Nous venions de nous installer définitivement dans le village et j’avais été inscrire notre cadette à l’école communale, c’est à cette occasion que je croisais Lucile.

Ce que remarquais en premier chez ce petit bout de femme blonde, d’environ quarante ans, ce fut ses yeux bleus, et je fus tout de suite attiré par elle.

Le week-end suivant à la fête des vendanges où j’avais emmené mon épouse et notre petite Mylène, celle-ci me désigna une petite gamine blonde en déclarant « c’est ma copine Irène, tiens et sa maman est là bas ! » suivant la direction qu’elle indiquait quelle ne fut pas surprise de découvrit qu’il s’agissait de cette jeune femme qui avait attiré mon attention quelques jours auparavant.

Les deux fillettes filèrent ensemble, à l’évidence, malgré leur différence d’âge, elles s’étaient liées d’amitié au cours de cette première semaine de classes. Mon épouse me dit que nous devrions faire connaissance des parents de la petite copine de notre fille, j’approuvais car je cherchais le moyen de m’approcher de cette jeune femme qui m’avait tapé dans l’oil.

— Bonjour, nous sommes les parents de Mylène.

— Ah, oui, il me semblait bien vous avoir reconnu, vous vous souvenez, nous étions ensemble au secrétariat, il y a quelques jours.

— Maintenant que vous le dites (mentis-je), oui effectivement. Voici mon épouse Fran. »

— Comptez-vous participer au conseil d’école ? »

Ma femme me regarda et enchaîna :

– Bob ?

— Oui j’ai l’intention de m’investir dans la vie associative du village, mais comme nous sommes nouveaux, je ne sais pas.

-Justement, il y a une réunion d’information demain soir, à la sortie des classes, c’est l’occasion.

— Bien, j’irai, à demain alors .

— À demain alors monsieur .

— Bob, mon prénom, enfin on a pris l’habitude de ce diminutif »

— À demain Bob, au revoir madame.

— Moi c’est Fran, ajouta dans un sourire ma femme,

— Et moi c’est Lucile, dit elle avant de nous laisser.

— Sympathique cette Lucile

— Oui pour un début, si tous les gens sont aussi agréable, tu vois nous serons rapidement assimilés ! »

Le lendemain à 16h30 je retrouvais Lucile devant la grille de l’école.

-Entrons, me dit-elle, tout en faisant de signes aux enfants qui venaient de grimper dans le bus scolaire qui les ramenais chez elles.

Pendant la réunion qui se tenait dans une des classes, je ne cessait d’observer Lucile, discrètement, il va de soit.

Lorsque nous sortîmes, je lui dit au revoir, en ouvrant la porte de ma voiture, et comme je la voyais continuer à pieds, je lui proposais de la raccompagner.

— C’est gentil à vous . Mais cela va vous rallonger.

— Il n’est pas si tard, et je ne pense pas que cela soit si loin, puisque vous avez fait le chemin à pieds pour venir ! »

— Non c’est vrai.

Lorsqu’elle s’assit, sa robe légère remonta assez haut, j’en profitais pour mater discrètement ses cuisses blanches.

Elle m’indiqua le chemin, me précisant qu’il s’agissait effectivement d’un « chemin, herbeux, mais très praticable ».

Il quittait le centre du bourg et comme nous traversions un petit bois, elle me dit :

— Vous ne voulez pas vous arrêter un instant ? »

Sitôt dit, sitôt fait, je coupais le moteur.

— Bob, je ne cherche pas l’aventure, mais j’ai remarqué que vous, vous intéressiez à moi, vous ne cessez pas de regarder dans ma direction. »

— Ben. Disons, pour être franc, que. Comment dire ? Je n’ai pas l’habitude de ce genre de situation. Je. Je suis attiré par vos yeux. Oh ne croyez pas que je collectionne les aventures, mais je vous trouve quelque chose d’indéfinissable qui me fait un effet. »

— Je suis très quelconque. C’est très gentil à vous, mais je ne crois pas. »

Elle était très près, je m’enhardis, m’étonnant moi même, et l’attirais contre moi. Elle n’esquissa aucune résistance, si bien que rapidement je posais mes lèvres sur les siennes.

Sa bouche s’ouvrit aussitôt, nos langues se cherchant.

— Désolé je.

— Je suis aussi responsable que vous Bob. Je, j’ai tellement besoin. Il y a déjà plusieurs mois, j’ai surpris mon mari dans les bras. enfin disons dans les bras, d’une de mes anciennes collègues. Oh je ne cherche pas à me venger, mais le fait est que je manque de tendresse. Car je lui ai fait savoir que. que je ne voulais plus qu’il me touche ! »

— Lucile, je n’ai jamais trompé ma femme, mais je ne sais comment expliquer, dès la première fois que je vous ai aperçu, j’ai eu envie de… De vous connaître, d’être avec vous

— Soyons raisonnables. Laissons nous un peu de temps, Bob. Pour être franche, moi aussi je ressens quelque chose qui émane de vous et qui m’attire.

