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Evolutions – Chapitre 12




ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 12 : Jeu de rôles.

Je me dis alors non sans ironie que si Alice se permet de me mettre en boîte, c’est qu’elle se sent à présent parfaitement à l’aise avec moi. Cela me fait bien évidemment plaisir, mais pour bien lui montrer que je n’ai pas l’intention de me laisser faire, je lui réponds :

Tu ne paies rien pour attendre.

C’est ce qu’on verra. Mais pour l’instant, je vais te prouver que je ne suis pas du genre à me vanter, et je vais aller dans la cuisine pour préparer ma sauce bolognaise, qui devra ensuite mijoter un peu.

Je l’aide à se relever, ce qu’elle ne me reproche pas. Puis joignant le geste à la parole, elle se dirige vers la maison, après avoir remis ses mules à talons pleins en liège. De toute évidence, ces dernières n’ont pas l’air de lui faire mal aux pieds, tant sa démarche est gracieuse. Si je suis charmé par le dandinement de ses fesses et le balancement de ses gros seins, je n’en oublie pas pour autant de lui demander :

Tu as besoin de mon aide, ma Chérie ?

Non mon Amour, je saurais très bien me débrouiller toute seule.

Bien, dans ce cas, si je venais à te manquer, tu me trouveras dans mon bureau.

Comme elle me répond sans parler ni se retourner, en me faisant un petit signe de la main pour me dire au revoir, je reste quelques instants à la regarder s’affairer une fois qu’elle est entrée dans la cuisine. Ensuite, je vais reposer le téléphone de la maison sur son chargeur, avant d’aller sur mon ordinateur.

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Je commence par surfer sur Internet, sans idée précise, puis sous le coup d’une inspiration subite, je tape « chaussures femme » sur le moteur de recherche. En affinant ma prospection et après avoir écrit « sandales à talons », je finis par tomber en arrêt devant un modèle fabriqué par un grand bottier parisien. Non seulement elles sont superbes, mais en plus le nom qu’on leur a donné est une promesse en soi, puisquil s’agit de : Forever.

Elles sont disponibles en deux versions, rouges ou noires, et bien entendu, je m’intéresse à celles qui sont écarlates, étant donné que c’est une couleur qui va très bien à mon petit bout de femme. Ces chaussures ont des talons aiguilles de 10 centimètres de haut, et si sur l’arrière se trouve une pièce de cuir destinée à maintenir la cheville, sur le devant il y a uniquement cinq lanières d’une teinte identique, faisant environ cinq millimètres de large. Elles doivent laisser la part belle aux pieds, qui seront en même temps habillés et dénudés. Ces courroies sont décorées de petites pierres de la même nuance, de formes coniques, mais avec des facettes, faisant trois millimètres à la base, et dont la pointe est tournée vers l’extérieur.

Bien que je n’aie jamais été fétichiste des pieds, je sens mon sexe commencer à gonfler lorsque j’imagine mon petit bout de femme portant ces sandales, et seul leur prix me retient de les acheter, puisqu’elles coûtent pas loin de 1200 euros.

Je me sens penaud, lorsque je vois Alice traverser la terrasse pour venir en direction de mon bureau, même si le meuble sur lequel est posé mon ordinateur se trouvant face à la porte-fenêtre, cela me permet de ne pas être surpris par son arrivée. Cependant, je dois avoir un air étrange, puisqu’après être entré en ayant frappé poliment bien que ce soit ouvert, mon petit bout de femme me dit en haussant un sourcil :

Tu fais la même tête qu’un garnement pris en train de faire une bêtise.

Non non, j’étais juste…

Sur un site porno ?

Non, je regardais…

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Alice a une fois de plus vu clair en moi, et je me sens à présent comme un enfant face à sa mère, bien qu’elle ait 10 ans de moins que moi. Cependant, elle ne cherche déjà plus à éclaircir ce qui pour elle va rester un mystère, étant donné qu’elle change subitement de sujet de conversation, après avoir tourné la tête en direction d’un des coins de la pièce. Elle s’exclame alors :

Tu joues aux échecs ?!

Cette fois, elle n’a pas fait preuve de perspicacité, étant donné qu’elle a vu le plateau à damier en bois sur lequel sont disposées des pièces en métal, représentant des chevaliers du Temple et des chevaliers de L’hospital, se faisant face et prêts à s’affronter. L’ensemble m’a été offert par Marc et Charlène pour mes 40 ans, et il est à la fois décoratif et utile, puisqu’avec mon meilleur ami, nous jouons depuis que nous avons une dizaine d’années. Cependant, nous ne sommes pas des acharnés, et notre niveau est resté moyen. C’est pourquoi je réponds à Alice :

Oui, mais tout comme pour la photo juste en dilettante. Je suis loin d’être un crack.

