En guise de réponse, je prends ses lèvres, et mallonge sur elle. Ma très chère sur n’est pas en reste. Sa main se faufile entre nos corps. Elle mattrape à pleine main, pour me guider en elle. Me soulevant légèrement pour investir son minou tout trempé, ça rentre comme dans du beurre.
Je confirme, très beau calibre Pierre !
Tu me flattes ma belle !
Oui, mais maintenant fais-moi lamour !
Comment refuser une telle demande, Eloïse écarte en grand ses jambes, et c’est parti pour un bon moment de plaisir. Je menfonce en douceur dans son puits, et en ressors avec autant de lenteur. Eloïse m’enserre le cou. Elle membrasse avec passion. Jaccélère progressivement, elle gémit tout en délicatesse. En de grands mouvements je la pilonne, je prends un grand plaisir à faire lamour avec ma sur, moi aussi je me sens dopé par linterdit. Nous allons bien vite arriver au point de non-retour.
Oh, oui continue c’est trop bon, tu vas me faire jouir !
Raaaa, je vais partir !
Encore un peu mon aaaamourr !
Je viens !
Putain c’est bon ! Lâche tout !
Explosion simultanée, des allusions crues ponctuent notre plaisir. A bout de souffle, je mallonge à côté dEloïse, nos corps dégoulinent de sueur, et dautres liquides. Il est tard, après un passage par la salle de bain, nous retournons nous coucher. Il me reste un jour de travail avant les vacances.
Le réveil est difficile, assis dans le lit j’admire les formes généreuses dEloïse.
Mal réveillé, j’avale un grand café, tout en griffonnant un message tendre pour Eloïse, que je laisse sur la table. Je pars au travail sans motivation, je serais plutôt motivé pour reprendre les activités dhier soir… Plus aucun doute ne me taraude, je veux profiter autant qu’Eloïse de notre nouvelle relation.
En milieu de matinée je reçois un SMS de ma sur :
Merci pour le petit mot doux, cela ma beaucoup touché ! Rentre vite tu me manques.
SMS conclu par des curs.
Mon petit mot était simple mais très tendre et romantique.
17 h, semaine terminée, et je suis en vacances. Un petit quart d’heure de route, et me voici chez moi. Je vais retrouver la femme qui a bouleversé ma vie depuis la veille.
La voiture au garage, je me rends dans la maison, aucun bruit, elle doit faire bronzette sur la terrasse. Arrivé sur ladite terrasse, un beau spectacle s’offre à moi. Éloïse, au milieu de la piscine, allongée sur un matelas pneumatique ! Qu’elle est belle ma frangine, seins nus, un minuscule triangle blanc cachant son minou. Elle semble rêvasser, ses deux mains font des ronds dans leau. A quoi pense telle ? sûrement à notre folle nuit, car un sourire lui barre le visage.
Coucou ! Je suis rentré.
Un énorme « plouf » se fait entendre, surprise par mes paroles, elle glisse du matelas pour se retrouver dans leau. En en sortant, elle sébroue les cheveux.
Cest malin, tu m’as fait peur !
Désolé ma belle.
La prochaine fois, sois moins discret quand tu arrives ! Bon, allez viens me rejoindre !
Je me change et jarrive !
J’allais partir en direction de la maison, je vois alors Éloïse se contorsionner, et brandir le minuscule bout de tissu qui cachait le bas de son anatomie.
Pas la peine de te changer, viens vite mon Amour !
En lespace d’une journée, notre relation frère/sur a bien changé. Maintenant je suis son amour. De savoir Éloïse nue dans la piscine réveille ma virilité, je me retrouve dans la même tenue en un éclair.
Ma virilité pointe fièrement vers le ciel.
La grande forme mon amour ! Viens vite !
Je plonge, et en une coulée, Éloïse maccueille les bras grands ouverts. Nos lèvres se joignent instinctivement, pour entamer un ballet tendre et sensuel. Après plusieurs minutes de cet échange buccal, Éloïse rompt notre baiser.
