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3e génération – Chapitre 1




C’était un jour dautomne qui commençait comme tous les autres, c’est à dire par des interminables heures de cours au lycée. Car à cette époque jétais, moi Morgan, un adolescent ordinaire. Ou presque, car contrairement à beaucoup de mes camarades, j’étais puceau. Il est vrai que je n’avais jamais que 16 ans, et j’aurais pu me dire que j’avais encore le temps ; mais entendre mes amis raconter leurs expériences me rendait impatient. Cependant, j’étais assez timide et maladroit avec les filles, donc mon succès auprès d’elles était plus que limité. Je me consolais en regardant des montagnes de vidéos pornographiques. Il m’arrivait souvent de passer la nuit entière sur des sites internet, où compte tenu de mon âge je n’avais pas légalement le droit d’aller, m’imaginant à la place des acteurs que je voyais.

Ce jour-là donc, après une harassante journée au lycée, je me rendais chez ma Mamie, qui habitait à quelques pas de là. Jallais là voir régulièrement car nous étions très proches. Elle avait toujours été comme une seconde mère pour moi ; et depuis la mort de Papy Jacques, qui remontait à un an, je lui rendais visite encore plus souvent pour ne pas là laisser seule dans cette épreuve. Il faut dire que cela lavait beaucoup affecté, car elle lui avait été dévouée toute sa vie. En guise contrepartie, il lui avait assuré une vie aisée et laissé un bel héritage qui permettait à ma grand-mère de vivre très bien sans travailler. Ce quelle navait dailleurs jamais fait car elle fut mère au foyer depuis la naissance de sa fille unique, ma mère, quelle avait eu à 15 ans. Ayant été maman très jeune, elle était désormais une grand-mère de seulement 55 ans, et, il faut bien lavouer, très bien conservée pour son âge.

— Bonjour Blandine ! Lui dis-je en arrivant.

Javais, depuis toujours, lhabitude de lappeler par son prénom.

— Bonjour mon trésor ! répondit-elle. Entre, je tai préparé des crêpes.

Je lembrassais sur la joue, et allais massoir à la table de la cuisine, salivant déjà à lidée de manger les délicieuses crêpes de Blandine.

Après ce merveilleux gouter, nous passâmes au salon pour regarder la télé assis cote à cote sur le canapé. Elle passa sa main dans mes cheveux, comme laurais fait une mère avec son fils. Puis elle posa sa tête sur mon épaule, et nous restâmes ainsi devant le poste de télévision, simplement heureux dêtre ensemble.

Au bout dun moment, je maperçu que la tête de Blandine se faisait de plus en plus lourd sur mon épaule. Je tournai donc les yeux, et maperçu quelle sétait assoupie. Cela me surprit un peu, jappris plus tard quelle avait veillé la veille pour cause de diner chez une amie et quelle ny était plus habituée, et je ne sus dabord pas trop comment réagir. Je finis par me décider à lemmener sur son lit. Après tout, si elle voulait dormir elle serait mieux là-bas.

Je la portai donc en passant un bras sous sa nuque, un autre sous ses jambes ; et me dirigeai vers la chambre. Jy entrais et entreprenais de déposer ma Mamie sur son lit. Mais en posant délicatement sa tête sur loreiller, je sentis comme quelque chose de dur dessous. Je passai la main, attrapai un objet, le sortis et découvris Un vibromasseur !

Cette découverte me fit pousser un « Ho ! » détonnement, ce qui eut pour conséquence louverture des yeux de Blandine. Elle se réveillait ! Je ne savais que faire. Jétais tétanisé ! Imaginez donc : ma grand-mère allait me voir tenant son sex-toy à la main.

— Mais ! Sécria-t-elle. On est dans ma chambre. Pourquoi? Et que fais-tu avec ça ?!

La peur ne me permit que de balbutier quelques mots incompréhensibles.

— Je tinterdis de fouiller dans mes affaires ! Continua Blandine en élevant la voix.

— Mais Mais Je voulais pas. Tu tes assoupie, et je tai portée jusquici. Cest tout.

Son visage sembla séclaircir soudain.

— Ho, merci mon trésor. Cest très gentil de ta part. Mais pourquoi tiens-tu « Ceci » dans ta main ?

— Je lai senti sous ton oreiller quand je tai déposée. Je nai pas fais exprès. Je voulais pas fouiller, je te jure !