Je remis le moteur en marche et nous continuâmes . Quelques centaines de mètres plus loin, elle m’indiqua une maison,

— C’est ici que nous habitons , vous vous situez ?

— Oui, je vois.

— Bon alors rentre bien » et elle posa un baiser furtif et sage sur ma joue, et tout en sortant ajouta « J’ai remarqué que vous alliez souvent seul au supermarché. Demain matin vers 10h j’y serai ! »

Elle claqua la portière, et je repartis.

J’observais la pendule, impatient de voir l’heure tant attendue approcher. À moins dix, je sortis la voiture du garage et me mis en route vers la Supérette. Je fus surpris d’apercevoir la silhouette de ma nouvelle amie. Elle marchait sagement le long de la route tirant un petit caddie, et le spectacle était prometteur car la lumière du soleil qui traversait sa courte robe légère mettait en valeur une jolie paire de cuisses .

-J’aimerais que nous marchions un petit peu, pour parler dit-elle comme je lui ouvrais la portière.

-Tout de suite, ou après les courses ?

— Avant serait peut-être plus indiqué, si l’on veut éviter que nos provisions chauffent » Logique

— Où, alors »

— Prends le chemin sur la droite, il est carrossable et peu fréquenté à cette époque.

Bon pensais-je en moi même. Au bout de deux, trois cents mètres elle dit :

— Arrêtes toi ici, désignant une amorce de chemin sur notre gauche. Je m’empressais d’obtempérer, ravi du tutoiement.

Nous laissâmes la voiture, et sitôt que nous fûmes côte à côte elle prit ma main dans la sienne et m’entraîna sur un petit sentier. Après une minute de marche, alors que nous étions hors de vue de l’auto, elle se plaqua contre moi. Je la pris dans mes bras et l’embrassais avec une fougue qui se révéla « partagée ».

— Je voulais juste te montrer cet endroit. Comme tu vois ce n’est pas très loin de chez moi . Nous pourrions nous y retrouver cette après-midi, si tu peux te « libérer »

Et comment que je trouverais un motif !

Nous revînmes à la voiture et fîmes nos courses respectives ensemble, passant simultanément à deux caisse différentes.

De retour à la maison, j’expliquai à ma femme que j’irai bien m’entraîner un chouïa après manger, il y avait longtemps que je n’avais pas sorti mon VTT, et que comme j’envisageais de participer à une randonnée dans une quinzaine de jours il serait bon d’y songer ; sachant qu’elle avait horreur du vélo, j’ajoutais perfidement :

— Pourquoi n’irions nous pas en semble ?

— Non ça ne me dit rien, et puis il y’a trop de côtes par ici

— Bon tant pis. J’essaierai de faire un bonne vingtaine de kilomètres

Sortant la carte IGN du coin, je fis mine d’étudier un parcours.

Dès notre traditionnel café avalé, je me mis en tenu et après un bisou à Fran je m’élançais, direction la petite clairière que m’avait fait découvrir Lucile.

Elle m’y attendait, assise en tailleur sur un plaid plié. Je me dis que cela était de bonne augure, d’autant qu’elle se releva et après une brève étreinte elle ramassa le plaid tout en disant

— Tu devrais déplacer ta bicyclette, enfin la planquer un peu à la vue d’éventuels promeneurs.

Je m’exécutais ; elle me tendit sa main libre et m’entraîna à couvert dans un petit espace dégagé entouré presque de toute part de buissons.

Elle étendit le plaid sur l’herbe et s’allongea. J’en fis autant.

Nous commençâmes à flirter, les caresses succédant aux baisers.

Je m’enhardis et, déboutonnais le haut de sa robe, elle ne portait pas de soutien-gorge. Sa poitrine était petite, mais bien formée. Je baisais ses seins, m’attardant sur les tétons qui ne tardèrent pas à durcir au contact de mes lèvres.

Comme je la sentais frémir, je glissais ma main droite sous sa courte robe, entre ses cuisses, jusqu’à sa motte. Tout en continuant à téter un sein, j’insinuais ma main dans sa petite culottes, flattant sa toison, mais surtout cherchant à dégager sexe.

Elle écarta ses cuisses pour me laisser progresser, rapidement mon majeur s’engagea entre ses lèvres humides dans une chatte déjà trempée .

Inutile de préciser que mon sexe était en émoi, que dire en pâmoison ! À ce point lui retirer sa culotte devenait impératif. Elle m’aida de son mieux en se tortillant et soulevant ses fesses.

L’opération terminée j’abandonnais ses seins et enfoui ma tête sous sa robe relevée, elle ouvrit largement ses cuisses et j’avais, offert à mon regard, l’ouverture rose nacrée de sa moule bien ouverte j’y posai mes lèvres et commençais par un baiser appuyé sur ce sexe avide d’amour.

Lorsque ma langue s’insinua à la recherche de son clitoris, son corps se tétanisa et elle adopta une position de reins bien cambrés me plaquant sa foufoune sur le visage.

