Ma dernière conquête était une fille. Pas nimporte laquelle, ma soeur. Jaurai pu tomber plus mal: elle est belle, sensuelle, sans doute un peu trop.

Laffaire avait mal démarré: étant la secrétaire du boss, je suis chargée entre autre de filtrer les visites. Je ne la connaissais pas doù le chamalow. Elle tenait absolument à passer voir le patron, en le nommant par son nom. Pour moi, pas question quune inconnue même belle aille le déranger. Elle en faisait presque un caprice. Cest le grand patron qui entendant du bruit vient voir ce qui se passe.

Bien sur il la fait entrer, mexplique qui elle est ( je ne la connaissais pas du tout). A me demander d’où elle sortait. Je savais qu’elle existait sans plus.

Je suis félicitée par la même occasion. Jattendais quelle sorte pour lui dire ma façon de penser à cette pimbêche. Je nai rien à dire, elle vient vers moi en me demandant de lexcuser et me colle un baiser sur la joue. Enfin presque sur la joue, la moitié déborde sur ma bouche. Elle me fait un grand sourire, sors pour entrer à nouveau:

— Je suis bête, javais oublié de t’inviter à déjeuner, jen ai parlé à ton patron, tant pis pour lui si nous entrons en retard après. Et même si nous ne revenons pas du tout: nous irons faire un tour.

— Merci beaucoup.

— Je file, jai deux ou trois courses à faire, je reviens vous prendre.

Ce nest pas une fille cest un ouragan. Ma foi, si elle moffre un bon repas, pourquoi pas: je ne suis pas une fille à prendre des kilos.

Comme prévu elle arrive en coup de vent:

— Dépêchons nous, jai retenue une table au T

Mazette, le meilleur restaurant de la ville. Heureusement que je suis bien habillée.

Meilleur table, meilleurs plats, du temps à ne plus savoir que faire. Et elle bavarde, bavarde sans arrêt.

Nous allons boire le café ailleurs où il est bien meilleur. Je ne sais pas ce quelle a déjà payé: bonbon, je suppose. Les cafés à eux deux doivent valoir un repas normal. Cest vrai quils sont très aromatisés. Je me demande quelle est la suite.

Elle membarque dans sa voiture, une grosse berline allemande. Je ne sais strictement pas où nous allons. Dans la campagne cest sur. Elle arrête sur un parking pour me poser des questions intimes. Très intimes même. Elle répond même aux questions que je me pose et n’ose pas lui demander. En résumé:

Elle a été placée jeune dans une institution, vient me chercher;

Elle aime lamour, moi aussi. Elle na pas damant, moi non plus. Pour le moment elle se contente toute seule, comme moi. Elle se sert dun godemiché, elle ouvre le pose, met des gants pour me montrer ce dont elle se sert, jai le même à la maison. Elle sen sert souvent quand elle en a envie. Surtout quand une fille est avec elle.

Sa jupe à mi cuisse me laisse voir de jolies jambes; elle se tourne vers moi en montrant pratiquement toutes ses cuisses et un petit bout de son string. Elle tient à me montrer comme elle fait, elle pose le gode vers sa chatte, sans la découvrir, fait les gestes utiles.

Malgré moi elle mexcite, je me sens devenir mouillée. Si je pouvais-je passerai une main sous mon string pour soulager la pression.

Elle sait parfaitement quelle fait monter ma tension. La sienne aussi doit être très haute. Elle écarte le bord du string pour entrer le gode. Elle se penche en arrière, bien bloquée contre le dossier du sièges, les jambes plus ouvertes. Ses yeux sont fermés, sa tête sur le repose tête, seule sa main est mobile.

Je suis obligé de limiter. Imiter ma soeur qui se branle devant moi. De l’inédit. Je nai pas mon gode, je me sers de ma main droite, la gauche servant à écarter les lèvres pur faire bien ressortir le clitoris. Je dois être dans la même position quelle.

