Ulrich, reverse de l’huile sur le corps d’Isabelle qui est encore secoué de spasmes, ses mains voyagent sur ce corps superbe, elles s’attardent sur le ventre plat, se faufilent dans l’entrejambe, caressent longuement la vulve gonflée. Isabelle geint, lorsque Ulrich lui branle à nouveau le clito, elle soupire violemment, en agitant sa croupe. Une femme d’un certain âge du premier rang s’approche, Ryan veut l’en empêcher, Ulrich l’arrête.
Non laisse-la venir, cela ne peut être que bénéfique pour ta femme !
Ryan se rassied, un peu ronchon. La vieille femme commence à caresser les seins d’Isabelle, elle fait des signes de la tête pour protester. Mais la femme l’ignore totalement, et lui pétrit fermement les lobs mammaires, elle prend entre ses doigts les tétons, les roule, les étire puis les presse de plus en plus fort. Isabelle souffle comme un animal, lorsque les doigts du maître s’enfoncent dans sa gaine brûlante et la fouille doucement, la pression remonte d’un cran en elle. La femme pose sa bouche sur un mamelon et le suce férocement, le téton se dresse lentement, et devient énorme. Isabelle ne peut retenir ses râles de plaisir. Ulrich retire ses doigts du temple en feu, détache les poignets de la soumise, rapidement, du revers de la main, Isabelle essuie ses lèvres engluées de restant de sperme. La femme s’évertue à faire augmenter de volume aux mamelons, les jugeant tendus au maximum, elle les délaisse et fixe Isabelle avec son regard noir.
Elle pose ses lèvres minces sur celle d’Isabelle, Isabelle réagit négativement. En repoussant la femme sèchement, un peu outrée, la vieille lui écrase un mamelon. Isabelle grimace, Ulrich intervient.
Laisse-toi aller ma chérie, c’est bon pour ton éducation !
Isabelle fronce des sourcils, la vieille ne perd pas le nord et repose ses lèvres sur les siennes, Isabelle soupire en acceptant le baiser, les langues se nouent, les salives se mêlent. Le baiser dure un bon moment, les bras d’Isabelle s’accrochent au cou de la femme, la garce en profite elle y prend du plaisir, elle remplit de sa salive la bouche d’Isabelle, qui l’avale sans rechigner. Ulrich interrompt le mélange de langues, sa queue pend entre ses jambes il l’offre à la bouche de la vieille femme, sûrement une habituée, car Ulrich l’appelle par son prénom, elle saisit d’une main le drapeau en berne et commence à le branler en souriant, rapidement la bête redresse la tête, la femme donne quelques coups de langue sur le gland pour faire durcir davantage le monstre imposant. Ulrich renvoie la femme à sa place en la remerciant. Il se place entre les cuisses d’Isabelle, frotte son pieu contre la vulve dégoulinante, la saisit par le haut des cuisses, et pousse doucement.
Isabelle, ferme les yeux, ouvre toute grande la bouche comme si elle manquait d’air. Le pieu énorme s’enfonce lentement en elle, elle pousse un râle rauque pendant toute la pénétration. Les couilles velues cognent enfin contre sa chatte distendue. Le va-et-vient commence, la bite coulisse très lentement dans le fourreau de chair, Isabelle commence à geindre de plaisir. Ryan son mari est comblé, il se lèche les lèvres en encourageant sa compagne:
Oui ma chérie donne-toi, laisse-toi aller ne te retiens pas !
À chaque aller-retour de la bite hors norme dans ses entrailles, Isabelle gémit:
Oui oh mon Dieu que c’est trop bon Ryan Ryan mon chéri je vais mourir !
La tension est à son comble. Ulrich accélère, ses coups de boutoir deviennent violents, Isabelle se mord la main pour étouffer ses gémissements de plaisir. Ryan se lève, et rapidement s’approche de sa femme il l’embrasse sur tout le visage :
Je t’aime, je t’aime mon amour, prends du plaisir, jouis, jouis !
C’est les yeux embués de larmes qu’Isabelle lui répond :
Oui mon chéri, je vais jouir, comme il me prend bien ce monstre d’Ulrich, c’est trop bon !
La queue luisante de cyprine, entre et ressort à vive allure, Isabelle serre les dents, se cabre et ne peut s’empêcher de hurler de jouissance. Ryan l’embrasse comme pour le remercier. Ulrich donne de violents coups de reins, à chaque enfoncement du membre, ses couilles frappent la chatte détrempée, le gland imposant bute contre le col de l’utérus, cela a pour effet de faire jouir Isabelle davantage. Le mâle puissant se bloque et envoie en grognant son sperme épais au plus profond d’Isabelle. Il donne encore quelques coups de reins pour bien se vider en elle, enfin il retire sa verge gluante, la presse comme s’il voulait l’étrangler. Du jus s’écoule du gland et tombe sur le sol. Du trou béant s’écoule le surplus de sperme. Dans les gradins, c’est la liesse, les applaudissements sont ininterrompus, Ryan applaudit le plus fort, il sest même levé de son siège. Ulrich donne à la bouche dIsabelle sa queue gluante, elle saisit la hampe, et lèche sans retenue le mat large et épais.
