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Ma répétitrice – Chapitre 1




Ma répétitrice

Depuis que j’ai commencé à étudier l’Italien, je ne me tape que des notes à faire gueuler mes parents. Ces derniers ont donc vite pris la décision de me faire donner des cours à domicile par un répétiteur ou une répétitrice.

Désolé, je n’ai pas eu le temps de me présenter: Je m’appelle David, je viens d’avoir 17 ans et comme tout jeune homme de mon âge, je suis naturellement très attiré par cette chose que l’on nomme "le Sexe". Eh oui, à cette période de ma vie, il ne se passe pas une journée sans que je ne bande, ne me masturbe ou ne fantasme sur une demoiselle quelconque. Ce sont principalement aux filles de ma classe que je pense en écrivant ces mots. Je rêve tous les jours d’arracher leurs soutiens-gorge pour découvrir la sensation de contempler, de toucher, de goûter le sein d’une fille. J’attends le jour où j’aurai assez de cran pour réaliser ce projet…

Pour en revenir à ma répétitrice, ma mère m’avait annoncé, un après-midi, qu’elle avait trouvé une dame qui aurait, selon elle, suffisamment d’expérience pour me faire progresser dans une branche dans laquelle j’étais en froid. Je dois avouer que cette nouvelle ne m’enchanta pas beaucoup. Je pensais avoir bien assez de travail comme ça, et ce cours privé était vraiment la dernière chose qu’il me fallait. La suite vous apprendra à quel point je me trompais…

Elle est arrivée un après-midi d’un samedi du mois de mai. Le mois où le chant des petits oiseaux revient en même temps que les minijupes et les décolletés. Dans tous les cas, elle ne faisait pas exception à la règle. Quand elle a sonné à la porte de mon appart, je suis allé l’ouvrir moi-même (mes parents travaillaient tous les deux) et j’ai posé mes yeux sur la personne la plus attirante qu’il est possible de voir dans toute une vie. J’avais devant moi une femme d’à peu près 23-24 ans, les cheveux bruns, les yeux verts, la bouche pulpeuse et rouge, de gros seins comme je les aime, bien libérés par le décolleté, de belles jambes nues, et des fesses à tomber par terre.

-Bonjour, je suis Alice, c’est ici qu’on cherche une répétitrice d’italien ? me demanda-t- elle.

-Ou…Oui,… c’est bien ici, répondis-je difficilement.

Je l’amenai au salon, sur le bureau, afin d’étudier, mais je savais que je ne pourrais jamais me concentrer avec une bombe pareille à côté de moi. Elle se mit en face de moi, j’ouvris le livre d’exercices et sortis un crayon en lui expliquant où étaient mes difficultés.

C’était complètement fou. On aurait dit le genre de filles que l’on croise dans le quartier rouge d’Amsterdam. J’aurais pu jurer qu’il s’agissait d’un test vicieux consistant à évaluer ma résistance au désir. Et je dois bien avouer que j’avais du mal à me maîtriser. Bien sûr, je bandais comme un dingue depuis son arrivée et le risque qu’elle lait remarqué me gênait et m’excitait en même temps. De plus, j’avais une vue improbable sur sa poitrine, je distinguais même son soutif bleu marine. J’ai bandé à en avoir mal pendant plus d’un heure, bien incapable de progresser en italien. Au terme du cours, elle partit rapidement, laissant derrière elle son doux parfum qui eut le temps de se propager dans tout l’appartement. Toute la soirée j’ai repensé à cette créature qui faisait grandir mon sexe, jusqu’à ce que l’envie de me toucher soit irrésistible. La semaine qui suivit fut chargée de branlettes. Je me masturbais, partout et tout le temps : dans mon lit, dans la salle de bains, dans les toilettes de mon école ; je me suis même surpris à me toucher en classe. J’ai passé les semaines suivantes à essayer de faire comprendre à cette beauté que je la voulais impérativement. A chaque cours, je glissais quelques signes, l’air de rien. Je lui souriais de façon coquine, je lui faisais discrètement du pied sous la table du salon et je regardais les parties intimes de son corps, même si je voyais qu’elle remarquait mon regard baladeur. Et l’incroyable se produisit un jour ; elle me demanda si je pouvais venir prendre le cours directement chez elle, car elle ne pouvait pas se déplacer ce jour-ci. Vous pensez bien que je ne suis pas resté chez moi ; j’ai couru vers sa maison qui ne se trouvait pas très loin de mon bahut et j’ai sonné, fou d’excitation, à sa porte…

Quand elle m’ouvrit, elle était encore plus sexy que d’habitude, presque rien sur la peau.

-Entre, David, entre ! me dit-elle avec un sourire coquin aux lèvres.

J’ai donc pénétré dans cette maison où vivait la créature de tous mes fantasmes.

-Mets-toi à l’aise sur le canapé si tu veux,me conseilla-t-elle tendrement.

Une fois bien installé, je la vis arriver vers moi, enlevant son petit chemisier et sa jupe pour se retrouver à moitié nue ; elle ne portait plus que son soutien-gorge et son string, tous les deux blancs et très sexy.

-Mais David, tu n’as pas pris tes livres d’italien avec toi ?

-Non Madame, excusez-moi, je suis un peu tête en l’air ces derniers temps. Évidemment, je savais bien ce que je faisais, ce n’était pas un oubli, plutôt une stratégie pour être honnête.

-Très bien, ce n’est pas grave, j’ai d’autres projets pour toi ; j’ai prévu un plan B, me dit-elle en se penchant sur ma braguette.

Ce fut ensuite le moment le plus délicieux et intense que j’ai vécu.

Elle sortit ma verge, qui avait déjà pris de l’amplitude et la fourra bien au fond de sa gorge. Elle suça amoureusement en me regardant bien dans les yeux pour vérifier si je prenais du plaisir. J’appuyais sa tête sur mon sexe, tandis qu’elle s’en régalait. Au bout de cinq minutes, elle s’installa dessus et commença à faire des mouvements de va-et-vient avec son bassin. Je pu alors toucher ses seins. Je les prenais, les caressais, les léchais et mordillais ses tétons.

-Oh oui mon chéri, va-y, j’adore ta queue, c’est si bon, oui, oui, oui !!!

Devant son excitation, je me dis que je pouvais à présent la soumettre et réaliser mes fantasmes les plus secrets.

-Je veux jouir dans ton cul grosse salope ! Donne-moi ton trou !

Elle m’adressa un regard très coquin, puis se mit à quatre pattes sur le divan. Je voyais son petit trou qu’elle dilatait avec son doigt, et y enfonça profondément ma bite. Elle hurla de plaisir et je me mis à la pénétrer comme une bête, de plus en plus profond.

-Oh oui mon dieu, c’est bon, déchire moi, mon bébé ! Je te sens, oui, je vais jouir !!!

Et dans un hurlement, nous avons atteint l’orgasme ensemble. Je me retirai et m’affalai sur son canapé, continuant à regarder ses fesses, tachées de sperme. Mais le meilleur des remerciements, c’est ce sourire à la fois fatigué et émerveillé qu’elle m’adressa, une fois relevée. Ai-je besoin de préciser que, pour conclure ce récit, mes notes d’italien n’ont jamais été aussi basses qu’à cette période de l’année ?

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