J’ai continué à rencontrer Pierre pendant quelques mois, ce dernier m’offrant encore parfois des dessous de toutes sortes, avec robes ou jupes et escarpins. Je prenais de plus en plus de plaisir à me vêtir en femme pour lui. J’osais aussi, par le net, à m’offrir des dessous qui me plaisait, ma préférence allant régulièrement vers les body strings, sans oublier pour autant les autres. Je réussis même à le surprendre en venant chez lui avec un body tout en résille. Je laissais aussi pousser mes cheveux qui commençaient à m’arriver aux épaules, en boucles brunes. Mais au fil des semaines, je voyais de moins en moins Pierre, le soupçonnant d’avoir trouvé une nouvelle proie et une nouvelle coquine qui cherchait à se découvrir.

Aussi, je retournais sur le net, après presque un mois d’abstinence sexuelle, sauf avec une femme, avec un plaisir moyen, encore qu’elle aimait la sodomie. Après quelques journées de connections infructueuses, un métis se présenta à moi. Gentil, poli, gourmand à ce qu’il semblait dire, aimant les hommes-femme, se prénommant Sylvain. On communiqua quelques jours avant que je réponde de manière positive à une rencontre jusqu’à ce qu’il me propose qu’on soit trois. Je n’en avais jamais eu l’idée (enfin, si, mais avec 2 femmes). Je répondais que je n’étais pas trop chaud. Il n’insista pas, et nous convenions d’un rendez-vous chez moi pour le jeudi suivant (nous étions un mardi).

Le jeudi, je rentrais vite du travail afin de me préparer. Une douche et une épilation totale. Depuis Pierre, je prenais plaisir à entretenir mes poils, mais là, je faisais vraiment attention, et je choisissais mes dessous avec soin. Un bustier noir bordé de rouge avec le string, les bas, porte-jarretelles et bas assortis, une robe mi-cuisse noir, et des escarpins pas trop haut. Je préparais même un petit apéro, en étant inquiet et impatient.

Finalement, le moi féminin pris le dessus, et j’écrirais au féminin à partir de ce moment, car c’est totalement dans cet esprit que j’étais.

A l’heure dite, pile précis, on sonna à ma porte. Je regardais par le judas pour être sure de ne pas ouvrir sur une erreur, mais non. J’aperçus un beau métis à ce qu’il me semblait. J’ouvris la porte le coeur battant, devant un grand métis, avec un sourire ravageur qui me dit juste "Laetitia?" et me claqua deux bises puis me tendis un bouquet. Ce que je n’avais pas vu, c’était son copain, plus petit que lui, donc caché, qui me souris timidement. Quand je dis plus petit, tout est relatif par rapport à moi. Sylvain faisait bien son mètre 90 comme dit, et son ami plus d’1m80… donc les 2 plus grand que moi. Si sylvain était métis, son ami était très noir de peau.

— Je te présente Habib. C’est mon meilleur pote. Tu m’excuseras, mais il était curieux et seul ce soir. T’inquiètes pas, il ne fera rien si tu ne veux pas.

— Tu aurais pu prévenir quand même! C’est un minimum…

— Désolé… euh… mademoiselle? J’ai apporté une bouteille, mais je peux partir si vous préférez.

— Merci Habib… ben… rentre maintenant, c’est trop tard. Ce n’est pas à toi que j’en veux.

Il avait un sourire désarmant. A la fois timide et coquin. Et puis, c’était trop tard. Je les faisais entrer dans mon salon et les laissais s’installer. Habib hésitait à s’asseoir sur le canapé, toujours prêt à partir.

Je servais du vin. Un petit blanc s’installa, que rompit vite Sylvain.

— Tu te disais féminine, mais je ne pensais pas à ce point. je suis bluffé. Hein Habib?

— …. heu… oui

— Il est timide Habib. Bon, maintenant que tu as fait la maîtresse de maison, assieds toi.

