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Agnès, 16 ans et pute des profs – Chapitre 1




Agnès, 16 ans, 1m75, 53kg, blanche de peau, brune aux yeux bleus, beaux seins bien galbés, un petit cul à croquer bien rebondis et ferme, qu’on a envie de baiser au premier coup dil..

Comme à son habitude tout les lundi à 8h depuis 3 mois, elle est à quatre pattes sous le bureau du proviseur en train lui lécher la verge, celui-ci comme si de rien n’était, faisait

sa paperasse quotidienne.

— Quand tu auras fini, tu te déshabilleras et tu viendra tasseoir sur moi, lui dit-elle, en lui jetant un bref regard.

Elle poussa un petit gémissement et engloba la totalité du membre se tenant devant elle, en signe de soumission.

— Aah.. Petite pute. Ta bouche est bien chaude.. Tu as fais énormément de progrès ces dernières semaines. Pouvoir faire une gorge profonde avec une queue de vingts-cinq centimètres, c’est pas donné à tout le monde.

Elle redoubla de vigueur sur le membre qu’elle sentait se durcir encore sous l’effet de l’excitation. elle pensa : "Passer 4h tout les lundis à obéir à tout les désirs

de ce vieux pervers pour finir l’année scolaire avec une moyenne de 18, c’est pas cher payé, et puis, pour un homme de 70 ans, sa bite est encore tonique.."

Agnès savait s’y prendre maintenant avec lui, elle le suçait exactement comme il le voulait, alternant le coulissement en va et vient jusqu’au fond de la gorge, le titillement du gland du bout de la langue tout en lui malaxant les couilles, elle prenait beaucoup de plaisir à le voir se tendre sous l’effet des fellations qu’elle lui donnait.

— Je vais jouir, continue… Dit-il tout en posant la main sur la tête de son élève pour lui faire accélérer le mouvement.

Elle continua quelques secondes et il explosa au fond de sa gorge, libérant son sperme avec un grognement, qu’elle s’empressa d’avaler.

— Mmm.. C’était délicieux, Monsieur, Susurra t’elle.

— Bien, tu sais ce que tu dois faire à présent.

Elle hocha la tête, et souriante, se redressa et commença a se déshabiller. Ce jour là, elle portait une mini jupe en cuir qui lui arrivait à ras des fesses, moulant son petit cul à la perfection, un haut qui faisait ressortir sa jeune poitrine et des talons aiguilles. Ces trois éléments enlevés, elle se trouva nue devant l’homme.

— Viens tasseoir jeune fille, lui dit-elle avec un regard pervers en désignant ses genoux, sa queue commençant à se redresser dans sa main.

Elle se trémoussa jusqu’à lui et se tourna, lui présentant son cul d’adolescente. Il humidifia d’un coup de langue son anus et la saisie par les hanches, la faisant sasseoir sur lui, de manière à ce que sa queue se trouva entre les fesses de la petite salope..

— J’adore ce moment… sentir votre membre contre mon anus. Dit-elle.

— Tu es tellement bonne, je vais t’enculer et te jouir dans le cul petite putain…

Elle exerça un léger mouvement de rein en va-et-viens, sentant la queue se durcir sous ses fesses, une onde de chaleur irradiait son bas ventre et elle sentait qu’elle commençait à mouiller.

L’homme la caressait sur tout le corps, l’embrassait, la serrait contre lui, lui malaxant les seins d’une main et lui parcourant son intimité de l’autre.

— Tu es à moi, pour toutes tes années de lycée ton corps m’appartient…

Son arrangement avec le directeur du lycée datait du début de l’année, ses cours la lassaient et ses notes dégringolaient. Elle avait entendue parler d’une rumeur circulant dans le lycée disant que le proviseur matait le cul des jeunes filles présentes dans la cour depuis sa fenêtre pendant les pauses avec des jumelles, et elle eu donc l’idée de lui rendre une petite visite…

Elle lui expliqua sa situation et lui proposa un marché: Elle deviendrai son esclave sexuelle 4h par semaine le lundi matin, seul moment de la semaine où elle n’avait pas cours, en échange d’un léger "favoritisme" au niveau de ses notes.

