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Mon frère et sa grosse bite – Chapitre 1




Salut ! Je vais vous raconter une histoire qui mest arrivée il y a quelques jours. Je vous plante le décor. Je mappelle Alice, jai 19 ans, je mesure 1,75m pour 63kg, je fais un bon 90D et je vis toujours chez mes parents avec mon frère. Il sappelle Olivier, est âgé de 18 ans mesure la même taille que moi, si ce nest un peu plus et il est plutôt athlétique sans pouvoir pour autant être qualifié de musclé. Un détail, je suis vierge.

Ce soir-là, mes parents étaient partis pour un week-end. Jétais donc seule à la maison, avec mon frère. Ce nétait pas la première fois. Ce soir, partisane du partage des tâches, javais décidé quil ferait la cuisine. Enfin, cuisine est un bien grand mot. Disons quune tournée de pâtes ou une pizza décongelée ferait parfaitement laffaire. Mais à bientôt 19h15, il était toujours avachi devant la télé et la faim commençait à me tenailler. Je décidais de le remuer :

« Bon, quest-ce quon mange ?

— Jai bien une idée mais bon…

— Cest quoi ?

— Tu pourrais commencer par me bouffer la bite. »

Je fis un pas en arrière, frappée par une telle répartie. Je décidais de ne pas me laisser faire.

« Je risque de rester sur ma faim avec ta petite nouille. Ce ne sont pas tes 10 petits centimètres qui vont me caler.

— Et si je ten mettais 20 avec de la sauce ? »

Je réfléchissais à la réponse que je pouvais faire et décidais de le provoquer un peu plus, histoire de voir jusquoù il irait.

« Alors là, si ta bite fait 20 cm, jaccepte de te sucer, de me faire baiser et de me faire sodomiser par toi.

— Et bah prépares-toi. »

La partie allait être serrée, je tentai une dernière provocation.

— Par contre, si elle fait moins de 12 cm, tu avales ton propre sperme !

— Et si elle fait 20 cm, cest toi qui avales. »

Je rigolais de cette mascarade. Si sa bite faisait probablement plus de 12 cm, puisquil avait accepté le deal, elle ne pouvait pas faire 20 cm. Il sagissait dun coup de bluff. Jallais chercher un triple décimètre. Je le posais devant lui et masseyais. Il se leva et se déshabilla entièrement. Sa bite était au repos le plus complet et mesurait moins de 10 cm. Jétais tranquille. Il natteindrait jamais les 20 cm. Afin de sexciter, il me demanda :

« Déshabille-toi.

— Quand ta bite aura atteint les 20 cm. Et à mon avis cest mal barré.

— Branle-moi au moins.

— Non plus. Éventuellement, si tu atteins 18 cm, je verrai ce que je peux faire. »

Il commença à se masturber et une demi-molle apparut. Il mesura et annonça 16 cm. Je décidai de faire un geste et me mis en sous-vêtement, shorty et soutien-gorge de sport noirs assortis. Jétais persuadée quil était arrivé à son maximum. Mais contre toute attente, il parvint à 18 cm. Jhésitais. En effet, je ne lui avais pas promis de le toucher mais jen avais mine de rien envie. 18 cm, cétait plutôt pas mal. De plus elle était également bien épaisse. Il me suppliait presque. Après tout, je ne risquais pas grand-chose et cela sarrêterait là car il était à son maximum. Assise sur le canapé, je pris dans ma main ses testicules et commençai à jouer avec. De lautre main, je commençai à le branler. Il semblait beaucoup aimé et je crus sentir une nouvelle augmentation de taille. Cétait impossible, javais dû me tromper. Mais plus je le branlais, et plus cette sensation devint une certitude. Sa bite grossissait encore. Je mesurai, 19,5 cm. Aïe ! Il nen était plus très loin. Je lâchais tout soudainement. Il fallait que jarrête de lexciter ou je perdrais mon pari. Mais il reprit lui-même la masturbation en fermant les yeux et je crus à nouveau voir sa bite grossir. Il reprit le triple décimètre et annonça triomphant « 21,5, jai gagné ! ». Je mesurais moi-même, « 20,5, ne triche pas. ». Peu importait la taille précise, je venais de perdre mon pari. Je restais cependant stupéfaite. Il était remarquablement bien monté. Résignée, je le laissais me dégrafer mon soutien-gorge et môter mon shorty.

