Histoires de sexe Histoires érotiques au travail

moi, Raymonde, mamie gourmande et cochonne – Chapitre 1




Bonjour

Je m’appelle Raymonde. Je suis une mamie de 60 ans passés. On peut dire que je suis une mamie dynamique, toujours de bonne humeur, affectueuse avec mes petits enfants, mais, il faut bien le dire, un peu cochonne aussi…

Car on peut être une mamie et aimer les bonnes choses en même temps. Certes à mon age j’ai du mal à rivaliser avec les jeunes beauté d’aujourd’hui, mais je suis encore pas mal physiquement. Je n’ai plus la ligne de mes 20 ans, mais il m’arrive encore souvent d’attirer les regards des hommes.

J’ai notamment une bonne grosse paire de nichons tout à fait appétissants ! Si en plus je les mets en évidence avec un décolleté bien ouvert, et un soutien gorge un peu "push up", alors je vous promets que j’arrive à faire saliver d’envie n’importe quel homme !

Il y a quelques temps de ça, nous avons fait un repas de famille avec mes enfants et mes petits enfants. J’ai notamment trois petits fils qui sont grands maintenant. Ils sont devenus de beaux jeunes hommes.

Lorsque je suis arrivé au repas avec un décolleté encore plus ouvert que d’habitude, bien plongeant, qui laissaient apparaître une bonne partie de ma poitrine, j’ai tout de suite vu que ça ne plaisait pas à mes enfants : ils sont un peu coincés et n’aiment pas que leur mère s’affiche comme ça. Par contre j’ai bien remarqué certains regards insistants de mes petits fils.

Car contrairement aux apparences, mes coquins de petits fils savent que mamie n’est pas farouche… Pas du tout même.

Je les ai toujours habitués à une certaine légèreté avec moi.

Le soir, lorsqu’ils étaient en vacance chez moi, je venais leur dire bonne nuit dans leur chambre. Lorsque j’ai remarqué qu’ils regardaient mes seins à travers ma chemise de nuit, je ne me suis pas embarrassée de principes. J’ai ouvert ma chemise de nuit et je leur ai présenté ma grosse poitrine.

— Ils vous plaisent, les garçons ? Vous pouvez les toucher si vous voulez !

Je vous prie de croire qu’ils ne se sont pas privés ! Ils n’en revenaient pas ! Ils les ont d’abord touchés du bout du doigt, puis lorsqu’ils ont compris qu’ils pouvaient y aller, c’est à pleine main qu’ils ont saisi mes seins.

Ils se sont ainsi servis de ma poitrine comme une sorte de doudou qu’ils touchaient et malaxaient avec un plaisir non dissimulé. Je peux dire qu’ils se sont bien amusés avec. Ils trouvaient très marrant notamment de voir se durcir mes tétons dès qu’ils les touchaient. Il faut dire que j’ai des tétons très érectiles et sensibles.

Ma seule exigence était :

— Surtout, vous dites rien à vos parents, hein ? Sinon c’est fini.

— Ok mamie !

Mes petits fils étaient ravis de ma générosité avec eux. Mais ils n’avaient pas tout vu !

Un soir où je suis venue les voir dans leur chambre, j’avais "oublié" de mettre une culotte …

Lorsque je me suis baissée pour ramasser des affaires qui traînaient sur le sol, ils s’en sont aperçus. Ils se sont alors vite passé le mot :

— Mamie a pas de culotte !

A nouveau je ne leur ai pas compliqué la tache.

— Vous voulez voir, mes chéris ?

Ils ont ouvert des yeux ronds de surprise

— Tu rigoles ou quoi, là mamie ?

— Non pas du tout ! Si vous voulez je vous montre tout.

Et sans attendre leur réponse, j’ai soulevé ma jupe.

Ils avaient alors ma chatte devant les yeux. Une chatte de mamie, certes, pas aussi jolie que celle d’une jeune fille de 20 ans, mais jolie chatte bien entretenue quand même, bien appétissante. Comme ils étaient puceaux, qu’ils n’en avaient pas beaucoup vu dans leur vie, ils n’allaient pas se plaindre..

Je me suis alors allongée entièrement nue sur leur lit, à côté d’eux, et je les ai laissé me caresser où ils voulaient. Ils étaient très curieux de savoir comment c’était fait, une mamie. Ils ont commencé à écarter mes lèvres pour explorer ma chatte, mettre les doigts où ça leur plaisait.

Bien sûr vous vous doutez que ça ne les laissais pas insensible. Je devinais leur sexe, qui durcissait à travers leur pyjama, et je ne pouvais que constater leur excitation.

Alors je leur ai dit :

— Bon allez mes chéris, montrez moi ça ! Il n’y a pas de raison qu’il y ait que mamie qui soit toute nue !

…et pour la première fois j’ai descendu leur pyjama, mettant à l’air libre trois belles queues.

Ce fut une jolie surprise : je ne les avais pas vu grandir : pour moi c’était toujours mes petits enfants que je faisais sauter mes genoux …Alors je ne m’attendais pas à trouver ces beaux organes de mâles vigoureux. Là j’avais devant moi trois belles bites d’hommes bien dures !