Je m’exécutais, m’asseyant entre les 2, Habib s’écartant même un peu afin de me laisser plus de place. Sylvain plaçais une de ses mains sous mes fesses au moment ou je m’asseyais, profitant de me palper le cul, avant de la retirer et de la poser sur ma cuisse. Nous discutâmes quelques moments encore, je sentais la main de sylvain remonter plus haut à chaque moment jusqu’à atteindre la lisière de mes bas, moment choisi pour qu’il m’embrasse le cou et me prenne la main pour la mettre sur son pantalon. Sous mes doigts, je sentais une bosse que je n’avais jamais connu encore… j’étais presque impatiente de la voir et de la sentir pour de vrai.

— On va peut-être passer au chose sérieuse Laetitia, non? je ne suis pas venu pour boire qu’un apéro…

— Que proposes-tu? demandais je en palpant sa queue à travers son pantalon

— Tu veux gouter un autre apéro je suis sur… Mais celui-la est à pression…

et il déboutonna son pantalon, sortant sa queue, car sans dessous. Je voyais une queue plus grande et plus grosse que celle de Pierre. Brune et bien bandée, circoncise, un gland un peu plus gros que la base. Sans trop hésiter, je posais ma main dessus et commençais à le branler. Puis je tombais du canapé pour me placer entre ses cuisses pour commencer à téter son gland. J’avais presque oublier cet odeur de mâle, ce goût à la fois fort et enivrant, j’avalais son gland de plus en plus pour absorber sa hampe petit à petit. Je revenais régulièrement à son gland pour passer ma langue autour, l’avaler, presser mon palais dessus et l’absorber plus loin. J’essayais d’en prendre le plus possible. Je descendais presque jusqu’à ses couilles quand il s’est décidé ) virer son pantalon. J’avais accès à tout son matos. Je reprenais ma fellation goulûment, allant gober ses couilles, ce qui avait l’air de lui plaire. Pendant ma gâterie, il s’est penché pour relever ma robe sur mes hanches et me caresser le cul. J’ai cru que sa queue bandait encore plus. En sentant sa main et ses doigt se perdre dans ma raie, j’ai avalé un peu plus de sa queue encore.

— Un string, des porte-jarretelles, décidément très bandante. Viens sur le canapé Laetitia, tu seras mieux…

Décidément, c’est une manie. Habib se lève et se met sur l’accoudoir du canapé, il a mon cul en pleine vue, que je cambre. Je reprends ma pipe, alors que Sylvain me prends le string et le tire vers le haut, me le rentrant encore plus fort dans la raie, il jouait avec la ficelle, avant de finalement me l’écarter. C’est sa main que j’ai d’abord senti me caresser puis me pétrir les fesses pendant que l’autre se posait sur ma tête. Enfin, ses doigts glissèrent le long de ma raie, pour revenir de plus en plus sur ma rosette et finalement s’y introduire lentement.

— mmmh, c’est serré, chaud et presque humide. Je suis sur qu’un jour tu mouilleras du cul. Il me branlait la rondelle lentement ce qui, bien sur, me fit gémir à un moment.

— T’aimes vraiment ça, avoir quelque chose dans le cul, hein?

— ouiii. répondis-je en reprenant sa queue en bouche. Elle était luisante de ma salive, j’adorais sentir à chaque fois son gland entre mes lèvres, passer ma langue sur son méat ou faire le tour de son gland.

— Putain, elle suce super bien Habib, tu devrais essayer. ouaaah, je vais lui remplir la bouche bientôt.

Sylvain retirait son doigt pour venir le sucer et m’en remettre deux dans le cul, me préparant l’anneau avec douceur, mais fermeté. Son pistonnage dura un moment, faisant augmenter le nombre et l’intensité de mes gémissements lorsque sans prévenir, ma bouche se trouva inonder de son jus chaud. Plusieurs jets puissants qui me remplirent la bouche. J’eus presque du mal à tout avaler, en laissant un peu couler le long de mon menton alors que Sylvain râlait de plaisir. Il avait un goût un peu différent de celui de Pierre, peut-être plus poivré. Je m’appliquais à nettoyer sa bite, elle ramollissait un peu, mais gardait une certaine fermeté et grosseur.

— T’aimes ça bouffer du dard Laetitia? Je me relevais pour lui répondre

— Oui, j’adore sentir une queue me remplir la bouche et déverser son sperme.

— Si tu veux, y’a Habib… je suis sur qu’il aimerait… et toi aussi.

