce blanc immaculé marqué par les deux larges aréoles sombres m?ont fait bouillir. Sans rien dire , j?ai contemplé cette vision de rêve en laissant s?épanouir mon excitation dans mon pantalon. Elle me regardait intensément l?air grave. Ses yeux clairs plongeaient dans les miens. Sa bouche était entrouverte. J?ai approché mon visage et nos lèvres se sont unies. Ma langue se mit à fouiller sa bouche comme celle d?Aurélie. Pourtant, elle n?avait pas le même goût. Elle mettait plus de fougue aussi dans le baiser mais cela n?était pas très chaleureux. Je la sentais en fait très tendue. Je me suis appliqué à faire tomber ses barrières. Je fis durer le baiser très longuement. Ma main massait son ventre à travers la soie. Parfois, mes doigts effleuraient juste la base des seins. Ils se faisaient plus aventureux et je me permis de lui palper doucement tout un globe. Je pus me rendre compte du changement physiologique : son sein durcissait sous ma paume. J?en fus ragaillardis et ma palpation se fit plus entreprenante, j?osais même titiller son téton.
Je me suis détaché un peu d?elle. Un sourire illuminait son beau visage. J?ai repoussé maternellement une mèche qui cachait son front. J?ai baissé à peine les yeux pour constater qu?au niveau des aréoles, les deux tétons formaient nettement deux petits monticules qui semblaient vouloir transpercer la soie. Je me suis penché pour les embrasser. J?ai senti sa main caresser mes cheveux. Elle était conquise.
Nous nous sommes embrassés de nouveau. Cette fois ma main se posa sur son genou. Petit à petit, j?ai repoussé le tissu fluide et léger. Ses cuisses s?ouvraient au fur et à mesure que je progressais vers son entrejambe. Elle sursauta comme mon doigt venait de lui frôler l?aine. Je me suis redressé. J?ai tiré un peu plus la jupe vers son ventre et j?ai découvert une culotte ravissante : très échancrée avec de la dentelle blanche qui ornait ses hanches fines, le tulle blanc ne cachait guère son anatomie intime. La touffe foncée et fournie apparaissait facilement dans l?échancrure du tulle. Je n?eus qu?à repousser du bout du doigt le tissu si fin pour voir la totalité du pubis. Mes yeux étaient rivés à ce charmant spectacle, à cette intimité broussailleuse et sombre. Elle écarta encore les cuisses et je pus distinguer les poils autour de ses lèvres déjà humides de son jus intime. J?ai alors passé deux doigts sur sa fente ruisselante. Les pétales de sa vulve s?ouvrirent sans efforts. Une plainte s?échappa de sa gorge, son corps trembla. Elle était si excitée qu?à chaque attouchement, son corps réagissait.
Je me suis déplacé entre ses cuisses. Lentement, je me suis penché et j?ai recueilli sur ma langue son miel qui s?écoulait abondamment de son vagin. Je m?en suis délecté en lissant chaque grosse lèvre du bout de la langue. L?entendre gémir m?enthousiasmait. Je me mis à les mordiller doucement. Puis, ma langue s?infiltra entre ses pétales foncées pour la pénétrer du plus profond que je le pouvais. Son clitoris me parut énorme, véritable petit pénis blanc sortit de son capuchon de chair rose. Je l?ai agacé avec ma langue avant de repasser sur sa vulve la laissant à chaque fois au bord de l?orgasme.
Elle coulait tellement que tout mon visage était maculé de sa cyprine. Elle m?attirait violemment contre elle pour que je la délivre. Mais je me dégageais toujours à temps. Et je reprenais les douces caresses avec ma bouche pour maintenir son désir sans provoquer l?explosion.
J?étais arrivé à un stade où je la sentis devenir comme folle, elle ne contrôlait plus. J?ai eu pitié et j?ai dévoré littéralement son bouton. Son corps se raidit, sa bouche s?ouvrit largement.
— ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh?.
Mon visage reçut une pleine giclée de liquide onctueux. Son corps se souleva sur le canapé et un cri rauque jaillit bruyamment du plus profond de son être.
Encore agitée par les spasmes, je lui ai saisi le visage pour lui fouiller la bouche de ma langue et lui faire partager le plaisir de goûter à ses sucs intimes.
Elle s?est redressée pour se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Son souffle encore court bruissait à mon oreille. Mon torse s?écrasait sur ses seins lourds. Mon sexe bandé et déformant mon pantalon frottait contre sa vulve chaude.
— ça va ?
— pfouh oui, je suis sur un nuage
— plus détendue que tout à l?heure ?
— oui, et surtout heureuse, tu m?as fait jouir tellement fort
— c?était mon but et j?ai tellement rêvé à ce moment là
Elle s?écarta l?air surpris.
— tu as rêvé de me faire l?amour ?
