Au bout de quelques minutes, on se retrouva à lhôtel. Le concierge dormait. Il ne se rendit guère compte de notre arrivée. Je pris une douche à la hâte pour céder la place à ma mère. En sortant de la salle de bain, je constatai quun seul lit était minutieusement bien préparé alors que lautre servait juste de débarras pour les affaires de maman. « On couchera sur celui-là, me dit ma mère, il est plus confortable que lautre. Je lai essayé. » Sans attendre de réplique, elle se précipita à la salle de bains. Quelques minutes plus tard, elle en sortit. Surprise! Elle portait une nuisette blanche et un string noir comme dans les fantasmes que je lui avais révélés par internet. Un parfum follement excitant emplit la chambre et enfla davantage mon sexe. Sans hésiter un seul moment, je la prend par les hanche et je lui colle sur les lèvres un long baiser. Je lapproche du lit, debout tous les deux, je lui enlève sa nuisette, je lui lèche le cou, les oreilles, la joue, les yeux, le visage. Puis je mordille ces seins qui soffrent à moi. Le goût délicieusement amer du parfum vaporisé sur la chair de sa poitrine me fait perdre la tête. Ses deux avant-bras me couvrent le visage, me serrent contre elle avec des gémissements de plus en plus intenses. Elle me prend par les épaules, sassoit sur le bord du lit et commence à menlever mon caleçon. Elle saisit mon sexe et le lèche doucement puis lenfonce petit à petit dans sa bouche. Je sens sa langue caresser ma verge mise en mouvement, va et vient avec sa main droite. Extrêmement excité, je suis sur le point déjaculer. Tout doucement, je retire ma bite de sa bouche, je la fais allonger sur le lit et je me mets en face delle. Je lui tiens le pied gauche avec une grande délicatesse et jenfonce ses orteils dans ma bouche en les léchant, les mordillant puis je commence la montée. De ses deux mains, maman me caressait fortement les cheveux. Je lèche et je mordille ses mollets, ses genoux, ses cuisses puis jarrive au bas-ventre. Avec ma langue je touche cette partie encore cachée par le string. Les poils de son bas-ventre rasés, me semble-t’il, il y a un ou deux jours, me piquent agréablement les lèvres et ajoutent une bonne dose à mon excitation qui sintensifie à mesure que ma mère lève les hanches pour mieux moffrir son organe intime. Je la saisis par les fesses, elle se relève légèrement et je lui enlève sa culotte. Je lui lèche les cuisses, les lèvres de son vagin et jenfonce ma langue dedans. Cest moite, visqueux et délicieux. Je remonte, jenfonce ma langue dans sa bouche. Maintenant, je sens les picotements de sa chatte mi-rasée au bout de mon sexe. Elle le saisit et lengloutit doucement dans son vagin. Chaud, humide, il recevait morceau par morceau ma verge tellement grosse que jai la sensation que je vais dépuceler une jeune vierge.
-« Oh Marc! Quel bonheur tu donnes à maman cette nuit! Tu es le seul vrai homme que jai connu! Cest avec toi que je me sens femme mon chéri! »
-« Je suis ton homme maman! et tu es pour moi maintenant! »
-« Oui mon amour et moi je suis ta femme et pour toujours! Donne-moi du plaisir, aime-moi , je suis toute à toi!».
Elle me prend et me met au dessous delle, se met à genoux et fait pénétrer mon sexe dans son vagin. Elle me prend les mains, les place sur ses seins et entame un va et vient ponctué par des gémissements qui annoncent limminence de lexplosion, la sienne et la mienne. Une fois près du but, je la renverse et la cadence saccélère. Je veux sortir ma bite pour lui arroser la poitrine avec ma semence mais elle me retire la main en me disant: « Non, je le veux en moi! je veux le sentir en moi! » Avant même quelle termine sa requête, son vagin, fané depuis des années, retrouve la vie et le plaisir. « Mon dieu! Je vais mévanouir de plaisir et de bonheur! Merci mon amour! ».