Je tournais la tête vers lui, pour le voir la queue à la main en train de se palucher lentement. Une queue peut-être un peu moins longue que celle de Sylvain, mais un tantinet plus épaisse. Une belle bite noire, bien droite, raide, un gland parfait. Oh oui, elle me plaisait beaucoup. Je tendais ma main vers ce mandrin ébène pour en apprécier la dureté et la douceur. Sylvain proposa que nous nous mettions à l’aise et dans un endroit plus confortable, ma chambre par exemple. Je me levais pour enlever ma robe et la laisser choir au sol, Sylvain siffla en voyant mes dessous, et s’approcha pour m’enlacer d’un bras, se baisser pour m’embrasser et me glisser un doigt dans la rondelle en même temps. Je gémissais de plaisir dans sa bouche à cette intrusion. Je les emmenais ou me laissait guider, un doigt dans le cul, vers ma chambre.

Je m’installais sur le lit, regardant mes deux hommes se dévétir, surtout Habib dont la peau noire m’attirait. C’est Sylvain qui me rejoignais le premier, glissant sa main sous mes fesses et son doigt dans ma rondelle, me tenant le cou de l’autre main et m’embrassant à pleine bouche. Il mit fin a notre gamelle tout en continuant de me doigter le cul et en me soufflant dans l’oreille

— Tu vas voir, on va te faire couiner comme tu le mérites

— mmmh j’attends que ça, deux belles queues pour moi

Il poussait dans mon dos pour que je me retrouve à 4 pattes, le visage proche de la queue de Habib. Un corps superbe, fin, musclé, des tablettes de chocolat, et surtout sa bite qui m’attendait, j’ouvrais la bouche afin d’en sentir le gland pénétrer entre mes lèvres et dans ma bouche. Je laissais son chibre me pénétrer la bouche lentement, savourant chaque millimètre, l’absorbant petit à petit. Sylvain se mit sur le coté, afin de continuer à me doigter le fion et à me présenter sa queue à sucer. J’alternais donc mon sucage entre ses deux belles queues, commençant à gémir de plaisir sous les doigts de Sylvain et mon plaisir de sucer deux queues.

— Alors, elle suce bien cette petite salope hein?

— …

— Tu n’oses pas répondre? regarde la, elle parait amoureuse de ta queue, je suis sur qu’elle est prête à se faire monter. Hein Laeti, t’as envie de te prendre une queue dans ton petit cul maintenant?

— ouiii, j’ai envie de me faire fourrer, je suis prête, mmmhh

Sylvain se déplaça, sorti du lit et farfouilla dans son sac. J’entendis le bruit d’un sachet qui se déchire, puis après quelques instants un liquide froid sur ma raie et ma rondelle, les doigts de sylvain s’activant dessus, puis sa queue sur ma raie, prenant mes fesses pour l’emprisonner et se branler entre. mmmh, rien que ça, j’avais envie de me faire prendre. Il continuait son manège, pendant que je me délectais de la queue d’Habib entre mes lèvres, ses deux mains me caressant les cheveux, le cou, la nuque. Sylvain positionnais finalement son gland sur ma rondelle, écartait mes fesses et commençait à me pénétrer. Je lâchais la queue d’Habib et me cramponnais à ses jambes le temps de la pénétration. C’était évident, il était plus large que Pierre. Son gland puis un bout de sa tige passa, et j’avais l’impression qu’on me fendait le cul. Sylvain passa ses mains sur mes fesses, mes hanches mon dos en me demandant si ça allait

— ça brule, ça fait super mal, vas-y doucement

— pas de problème chérie, on va prendre notre temps. tu l’avais demandé, je suis pas une brute.

Il attendit quelques minutes et quand je repris la queue d’Habib en bouche, il repris sa progression pour m’enfiler sa queue au 2 tiers. Je suffoquais de douleur. Je n’avais qu’une envie, qu’il se retire, et en même temps, connaissant le plaisir à venir, qu’il reste. Heureusement, il patienta de nouveau un moment puis finit de me mettre toute sa queue dans le cul avec un aaaaaah de plaisir. J’avais le cul en feu, mais je me sentais aussi remplie. Je savais que dans quelques minutes, un fantasme allait se réaliser. Me faire baiser et sucer en même temps. Sylvain attendit longtemps, en fait jusqu’à ce que je reprenne la queue d’Habib en bouche et que je commence à onduler sur sa queue. La douleur était toujours là, mais effacée, sourde. Je sentais son mandrin aller et venir doucement, mon anneau se faire à cette intrusion, la douleur diminuée pour faire place lentement au plaisir. Sylvain pris mes hanches pour débuter un rythme lent et régulier, je sentais parfois qu’il remettait du gel sur mon anneau, facilitant sa sodomie, glissant avec plus d’aise dans mon cul que je tendais, de petits bruits humide et de succions se faisaient entendre.