La journée a été interminable sans toi, tu m’as tellement manqué !
De même pour moi, je n’ai pas arrêté de penser à toi ma chérie !
Fais-moi l’amour, mon amour !!
Dans la piscine ?
Oui dans la piscine, je ne l’ai jamais fait, je veux sentir leffet que ça procure !
Tout en parlant, Éloïse ne reste pas inactive. D’une main ferme elle astique mon manche, puis elle frotte le gland contre ses grandes lèvres, l’effet sous l’eau est détonnant.
Tout en souplesse, elle m’enserre les reins de ses jambes, et semmanche d’un trait. Wahoo, elle doit avoir une très grosse envie, elle est encore plus mouillée quhier soir. Je sens les contractions de ses muscles vaginaux qui me broient le sexe. Elle me murmure dans loreille, comme si elle avait envie que l’on entende :
Je te confirme, tu as un sacré calibre, tu me remplis en totalité !
Si tu le dis, je veux bien te croire !
Aime moi, donne-moi du plaisir mon chéri !
J’attrape fermement son derrière, et je commence à la faire monter et descendre sur mon barreau. Je ne sais pas si c’est linterdit de notre acte, ou tout simplement l’envie de faire l’amour à la femme qui se trouve dans mes bras, ou encore une combinaison de tout cela, mais je bande, et pas quà moitié, je retrouve mes vingt ans. Si notre relation est amenée à durer, cela promet de belles réjouissances en perspective.
Oh oui, c’est trop bon, continue à cette cadence !
Ton minou est un délice !
Arrête !!!
Pourquoi ???
On sort, j’ai envie de venir sur toi !
Je me désaccouple avec regret, Éloïse monte à léchelle en premier, je dispose dune vue splendide sur son magnifique derrière. Je la suis, mon engin pointant toujours fièrement. Pour plus de confort, ma sur prend une serviette pour placer sous ma tête.
Allonge-toi mon chéri !
Avec sensualité, Eloïse m’enjambe, je savoure une vue panoramique sur son intimité, sa minette encore largement ouverte. A ma grande surprise Éloïse place sa chatte sur ma bouche.
Pierre mon chéri, bouffe-moi la chatte, j’adore sentir ta langue dessus !
Je ne peux lui répondre, ma bouche se collant sur sa chatte. Alors nous redémarrons comme la veille, je la dévore, son nectar me coule dans la bouche. Nétant pas en reste, Eloïse astique ma colonne de sa main tout en douceur. Elle ahane très fort, son corps commence à être secoué par le plaisir, mais ma coquine de sur en veut plus. Se relevant, elle recule, attrape ma bite et viens sasseoir dessus, en roulant du derrière, elle s’emmanche jusquà la garde. Une fois bien plantée, elle me regarde avec malice, je peux lire lexcitation sur son visage.
Alors mon chéri, tu aimes ?
Tu es surprenante ma chérie !
Et tu n’as pas tout vu, je te promets que tu ne vas jamais regretter de faire lamour avec ta sur !
Après ces belles paroles, Éloïse plaque ses mains sur mon torse, et commence à monter et descendre sur mon pal, mes mains ne restant pas inactives. Je joue avec ses deux globes, titillant les tétons. Notre plaisir mutuel grimpe crescendo. Les mouvements de ma sur deviennent anarchiques.
Mon chériii, comme c’est bon !
Je ne vais plus pouvoir tenir !
Non, encore un peu !
Ah ah ah, je viiiens !!
Tu me fais jouiiiir ! je te sens couler en moi, c’est trop bon mon cur !
Nous avons pris un plaisir immense, celui dun grand bonheur commun. Éloïse le prolonge en messorant jusquà la dernière goutte avec des contractions de son vagin sur mon sexe tendu à lextrême. Ma sur se penche sur moi, prenant ma tête en ses deux mains.