Quelle andouille avais-je été de le provoquer. Je pris sa bite entre mes mains, et après lavoir longtemps regardée, je fermai les yeux, ouvrai la bouche et commençai à le sucer. Cela nétait pas aussi désagréable que je limaginais. Cétait même plutôt agréable. Jouvrai les yeux et essayais daméliorer mon geste. Mon frère ne bougeait pas, il me regardait, fermait parfois les yeux, et gémissait doucement.

Après plusieurs minutes, estimant lavoir suffisamment sucé, je décidai quil sagissait du bon moment pour passer à la suite. Je mallongeai alors sur le canapé sur le dos, écartant les jambes pour lui faire comprendre que jétais prête. Il me caressa brièvement lorifice avant dy introduire un doigt. Un deuxième suivit rapidement. Quand je fus bien mouillée, il approcha sa bouche et commença à me lécher. Il se débrouillait plutôt bien le bougre. Je sentais le plaisir monter en moi. Mon corps commença à bouger de façon incontrôlable et incontrôlée. Lorsque lorgasme arriva, je sentis un jet de mouille partir. La langue se retira aussitôt. Il se releva et je me rendis compte quil avait tout pris sur la bouche. Il estima que les préliminaires avaient assez durés. Il approcha sa bite et commença à frotter son gland contre lentrée. Je redoutais ma première pénétration. Une violente douleur menvahit dun coup. Il était entré sèchement, sans prévenir. Javais crié mais il ne semblait pas préoccupé il commença des va-et-vient, dabord lentement, puis de plus en plus rapidement et profondément. Au fur et à mesure de ses coups de reins, qui se faisaient de plus en plus en violent, la douleur sestompa et laissa place à une agréable sensation. Il sortit dun coup, mordonna de me lever, sallongea à ma place et me demanda de masseoir sur sa queue dressée. Jobtempérai et il commença à me faire sautiller. Le plaisir remonta. Cette position me fatigua les cuisses assez rapidement. Il me fit alors mettre à quatre pattes et entreprit une levrette. Il avait une sacrée endurance. Il finit par se retirer et alors que je pensais que cétait enfin fini, il revint à lassaut.

Cette fois-ci, ma chatte fut épargnée mais pas mon pauvre cul. Javais oublié la sodomie, mais pas lui. Une violente douleur menvahit à nouveau mais disparut très rapidement sous les coups de butoir. Il me pilonna ainsi durant de longues minutes. Je respirai quand il cessa enfin. Il me restait encore une tâche difficile, avaler son sperme. Jespérais quil néjaculerait que quelques gouttes. Je magenouillai par terre. Il plaça sa bite entre mes seins. Ce nétait pas prévu dans le pari, mais je ne disais rien, espérant recevoir le sperme ici plutôt que dans la bouche. Il commença les allers-et-venues. À chaque remontée, son gland entrait dans ma bouche. Sentant le sperme monter, il mattrapa larrière de la tête, enfonça son gland dans ma gorge et me baisa la bouche. Il lâcha un violent premier jet de sperme. Jarrivais à dégager son gland du fond de ma gorge pour lamener sur ma langue. Il déversa trois autres jets que javalais rapidement. Cétait plutôt bon. Je reprenais alors une fellation lente, insistant avec ma langue sur son gland. Je récoltais encore quelques gouttes.

Ce soir-là, couchée dans mon lit, je me repassais ces moments. En une soirée, je métais faite dépuceler, javais sucé un mec qui se trouvait être mon petit frère et il mavait sodomisé avant de se vider dans ma bouche. Mais je ne regrettais pas vraiment. Sa bite était plutôt grosse et il savait sen servir. Il avait réussi à me faire jouir comme jamais avec son cuni, et je métais découverte femme fontaine. Pour couronner le tout, javais bu son sperme et javais apprécié. Quelle soirée…

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