— Et maintenant, petite cochonne, ça devient bon?

— Ouiii, c’est boon, continue

— Qu’est ce qui est bon?

— Aaaahh ta queue aaaahh dans mon ouiiii cuul aaaah. Il avait augmenté sa cadence, et s’enfonçait loin en moi ce qui commença à me faire gémir de bonheur

— Mais tu couines comme une femelle. On va bien te faire miauler ma salope

Effectivement, il m’attrapa par le porte-jarretelles et se mit à me pistonner plus fort, ses couilles tapaient contre mon petit cul, je mis moins de 5 minutes pour jouir et sentir mon clito couler. J’ondulais du cul pour le sentir toujours mieux, toujours plus fort, ce n’était plus que du plaisir, je me cambrais comme une chienne en manque de bite. Avec toujours la queue d’Habib qui me baisait la bouche. Sylvain se mit à sortir complètement de mon cul, l’ouvris en grand et s’y engouffra d’une traite, me faisant hurler de plaisir. Il recommença plusieurs fois.

— aaaaahh ouiiiii c’est booon, défonce moi le cul aaaahh

— Putain, tu vas me faire jouir salope, avec tes cris de femelle. Regarde moi ça comme elle bouge son cul cette chienne

J’ai du lacher la queue d’Habib, mes bras ne me soutenaient plus, j’avais la tête et les épaules sur le lit, je me cambrais au maximum, tendais mon cul, poussais des cris de plaisir à chaque fois que je sentais sa queue m’investir totalement le fion, des étoiles apparaissaient devant mes yeux, une boule de plaisir dans mon ventre et mon cul, je sentais ce que je pensais être un orgasme anal arriver lorsque Sylvain se retira d’un coup, arrachant sa capote et se branlant au-dessus de mon visage jusqu’à éjaculer longuement. Il m’éclaboussait le visage, les cheveux, la poitrine et s’enfonçait entre mes lèvres pour le dernier jet crémeux.

Je suçotais son gland mollement jusqu’à ce qu’il se retire, et je m’allongeais sur le dos.

— Putain, t’es vraiment une bonne salope, on voit que t’aime la bite

— Oui, j’ai découvert la queue il y a quelques temps, et j’en raffole. J’adore sucer, et sentir une bite dans mon petit cul

— En tout cas, t’es vraiment une bonne vidangeuse de couilles. Je peux prendre une douche?

— Bien sur. Il se relevait, prenait ses fringues et disparu dans la salle de bain.

Du coup, il restait le beau Habib, toujours timide, assis a coté de moi, toujours en érection. Je me tournais vers lui, en chien de fusils en prenait sa queue, effectivement plus épaisse que celle de sylvain, entre mes doigts. Elle brillait encore de salive par endroit. J’aimais ce contraste de couleur de peau.

— Je suis désoleé, je t’ai un peu oublié vers la fin

— Ce n’est pas grave.

— Mais ton copain me défoncait tellement bien le cul, que je ne pouvais plus tenir.

— Je voyais ça. dit-il dans un petit rire

— Timide?

— oui, plutôt.

Un long blanc s’installa, et j’en profitais pour me rapprocher un peu de lui. Et rapprocher ma tête de sa queue, jusqu’à enfin le prendre lentement entre mes lèvres, juste le gland. Au bout de quelques secondes, il se mit à me caresser lentement, le flanc, la poitrine, mes tétons qu’il se mit à entreprendre jusqu’à les rendre durs et sensibles. Une nouvelle découverte dans le plaisir.

— C’est dommage que tu n’ais pas de poitrine. Même une fausse.

C’est peut-être la première fois qu’il prenait la parole seul. Je sortais sa queue de ma bouche pour lui répondre.