J’avais vite dégagé son petit clito et le suçotait avidement tel un nourrisson tétant le sein maternelle. Je l’entendais haleter des « Oh Oh, Ah ah aaah ! » qui bien que discrets se faisaient de plus en plus fort. J’alternais succion et large coups de langue, lapant la liqueur de son plaisir.

— Viens , viens dans moi maintenant.

Je résistais à son appel, car le plaisir que je lui procurais de toute évidence m’excitait d’autant plus que j’avais conscience qu’elle était ravie de se faire brouter la chatte.

Lorsque je la sentis à bout, je me dégageais, et mon short cycliste à peine baissé à mi cuisse, l’empalais littéralement sur mon dard turgescent.

Me maintenant à genoux, je la limais lentement, lentement .

Les deux mains à plat sur le sol, les bras en extensions, comme pour une séance de pompes, je la pistonnais maintenant amplement, accélérant insensiblement mon rythme.

Sentant que je n’allais plus pouvoir me retenir plus longtemps, je fléchissais jusqu’à ce que nos visages se touchent pratiquement, ma bouche cherchant sa bouche. C’était un test : ma femme me refusait toujours que je l’embrasse après un cunnilingus. Lucile au contraire m’ouvrit ses lèvres, et sa langue fouilla ma bouche.

C’était la fin. Je l’embrochais bien à fond et lâchais ma semence. À longs traits.

Le dernier jets expulsé, je m’écroulais sur elle.

Lorsque je repris conscience, elle n’avait pas bougé. À l’évidence nous nous étions assoupit l’un et l’autre, l’un sur l’autre, l’un dans l’autre.

— Tu es merveilleux me chuchota-t-elle au creux de l’oreille. . Jamais. C’est la première fois qu’on.. . Que je. Ta bouche. C’est doux c’est bon. Tu m’as . J’étais aux anges, je planais . »

— Alors, si tu as été heureuse, je suis comblé. Ma conception de l’amour physique, c’est de donner. Donner du plaisir à l’autre.

— Mais moi, je ne t’ai rien donné !

— Oh que si, je te sentais confiante, je sentais que tu étais. »

— Heureuse ! Oh oui j’étais heureuse. Heureuse qu’un homme s’intéresse à moi, me désire avec une telle intensité. Crois moi je n’ai jamais connu une telle sensation avant.

Tout en parlant, nous nous étions séparés, et étions maintenant allongés l’un contre l’autre, regardant tous les deux le ciel à travers les branchages, nos doigts entrelacés.

Elle se releva et s’assit, j’en fis autant. Elle contemplait maintenant mon sexe englué de sperme, qui retrouvait peu à peu une belle raideur. Je souris, plutôt pour cacher ma honte. Elle s’accroupit et avant que je ne réalise ce qu’elle faisait , elle avait littéralement avalé mon gland. Je me laissais aller me rallongeant. Elle s’insinua entre mes cuisses et commença alors une fellation. C’était la première fois qu’on me faisait spontanément une pipe. Elle devait sentir le plaisir qui me gagnait, elle s’appliquait, car si elle ne devait pas avoir pratiqué, son inspiration semblait sans limite. Pour une femme mariée présentant tous les aspects de la gentille épouse et de la maman aimante.

Je n’osais rien dire, me bornant à lui caresser les cheveux, espérant qu’elle comprendrait par là que sa gâterie me « faisait » plaisir. Elle s’activait, avec « art », je me demandais si c’était bien sa première pipe ou si sa dextérité était le fruit d’une longue pratique. Personnellement je n’avais jamais osé exigé de Fran qu’elle me pompe le dard.

Au moment ou je lâchais mon foutre, le chibre enfoncé à fond dans sa bouche, elle ne chercha pas à se dégager. C’était bon de jouir, mais c’était encore bien meilleur de la sentir avaler mon sperme jusqu’à la dernière goutte !

Quatre, cinq, six giclées. Apaisé, je la libérais et la remerciais pour le bonheur qu’elle venait de me procurer. Elle reprenait son souffle, déglutissant le foutre de son amant. Enfin au bout de quelques secondes elle dit:

— Tu sais c’est la première fois pour moi. Je voulais te faire plaisir. Tu as failli m’étouffer, c’est spécial comme goût, mais si tu aimes je m’y ferais.

Ce n’était donc pas une salope

— Lucile, je voudrais.

— Oui ?

— Non, je ne sais plus. Si je te dis que je t’aime. »

— Mais moi aussi j’éprouve de l’am.

— C’est extraordinaire alors »

et ne pouvant résister je l’embrassais longuement »

Nous restâmes allongés l’un contre l’autre profitant de cette chaude après midi de fin septembre. Vers 16h elle me dit qu’elle devait rentrer préparer le goûter d’Irène qui ne tarderait pas à rentrer de l’école.

— Je peux t’appeler chez-toi ? Au téléphone je veux dire.

— Euh oui. Si ma femme est là, je te dirais un truc du genre « Non cela ne m’intéresse pas , merci ! » et je te rappellerais plus tard dès que je serais seul, d’accord ? »

— Oui, et si je tombe sur elle, je trouverais un truc ! »

Elle le trouva. Nous nous sommes souvent « retrouvés » par la suite!

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