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1ere fois avec ma voisine – Chapitre 1




Bonjour

Cette histoire s’est déroulée il y a maintenant une dizaine d’années.

J’avais alors 18 ans. Ayant toujours été attiré par des femmes plus âgées, j’avais une voisine qui me plaisait beaucoup.

Elle avait une petite trentaine d’année. Grande, je dirais 1m75, ronde, et malgré qu’elle était femme au foyer, toujours habillée très classe : chemisiers qui laissaient par moment entrevoir une magnifique poitrine, jupes longues avec une large fente, jupes au genou et toujours des escarpins avec des talons de 7-8 cm.

Elle était mariée à un homme qui devait faire dans les 1m65, qui commençait déjà à perdre ses cheveux malgré sa trentaine. Et avait deux enfants.

Cela faisait donc plusieurs années que je me masturbais en pensant à elle.

Ma mère s’entendait bien avec elle, ce qui me permettait de la voir régulièrement.

Quand elle partait en vacances, elle demandait donc à ma mère de bien vouloir relever le courrier et arroser les plantes.

C’est ainsi que j’ai pu m’approcher de son "intimité" pour la première fois.

En effet, mes parents étant également partis en vacances, j’ai donc eu la tâche de m’occuper du courrier et des plantes.

Muni de la clé, je suis donc entré dans son appartement pour poser le courrier sur la table.

Une fois les plantes arrosées, je me suis dirigé vers sa chambre.

Là, un frisson me parcouru. Je l’imaginais nu sur son lit en train de se caresser.

Je me dirigeai tout de suite vers son armoire et sa commode afin d’une part de voir quel genre de lingerie elle portait ainsi que la taille.

Lorsque je trouvais enfin son tiroir à lingerie, une bosse se dressa tout de suite dans mon pantalon.

Je pensais trouver des culottes blanches en coton "de grand-mère".

Je fus donc heureux de découvrir de la dentelle, de la soie, des shortys, des strings, des bodys, des portes jarretelles … Et appris qu’elle faisait du 105 D

J’en ai donc profité pour me masturber au milieu de toute cette lingerie.

Après cela, je profitais de chaque occasion qu’il m’était donné de d’ouvrir de nouveau son tiroir afin de découvrir ses dernières acquisitions coquines.

Plusieurs mois se sont écoulés et un après midi, étant en train de prendre le café chez mes parents, elle me demanda si je pouvais vérifier si ses enfants étaient toujours en train de faire la sieste.

Je m’exécutais alors avec plaisir en pensant au tiroir de lingerie.

Ses enfants étaient bien en train de dormir et après avoir pu voir le tiroir, j’allai m’en aller quand j’ai vu un panier de linge sale ouvert dans la salle de bain.

Je n’ai donc pu m’empêcher de regarder à l’intérieur quand je vis une de ses culottes sur le dessus. Je la pris donc afin de la sentir et découvrir quelle odeur elle pouvait bien avoir.

Soudain, j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir. Je m’empressais de remettre la culotte dans le panier mais il était impossible qu’elle ne m’ait pas vu, la culotte sous le nez.

Je partis donc en vitesse, sentant que j’étais rouge comme une pivoine, en lui disant que ses enfants dormaient bien. Elle me remercia en me faisant un grand sourire.

Les jours qui ont suivi, je me demandais si elle m’avait vraiment vu, ce que signifiant ce sourire …

Elle demanda ensuite si je pouvais venir pour l’aider à installer un pc qu’elle venait d’acheter. Elle n’y connaissait rien, son mari non plus et elle savait que c’était une de mes passions.

Je me présentai donc à sa porte, un peu gêné. Elle m’ouvrit et s’excusa en me disant qu’elle revenait de la crèche et qu’elle allait prendre une douche car elle avait dû courir pour revenir à l’heure. Pendant ce temps, je pouvais commencer à installer son pc.