Moi non plus je ne suis pas une championne. C’est mon mari qui m’a appris, mais je n’aimais pas trop faire des parties contre lui parce que je perdais tout le temps. En plus, il était agacé quand je faisais des erreurs. Mais par la suite, j’ai appris à mes filles, et à partir du moment où elles ont atteint mon niveau, j’ai commencé à vraiment apprécier ce jeu.

Elle me demande alors avec un pointe d’espoir dans la voix :

On en fait une ?

Content qu’elle ne pense plus à ce que je faisais sur mon ordinateur, j’éteins ce dernier et je réponds à mon petit bout de femme :

Mais avec plaisir, ma Chérie.

Super. On va sur la terrasse, comme ça je serai plus près pour surveiller ma sauce ?

OK. Tu veux jouer sur cet échiquier, ou tu en préfères un avec des pièces plus classiques ?

Celui a l’air très bien, et en plus il est magnifique. Je ne devrais pas avoir trop de mal à reconnaître les pièces, même si les reines ont été remplacées par des bonshommes en armure.

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Pendant qu’Alice retourne dans la cuisine, j’installe l’échiquier dehors, et une fois qu’elle est revenue commence une partie acharnée, pendant laquelle je me rends rapidement compte que nous sommes de forces égales. Cela pimente bien évidemment le jeu puisque nous sommes obligés de nous concentrer pour réfléchir. Si elle remporte la première manche, je gagne la seconde, et nous sommes obligés d’en faire une troisième pour nous départager. Mon petit bout de femme s’est interrompue de temps en temps, pour aller contrôler que tout se passait bien au niveau de sa préparation, ce qui ne l’empêche pas de me mettre échec et mat une deuxième fois. Elle me dédie alors une petite moue moqueuse, mais étant donné que je suis en général bon perdant, je lui dis :

Une tête bien faite dans un corps sain. Tu es plus sportive que moi, mais aussi plus maligne. À l’avenir, je n’aurai qu’à bien me tenir.

Elle rougit à peine, même si je peux constater que mes compliments lui font plaisir, puisque j’ai droit cette fois à un magnifique sourire de sa part.

Pendant que je range le jeu d’échecs, Alice va de nouveau dans la cuisine, après m’avoir demandé si j’aime les pâtes al dente. Ensuite, tandis qu’elle surveille leur cuisson, je mets le couvert, toujours sur la terrasse, puis je vais à la cave chercher une nouvelle bouteille de Chablis, parce que si nous n’avons pas terminé la première à midi, il n’en reste qu’environ un tiers.

Les spaghettis bolognais de mon petit bout de femme sont tout bonnement délicieux, et elle ne rougit même pas lorsque je la complimente. Elle affiche au contraire un petit sourire satisfait sur son beau visage, et je suis de plus en plus heureux de l’avoir rencontrée. Non seulement parce qu’elle est une amante désireuse de dépasser ses limites, mais qu’elle se révèle être également une excellente cuisinière, qui en plus sait jouer aux échecs. Je me demande quelles autres bonnes surprises elle me réserve encore, cependant je ne la questionne pas à ce sujet, parce que je préfère de loin avoir le plaisir de la découverte.

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Étant donné qu’Alice ne semble pas non plus avoir envie de m’en dire davantage à son sujet, nous mangeons sans parler. Tout comme moi, elle semble se contenter de nos moments de silence, emplis de sérénité. Je me prends alors à regretter de ne pas l’avoir rencontrée plus tôt, mais je me reprends rapidement en me disant qu’il y a une quinzaine d’années, en plus d’avoir un mari, elle était également une jeune maman. Par conséquent, elle est arrivée dans ma vie au bon moment, surtout maintenant que ses filles sont grandes et peuvent se débrouiller sans elle.

Je ne sais pas si nous avons suivi un cheminement de pensée similaire, toujours est-il que mon petit bout de femme me dit, alors que nous venons de terminer de manger le fromage :

Il faut que j’appelle à la maison, pour savoir si tout continue à bien se passer.

Je souris, pour bien lui montrer que le fait qu’elle s’inquiète certainement pour rien ne me dérange pas, au contraire, puisque ça signifie qu’elle aime ses enfants. Puis je lui réponds :

C’est très bien. Pendant ce temps, je vais débarrasser, et après, on ira au lit.

