Sophie ne m’a toujours pas appelé ou peut-être n’ai-je pas entendu. Effectivement, elle m’a laissé un SMS : « Coralie, j’ai bien eu votre appel mais je n’étais pas disponible. Je peux vous proposer de venir prendre l’apéritif ver 20h à l’adresse qui figure sur ma carte. Etes-vous libre ? »
Je réponds immédiatement « OK 20h ».
Le temps de passer à l’appartement puisqu’elle habite dans l’immeuble en face, j’en profite pour prendre une douche. En me rhabillant, je me caresse les seins et m’amuse avec les poils de ma touffe en pensant à ma première conquête.
Je voulais me gouiner eh bien c’est bien parti.
Je décide de ne pas changer de tenue puisqu’elle a fait de l’effet à ma patronne mais j’enfile quand même un string qui a du mal à contenir toute ma toison.
20h je sonne à l’interphone.
« C’est Coralie »
« Je vous ouvre dernier étage, 6ème l’ascenseur ouvre directement dans l’appartement. Je suis prête »
« Je suis prête ? » que veut-elle dire ? Nous n’avons pas prévu de sortir ?
Arrivée au 6ème effectivement la porte s’ouvre sur une entrée richement décorée avec lumière tamisée tout dans les tons de rouge.
Karine m’accueille dans la parure qu’elle a achetée au magasin. Elle a chaussé de grandes cuissardes à talons hauts, défait ses cheveux qui tombent en rivière sur son déshabillé transparent. Le soutien-gorge, objet de notre rencontre de ce matin, met sa splendide poitrine en valeur. Elle est magnifique.
« Que vous êtes belle dans cette tenue très excitante ! »
Elle me prend par la main.
« Venez au salon j’ai préparé le champagne pour fêter notre rencontre. »
Le salon est une grande pièce avec de larges baies vitrées mais élégamment occultées par de légers voilages roses. L’ambiance est tamisée à l’aide de LEDS savamment disposées. Un canapé d’angle fait face à une table en bois massif sur laquelle sont posées les coupes et la bouteille de champagne. Sur le sol carrelé, à côté de la table est étendu un immense tapis aux dessins géométriques agrémenté de coussin aux couleurs variées
Au fond la pièce j’aperçois une vitrine dans laquelle je crois distinguer de nombreux objets ressemblant à des sex toys le ton est donné quant à l’utilisation de ce salon.
« Asseyez-vous Coralie. Si vous m’avez rappelé après notre entrevue de ce matin et que vous êtes là, c’est pour que nous baisions ? »
Je suis un peu surprise de l’entrée en matière mais après tout c’est la réalité.
« Oui, au magasin vous m’avez tellement excité malgré nos très brefs attouchements que j’ai pensé à vous toute la journée et je me suis même masturbée en imaginant cette soirée. Ce sein qui a frôlé ma bouche m’a donné envie de vous caresser de partout et votre réaction m’a confirmé mon impression : vous devez aimer les femmes.
« C’est vrai, j’aime le contact avec un corps féminin et mon métier me donne beaucoup d’occasions de me satisfaire ..et de satisfaire certaines de mes clientes. »
"Nous avons la même idée, moi je commence juste au magasin, vous êtes la première »
« Je vois que vous me détaillez avec un regard appuyé sur mon entrecuisse. Si nous buvions un peu à notre rencontre ? »
« C’est la vue que je préfère pour l’instant, j’aperçois sous votre string que votre chatte doit être très velue et j’adore cela »
Sophie se lève pour verser à boire me gratifiant d’une vue particulièrement excitante sur une poitrine qui est presque sortie de son soutien-gorge. Je sens que je commence à mouiller.
« Coralie, vous êtes chez moi et c’est moi qui vais vous commander. Vous allez être mon jouet sexuel mais rassurez-vous vous ne serez pas déçue. Etes-vous d’accord ? »
« Oui tout à fait »
« Bon ma salope, tu vas commencer à me faire un striptease langoureux jusqu’à ce que tu sois complètement à poil. Pendant ce temps je me branlerai. Mets-toi au milieu du tapis »
Je me lève donc après avoir reposé ma coupe de champ et défais mes cheveux attachés en chignon. Je les lisse lentement le long de mon cou. Je déboutonne ma veste de tailleur, la fais glisser lentement sur mes épaules et la laisse tomber à terre.