Je la sens bouger un peu, je ne me tourne même pas vers elle. Cest pourquoi je suis surprise de sentir sa bouche sur la mienne. Je suis sur le point de balancer entre un simple plaisir et un orgasme. Je la laisse faire, même quand sa langue vient dans ma bouche. Jai dépassé le seuil de linconscience, son baiser maffole. Elle peux me faire ce quelle veux, je suis sa chose. Jaurais du, je ne sais quoi, mais jaurai du. En attendant sa main a remplacé la mienne, elle membrase toujours. Je sens ses doigts sur ma chatte, je les sens dans mon puits. Ils vont plus bas encore, elle me caresse lanus et cest bon, elle me fait jouir. A dire vrai je ne sais pas exactement ce quelle touche ni comment: elle me fait jouir. Encore et toujours. Cette fois je sens bien où elle est: son doigt sinfiltre dans le cul. Jaime bien la sodomie, mais pas comme elle fait, cest une découverte. Je ne voudrai pas quelle arrête, je le lui dis, encore, encore. Jaime son doigt quand je le sens au moment de ma jouissance. Elle me fait partir une dernière fois sur un immense orgasme. Mon Dieu quelle sait bien branler.

Je me dois de le lui rendre. Jai envie daller plus loin quelle. Je lai fait une fois avec un copine il y a longtemps, je veux le refaire avec elle. Je le lui propose.

— Me sucer? Bien sur.

— Mets toi derrière, ce sera plus facile.

Nous changeons de place. Elle enlève, comme moi le string, elle enlève à tant qu’à être sa jupe. Cest avec un seul débardeur qui ne lui cache rien quelle est près de moi. Elle sappuie sur la portière, un jambe sur le siège et lautre sur le plancher de la voiture. Elle me donne toute sa chatte. Elle est rasée, donc aucun obstacle pour moi. Je suis penchée sur elle, ma tête entre ses jambes. Son odeur me donne encore envie delle. Je me souviens encore du goût de la moule de ma copine.

Celui-ci est bien meilleur. Jécarte les lèvres avec deux doigts, ma langue trouve vite le clitoris. Au début je le léchais avec le bout, ensuite cest toute ma langue qui lèche. Elle tient ma tête immobile: elle a peur que je la laisse alors que je ne fais que commencer. Elle soupire, sa voix est de plus en plus rauque: elle aime ce que je fais sans oser le dire.

Mon menton se trouve sur son vagin, je ly enfonce un peu, sans chercher à y entrer. Je le remonte pour le remplacer pas deux doigts. Je la baise ainsi faute de bite, alors que je pourrait me servir de son gode. Jai envie pour cette première fois de la faire jouir de façon écologique. Les doigts vont et viennent dans son intimité. Elle les serrent un moment quand elle jouit.

Je nen ai pas fini avec elle. A mon tour de jouer dans la cave. Je caresse son rectum, le frôle à peine, avant denfoncer ma langue dans le cul. Cest fini, pour le moment. Elle se rhabille pour aller chez elle.

Nous échangeons un vrai baiser d’amantes, et pourtant nous savons que nous sommes soeurs

Si nous avons joui séparément, maintenant nous allons jouir ensemble avec un double gode. Je ne sais pas men servir: elle oui, et fort bien, elle me demande où je le veux. Nimporte où. Alors elle me le met nimporte ou, dans le cul. Elle se couche, les fesses presque contre les miennes, le gode également dans son cul. Je redevient une pauvre femme enculée, enculée pour son plaisir. Elle sait parfaitement me le mettre. Et je jouis comme une cinglée. Elle aussi.

Nous devons finir, bientôt, crevées par les orgasmes. Pour finir par un feu dartifice nous finissons sur le fin du fin pour nous en tous cas: un 69 à lancienne. Plus de pudeur entre nous. Petit à petit un peu daffection. Sans doute de lamour à venir. De l’amour comme avec un garçon, toujours entre soeurs.

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