— plus d?une fois, tu es tellement jolie et adorable, je suis comblé qu?Aurélie ai organisé notre rencontre
— et moi donc, j?aurais manqué quelquechose si elle n?avait pas autant insisté, mais quand tu dis rêvé, c?est aller jusqu?à ?.
— Me masturber ?oui, ici même, je m?en rappelle bien, vous veniez juste de partir toutes les deux, tu portais un jean et une chemisette assez ouverte, tu m?avais fait profiter d?une vue imprenable sur un charmant soutien gorge en dentelle blanche. Qu?est ce que j?ai pu imaginer te déshabiller, ne serait ce que pour le bonheur de voir tes seins.
— Je ne savais pas que tu fantasmais autant sur moi
— Heureusement, mais aujourd?hui je peux te le dire.
— Si j?avais su je me serais habillée comme cette fois là
— Ce sera pour une prochaine fois hihi, mais là tu es déjà à croquer, d?ailleurs, je n?ai jamais vu une culotte aussi peu couvrante, j?adore
— Tant mieux, j?ai hésité, Aurélie n?a pas voulu me dire tes goûts en la matière, elle a juste dit qu?elle me connaissait et que ça conviendrait
— Elle ne s?est pas trompée
Elle me sourit et glissa une main entre nos deux corps jusqu?à mon sexe. Nous avons tous les deux regardé la bosse indécente sur le tissu.
— oh dis moi, tu es tout taché
— ce n?est rien au contraire, c?est ton intimité que je garderai là hihi
— allez lève toi que je te débarrasse de tout ça
Je me suis exécuté. Ses doigts fins et agiles eurent tôt fait d?ouvrir le pantalon qui tomba à me pieds pour que je l?envoie valdinguer plus loin. Je retirais aussi prestement chaussures et chaussettes. Je me suis alors présenté devant elle en slip qui contenait à peine mon désir. Elle le retira définitivement. Ma verge se déploya sous ses yeux. Avec délicatesse, elle décalotta mon gland qui ne demandait qu?à vivre au grand air.
— tu as envie de me faire l?amour tout de suite ou je peux déguster ce bel engin avant, dit elle en ma massant les bourses
— fais comme tu as envie, si tu aimes déguster, dégustes, mais alors dégustes jusqu?au bout
Et je peux dire que j?ai été divinement dégustée. Léché, masturbé, le gland sucé, aspiré, elle a fini par me pomper à un cadence folle. J?avais l?impression de baiser sa bouche. J?étais agrippé à ses frêles épaules, et mes hanches ondulaient en rythme. Ma queue dure disparaissait entre ses lèvres rouges. Je n?en pouvais plus.
— oh nelly c?est divin ouiii
Elle ralentit la cadence. Mais j?étais tellement excité que ma verge se gorgea d?un afflux de sang soudain et j?ai craché mon sperme chaud par saccades dans sa petite bouche accueillante. J?étais désolé mais elle avala consciencieusement chaque jet de liqueur blanchâtre.
J?étais vidé, la tête me tournait, mes jambes ne me tenaient plus. Pour ne pas défaillir, je me suis agenouillé et je me suis blotti dans ses bras.
J?avais eu un coup de chaud. J?étais seul dans le salon affalé dans le canapé. Nelly était allé préparer du café. Je me suis mis tout nu. Mon sexe était encore un peu engourdi de plaisir. J?étais bien, je me sentais léger et en forme. En repensant à elle, ma queue se gonfla à moitié.
Elle est rentrée toute guillerette avec le plateau chargé de café et de petits gâteaux. Elle avait juste quitté sa veste. Elle s?avança avec grâce jusqu?à la table basse. Je n?avais d?yeux que pour sa poitrine qui ballottaient librement sous son haut en soie blanche. Elle s?est assise sur les talons entre la table et moi pour servir le café. Elle s?est tournée vers moi.
— tu prends un sucre ? ?.
Elle fixa amusée ma queue qui se dressait peu à peu jusqu?à devenir raide comme un cierge dressé vers le ciel.
— eh bien, Aurélie m?a dit que tu étais insatiable, c?est vrai
— tu es si mignonne ma chérie, surtout ton haut là, avec tes seins qui pointent et tes bouts qui me font envie
En disant cela, j?ai avancé une main et je lui ai palpé doucement le sein. Elle a posé le sucrier et elle a bombé le torse. Délicatement, j?ai tiré la soie de son haut coincée à la taille dans la jupe. J?ai commencé à relever son haut. Je mis à nu son ventre plat orné du petit nombril mystérieux. Puis, la base de ses seins apparut. J?arrêtais un instant mon geste pour profiter de la magie de ce moment. Je me remis à la tâche et enfin, je pus contempler directement ses deux obus fermes surmontés des deux fameuses aréoles si larges aux contours parfaits. Les voir sans voile m?émut au plus haut point. Elle étaient bien 1 fois et demi plus larges que celles d?Aurélie.
