Le Mâle pas encore dominant. Initiation entre cousin et cousines.
Aaahhh ! Aaarrgg ! Ooouuuiii !!!!!!!!!!
J’ouvre les vannes, la queue dressée au ciel par les doigts de ces deux furies, les jets se succèdent et les deux premiers sont si violents que j’en reçois plein le visage de l’il droit au menton. Effrayées, elles lâchent ma bite qui bouge dans tous les sens et les éclabousse elles aussi d’une bonne dose de sperme. Tante Martine ricane avant de leur avouer :
Ah, je ne vous avais pas prévenues qu’il n’y a pas que la taille de sa queue qui est exceptionnelle, désolée !
Suite :
Et elle se penche à nouveau sur moi pour me nettoyer le visage d’une langue gourmande.
Mais qu’est-ce que tu fais maman ? C’est dégueulasse…
Se léchant les babines, elle se redresse et rétorque à Apolline :
Tu ne sais pas ce qui est bon. Bien, maintenant, il va être un peu plus résistant pour la suite. Et la suite, c’est faire une fellation. Qui veut commencer ?
Sans attendre de réponse, elle me nettoie la bite avec sa langue et ses lèvres qui ont tôt fait de remettre en forme ma jeune queue dont l’érection avait à peine faibli, me retrouvant vite au garde-à-vous.
Julie, c’est à ton tour, tu as vu comme je fais !
Julie, après un peu d’hésitation, se saisit de ma verge pour la redresser au-devant de sa bouche ouverte et referme ses lèvres sur mon gland. Sa langue étale sa salive sur mon membre et lentement, elle engloutit ma bite le plus loin possible.
Eh doucement Julie ! Il faut ménager son instrument, en goûter chaque centimètre, en exciter les terminaisons nerveuses, surtout sur le gland ! Pense à ta glace préférée que tu lèches, que tu dégustes pour en extraire son parfum. Lààà, c’est beaucoup mieux ! Regarde aussi son visage comme il apprécie ton travail. Bien, maintenant laisse la place à Apolline.
Mais elle y a pris goût et ne veut plus lâcher ma pine, Apolline s’énerve et la bouscule pour prendre sa place.
Eh ! Qu’est-ce que tu fais ? hurle Lucie.
C’est mon tour, laisse-moi la glace ! Si tu veux, je te laisse les boules !
Je ne suis plus qu’un bâton de glace qui passe de bouche en bouche, pour elles, le cousin n’existe plus que par son sexe. Mais l’épreuve est trop dure et la cocotte minute va exploser.
Aaahhh les filles ! Arrêtez ! Je ne peux plus me retenir !
Je ne sais pas si Apolline m’a entendu, mais elle n’arrête pas sa succion. Dans un geste de réflexe, je pose mes deux mains sur sa tête, lui interdisant de se retirer et me vide dans sa bouche. Je ne sais pas si c’est son manque d’expérience, la dose trop abondante ou le fait que ma bite est allée trop loin au fond de sa gorge, mais elle a dû reprendre sa respiration au mauvais moment. Elle recrache par le nez deux filets de foutre en s’étouffant. Effrayé, je relâche sa tête, elle tousse et expectorise de longs filets de bave et de foutre mélangés.
Oh, excuse-moi Apolline, je n’avais pas réalisé…
Il lui faut un moment avant de reprendre son souffle, la respiration sifflante.
Espèce d’abruti, tu voulais me tuer ou quoi ?
Tante Martine vient calmer sa fille et en profite pour donner une leçon en lui expliquant:
Tu as dû sentir sa queue vibrer et durcir au moment fatidique. Il faut être à l’écoute de ton partenaire et toi, Claude, il faudra à l’avenir que tu fasses plus attention. La taille exceptionnelle de ton pénis et la puissance de tes éjaculations risquent de poser des problèmes à la plupart de tes partenaires si tu ne te contrôles plus, fais gaffe ! Bien… Maintenant les filles, c’est le moment où le plus souvent, l’homme est trop épuisé pour un troisième acte et où la femme doit déployer sa science pour en obtenir un peu plus. Lucie, tu vas prendre le relais et en plus de ta bouche, sers-toi de tes mains. Ses bourses et même son anus sont des zones sexuelles sensibles qu’il faut utiliser pour faire remonter son désir. Il faut aussi se servir du fait que vous êtes deux pour un seul mâle. Apolline, lui aussi il peut de donner du plaisir. Donne-lui ta moule à lécher pendant que ta sur s’occupera de son engin.
Lucie reprend le flambeau, ou plutôt ma bite. Martine me force à m’étendre et positionne sa fille à califourchon sur mon torse. J’ai devant les yeux une fente qui suinte, je lui ai fait de l’effet ! Elle colle sa moule sur ma bouche et moi aussi j’explore pour la première fois de ma vie la chatte d’une fille du bout de ma langue et de mes lèvres. J’essaie tant bien que mal de ne pas trop rater mon premier cunni, mon visage enfoui entre ses cuisses que j’écarte de mes mains.