Elle me demande légèrement surprise :

Déjà ?!

Oui. À moins que tu aies envie de faire une petite virée en ville.

Je pensais plutôt qu’on monterait au salon, comme hier soir…

Elle a dit ça en rougissant légèrement, sans doute à cause de ce que cela implique, et je réplique amusé :

On peut faire ça aussi. Mais sauf si tu as envie de me faire un nouveau strip-tease, pour ce qui est des cochonneries, on sera aussi bien au lit. Comme un mari et sa femme, puisqu’après tout nous sommes un couple légitime, et pas des amants de passage.

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Alice s’empourpre un peu plus en m’entendant dire cela, mais je constate quand même que ma dernière remarque lui fait plaisir, puisqu’elle me donne droit à un nouveau sourire. Cependant, elle n’ajoute rien, et elle se lève pour aller chercher son téléphone, tandis que j’en fais autant pour ramasser les couverts. Comme ce matin, mon petit bout de femme va faire le tour de la piscine, de manière à pouvoir discuter tranquillement alors que je m’affaire dans la cuisine, en rangeant la vaisselle dans la machine qui sert à la laver.

Lorsqu’elle revient, je n’ai pas besoin de lui demander de me faire un rapport circonstancié, étant donné que son air serein m’indique que tout se passe pour le mieux dans le meilleur des mondes. Par conséquent, je lui dis :

Apparemment, tes filles continuent à se débrouiller sans toi.

Oui. Je leur ai appris à cuisiner, même si je me doute qu’en mon absence, le micro-ondes doit tourner plus souvent qu’à son tour. Sinon elles m’ont dit avoir passé le plus clair de leur temps à réviser pour le bac, et de ce côté-là, je sais que je peux leur faire confiance, puisqu’elles sont toutes les deux de bonnes élèves.

Elles ne te manquent pas trop ?

Si, un peu. Mais une fois leurs études terminées, elles auront leur propre vie à mener, elles me quitteront pour se marier, et elles aussi avoir des enfants. Alors c’est aussi bien que je m’habitue peu à peu.

Elle m’a annoncé ça sur le ton de la fatalité, avec de la tristesse dans la voix. C’est pourquoi je la prends immédiatement dans mes bras, et je lui dis doucement à l’oreille dans le but de la consoler :

Heureusement pour toi, tu as trouvé un vieux bâton sur lequel tu pourras t’appuyer, et ça t’évitera de tomber sur les fesses sans plus personne pour te ramasser.

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Je sens Alice pouffer, preuve qu’elle n’est pas trop démoralisée, par conséquent j’ajoute malicieusement :

Dans quelques années, tu vas devenir une grand-mère, et tu prendras plaisir à t’occuper de tes petits-enfants, pendant que leurs mamans iront travailler.

Elle me répond après m’avoir mis une claque sur l’épaule, et avec une indignation que je devine feinte :

C’est déjà comme ça que tu me vois ?! Comme une petite vieille toute ratatinée ?!

Je me défends :

Hé ! J’ai dit dans des années, pas aujourd’hui ni demain ?! De toute façon, j’aurai toujours 10 ans de plus que toi.

Puis je persiste dans mon idée :

Mais c’est effectivement comme ça que je nous espère, vieillissant l’un à côté de l’autre, entourés de tes filles et de leurs propres enfants, et pourquoi pas des petits de ces derniers, si on a de la chance.

Cette perspective n’a pas l’air de déranger mon petit bout de femme, puisque je la sens se laisser aller contre moi, dans la sécurité toute relative de mes bras. Nous restons un moment collés l’un à l’autre sans plus parler, comme si le temps s’était arrêté, puis c’est elle qui me fait :

Si on allait se coucher, mon Amour.

Je lui réponds pour la taquiner :

Ah bon ? Je n’ai pas droit à mon effeuillage ce soir ?

Je suis déjà à poil, et j’ai dit se coucher, pas dormir.

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Cette remarque me fait sourire, et alors que je vais fermer toutes les portes-fenêtres qui sont restées ouvertes tandis qu’Alice me suit, non pas que j’aie peur des voleurs, mais parce que les nuits sont encore fraîches, je lui explique l’idée que j’ai en tête :

Ce soir, j’ai envie que ce soit toi qui me fasses l’amour.

Elle me répond amusée :

Généralement, c’est une chose qui se fait à deux.