— Tu aimerais? J’y songerai. Puis je le reprenais entre mes lèvres, l’avalant un peu plus.

C’est à ce moment que Sylvain revint habillé.

— Hé Laetitia, je dois… ha ouais, insatiable quand même. Donc, je dois y aller, je te laisse. Mais je crois que tu t’est trouvé un nouveau jouet. Non bouge pas, continue ta friandise. Salut Habib, à plus. Tu verras, elle a un cul d’enfer, mieux qu’une femme.

J’entendis la porte claquer alors que je continuais à sucer cette queue d’ébène, les mains d’Habib continuaient elles leurs caresses sur mon corps, même mes fesses, jusqu’à mon clito et mes petites couilles. Il se permit même de me branler un peu le sexe, me le faisant durcir. J’avalais alors plus loin sa queue si dur, j’adorais la sentir dans ma bouche chaude, je me demandais le goût qu’il avait. Je le saurais plus tard, car il me repoussa doucement, me fis mettre sur le dos et me retira mon string. Il recommenca à me caresser mon service, l’aine, le haut des cuisses.

— T’es vraiment super douce de peau. me dit-il en me prenant sous les jambes pour me les relever et se placer devant moi. J’ai jamais fait ça avec une…

— Salope?

— Non. Travestie.

— Un cul, c’est un cul tu sais.

— Oui, mais le tien est beau, c’est vrai qu’on dirait celui d’une femme. Il me disait ça en me regardant dans les yeux, et je sentais son gland m’ouvrir l’anneau

— Non. mets un preservatif

— Oh pardon, j’oubliais. Il prit un des préso sur la table de nuit, le déchira et se le mit. Habib prit un coussin et le plaça sous mes fesses afin de me les relever. Puis mes cuisses qu’il ramena sur moi. Je me sentais totalement ouverte, mon anneau loin d’être fermé.

— J’ai très envie de aaaaah ta queue mmmmhh. Il m’avait pénétré alors que je lui parlais, s’enfonçant de moitié dans ma grotte, puis finis sa progression entre mes reins. Il m’avait enculé presque d’un coup, et je ne ressentais que du plaisir sans aucune douleur. Elle était plus épaisse, et me faisais un bien fou. Je sentais ma queue totalement raide à présent. Il se retira très lentement presque jusqu’au gland, centimètre par centimètre, pour me reprendre avec la même lenteur. J’appreciais dans un long râle de plaisir cette lente sodomie, toute en douceur. Il recommenca plusieurs fois, accélérant doucement à chaque piston, jusqu’à prendre un rythme plus soutenu, sans être rapide. Je poussais des couinements à chaque fois que son mandrin me rentrait dans la chatte et me massait la prostate. Il se coucha sur moi et accéléra puis m’embrassa. Ce fut de trop et j’éjaculais entre nos ventres en glapissant de plaisir, sa langue dans ma bouche, mes gémissements de femelle atténués dans sa gorge. Cette fois, il me limait vraiment le cul, ces couilles bien dures tapaient contre mon cul, un vrai régal. Il se redressa, me prenant mes chevilles et me remontant mes cuisses encore plus haut, les écartant en même temps. Je pouvais voir son mandrin me rentrer dans le cul, je voyais sa queue d’ébène et ma rondelle se marier. Je constatais aussi que sa queue était totalement luisante, je me demandais si c’était encore le gel ou si je me mettais à mouiller. Ma queue était redevenue petite et molle entre nous. Il alternait ses poses, une fois sur moi, une fois me tenant les jambes.

— T’es super bonne à baiser, han

— aaaahh ouiii baise moi fort, aaahh, c’est si booooon aaaaaaah

Cette douce chaleur dans mon ventre, entre mes reins, mon anneau revenait à grande vitesse, je n’étais plus qu’un cul pris de plaisir. Cette chaleur devint boule de feu, je n’arrétais plus de crier et gémir dans les aigues jusqu’a ce que cette boule explose, un orgasme dévastateur me prenais, ma première jouissance anal, mon anneau se mit à palpiter, mes jambes se mouvaient seules dans tous les sens, je perdais un instant presque conscience, enfin je le crus. Habib avait ralentit ses mouvements, presque arretés même, il me regardait inquiet.