Il retire les sangles des chevilles de la soumise, et lui demande de se mettre sur le ventre. Il lui place sous le ventre un épais coussin de cuir. Il regarde Ryan en souriant, Ryan acquiesce d’un signe de tête. Ulrich verse sur les fesses rebondies, une bonne quantité d’huile parfumée. Le précieux liquide coule dans la raie, l’homme prend soin d’en badigeonner abondamment l’illet. Doucement, il appuie un doigt sur la pastille brune, la première phalange s’enfonce facilement. Isabelle proteste:
Non pas par là Ulrich stp !
Ma chérie il faut de décoincer de partout, tu verras tu en redemanderas !
Tu as une bite monstrueuse, tu vas me déchirer !
OK, je vais donc demander à ton mari de le faire alors !
Elle répond par un signe de tête, Ryan n’en revient pas, qu’Isabelle veut que ce soit lui qui lui déflore le cul. Il s’approche, une bosse énorme déforme son pantalon, car il a bien suivi les ébats le cochon et cela l’a bien excité. Ulrich enfonce le doigt entièrement dans le rectum d’Isabelle, elle se cabre légèrement, l’intrus fouille la gaine étroite puis ressort, il pose sa bouche sur l’anus, et force l’entrée avec la pointe de sa langue, il sait y faire le coquin, car Isabelle geint en agitant sa croupe. La langue râpeuse fait gémir de plus en plus fort la soumise:
Mon Dieu mon Dieu, je suis devenue une chienne oh c’est trooop bon !
Ulrich cède la place à Ryan, il a déjà retiré son pantalon sa queue et super raide, il la plaque entre les lobs fessiers à la recherche de l’anneau ridé. C’est Ulrich qui lui maintient contre la petite porte, Ryan s’accroche aux hanches larges de son épouse et pousse fortement. L’anneau bien huilé cède et avale petit à petit le pal gorgé de sang. Isabelle a la bouche ouverte, aucun son n’en sort, ses yeux sont grands ouverts. Lentement, la bite s’enfonce irrémédiablement dans le conduit anal. Une fois à fond, Ryan laisse à Isabelle le temps de reprendre ses esprits. Il commence un très lent va-et-vient, sa femme grimace, mais au fur et à mesure des va-et-vient, elle commence à prendre du plaisir. Ses gémissements deviennent bruyants, elle agite de plus en plus rapidement sa croupe pour que l’empalement soit total. Ryan lance les chevaux, il donne de violents coups de reins, la cadence ne cesse d’augmenter. Isabelle pousse des :
Mon Dieu mon Dieu, Ryan mon amour encule-moi bien à fond ohhh comme c’est délicieux, n’arrête pas mon chéri défonce-moi comme une chienne !
Les râles résonnent dans la pièce, les commentaires fusent dans les gradins.
Pour une qui n’aimait pas ça, eh bien elle se démène comme une cheffe !
Elle ondule bien du cul la garce comme j’aimerais être à sa place ! grogne une femme qui se masturbe farouchement.
Les assauts répétés de Ryan, ont vite raison d’Isabelle, elle pousse un cri terrifiant et gicle sur le coussin, sa jouissance et terrible, un jet continu sort de sa chatte en ébullition. Son mari se bloque, et éjacule fortement dans le fondement de sa femme qui ne cesse de gémir. Ulrich lui demande de se retirer, déçu Ryan s’exécute. Ulrich positionne son monstre à l’entrée du trou qui ne sest pas encore refermé, il donne un coup de reins terrible. Isabelle hurle de douleur, le monstre s’enfonce en elle jusqu’aux couilles. Le ramonage et puissant, les coups de bélier violents. Isabelle halète, sa tête bascule de gauche à droite, son visage est déformé par un rictus affreux, sa respiration est rapide son souffle court. A la commissure de ses lèvres s’écoule un filet de bave.
Son cul est dilaté à l’extrême, elle s’accroche à la table du mieux qu’elle peut, son plaisir prend le dessus, elle grogne comme un animal elle donne, de violents coups de cul, sa croupe va à la rencontre des couilles de son enculeur. Soudain elle pousse un cri d’enfer et gicle toute la cyprine qu’elle a dans le corps. Ulrich la défonce encore un bon moment, avant de répandre sa semence dans l’intestin de sa proie. La séance est terminée, Isabelle est félicitée par le public, Ulrich et par son mari qui ne cesse de l’embrasser.