Pas si je reste passif. Tu connais les jeux de rôles ?

Mon petit bout de femme réfléchit quelques instants, probablement pour arriver à comprendre où je veux en venir, puis elle me répond :

Oui. Mes filles en ont sur leur console.

Mais il y en a d’autres sortes. Celui dont je te parle, consiste à se mettre dans la peau d’un personnage, imaginaire ou pas, et d’agir en conséquence.

Comme si on était des acteurs ?

Plus ou moins. Alors, imagine. Tu es une femme au foyer…

Elle me coupe aussitôt la parole :

Mais c’est mon cas.

Bon d’accord. Alors tu es une femme qui travaille, mais qui a quand même des fins de mois difficiles. Tu es divorcée avec des enfants encore scolarisés, alors pour t’en sortir, tu t’es inscrite sur un site de rencontres, dans le but de faire la connaissance d’hommes qui pourront t’aider financièrement.

Autrement dit pour faire la pute.

Là, tu viens de tuer le romantisme de la situation.

Pardon, je ne dirai plus rien. Continue mon Amour.

Tu as rencontré sur ce site un homme qui te plaît, qui est riche, et tu te dis que si tu arrives à le faire craquer, tu n’auras pas besoin d’en contacter d’autres. Par conséquent, tu vas aller le retrouver dans sa chambre, et lui faire l’amour comme si ta vie en dépendait.

Et on va garder nos vrais prénoms ?

Oui, car contrairement aux acteurs, on ne doit pas s’imaginer dans la peau de quelqu’un d’autre, mais être la même personne dans une vie totalement différente.

OK. Il faut que je m’habille ?

Oui, c’est mieux.

Alors, donne-moi dix minutes, et je te rejoins dans ta chambre.

Elle, volontairement appuyée sur le Ta, ce qui me fait sourire, et nous nous séparons.

₪₪₪

Lorsque j’arrive sur place, je me rends compte que nous avons oublié de faire le lit, par conséquent, je m’en occupe rapidement avant de m’allonger dessus, et d’attendre mon rendez-vous patiemment, mes mains croisées sous ma nuque. Quelques instants plus tard, on frappe à la porte que j’ai refermée derrière moi, et lorsque je dis « Entrez » Alice pénètre dans la pièce. Je constate qu’elle n’a pas traîné, puisqu’elle a remis rapidement la tenue complète qu’elle portait lorsqu’elle est arrivée ici vendredi. Mon rendez-vous garde les yeux baissés, et elle m’annonce d’une voix timide :

Bonjour Monsieur. Je suis Alice, et nous avons discuté ensemble sur Internet.

Je lui réponds du tac au tac, mais avec une froideur calculée :

Effectivement. Sommes-nous toujours d’accord sur le coût de tes prestations ?

Mon petit bout de femme rougit sans que je sache si c’est feint, ou si la situation imaginaire dans laquelle je l’ai plongée l’embarrasse, cependant elle continue à jouer le jeu :

Oui Monsieur, c’est toujours 200 euros.

Bien, dans ce cas, tu vas faire ce pour quoi tu es venue.

Alors elle enlève lentement sa robe, son soutien-gorge et son shorty, qu’elle pose tout sur le fauteuil qui est dans un coin de la pièce, puis elle vient se mettre à quatre pattes sur le lit, juste en face de moi. Le fait qu’elle ait gardé ses bas, son porte-jarretelles qui les soutient, mais également ses escarpins à talons aiguilles, me montre qu’Alice a parfaitement compris pourquoi je lui ai demandé de s’habiller. Mais c’est surtout le fait de voir ses gros seins pendre librement sous elle, qui fait gonfler mon sexe. Ce dernier se dresse lorsque ma call-girl imaginaire vient le lécher, toujours en gardant les yeux baissés, puis elle le décalotte délicatement avec ses lèvres. Elle est à ce moment-là en équilibre sur un seul bras, étant donné qu’une de ses mains a plongé entre ses cuisses, sans doute pour se mettre elle aussi en conditions.