Je sens mes seins gonfler et les tétons se durcir. En passant mes mains sous les bonnets, je fais jaillir mes mamelles, je dégrafe le soutien-gorge et le lance à la figure de Sophie qui l’attrape pour de caresser la chatte avec.
Partant de mes chevilles, je remonte lentement mes mains le long de mes jambes, de mes cuisses, en faisant crisser mes bas, puis ces caresses s’attardent sur ma jupe que je remonte pour découvrir mes jarretelles. Ma culotte est déjà trempe de mouille. Je la descends jusqu’à mi-mollet et la jupe toujours relevée, je me branle abondamment jusqu’à faire jaillir un jet de cyprine comme une femme fontaine.
« Continue à pisser sur ton slip et envoie-le-moi que je suce ta mouille » m’ordonne Sophie.
Lorsqu’elle reçoit l’objet de son désir, elle mélange son jus au mien et passe le slip sur sa figure et sur ses seins qu’elle a fait sortir de son soutien-gorge.
M’approchant de la table basse, je saisis la bouteille de champagne (une demi-bouteille), suce le goulot et me l’introduis dans la chatte. Les va-et-vient font que je sens le liquide m’asperger le clitoris, et déclencher un nouveau jet de mouille. La bouteille a presque entièrement pénétré mon con.
« Coralie, je n’en peux plus, viens me bouffer, je veux jouir avec ta langue »
Délaissant mon jouet, je m’approche et lui demande de se mettre debout jambes écartées.
En lui léchant les cuissardes puis les cuisses à travers ses bas trempes de jus, je remonte jusqu’à sa toison et aspire goulument son clito.
« Vas-y, vas-y, suce c’est bon, mets-moi un doigt dans le cul »
Ce n’est pas un doigt que je lui mets mais en attrapant la bouteille de champagne, je lui introduis sans difficulté le goulot en entier.
« C’est merveilleux ! Enfonce, plus loin ! Continue à sucer, je vais jouir. Je monte, c’est bon, c’est bon ! »
Et là Sophie éclate littéralement en poussant un râle de bête assouvie.
« Tu es une sacrée salope ma Coralie, nous allons arrêter pour ce soir. Terminons le champagne qui doit avoir un sacré goût de chatte humide. Il faut programmer une prochaine rencontre et ce sera toi qui dirigeras la partie »
« Mais Sophie, vous avez conscience que moi je n’ai pratiquement pas joui ? »
« Oui ma petite Coralie mais je t’avais annoncé la couleur, je voulais décider de ma jouissance et la prochaine fois tu ne seras pas déçue, je ferai ce que tu voudras »
« OK je vous imposerai une partie à trois avec ma patronne, je crois que c’est une sacrée gouine, elle a voulu que je la suce dans son bureau et m’a promis de m’inviter chez elle, mais nous pourrions venir chez vous car j’ai remarqué les objets dans la vitrine là-bas, nous devrions bien nous amuser. »
« Je suis d’accord, j’aussi une sexe machine que je vous monterai et vous ferai essayer »
Je me rhabille toujours excitée par son corps que j’avais trouvé tant désirable au magasin. Mais je dois me résigner, la partie est terminée.
« Laisse-moi ta culotte, je vais la porter jusqu’à ce qu’on se revoie. Elle ne dépareillera pas avec ce que j’ai acheté au magasin »
« OK mais donnant donnant, j’enfile la vôtre »
Nous nous quittons avec un baiser sur la bouche et je ne peux m’empêcher de passer ma main entre ses cuisses encore toutes mouillées.
Dans l’ascenseur, je passe ma main sous ma jupe pour caresser cette culotte et avec un doigt, j’enfonce le tissu dans ma chatte, j’ai hâte d’être à la maison, j’ai envie de me branler en pensant à la partie à trois que je vais préparer.
Pour mes débuts de gouine, je trouve que je fais fort mais ça me conforte de voir que les vidéos pornos ne sont pas forcément inventées pour les voyeurs que cela existe bien dans la vraie vie.
Arrivée à l’appartement, l’envie de me branler m’a passé. Je me contente d’un yaourt, de quelques fruits avec un coca et quand même un peu fatiguée, je m’endors sur le canapé sans même allumer la télé.
Demain il faut revenir au boulot et si j’ai l’occasion, présenter mon projet à ma patronne.