— Ca va?

— oh ouiii

— Qu’est ce qui s’est passé?

— Je crois que j’ai eu un orgasme anal. j’ai jouis du cul

— Ca t’arrive souvent?

— C’’est la première fois. J’ai cru le sentir venir tout à l’heure avec Sylvain. Finalement, c’est toi qui me l’offre

— Alors t’es encore plus bandante quand tu jouis. On dirait une vraie femme. Il avait sa queue presque sortie et me la réenfourna dans la chatte

— aaaaahh… laisse moi récupérer.

Il me redonna quelques coups de bites avant de déculer lentement qui me firent encore couiner, puis décula lentement

— j’adore t’entendre gémir. On sent que tu prends ton pied à te faire sodomiser.

— Tu es toujours aussi poli?

— Tu ne dis jamais enculer, tu ne m’as jamais appelé Salope ou autre chose…

— Je suis pas à l’aise avec ces mots. disons que ce n’est pas dans ma nature… euh… Cochonne!

Nous avons explosé de rire puis j’ai proposé de manger un morceau. Habib n’a quasiment pas débandé durand le repas. Nous avons continué à discuter un moment, en même temps que je le branlais lentement. J’étais dingue de sa queue. Je ne pouvais m’empecher de parfois donner un coup de langue ce qui lui plaisait et le faisait sourire. Finalement, je reprenais une belle et longue fellation, sucant, lechant, gobant ses couilles, m’enivrant de son odeur de mâle, salivant dessus.

— j’ai envie de ton cul encore, me dit il alors que j’avais toute sa queue dans ma bouche.

— mmmh j’ai rien contre

— mets toi debout.

Surprise, je me levais et obéissais. Il se plaça face à moi, m’embrassait en m’enlacant puis doucement me prit sous les fesses et me souleva, ses mains glissait, me soutenant sous les cuisses. Je sentais sa queue raide se glisser dans ma raie. Ce mec me rendait folle. Son dard trouva l’entrée de ma grotte et il s’enfonca d’un coup en moi, avant que je puisses protester. Il positionna ses mains afin de me soulever comme il voulait sur sa queue. Je me faisais limer, debout, soulevée, sans capote, encore une fois… et j’adorais ça. Je m’accrochais à ses épaules, son cou, je l’enlaçais, sa queue me pistonnait le cul à une vitesse régulière, s’accélérant petit à petit, et moi je sombrais dans le plaisir, mes jambes entourant son dos, ses mains sur mes fesses les écartant au maximum. Le plaisir arriva par vagues incessantes, plus fortes à chaque fois.

— ouiii ouiiii aaaahhh ouiiii chériiii ouiiiii c’est booooon

— vas-y Laeti, jouis ma salope

— ouiiii baises moi aaaaaaah

— je vais t’engrosser, te remplir le cul de foutre

— aaaahhh ouiii ouiiiiii je suis ta salope, ton sac à foutre, aaaaahh défonce moi le cuuuuuuul

Il n’arretais plus de m’enculer, je ressentais la même langueur de plaisir qui m’avais fait partir lorsqu’il décula, me coucha sur le lit en me retournant, je levais aussitot le cul et il m’embrochais de nouveau, me limant à toute vitesse.

— Tu mouilles du cul salope, tu mouilles comme une femelle

— ouiiiii aaaaahhh fais moi reluire la pastille, éclate moi le cuuuul aaaah

Mes jambes ne me soutenaient plus, je m’effondrais sur le ventre, Habib suivit continuant mon défonçage de cul, je me sentais partir de nouveau, mon ventre, mon cul n’était plus que plaisir jusqu’à l’explosion finale, ou je me mis à gueuler de plaisir et à jouir en sentant Habib se derverser dans mes intestins en plusieurs longs jets chauds et crémeux et s’affaler sur moi, donnant encore quelques coups de bites continuant de me faire couiner. Il finit en s’enfoncant totalement en moi, débandant lentement.

— Je viens de t’engrosser salope

— mmmmh et tu recommences quand tu veux. Mais la prochaine fois, je goute ton jus.

— La prochaine fois, je continue de t’enculer même si tu jouis du cul. T’es une vraie femelle.

— Merci chéri

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