Je n’avais qu’une seule envie, c’était d’aller la voir sous la douche car je savais qu’il n’y avait qu’un rideau en bambou qui servait de porte. Cependant, étant donné l’embarras dans lequel j’étais la dernière fois, je commençais à installer quelques logiciels.

Je l’entendis sortir de la salle de bain. Elle me dit alors qu’elle va se sécher les cheveux et s’habiller. Elle passe donc derrière moi rapidement en entrant dans sa chambre, sachant qu’un miroir est juste devant moi et que j’ai pu la regarder passer.

Elle ressort quelques minutes après les cheveux presque secs, uniquement vêtue d’une nuisette, longue mais largement échancrée avec une large fente sur le côté. Elle s’excusa de la tenue mais me dit qu’il faisait vraiment trop chaud. Et c’est vrai que j’avais très chaud aussi d’un coup.

Essayant de penser à ce pour quoi j’étais venu, je lui expliquais comment se connecter à internet, le navigateur …

Etant tous les deux debout et intervertissant régulièrement nos places nous nous étions frôlés à plusieurs reprises, de manière de plus en plus insistante

Ainsi, elle posa plusieurs fois sa main sur la mienne pour prendre la souris et je l’aidais à passer devant moi en mettant une main dans son dos et descendant au fur et à mesure. Je me mis donc derrière elle pour voir comment elle s’en sortait. Elle me dit alors :

— Ca y est, je commence enfin à bien le sentir

— L’informatique, c’est pas plus difficile que ça

— Non, ce n’est pas de l’informatique que je parle

Elle se tourna alors vers moi en souriant comme elle l’avait fait et en me disant que je devais avoir chaud moi aussi.

Elle passa alors la main tout doucement sur mon pantalon.

— Ca fait longtemps que tu es dans cet état-là

— Depuis que tu es sortie de la douche

— Et elle te plait mon odeur

— Bien sûr qu’elle me plait

Elle se mit alors accoudée sur le bureau, penchée en avant.

— Viens, frottes-toi contre moi

Je retirai alors mon pantalon et me frottai le sexe entre ses fesses. Ses mouvements étaient amples et appliqués.

Après quelques instants, elle se tourna vers moi et écarta le bas de sa nuisette, dévoilant sa chatte.

— Puisque tu aimes mon odeur, viens me gouter

Elle était devant moi, un pied posé sur un tabouret et je commençai à la lécher. Elle était délicieuse et elle gémissait lorsque je passais ma langue sur son clito. Elle se caressait les seins à travers le fin tissus.

Je commençai à caresser ses lèvres et au moment où j’allais mettre un doigt :

— Non, attends, à mon tour de te faire du bien

Elle me dirigeait alors vers le tabouret et retira mon caleçon. Elle m’assis alors et commença à me masturber doucement. Se mis deux doigts dans la chatte, elle mit son premier doigt dans ma bouche et passa l’autre sur mon gland.

Elle commença à lécher mon gland avant de mettre ma bite dans sa bouche. Elle s’y prenait très bien, je la laissai donc faire, profitant d’une expérience que je n’avais pas.

Elle s’arrêtait de temps en temps pour me masturber et me parler.

— Elle est grosse ta bite, pas comme celle de mon mari

— Il doit bien s’amuser ton mari

— Tu parles, il ne me voit même plus. Tu as bien vu ma lingerie, j’essaye de l’exciter mais ça ne marche plus. Il vient, se vide et s’endort

Le fait qu’elle me parle de son mari me calmait un peu et à chaque fois elle me suçait de plus belle.

Elle commença à faire glisser ses bretelles et à dégager sa poitrine. Elle était magnifique, ses tétons étaient pointés vers moi et tout dur.

Elle sortit ma queue de sa bouche, la glissa entre ses seins et commença une branlette espagnole et essayant de lécher ma bite dès que possible.

Lorsque je viens elle s’empressa de mettre ma bite dans sa bouche pour tout avaler

— J’en peux plus, ça fait tellement longtemps que je n’ai pas été excitée comme ça. Viens, prends-moi

Nous allâmes alors dans sa chambre.

