Au petit matin, j’émerge des limbes, le corps un peu endolori des ébats de la veille. Mon… ma chatte se rappelle à mon souvenir. Je me suis quand même fait baiser par plusieurs belles queues… dont celle de Carole qui dort encore tout près de moi. Elle est magnifique. Allongée sur le dos, je peux admirer sa belle poitrine aux tétons proéminents. Je ne résiste pas à me pencher vers eux pour les saisir entre mes lèvres. Du bout de la langue, je les titille, lèche le pourtour avant de les aspirer doucement. Ils réagissent en devenant plus ferme. En même temps, je m’amuse avec les miens en les étirant, m’imaginant posséder moi aussi de tels bouts de seins ! Toujours dans un demi-sommeil, Carole gémit doucement à mes caresses. Sa belle queue est encore couchée sur son ventre, mais elle semble grossir doucement. Ses bourses toutes lisses frémissent, témoins d’un réveil imminent. Agenouillée près d’elle, je fais descendre ma langue le long de son ventre, passant le nombril non sans l’avoir exploré un moment, avant de venir frôler ce joli gland maintenant bien gonflé.
Le membre qui le supporte est suffisamment ferme pour le décoller du ventre, me permettant ainsi de le prendre en bouche. Je le fais glisser doucement entre mes lèvres humides, promenant la langue du méat au frein en passant par la corolle. Cette fois-ci, la réaction est … plus ferme. La verge se dresse encore, m’invitant à l’avaler davantage. Carole ouvre ses cuisses un peu plus en lâchant un long soupir de satisfaction. Elle m’attrape gentiment par les cheveux tout en basculant le bassin pour donner le rythme de la fellation. Je me laisse bien volontiers guider, me faisant baiser la bouche. La queue maintenant bien ferme et juteuse glisse profondément vers ma gorge. Je délaisse mes tétons pour attraper ses couilles et un sein bien ferme. Elle glisse une main entre mes cuisses pour se saisir de ma verge tendue sans lâcher ma tête pour garder la cadence entre ma bouche et ses coups de reins. Sa queue se raidit encore, plongeant toujours plus loin dans ma gorge. Les yeux remplis de larmes, je me laisse guider, heureuse de l’entendre gémir de plus en plus fort.
Je sais que dans quelques instants, elle déversera sa semence au fond de ma gorge. Elle se saisit fermement de ma verge durcie, emprisonnant dans le même temps mes bourses gonflées. Cette douleur excitante m’incite à plonger plus loin encore sur son pieu dressé. Elle se cambre enfin, lâchant un long râle de plaisir, avant de se laisser aller au fond de ma gorge et chaque jet de sperme est accompagné d’un coup de reins. J’avale sa liqueur avec plaisir, savourant pleinement cette offrande matinale. Je la laisse reprendre ses esprits, gardant son membre en bouche, suçant doucement le gland devenu hyper sensible du bout de la langue. Elle continue à me masturber doucement, étalant avec son pouce le liquide séminal s’écoulant de mon méat. Je frémis à chaque passage, prête à exploser à mon tour.
— Allez ma belle, allons déjeuner maintenant lance-t-elle tout en se redressant, sinon tu risques de jouir trop vite !
Je l’implore du regard, sentant ma queue tendue à l’extrême. Je résiste à l’envie de me branler et me serre contre elle.
— Merci ma chérie, me dit-elle en me caressant la tête. Ce réveil est bien agréable… et te garder dans cet état est tout aussi plaisant pour moi ! ajoute-t-elle en passant ses doigts sous ma queue.
Elle enfile une combinaison en dentelle et me tire par la main, m’entraînant vers la cuisine où Madame nous accueille avec un grand sourire.
Une fois le petit-déjeuner avalé, je traîne sur la terrasse avec Carole.
— Dis-moi Chérie, que vas-tu faire après l’été ?
Je lui explique rapidement mon programme : rentrée à la fac … sociologie… mais je ne sais pas trop quoi faire.
— Tu sais, j’aimerais travailler dans l’hôtellerie…
— Dans l’hôtellerie ? Super ! Tu sais que Franck et Annie, qui étaient là hier soir, possèdent un hôtel… et je t’y verrais bien en soubrette… ajoute-t-elle avec un grand sourire.
— En soubrette ?! Je ne vais quand même pas travailler en … fille !
— Mais pourquoi pas ! Tu es si jolie ma chérie. Et je suis sûre que Franck apprécierait de t’avoir sous la main, tout comme Annie d’ailleurs !
— Mais je ne sais pas si ma mère…
— Laisse-moi lui en parler si tu veux ! Je vais en dire deux mots à Franck et Annie aussi !
Elle me prend dans ses bras pour m’embrasser.
— Lucie !
C’est Madame qui m’appelle.
— Pourrais-tu monter le petit-déjeuner à Monsieur et Léa, sinon ils ne vont jamais manger !
— Bien sûr Madame.