— alors, satisfait ?
— c?est rien de le dire
— j?ai pourtant été longtemps complexé par mes bouts
— il ne faut pas, en tout cas moi je suis en extase devant
Je l?ai attiré vers moi par les hanches et j?ai gobé toute une pointe entre mes lèvres. Je l?ai sucé avec avidité tout en massant l?autre mamelon. Comme je ne voulais pas faire de jaloux, j?ai prodigué le même traitement à son frère jumeau.
Assez rapidement, je l?ai libéré de sa jupe et de sa culotte. Je n?ai pas dû lui masser longtemps la vulve pour la faire mouiller. Elle est venue s?empaler sur moi. Elle me chevauchait et je pouvais avoir une vue rapprochée de ses seins qui tremblaient en cadence.
Cette position me fatigua. Je lui demandé de s?allonger sur le canapé cuisses ouvertes. J?ai pris ses jambes sur ses épaules et je l?ai pénétré d?un coup. Je me suis mis à la besogner avec rudesse. Elle semblait apprécier car ses gémissements repartirent dès le début du coït. Ca m?excitait de l?entendre avoir du plaisir. Elle manifestait son plaisir plus bruyamment qu?Aurélie. Et ça m?excitait encore plus.
Comme j?avais déjà jouis une fois, je contrôlais mieux mon propre désir. J?ai alterné rythmes lents et rapides. Quand je ralentissais, elle décontractait son vagin et je coulissais sans encombre en elle. Je sortais parfois mon gland pour masser toute sa fente avec. Puis, je reprenais à plus vive allure.
Quand elle a eu son nouvel orgasme, je l?ai trouvé si belle. Des gouttes de sueur perlaient sur son front. Elle s?abandonnait complètement. Je n?étais plus en face d?une adorable jeune fille joviale mais d?une femme qui se livrait corps et âme à la jouissance totale. Cette vision enchanteresse me troubla et mes sens s?envolèrent dans une extase délicieuse.
Cela faisait deux bonnes heures que nous discutions de nos vies respectives et du bonheur d?avoir fait l?amour ensemble. Durant la conversation, je l?avais même masturbé. Tout en parlant, je passais mes doigts dans sa toison ou je cajolais ses seins. Imperceptiblement, mes doigts avaient trouvé son bouton d?amour. Elle s?était mise à ruisseler de la vulve et ses seins avait acquis une telle fermeté que je ne doutais pas de son état d?excitation. Alors j?avais poussé la caresse jusqu?au bout. Elle haletait et je l?ai amené sans précipitation à un orgasme encore différent. Mais toujours aussi fort selon elle. Je ne m?étais jamais pris pour un super héros : ses remerciements m?allaient tout de même droit au c?ur.
Je lui proposai de prendre une douche si elle le souhaitait.
— oui, mais on sort ce soir ?
— oui, j?ai réservé dans un super restaurant chinois près des Champs, mais on a le temps
— mes vêtements sont un peu froissés, je serais bien rentrée me changer, en plus, j?aurais pu mettre la tenue qui t?a tant fait fantasmer?
— Ah c?est sûr, c?est tentant, mais ça va être juste, écoute tu sais, il y a dans la pièce d?ami une penderie et une commode où il y a tous les vêtements de ma femme, ça peut te plaire, tu trouveras ton bonheur si ça ne te dérange pas
— C?est surtout toi, tu es certain ?
— Si je te le propose
Elle s?éclipsa en me faisant un baiser tendre sur les lèvres. J?en ai profité pour tout ranger. Puis, j?ai passé un coup de fil à ma fille. Sa jovialité naturelle me réchauffait toujours le c?ur. En raccrochant, j?ai repensé à mon épouse. J?ai eu un frisson. Si elle me voyait de là haut, tout nu au milieu de la pièce, avec cette odeur de fauve d?avoir honorer une jeune fille qui a la moitié de mon âge. Et puis, si c?était la première. En plus, elle risquerait de me dire que je n?étais pas aussi impétueux avec elle. La force de l?habitude sûrement parce qu?au début de notre mariage, nous étions plutôt fougueux. Cela m?arrivait de temps en temps d?avoir ce genre de remords. Mais un seul mot clôturait ces pensées noires : carpe diem. Si ces jeunes filles appréciaient nos jeux érotiques, il n?y avait pas de mal. Je ne violais personne.
Je me suis allumé une cigarette et j?ai fait le vide dans ma tête.
Depuis un moment, je n?entendais plus la douche dans la salle de bain. J?y suis allé et la salle de bain était effectivement vide. Je me suis dirigé vers la chambre d?ami et j?ai passé la tête dans l?embrasure de la porte.
— alors tu trouves ton bonheur ?