Elle se coucha sur le dos et se caressa en écartant les lèvres.

— Viens vite

Sa chatte était épilée mais pas trop. Il restait un trapèze au-dessus des lèvres.

Elle écarta les jambes et après l’avoir pénétrée, elle les referma sur mes fesses afin d’accentuer mes mouvements.

Je sentais sa chatte tellement humide. J’étais au nirvana.

Visiblement elle aussi. Ses gémissements se faisaient de plus en plus intenses et sonores.

— Ta bite est tellement bonne, continue. Mets-la moi plus … encore … plus fort.

Heureusement qu’elle venait de me faire jouir, sinon, ça serait venu de tout suite.

Elle me serait de plus en plus fort avec ses jambes.

Elle semblait complètement en transe. Mais elle commença à se caresser les seins. Ce superbe 105 D dont j’avais tant rêvé. Il était là, à quelques centimètres de moi. Ils me semblaient énormes et me paraissaient fermes.

Elle commença à desserrer son étreinte. Puis se redressa.

— Arrête de les regarder comme ça, viens me téter

C’est ce que je fis sans me faire prier. Cela dura quelques minutes. Je léchais ses tétons avec application pendant qu’alternativement, elle se caressait et se goutait.

Elle me fit ensuite m’allonger sur le dos et s’accroupit sur moi pour reprendre de plus belle.

J’avais pris goût à ses seins et ne pu m’empêcher de me redresser pour les caresser pendant qu’elle s’activait sur ma queue, caressant mes couilles et son clitoris.

Je sentais ses fesses contre mon ventre, c’était tellement bon.

— Oh oui … Continue … mets-la moi

— Tu aimes, hein ?

— Oh oui, j’aime. Ca fait tellement longtemps qu’on ne m’avait pas prise aussi bien et aussi fort

— Alors, profites en

— C’est ce que je fais, mets la moi plus. Attends

Elle arrêta ses va-et-vient, se redressa et se mit à quatre pattes.

Pas besoin de me faire un dessin. Je me mis derrière elle et commença à la prendre par derrière. Je sentais ses fesses à chaque mouvement et je voyais ses seins balancer dans le vide.

Je la prenais aussi fort que possible et elle m’aidait autant qu’elle le pouvait.

Cela faisait maintenant une bonne demi-heure que nos ébats avaient commencé. Je sentais que j’allais venir et devinais qu’elle aussi vu les spasmes qui la traversait.

— Ca va venir

— Moi aussi ça va venir, attends vient me prendre de l’autre côté

C’est ce que je fis.

Elle eut quelques secondes après un énorme orgasme qui ne semblait plus vouloir s’arrêter. Elle criait et se tordait dans tous les sens et se caressait les seins et le clitoris.

Lorsqu’elle se calma un peu, elle me dit :

— Jouis sur moi

C’est ce que je fis, un énorme orgasme, je lui aspergeais le visage et la poitrine.

Elle avala ce qu’elle pouvait et utilisa ses doigts pour en récupérer le plus possible.

Elle termina en me nettoyant avec la langue.

— Merci, ça m’a fait tellement de bien

— C’est moi, jamais je n’aurais pensé que ça puisse arriver

— Pourquoi ? Je suis bien plus vieille que toi

— Justement, en plus, tu es mariée. Je pensais que tu avais une vie bien rangée

— Ah ça c’est le moins qu’on puisse dire. Toutes mes journées sont les mêmes. Mon mari ne me touche plus. Il se vide, que ce soit dans ma chatte ou ma bouche, il s’en fout

— Il ne sait pas ce qu’il perd. En tout cas, je suis là, moi

— J’y compte bien, il y a plein de choses que j’aimerais faire avec toi

Elle n’avait pas menti ce jour-là

Merci d’avoir lu jusqu’au bout.

Si cette histoire vous a plu, faites le moi savoir et vos commentaires sont les bienvenus.

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