— ho, c’est bien ça ! Allez laissez mamie s’occuper un peu tout ça !

Vous auriez du voir leur air stupéfait lorsqu’ils m’ont vu prendre leur queues dans mes mains, et commencer à les caresser avec toute ma douceur et mon habilité. Ils étaient tous les trois debout, leur organe dressé devant moi, et n’en revenaient pas de voir leur mamie s’occuper si bien d’eux.

Je passais ainsi de l’une à l’autre, faisant bien attention d’être équitable entre eux. Je m’étais mise à genoux devant eux, et d’abord un peu délicatement pour ne pas les brusquer j’avais pris leur queues dans ma bouche. Je les ai sucé à tour de rôle avec plein douceur. Puis j’y suis allée plus énergiquement, j’ai enfoncé leurs queues tout au fond de ma gorge. Je les pompais comme une affamée. Quel délice d’avoir ces belles queues pour moi !

Mes petits fils étaient consternés mais émerveillés par tant de plaisir prodigué par leur mamie gourmande…Ils se sont ainsi laissé sucé à tour de rôle avec un plaisir incroyable.

Après un moment de ce traitement, je me suis relevée pour soulager un peu mes pauvres genoux.

Mais j’avais aussi une autre idée derrière la tête. J’y avais réfléchi depuis un moment : j’avais bien envie d’aller jusqu’au bout…

Je me suis allongée sur le lit et j’ai écarté grand les jambes, offrant ma chatte à leurs regards ahuris. Ils l’avaient bien vue, avaient bien joué avec, mais là il s’agissait d’une chose sérieuse que je leur proposais : devenir des hommes pour de vrai, me pénétrer…Je me disais que ça serait un magnifique cadeau pour eux que de leur offrir de perdre leur pucelage avec moi.

— Allez, mes chéris, à vous. Montrez un peu à votre vieille mamie ce que vous savez faire, venez mettre un peu votre queue dans mon jardin secret ! (jardin que j’avais eu le soin de garder un peu broussailleux quand même : les poils chez les mamies, c’est bien le minimum qu’on s’attend à trouver…Et j’avais raison : ils ont adoré !).

Ils se regardaient entre eux pour savoir lequel des trois allait le premier me baiser.

Je n’ai pas attendu qu’ils se décident pour attraper Kevin par la main. Même si je les aimais tous, ils étaient tous très gentil et affectueux avec moi, Kevin était l’aîné. C’était lui qui aurait le premier le plaisir de sentir sa queue en moi…

Il était excité comme une puce. Je n’ai pas eu à forcer beaucoup pour le faire venir au dessus de moi et qu’il me pénètre…

Avant qu’il ne comprenne bien ce qui se passait, sa queue avait pénétré mon vagin déjà bien humide. Quel plaisir de le sentir au fond de moi ! comme il bandait bien, mon petit Kevin chéri !

— Allez mon chéri, vas y, bouge, fais voir à mamie comment tu te débrouilles !

Suivant mes conseils, il se mit à faire des va et vient délicieux. Il regardait sa bite bien dure entrer et sortir de la chatte de sa mamie et avait l’air de ne pas en revenir…

— C’est bien, ça ! Bravo tu es doué !

Il avait levé mes jambes en l’air, tenant mes chevilles dans ses mains vigoureuses, et m’envoyait à présent de grands coups de queue, à me démonter le bassin. J’ai failli lui dire de ralentir, de faire attention avec sa pauvre vieille mamie qui n’avait plus 20 ans… Mais non ! J’adorais trop ça, et lui aussi !

Quelle vigueur il avait, mon petit ! J’étais fière de lui !.

J’ai quand même du l’interrompre avant qu’il ne jouisse. J’en voulais plus, de la queue, encore et encore ! Mais je voulais aussi essayer avec mes deux autres petits fils.

— Allez, chacun à son tour ! A qui le tour ?

C’est ainsi qu’à tour de rôle, tous les trois sont venus au dessus de moi pour me défoncer la chatte. Je leur ai donné plein de bons conseils, et comme ils avaient tous les trois de très belles queues, je me régalais vraiment !

Au bout d’un moment, je les ai rassemblés, debout autour de moi. Je voulais qu’ils jouissent dans ma bouche, goûter leur sperme. Je les ai sucé à nouveau jusqu’à ce qu’ils crachent leur semence. Je sentais leur sperme chaud couler dans ma bouche.

En temps normal je n’aimais pas trop ça, avaler, mais là c’était mes petits fils, c’est pas pareil ! Leur sperme, c’était du nectar pour moi ! J’avalais tout goulûment, c’était le paradis !

— Je suis fière de vous, mes chéris !

— On recommencera, mamie ?

— Mais bien sûr, mamie vous aime, vous savez !

— Nous aussi on t’aime, mamie !

Related posts

ma soeur suceuse pro … – Chapitre 1

historiesexe

En camp naturiste avec ma mère – Chapitre 1

historiesexe

La déchéance du cocu – Chapitre 6

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .