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Une première fois jouissive – Chapitre 1




Je me réveillais dans un grand lit, javais mal au crâne et javais froid. Jouvris les yeux et découvrit une chambre que je ne reconnu pas dans la pénombre, mais je compris pourquoi javais froid, la fenêtre était grande ouverte alors je décidais daller la fermer, cest à ce moment là que je me rendis compte que jétais vêtu que de ma petite culotte. Mais quavait-il bien pu se passer ? Je ne savais absolument pas où jétais, presque nu, javais mal au crâne et les événements de la veille étaient très flous. Occupons-nous des priorités, jenroulai la couette autour de moi et alla fermer la fenêtre puis massis au bord du lit. Bon alors hier ? Hier on était vendredi, donc on doit être dans la nuit de vendredi à samedi, ou samedi. Je fêtais mes 20 ans, voilà hier jétais au restaurant et en boite avec des amis pour mon anniversaire, mais alors chez qui donc avais-je bien pu atterrir ? Ce nest pas ma chambre, ça sest certain, mes amis ne mauraient quand même pas laisser rentrer avec un parfait inconnu ?

La porte souvrit et je poussai un soupir de soulagement quand je vis entrer lun de mes amis.

— A enfin réveiller la marmotte, tiens avale moi ça, cest pour la gueule de bois !

— Moi, la gueule de bois ? Jamais, dis-je en riant doucement car javais vraiment mal au crâne, et je bus le tout, sa avait un goût un peu spécial mais pas désagréable. Merci, pourquoi je suis ici ? Et pourquoi je nai plus grand-chose sur moi ? On na pas

— Vu ton état jallais pas te laisser rentrer chez toi et je taurai bien ramené chez toi mais tu habitais a 20 minutes de plus et vu que jétais un peu claquer jai préféré te ramener, toi qui ne bois quasiment pas cest une réussite, et heu pour tes habits non, non tinquiète pas on na rien fait

Il me cachait quelque chose, mais je savais quil ne me mentait pas.

— Oui, cest vrai que jy suis allée fort. Quest ce que tu me caches ?

— Heum Cest vrai que tu es vierge ?

Je crois que si la honte pouvait tuer, jaurai été achevé sur le coup.

— Oui cest vrai, dis-je dune voix si basse que je me demandais sil mavait entendu.

— Ah

— Oui je sais, à notre époque à 20 ans on nest plus vierge

— Oh mais tu nas pas à avoir honte, tu as le droit dattendre celui que tu aimeras vraiment et pas sauter sur le premier venu après avoir trop bu.

Il me regarda, dun air quil en avait beaucoup trop dit, alors cétait donc ça ? Je lui avais sauté dessus ? Il mattirait et cest vrai que je pensais à lui souvent quand je me caressais, mais bon je ne métais fait aucune illusion, quand je lai rencontré il était avec quelquun, et après il avait lair si déprimé quand il lavait quitté que je me doutais bien quil navait aucun sentiment autre que damitié pour moi.

— Oh non Je tai demandé quoi ?

— Tu mas embrassé, puis tu as commencé à te déshabiller et tu mas dis « faisons lamour, dépucelle moi, je veux que ce soi toi ! » Bien sûre, je nai rien fais, jai refusé et tu mas giflé, dit-il en riant.

Javais donc vu juste, sil avait eu des sentiments il en aurait profité non ? Jai jamais eu autant honte de ma vie, et en même tant javais le cur brisé quil est refusé mes avances, finalement heureusement que je ne men souvenais pas. Je ne me rendis pas compte que je commençais à pleurer, je pleurais toute la honte et tout le chagrin que javais en moi.

— Oh je suis désolée, jaurai rien du te dire, faut pas avoir honte vraiment, tu sais bien que de toute façon jirai pas le crier sur les toits, tu fais ce que tu veux tu es libre de tes choix. Cest justement pour ça que je nen ai pas profité, en plus du fait que je ne couche pas avec une fille qui nest pas dans son état normal, toi tu mérites encore plus de pouvoir faire tes propres choix, une première fois ne doit pas soublier Et ne doit pas se faire avec le premier venu.

— Tu nes pas le premier venu, dis-je dans un murmure.

— Comment ça ?

Quitte à mourir de honte autant tout lui dire

— Tu nes et ne sauras jamais le premier venu Mais jai compris, et je le savais déjà, tu ne me désires pas alors voilà, cest tout.

Je me relevais du lit pour trouver mes affaires et partir le plus loin possible dici quand il mattrapa le poignet et me demanda dun air absent :

— Alors, en fait, cest ce que tu veux ? Que ce sois moi ?

— Ca na plus dimportance, répondis-je en sanglotant.

— Si ça en a pour moi ! Je suis désolée, je ne voulais pas te faire de mal. Je taime tellement me dit-il en me prenant dans ces bras.

— Et moi je taimerai toujours plus

— Non tu ne comprends pas.

Il se décolla de moi pour me regarder dans les yeux, non effectivement je ne comprenais pas où il voulait en venir, puis il se colla encore plus près de moi une main par-dessus la couette dans le bas de mon dos et une dans mes cheveux, il approcha mon visage du sien et membrassa tendrement, au début hésitant puis prenant de lardeur, il menflammait, mon cur je crois cest arrêté de battre à cet instant de pur bonheur. Quand il arrêta de membrasser, je mis un certain temps à revenir sur terre et lui dit alors quil membrassait dans le cou :

— Non, arrête, je ne veux pas de ta pitié.

Il sarrêta et me regarda dans les yeux :

— Avoir pitié de toi ? Non, tu ne comprends vraiment pas Je taime.

— Quoi ? Mais non, hier tu

— Hier ? Mais hier tu ne savais pas ce que tu faisais, je ne voulais pas te faire lamour alors que tu nétais pas dans ton état normal, je voulais que tu le désires vraiment et non que ce sois à cause de lalcool et encore plus quand tu mas dis que tu étais vierge Depuis notre première rencontre je ne pense quà toi, cest pour ça que jai quitté ma copine, mais je ne tai rien dit car tu mintimides

— Mais tu avais lair si déprimé après lavoir quitter et moi je tintimide ? demandais-je hilare

— Arrête de te moquer de moi, me répond t-il en riant aussi, oui tu as lair si sûre de toi, dans ce que tu fais, dans ce que tu dis, moi je nai pas cette assurance, et cest ce qui me déprimer tant Je tai toujours aimé sans jamais avoir eu le courage de te le dire.

— Mon assurance ? Je crois quen amour je ne suis sûre de rien, mais je taime

— Et moi aussi je taime

Il mallongea sur le lit et fit peser le poids de son corps légèrement sur moi et membrassa de nouveau puis enleva la couverture sur moi, il me regarda attentivement et me dit :

— Hier quand tu tes déshabillée je croyais que jallais devenir fou et maintenant que je vois que je touche (il prit un sein à pleine main en pinçant mon téton entre deux doigts) et que je goûte (Il suça mon autre téton puis me regarda) je crois que je mériterai une médaille, dit-il en riant, alors que je savourais chacune de ces caresses, puis il stoppa net ces gestes. Mais je ne veux pas te bousculer, si tu veux attendre, jattendrai que tu sois prête

— Cela fait bien trop longtemps que jattends tes lèvres sur les miennes, tes mains sur mon corps

Il fit glisser sa main dans ma culotte, fit glisser plusieurs fois un doigt agile entre mes lèvres mouillées de plaisir et tourna autour de mon clitoris ce qui me fit gémir de surprise et de plaisir.

— Effectivement, tu es prête Mais avant je vais te faire jouir et crier à en réveillé les voisins si j’en avais…

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