J’attrape le plateau qu’elle vient de préparer et monte dans la chambre de Monsieur. Je le trouve couché aux côtés de Léa. Elle dort contre lui, la tête sur son épaule. Sur le dos, il me regarde approcher avec un grand sourire. Il bande à moitié mais ma venue semble lui plaire car son membre prend rapidement de la vigueur.
— Pose ça là et en attendant qu’elle se réveille, tu peux me sucer ! me dit-il doucement en me tirant le bras.
Je m’agenouille bien volontiers près du lit et le prends en bouche. Voilà déjà ma deuxième fellation de la journée ! Et j’avoue que cela ne me déplaît pas du tout ! Léa ouvre les yeux et me sourit. J’engloutis plus rapidement la verge dressée et maintenant bien humide tout en malaxant les couilles. Monsieur gémit, puis se tourne vers Léa pour l’embrasser à pleine bouche. Il lui caresse les seins.
— Ma queue doit avoir du goût ce matin ! Avec tous les endroits où je te l’ai fourrée !
— Humm oui chéri ! Dhabitude, je n’aime pas trop me faire prendre par-derrière, mais je dois dire que tu sais y faire ! Sarah doit se faire prendre souvent par là.
— Ho oui, et elle aime ça ! dit-il avant de se raidir.
— Tu suces toujours aussi bien toi ! me lance-t-il et de commencer à donner des coups de reins. Je te reprendrais bien tout de suite ! dit-il à Léa.
— Ecoute, ça ira pour moi ce matin… mais je pense que tu peux te servir de sa chatte à elle ! ajoute-t-elle en me désignant d’un signe de tête.
Je le suce toujours goulûment tout en le regardant. Je sens déjà ma rondelle s’humidifier de plaisir.
— Et toi tu n’es pas contre, je suppose !
Il me repousse et je me place à quatre pattes sur le lit, la tête dans le drap et les cuisses bien ouvertes. Léa me caresse la fesse alors que Monsieur se positionne pour placer son gland sur mon anus palpitant. D’un seul coup, il est en moi. Je me contracte sur lui, comme pour le retenir. Léa l’embrasse une nouvelle fois et se lève. Monsieur me laboure le fondement sans ménagement tout en regardant Léa quitter la pièce en disant :
— Je vais prendre une douche… Merci Lucie de t’occuper de lui comme ça… tu es une perle…
Monsieur me lime avec application, claquant son ventre sur mes fesses, faisant toucher nos couilles. Il est en forme ce matin ! Ma queue bat la mesure sous mon ventre. Décidément, personne ne veut me masturber ce matin. Il est sur le point de jouir maintenant. Il se raidit et force encore davantage ses coups de reins qu’il accompagne d’un ahanement presque bestial. Il jouit soudain, lâchant sa semence dans mes entrailles en se plaquant contre mes fesses en tenant fermement mes hanches. Un long râle de plaisir ponctue son coït et il s’assoit sur ses chevilles, en me gardant contre lui. Je me retrouve assise sur ses cuisses, toujours empalée sur son membre qui ne débande pas. Il me tient par la taille et me caresse doucement les couilles. Je suis au bord de l’explosion et il semble en profiter.
Madame fait son entrée dans la chambre.
— Je me disais bien aussi ! nous lance-t-elle avec un grand sourire.
Puis elle s’approche en agitant sa main.
— Ma petite chérie, il faudrait remettre cette jolie petite chose !
— Ho Madame… mais je …
— Oui, je sais, t’aimerais bien te caresser un peu ! Mais non ! Viens avec moi !
Je me redresse doucement en laissant glisser la queue de Monsieur hors de ma rondelle et je rejoins Madame dans la salle de bain où elle me fait assoir sur le bidet. Je sens la semence de Monsieur s’écouler. Léa termine sa douche, elle s’essuie en regardant son amie manipuler la cage de chasteté avec dextérité. Un bon jet d’eau glacée sur ma queue a vite fait de la faire reprendre la petite taille nécessaire pour pouvoir la glisser dans la pièce en plastique. La voilà verrouillée par le cadenas et moi prisonnière de cette cage et de mes pulsions.
— Elle est vraiment très serviable cette petite, dit Léa à Madame. S’occuper ainsi de ton homme le matin…
— Elle est géniale ! Comme ça Jacques est plus cool ! Marie aussi est pas mal ! Elle m’a réveillée tout en douceur tout à l’heure !
— C’est vrai qu’elle peut être douce comme ça ! Je suis plutôt à l’enfermer le soir dans son placard…
— Elle ne dort pas avec toi ?
— J’suis à cran en ce moment, le boulot… alors le soir je me défoule….. sur elle bien sûr ! Tu sais elle devient de plus en plus maso… elle sait qu’après, je passe une bonne nuit…
Je m’éclipse discrètement de la salle de bain. J’enfile les sandales à talon et une petite nuisette et je file à la cuisine. Il y a du travail !
Je m’affaire un bon moment pour remettre de l’ordre dans la maison. Je fais tout ça très naturellement. Carole discute au téléphone sur la terrasse. Léa et Sarah parlent toutes les deux au salon. Monsieur n’est toujours descendu. Je pense qu’il est allé trouver Marie. J’ai entendu des bruits… bizarres.