Le proviseur ne dit pas un mot, la fixa plusieurs secondes et lui répondit finalement:

— Ta proposition m’intéresse, mais je ne peux malheureusement pas modifier tes notes sans l’approbation de tes enseignants, mais je pense que l’on pourrait arriver à un accord si tu te montrait disons, persuasive. Je vais demander à tes professeurs de nous rejoindre pour que tu puisse nous… Exposer, ta situation. Tous tes professeurs sont des hommes n’est ce pas?

— Oui, sauf en histoire-géo, j’ai madame Leguellec, elle me déteste.

— Tu seras dorénavant avec Monsieur Bourdin. Je ne pense pas que Françoise me tienne rigueur de changer de classe une de ses élèves, surtout si elle ne t’aime pas.

— Ca me va!

— Bien, je te donne rendez vous demain soir à 22h dans le gymnase du lycée, je préviendrai tes enseignants pour qu’ils nous rejoignent. Tu peux partir maintenant.

Le lendemain soir, ils étaient arrivés à un accord qui satisfaisait tout le monde, Agnès serai la vide-couilles de ses enseignants un weekend sur deux ainsi que pendant les vacances scolaires en échange de bonnes notes et devra 4h de services sexuels au proviseur tous les lundis de l’année. Ils avaient ensuite scellés leur accord en baisant Agnès toute la nuit durant. Elle rentra à son dortoir totalement épuisée, l’anus béant la chatte dégoulinante de sperme, mais heureuse.

Cela faisait un quart d’heure maintenant qu’Agnès était assise sur le proviseur, faisant de petits mouvements de bassins. Lui le souffle rauque, avait insérés deux doigts dans le vagin de la jeune fille. Ils étaient tous les deux en sueurs à cause de la chaleur dégagée par leurs corps respectifs. La chatte d’Agnès dégoulinait maintenant, inondant les cuisses du directeur.

— Je veux vous sentir dans mon cul, enculez moi, je veux vous sentir jouir en moi…

Il la souleva sans effort et la posa sur son bureau, le visage d’Agnès face au bois du bureau, les jambes pendantes, ses fesses entièrement à disposition de l’homme derrière elle.

— J’ai un petite surprise pour toi ce matin, j’ai acheté une lotion lubrifiante… Dit-il en sortant un petit flacon d’un tiroir.

Il en vida un bonne partie sur les fesses d’Agnès et les malaxa longuement d’une main, tout en s’en mettant sur son membre de l’autre. Agnès patientait calmement, s’abandonnant aux caresses de l’homme.

Au bout de quelques minutes, lorsque la jeune lycéenne fut totalement lubrifiée, la saisissant par les épaules, il la pénétra sans dire un mot, d’un grand coup de butoir, enfonçant son sexe au maximum dans l’anus lubrifié de la jeune fille. Agnès poussa un grand cri de douleur, elle avait l’impression d’avoir été déchirée en deux.

— Tu peux crier autant que tu veux, cette pièce est totalement insonorisée.

Il resta une minute sans bouger, au fond de l’adolescente, une main lui tenant maintenant les cheveux, l’autre lui malaxant sa poitrine, la douleur de la pénétration faisait maintenant place au plaisir, Agnès se sentait comblée, la queue du proviseur au plus profond d’elle même.

Puis, les mains imposantes lui tenant le cou, il commença ses vas-et-viens, d’abord doucement, puis il accéléra, secouant la jeune fille, faisant bouger le bureau. Le claquement des fesses d’Agnès à chaque coup de reins du proviseur ainsi que ses cris de plaisir résonnaient dans la pièce. Au bout d’une heure de bourrage intensif, il s’immobilisa et dans un grognement sourd, en s’affalant sur l’adolescente, libéra sa semence. Agnès sentait le liquide chaud se répandre en elle et joui de plaisir. Ils restèrent plusieurs minutes ainsi, le proviseur couché sur elle, se remettant de ses émotions.

— Combien de temps de service te reste t’il? demanda t’il dans un souffle.

Agnès regarda sa montre et dans un sourire répondit:

— Un peu plus d’une heure, largement le temps de vous satisfaire encore une fois…

— Très bien, dit-il en sortant de l’anus de la jeune esclave et en se rasseyant. Retourne sous le bureau, j’ai des coups de fils à passer.

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