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Alice caresse mon sexe avec sa langue pendant deux bonnes minutes, mais ne va pas jusqu’à l’enfoncer dans sa bouche, puis elle s’avance au-dessus de moi, toujours sans me regarder, avant de se redresser pour se mettre à genoux, une fois que ses fesses se trouvent à l’aplomb de mon bas-ventre. Je sens alors contre mes hanches, le contact un peu rêche de ses bas qui arrivent en haut de ses cuisses. Elle fait ensuite quelque chose qui me surprend, puisqu’étant donné que je m’attendais à ce qu’elle enfourne ma queue dans son ventre, elle se contente de poser sa vulve contre elle. Lorsquelles sont en contact, ma partenaire commence à bouger, d’abord en avançant puis en reculant son bassin, puis en se déhanchant, ce qui lui fait entamer une espèce de danse du ventre. Et tandis qu’elle nous masturbe, elle en profite pour caresser sa lourde poitrine.

Le fait qu’elle ne se comporte pas comme je m’y attendais, pas comme une amante, mais comme une professionnelle, plus celui que nos deux sexes sont en train de se frotter l’un contre l’autre, et que son clitoris dur qui est sorti de sa cachette vienne s’appuyer contre ma queue, m’excite au plus haut point. Tellement que ma respiration devient de plus en plus profonde, et vient se mêler à celle d’Alice qui se transforme peu à peu en halètements. Ma réaction ne lui échappe d’ailleurs pas, puisque son beau visage affiche à présent un petit sourire, qui devient plus prononcé lorsque je me décide à placer mes mains autour de sa taille.

Elle en profite pour soulever son genou gauche, et poser sa chaussure à plat sur le lit, avant de saisir ma queue pour la guider jusqu’à l’entrée de son vagin. Lorsque mon gland est coincé entre ses nymphes, elle me lâche, et elle recommence à se déhancher, tout en faisant glisser son pied pour pouvoir se remettre à genoux. De ce fait, mon sexe s’enfonce lentement dans son conduit que je trouve à la fois chaud et humide.

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Une fois que mon membre est solidement planté en elle, Alice recommence à se déhancher. Elle se penche ensuite sur moi, en prenant appui sur mon torse et en gardant les yeux baissés, puis elle commence à déposer des baisers sur mon visage tout en soulevant et en abaissant son bassin, dans le but de faire coulisser mon sexe en elle. J’en profite pour déplacer mes mains, et je me mets à caresser ses fesses charnues.

Au départ, ses baisers sont timides, puisqu’elle se contente de poser ses lèvres contre mon front ou mes joues entre deux halètements, mais peu à peu, elle s’enhardit, puisque sa langue finit par entrer en action. Elle se met alors à donner des petits coups de langue, allant même sur mon nez et sur mes oreilles qu’elle se met ensuite à mordiller, ce que je trouve très stimulant.

Au bout de plusieurs minutes, Alice se redresse, en faisant glisser ses mains pour les poser cette fois sur mon gros ventre, et tandis qu’elle continue ses mouvements du bassin, elle recommence à se déhancher. J’en profite alors pour mettre mes propres mains sur sa lourde poitrine, que je caresse un moment, avant de m’intéresser à ses tétons. Ces derniers ne m’ont pas attendu pour s’ériger, mais sous mes doigts, ils deviennent de plus en plus durs, et le fait que je les agace provoque à ma call-girl imaginaire des petits geignements. Cependant, étant donné que pour la première fois depuis qu’elle est entrée dans la chambre, elle me regarde droit dans les yeux, je sais que je ne lui fais pas mal, mais qu’au contraire, elle apprécie mes caresses.

Mon petit bout de femme finit par être emportée par l’orgasme, ce que je sens aux contractions de son vagin, et que j’entends grâce au gémissement qu’elle pousse à ce moment-là, que je trouve comme les autres fois mélodieux. Bien entendu, le fait que ma queue soit délicieusement massée par ses spasmes provoque mon éjaculation, et tandis que mon sperme gicle en elle, Alice se couche sur moi en posant sa tête sur mon épaule, pendant que je lui caresse les fesses et le dos.

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Nous prenons quelques instants pour récupérer, puis ma call-girl imaginaire me demande, sur un ton légèrement ironique :

Monsieur a-t-il été satisfait par ma prestation ?

Je lui réponds très sérieusement :

Absolument. L’avantage des amatrices par rapport aux professionnelles, c’est qu’elles ne baisent pas de façon mécanique, mais qu’elles s’investissent. C’est pour cette raison que je pense que nous allons nous revoir souvent.

Elle éclate alors de rire, puis j’ajoute moi aussi amusé par la situation :

L’idéal serait que tu me fasses un forfait en tenant compte des fellations et de la sodomie.

Mon petit bout de femme réplique aussitôt :

Si Monsieur désire également m’enculer, je vais me renseigner pour savoir combien je peux lui vendre mon pucelage anal.

À suivre.

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