Je m’aide de mes doigts pour explorer sa grotte quand je sens un doigt se faufiler entre mes fesses et prendre le chemin de mon illet plissé et poilu. Lucie masse délicatement mon anus. Ma respiration devient saccadée. Jai les yeux fermés, appréciant toutes les caresses et autres excitations données par les jumelles. Ma queue reprend du service, mais Lucie a glissé sa tête sous ma hampe pour me dévorer les boules. Mon gland se perd dans ses cheveux blonds pendant qu’un doigt pénètre mon conduit à la recherche de ma prostate.
Je ne reste pas inactif et dévore littéralement la chatte d’Apolline qui semble particulièrement apprécier mes coups de langue vu les grognements de plaisirs qu’elle pousse tandis que sa sur s’affaire sur ma queue.
Apolline apprécie mes efforts sur sa chatte accueillante aux poils soyeux, je caresse avec délicatesse ses seins aux tétons érigés quand soudain, son jus emplit ma bouche. Je suis fier de la satisfaire en la faisant jouir aussi rapidement.
Lucie s’est rendu compte de l’émoi de sa sur et veut elle aussi son dû. Je ne suis plus qu’un instrument à plaisir pour ces garces, mais je bois avec plaisir aux deux fontaines blondes plusieurs fois avant de sentir poindre un nouvel orgasme. Des milliers de fourmis s’activent dans ma verge.
Je ne veux pas rééditer l’erreur de tout à l’heure et les préviens :
Espèces de petites salopes ! Gare… Je vais cracher !
A ces mots, Lucie colle ses lèvres à ma prune Violette, descend d’un cran pour faire disparaître le gland. Je ne peux plus retenir un orgasme ineffable, indicible, perdant le contact avec la réalité en me vidant dans sa bouche. Finalement, je rouvre les yeux pour voir mes cousines s’embrasser à pleine bouche. Je savais bien que c’était des petites vicieuses ! Mais tant que c’est moi qui en profite !!!
Je suis à plat et tante Martine vient à mon secours dans un grand éclat de rire:
C’est tout pour aujourd’hui… Il faut le laisser récupérer si vous voulez qu’il tienne le coup jusqu’à la fin des vacances !
Les jumelles ne me lâchent plus. Déjà, il n’est plus question que je mette un maillot pour la piscine, j’ai essayé, mais ces deux folles ont tôt fait de me l’enlever alors au diable la pudibonderie et le regard des voisins proches… De toute façon, ils doivent être habitués à voir ce qui se passe autour de la piscine.
Le summum de leur perversité a été atteint deux jours après, quand Apolline a invité un gars, Paul, qui lui court après depuis quelque temps et qui avait assez de « couilles » pour accepter de pavaner à poil autour de la piscine.
Elles m’ont demandé de me planquer le temps qu’il prenne ses aises autour du bassin.
Comme pour moi, elles l’ont aguiché complètement nues et il n’a pas résisté. Il fait presque vingt centimètres de plus que moi, baraqué, très musclé et je comprends que les filles aiment se pavaner à côté d’un tel Apollon.
Pendant qu’il nage, je viens m’étendre à plat ventre sur une serviette de bain et fais semblant de dormir.
Paul sort de l’eau, Lucie s’approche de lui et lui empoigne les couilles en les malaxant avec sa main droite.
La sensation doit être extraordinaire pour lui et je prends conscience du pouvoir qu’une femme peut exercer sur un mâle, car il se met à bander. Sa sur vient lui prêter main-forte et Paul se retrouve très vite en pleine érection, mais les filles se mettent à papoter entre elles comme s’il était sourd :
Je suis déçue Lucie, annonce sa jumelle, avec un tel corps, j’attendais de voir une belle bite, mais là !
Qu’est-ce que tu croyais ? lui rétorque Lucie, il est correctement monté ! Tu t’es fait une idée complètement déformée par la comparaison avec Claude. C’est lui qui n’est pas normal !
Mais qu’est-ce que vous racontez les filles ? Jamais une fille ne s’est plainte que je sois mal équipé, et qui est ce Claude ?
C’est notre cousin, lui répond Lucie en me désignant du doigt.
Quoi ? Cette demi-portion ! sexclame Paul.
Retourne-toi Claude, m’ordonne Apolline.
Je me retourne donc, le petit jeu des filles a commencé à faire son effet et un début d’érection gonfle ma verge.
Lève-toi et viens te mettre à côté de Paul, s’il te plaît, déclare Lucie.
Je lui obéis et je dois dire que je fais petit garçon à côté de lui, que je voudrais être baraqué comme lui…
Peuh ! D’accord, il a une plus grosse queue que moi, mais il n’arrive même pas à bander ! lâche-t-il d’une façon désobligeante.
A ces mots, chaque jumelle s’agenouille et s’occupe d’une pine. Lucie n’obtient rien de plus avec Paul qui regarde continuer de croître ma verge en grognant entre ses dents.
Putain c’est pas vrai…
A suivre…