— je crois, oui, il y a le choix dis donc dit elle sur un ton enjoué comme une enfant
— je te laisse je prends aussi une douche
Les douches, ça vous revigore un homme. Je me sentais un peu flagada. Mais là, même mon sexe s?engourdissait agréablement. J?allais enfiler mon peignoir. Une image me traversa l?esprit. Je revoyais Nelly dans sa petite chemisette blanche et son jean. Ma queue se manifesta aussitôt. Elle reprenait une vigueur inattendu. Je me suis touché le gland et une petite décharge de plaisir me fit frissonner. Bon dieu ! j?étais encore excité. Aurélie s?amusait de mes envies aussi rapprochées. Mais Nelly ? A quoi bon s?embêter ? Je décidai de rester nu comme un ver la queue en avant. On verrait bien sa réaction. Je sorti de la salle de bain mais arriver à la porte de la chambre d?ami, mon c?ur se mit à battre la chamade. Quand même, elle allait m?envoyer balader ! J?osais.
Je passais la tête dans l?ouverture. Je m?attendais à la trouver habillée de façon proche de la tenue rêvée. Mais c?était encore mieux. Elle se regardait dans la glace sous toute les coutures. Elle portait une guêpière en satin rouge à fines bretelles avec la petite culotte assortie et retenant une paire de bas en soie noire. Ses seins pigeonnaient magnifiquement dans les deux bonnets en forme de balconnet.
— tu n?es pas encore habillée ? demandai je en riant
— oh ! tu m?as fait peur ! eh bien non, j?ai trouvé des merveilles dans les tiroirs, je me suis permise de les essayer, c?est toi qui a offert toute cette lingerie fine ?
— oui, j?aime bien ça, je l?avoue, surtout si ce n?est pas vulgaire
— non, c?est magnifique, du satin, de la dentelle, superbe
— superbe sur toi ma chérie
Je m?avançais vers elle dans la chambre.
— mais tu bandes encore !
— oui, je suis excité, la douche et ta tenue ont eu un effet aphrodisiaque hihi
Je lui pris les mains et, à une distance d?un pas, je l?ai contemplé de la tête aux pieds.
— mademoiselle, vous ressemblez à une vrai déesse, l?expression de ma virilité n?est qu?un hommage à votre beauté
— je le prends comme tel
— si vous le permettez j?aimerais ajuster votre tenue à mes désirs
— faites comme il vous plaira
Je me suis agenouillé devant elle pour retirer la culotte. Je me suis relevé pour la regarder de nouveau. La fourrure caramel agrémentait l?ensemble de façon parfaite. Elle ornait le haut de ses cuisses galbées comme un bijou et l?ensemble avec le satin rouge était du plus bel effet.
Je l?ai prise sous les épaules et je l?ai soulevé pour l?asseoir sur la commode.
J?ai pris ma hampe avec mes doigts et je me suis amusé à passer mon gland sur ses petites lèvres de haut en bas. Elle a ouvert plus largement ses cuisses. Elle regardait ma queue tendue. Mon gland luisait de plus en plus tout enduit de sa cyprine qui s?écoulait abondamment de sa vulve. Ses petites lèvres s?écartèrent sans résistance comme les pétales d?une fleur insolite. J?aperçus son bouton gonflé déjà sorti du capuchon rose. Quand j?ai frotté ma boule en feu sur son bouton, elle a laissé échapper une plainte lascive en fermant les yeux et en basculant la tête en arrière. J?ai alors guidé mon pieu en elle. J?ai dû à peine poussé. Ma verge l?a pénétré régulièrement jusqu?au fond de son ventre. Je suis resté immobilisé en elle, mon sexe palpitait enserré par les parois chaudes et humides du vagin. Je l?ai regardé attentivement : ses cheveux frisottés un peu en bataille encadraient son jeune visage angélique, ses seins semblaient vouloir exploser dans les deux bonnets de satin rouge. J?ai baissé lentement une bretelle : rapidement, le large mamelon est sorti de sa cachette comme s?il ne pouvait plus vivre emprisonné. Son sein s?épanouissait sous mes yeux. J?ai commencé à aller et venir en elle doucement. J?ai dégagé l?autre sein pour le pétrir sans violence. J?ai accéléré progressivement le rythme de notre union charnelle tout en tirant et en pinçant les tétons bandés. Je l?ai laissé plusieurs fois au bord de l?orgasme dans cette position. Mais c?est en levrette sur le lit qu?elle a joui. Et une jouissance bruyante, longue avec des spasmes incroyables qui n?en finissaient pas. Son orgasme entraîna le mien et j?ai rugi en la pilonnant littéralement pour déverser mon foutre dans son ventre juvénile.
Cette nuit là, nous ne nous sommes pas arrêtés en si bon chemin. Elle s?est livrée totalement à tous mes désirs. Aurélie m?avait fait vraiment un beau cadeau d?absence.
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