Merci, pour ce moment magique, je taime Pierre !
Pour moi aussi cétait grandiose, je t’aime Éloïse chérie !
Nous concluons ce moment charnel par un très long baiser sensuel. Il est maintenant temps d’aller prendre une douche, en commun. Ma grande douche à litalienne nous accueille sans problème. Nous nous lavons mutuellement en prenant notre temps, tout cela entrecoupé de tendres baisers. Après un essuyage sommaire, je propose un rafraîchissement à Eloïse.
Je boirais bien une bière !
Tu picoles maintenant ?
Eh oui, j’ai tous les vices, je picole et je fais lamour avec mon frère !
C’est malin, pourquoi dis-tu cela, tu regrettes ?
Alors là, au contraire, c’est la plus belle chose qui me soit arrivée !
Nous nous retrouvons sur la balancelle, tout en buvant notre bière, Éloïse se fait très câline, collée contre moi, nous nous regardons, souriant en silence, point besoin de paroles, nos regards parlent pour nous. Ma sur va rompre cet instant de charme :
Il faut que je t’avoue un truc !
Je suis à ton écoute !
Heureusement que je tavais, tu m’as soutenue après lépreuve de mon divorce qui conclut un mariage raté !…
Ne dis pas ça, tu as été quand même heureuse !
Non, et je vais te dire maintenant chose la plus importante, depuis mon adolescence je suis amoureuse de toi, et toi tu ne voyais rien, me considérant simplement comme ta sur. Jaurais tellement aimé que tu sois le premier !
Je ne t’ai jamais rien montré, moi aussi j’en pinçais pour toi, il mest même arrivé de me branler en pensant à toi !
Moi aussi j’ai connu mes premiers plaisirs solitaires en imaginant faire des choses avec toi !
Que de révélations ma chérie !
Attends je n’ai pas fini, on a fait nos vies tous les deux, la tienne mieux réussie que la mienne. J’ai enfoui tous mes sentiments pour toi au plus profond de moi-même. Et pendant tout le trajet tout est ressorti, tu voulais que je vienne passer mes vacances chez toi, c’est que tu tenais à moi.
Oui je tiens à toi, et plus encore depuis hier soir !
Moi aussi je tiens à toi, on a vécu des moments difficiles tous les deux. Au fil des kilomètres, tout l’amour que javais pour toi remontait à la surface. Plus j’approchais plus jétais fébrile. J’ai craqué, tout se bousculait dans ma tête, tu m’as pris dans tes bras je me suis senti apaisée. Je suis venue dans ta chambre.
Quelle histoire ma chérie !
Tu étais nu sur ton lit, quand je suis venue te voir, et là j’ai eu le déclic, c’est maintenant ou jamais !
On va avoir trois semaines pour profiter l’un de lautre !
Et après on fait quoi ?
Tu démissionnes, et tu viens tinstaller ici, dans ta branche et avec les qualifications que tu as, tu trouveras facilement du boulot ici !
Tu es sérieux ??
Plus que sérieux, depuis hier tu m’as ouvert les yeux, je t’ai toujours aimée, plus quune sur, tout cela était enfoui au plus profond de moi-même, et tu as fait ressurgir cet amour, alors je ne veux pas m’en priver, bien sûr tu es daccord ?
Evidemment que je suis daccord !
Éloïse me saute dessus, la balancelle tangue dans tous les sens. Elle vient souder ses lèvres aux miennes, et nous entamons un profond baiser, mes mains se trimballent sous le tee-shirt quelle ma piqué, je constate qu’elle est à poil en dessous, la coquine !
Rompant le baiser :
Oh oui je vais démissionner, et venir vivre avec toi, je T’AIME comme je n’ai jamais aimé !
Tu ne regretteras jamais ta décision mon amour !
Éloïse me susurre tendrement à loreille.
Alors fais-moi encore lamour !
Une nouvelle vie vient de souvrir pour nous deux.
Fin.