— Je te crois. Dit gentiment Blandine. Jespère que ça ne te choque pas.

— Non. Enfin, ça fait bizarre quand même.

— Tu sais, même à mon âge on a des désirs. Et maintenant que ton grand-père nest plus là, il faut bien que je me débrouille toute seule.

— Je comprends. Mais, je ne tavais jamais imaginée En train de

Ma grand-mère sourit.

— Cest normal, me rassura-t-elle. Les grands-parents, cest comme les parents, on a tendance à les idéaliser. Mais tu sais, je suis moi aussi un être humain avec ses envies.

Elle marqua une pause, puis ajouta avec un sourire en coin :

— Comme toi !

— Pff ! Moi tu sais soupirais-je.

— Quoi ?

— Moi aussi je nai personne pour cela.

— Ho ! Mon pauvre chéri ! Me plaint-elle. Viens tassoir à coté de moi.

Je massis sur le lit et Blandine passa son bras autour de mon cou. Elle me donna en suite un bisou sur la joue et dit :

— Ça va venir ne tinquiète pas.

— Tu crois ?

— Mais oui, il n’y a pas de raisons.

— Tu sais je nai pas beaucoup de succès auprès des filles.

— Pourtant tu as tout ce dont une fille peut rêver.

— Bof Tu dis ça pour me faire plaisir, parce que tu es ma Mamie. Mais cest faux.

— Mais si je tassure ! Tu es mignon, gentil, intelligent. Tu as des tas de qualités ! Moi si jétais une fille de ton âge, je serais surement amoureuse de toi !

Le fait que Blandine me dise ça me fit une drôle de sensation, comme un frisson parcourant mon corps, et je maperçu que je commençais à avoir une érection. Je crois que davoir découvert le vibromasseur de ma Mamie me la faisais désormais considérer sous un autre angle. Je la voyais à présent comme une femme et plus seulement comme une grand-mère.

— Merci, dis-je.

— De rien mon trésor, cest sincère.

— Mais tu sais, jai un peu honte par rapport à mes copains qui lont déjà fait. Moi jai même jamais vu une femme nue en vrai.

— Il ne faut pas avoir honte Morgan. Il ny a pas dâge obligatoire tu sais. Chacun le fait quand il est prêt et cest très bien ainsi.

Le ton de sa voix était très tendre et elle me caressa la joue de sa main. Il y eu un silence. Blandine sembla vouloir dire quelque chose sans loser. Au bout de quelques minutes elle déclara :

— Jai quelque chose à te proposer mon trésor, mais il faut que tu me promettes que cela reste entre nous.

Cette condition me parut étrange mais jacquiesçai.

— Comme tu nas jamais vu de femme nue, je vais me déshabiller pour toi. Ainsi tu auras un avant gout pour ta future copine.

Je nosais croire ce que je venais dentendre !

— Tu es sure Blandine ?! On a le droit de faire ça ?

— Oui mon trésor, ne tinquiète pas. Tant quil ny a pas attouchements, ce nest pas de linceste.

Je me dis quaprès tout ma grand-mère avait raison. La regarder nue ne constituerais pas de quoi fouetter un chat. Jacceptais donc. Blandine se mit alors debout sur le lit et commença son strip-tease. Elle enleva rapidement son haut et son soutien-gorge, révélant une poitrine bien modelée. Mon érection vint aussitôt. Elle baissa ensuite sur pantalon, et se retourna pour baisser sa petite culotte en dentelle. Je découvris donc dabord ses fesses, qui malgré lâge avaient su rester fermes. Mon érection augmenta. Elle se remit face à moi et ce que jattendais depuis que javais commencé à mintéresser aux filles se produisit : javais un sexe de femmes face à moi. A cet instant, je bandais littéralement comme un taureau !

— Alors je te plais ? demanda Blandine.

— Ho oui ! Tu me plais énormément. Tu es magnifique !

Ma grand-mère me remercia du compliment puis se coucha sur le lit. Jétais dans un état de transe : jétais assis sur un lit, près dune femme entièrement nue ! Celle-ci mit sa main dans la mienne. Puis, de lautre main, elle se caressa les cheveux. Puis elle descendit sur les seins. Puis, enfin, elle arriva sur son sexe et passa ses doigts sur son clitoris et sur ses lèvres.

