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Ma chère cousine! – Chapitre 2




Nous avons donc réussi à passer au dessus du tabou.. Et nous somme collés l’un à l’autre. Nous échangeâmes un baiser et je suis descendu le long de son coup, pour arriver à sa poitrine, ou j’aspirais ses tétons et malaxais ses seins. Déjà pleine de plaisir, ma cousine me pria alors de passer plus bas. Nous nous installâmes en 69, et c’était parti. Je lui caressais tendrement le clitoris avec ma langue ou mon pouce alors qu’elle me pompait vivement.

Elle me pompait tellement bien, qu’en très peu de temps, je déversai mon fluide dans sa si jolie bouche. Elle ne fût en rien surprise et l’avala d’une traite, comme si elle attendait ce fruit du plaisir comme une denrée très rare et goûteuse.

Nous avons donc quitté cette position du 69, et je me suis penché vers elle, et son con magnifiquement bien serré. Je continuai alors mon travail de lui lécher frénétiquement le bouton d’or alors que mes doigts se perdaient dans son antre du plaisir. Elle ne se fit pas attendre non plus avant de jouir, mais elle du retenir grandement ses cris pour ne pas réveiller notre hôte..

Après cette jouissance extrême de nos parts, nous avons alors décidé de nous reposer un peu, nous enlaçant tendrement et échangeant de doux baisers. Après une vingtaine de minutes ainsi, nous avions voulu plus, ce petit avant goût de préliminaire nous avais décidé à aller plus loin.. Ma verge était encore bien tendue, alors que sa fleur était aussi bien humide.. Après quelques lèches et doigts nous décidâmes enfin de passer aux choses sérieuses..

Elle écarta ses jambes présentant ainsi à mon pylône sa magnifique chatte n’attendant plus que moi. Je l’ai donc pénétrée doucement, et là, extase, nous ne faisions enfin plus qu’un elle et moi. Cette situation voulue depuis tant d’années se réalisait enfin..

Nos ébats durâmes pendant deux bonnes heures, et enfin le moment de jouir en elle se présentait à moi. Elle prenait la pilule donc je n’avais pas de soucis à me faire.. Sentant mon rythme accélérer elle me dit alors tout bas de jouir en elle, de lui faire ce cadeau d’enfin me vider dans son corps pour qu’elle garde une trace de moi.

Aussi tôt dit, aussi tôt fait. Je jouis en elle et elle ne se fit pas attendre pour me suivre. Je me déversais en elle, l’orgasme le plus intense que je n’ai jamais eu.. Et c’était avec la seule femme qui me faisait rêver.

Depuis cette épisode, nos occasions de faire l’amour étaient rare, mais nous les appréciions.

Aujourd’hui nous avons elle et moi respectivement 21 et 22 ans, nous sommes dans la même fac et bien sur nous partageons le même kot étudiant. Personne à la fac ne connaît notre lien de parenté et nous pouvons enfin nous afficher. Nous vivons un amour passionné depuis 4 ans et nous sommes heureux ainsi.

Fin!

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