Suite
Comme à son habitude, Louis se présente à nous habillé et prêt à suivre ses cours. Mais, qu’elle ne fut pas sa surprise en découvrant Mademoiselle de Vigiécourt, toute nue. Je pris donc la parole :
— Mon fils, aujourd’hui vous aller vos 16 ans
— Oui père
— Il est aussi de tradition que vous perdiez votre pucelage ce jour-là
— Euh … Oui père
— Vous masturbez-vous souvent, Louis
— Euh … Enfin père … C’est-à-dire
Je pris un ton sévère
— Alors, est-ce que tu te branles ???
Mon fils fut surpris par mon ton. il est certain qu’étant très porté sur le sexe, je devins vulgaire et autoritaire.
— Eh oui .. père … tout les matins au réveil et …il m’arrive même de me faire des choses avec mes fesses …
— Ne me dis pas que tu mets un doigt dans les fesses
— Euh … si père
— Petit sacristain, ces choses là te sont interdites et tu seras puni pour ça. Mais, pour l’heure, Mademoiselle de Vigiécourt va se charger de te dépuceler afin que toi tu puisse honorer toutes les femelles de la contrée.
Mon fils restait interdit et ne savais plus quoi faire. Je fis sortir Henriette et nous étions tous les quatre.
Mon fils, cette femelle devant toi vous devez la considérer comme un objet de plaisir et Mademoiselle de Vigiécourt me sert à ça. Elle va être à vous ou et quand vous le désirez. D’un claquement de doigt, elle se mis genoux et sortit ma bite. Devant mon fils, elle me suça en se caressant la chatte. Mon fils comprit vite et il sortit sa bite pour se masturber. La salope commença alors à sucer mon fils. Pendant ce temps, Élisabeth se caressait aussi. J’avais affaire à deux belles putes. Mon fils allait être content. En raison du jeune âge de Louis, je ne pouvais pas baiser ces deux putes devant lui. Il quitta la pièce sans avoir joui et bandé.
J’avais devant moi deux salopes avec qui j’allais m’amuser. Si ma femme m’est soumise, elle ne déteste pas dresser une autre femme surtout quand je suis là. La dernière fois c’était avec la jeune Adeline, 19 ans, fille de nos métayers qui était nue et attachée, soumise au plaisir de ma femme. La pute prenait son plaisir elle aussi.J’avoue m’être masturbé comme un fou en les voyant toutes les deux.
La suite très vite …