— Tu veux voir comment ta Mamie se masturbe ? Proposa-t-elle.

Javais terriblement envie de voir cela, mais ma conscience, elle, ne voulait pas.

— Tu es vraiment sure quon peut ? Finis-je par dire.

— Mais oui. Je te lai dit, tant que tu ne fais que regarder ça va.

Jacquiesçai donc, et Blandine prit le vibromasseur et le mit en route. Elle le passa dabord sur ses lèvres avant de lenfoncer progressivement dans son vagin. Elle finit par lavoir quasiment en entier à lintérieur ! Moi, je bandais de plus en plus fort, au point que mon pantalon commençait à me serrer. Cela du se voir sur mon visage, car ma Mamie dit :

— Enlève ton pantalon si ça te fais mal.

Je mexécutai. Après tout, vu que je la regardais nue, si elle aussi me voyait nu ça ne serait pas bien grave. A la vue de mon sexe, Blandine déclara avec un sourire en coin :

— Hum ! Il est de bonne taille.

Moi qui étais complexé dêtre puceau, ce compliment me fit énormément plaisir.

Je me rassis, le sexe à la verticale, aux cotés de Blandine qui avait toujours son sex-toy enfoncé en elle et commençait à émettre des petits gémissements. Tout en continuant sa masturbation, une de ses mains vint sur ma jambe et entreprit de me toucher le sexe. Que faire ? Là, il ne sagissait plus seulement de regarder ! Ce nétait pas bien ! Notre petit jeu était en train de tourner à linceste ! Jaurais du larrêter, mais le désir étant trop fort je nai rien dis. Ma grand-mère a passé sa main entièrement autour de ma verge, puis elle a commencé des mouvements de va-et-vient. En même temps quelle se masturbait avec son vibromasseur, elle me branlait ! Elle accéléra de plus en plus ses mouvements. Je sentais que la jouissance nétait plus loin. Mais dans un gémissement, une phrase sortit de sa bouche comme si elle navait pas pu la contrôler :

— Ho mon trésor ta bite est trop bonne ! Jai envie de te sucer !

Cela minterloqua autant que cela mexcita ; mais de toute façon je ne pus rien faire. En deux temps trois mouvements Blandine se mit à genoux devant moi et enfonça mon sexe au fond de sa gorge. Quelle suceuse hors pair elle faisait ! Elle passait sa langue sur mon gland, descendait le long de ma verge jusquaux couilles, auxquelles elle donna un baiser à chacune, puis remontait vers mon gland. Par plusieurs fois, elle fit entrer mon sexe entièrement dans sa bouche. Puis, au bout de plusieurs longues minutes de cette merveilleuse gâterie, elle se releva et me murmura à loreille :

— Maintenant tu vas me baiser.

Mes problèmes de conscience sétaient à présent totalement envolés et je némettais donc aucune objection. Elle sortit dun placard des préservatifs non périmés qui heureusement lui restaient de lépoque où elle avait encore une vie sexuelle. Elle en mit un sur mon membre, et se coucha, le sexe au bord du lit. Je me mis debout face à elle et commençai à la pénétrer timidement.

— Vas-y mon trésor ! Nai pas peur.

Je mis un grand coup de reins qui enfonça mon sexe entièrement dans Blandine et la fis crier. Je fis ensuite des mouvements de va-et-vient. Dune main, je lui caressai les seins, et de lautre je me mis à lui titiller le clitoris. Ma Mamie gémissait. Elle criait. Jaccélérais mes va-et-vient pendant quelle criait de plus en plus fort. Jétais aux anges ! Je baisais une femme, enfin ! Un cri encore plus fort que les autres me fit comprendre la jouissance de Blandine. Jétais heureux de lavoir comblé, mais je continuais mes mouvements dans son vagin.

— Arrête ! Ordonna-t-elle.

Jobéis mais demandai pourquoi.

— Je veux que tu termine dans ma bouche.

Je ne me fis pas prier ! Je me retirai et jenlevai la capote. Ma grand-mère se remit à genoux et me suça de nouveau. Ma jouissance ne se fit pas entendre. Plusieurs jets partirent au fond de la bouche de Blandine, et celle-ci régla ses déglutitions sur mes éjaculations. Cétait divin ! Et cest dailleurs ce que dit Blandine quand elle enleva enfin mon sexe de sa bouche après avoir avalé tout mon sperme.

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