Je prends l’avion le vendredi suivant. Nancy, Andréa et Carole sont venues m’accompagner. Elles m’ont fait passer une nuit d’enfer. Je n’ai pas dormi. Elles se sont conduites comme des furies. Mon sexe est usé ! A l’aéroport, elles m’ont accompagné jusqu’à la salle d’embarquement. Effusions de larmes et embrassades enflammées. Certains voyageurs me jettent des regards envieux. Il faut dire aussi qu’elles attirent le regard. Leurs tenues sont un appel au viol caractérisé. Chacune d’elles arbore un tee-shirt très court laissant leur ventre visible et très moulant. Elles ont dû prendre au moins deux tailles en dessous de la leur. Leurs jupes sont très courtes, à mi-cuisses. C’est avec cette vision que j’embarque. Dans la classe "affaires", nous sommes que trois. Avec trois hôtesses, nous sommes comme des coqs en pâtes. Je commence à travailler dès que je peux mettre en fonction mon portable. Quelques minutes après la mise en route de mon PC, une icône me signale que j’ai des mails dans ma boîte.

Le premier parvient de François-Xavier. Le voici :

Cher Jérôme,

Vous venez de partir depuis ce matin. Je viens de trouver Charlotte très déprimée. Elle m’a parlé. Elle m’a dit qu’elle vous fait un compte-rendu de toutes les soirées particulières qu’elle passe. Afin de ne pas trop la perturber, je lui ai demandé de ne plus vous transmettre ces récits. Pour que vous soyez informé de ses aventures, j’ai embauché un caméraman. Il filmera toutes ses épopées. Nous les graverons sur DVD. Ainsi, à votre retour, vous aurez l’intégrale de son éducation.

Au plaisir de vous lire,

FX

Que faire ? Charlotte est libre et je n’ai aucune autorité sur elle. L’hôtesse vietnamienne m’apporte une flûte de champagne. Je la sirote avant de m’assoupir.

— Dès mon arrivée, je suis accueilli par une interprète vietnamienne. Perl est ravissante, même si je ne suis pas très attiré par les femmes asiatiques. Aussitôt à Ho Chi Minh Ville, je suis conduit à l’hôtel. Dès le lendemain, je pars pour Hanoï. Je rencontre le directeur Anh Dung N’Guyen de notre filiale. C’est un marathon de travail qui m’attend. La première journée est harassante. Le jetlag et le travail ont raison de moi. Je dois installer les logiciels sur tout le système informatique. Le tout me prendra environ deux mois. Mais pour une usine, perdue dans le Nord-Ouest, le long de la frontière chinoise, le système est trop ancien et nécessite une reconfiguration complète. Je devrais m’y rendre.

— Au bout des deux mois de travail, le directeur me propose une soirée de détente. J’accepte avec plaisirs. Mais la vie nous apporte un lot de surprises. Anh Dung nous amène dans un restaurant typique. Il connaît bien les lieux et les patrons. A peine sommes-nous assis qu’il se relève et salue une personne. Je me retourne et je découvre la jeune ingénieure qui dirige l’usine perdue dans le nord Vietnam. Anh Dung la convie à notre table. Il me présente Xiu. Et là pour la première fois de ma vie, je suis tombé amoureux d’une Asiatique. Elle a entre vingt-cinq et trente ans. Au Vietnam, elle est considérée comme une vieille fille et elle a peu de chance de trouver un mari. La rencontre avec une Vietnamienne n’est pas une chose simple. Son allure, l’air presque hautain, elle toise tous les hommes qui osent la regarder. Je la regarde avec beaucoup de discrétion. Elle est vêtue du vêtement traditionnel vietnamien, l’áo dài. Cette tunique traditionnelle vietnamienne est considérée comme l’esprit national et un des symboles du Vietnam.

Xiu porte donc cette longue tunique blanche avec des arabesques mauves. Le col mao met en valeur son cou gracile. Les manches longues cachent ses bras. La robe moulante met en valeur son corps sans pour autant dévoiler les détails anatomiques. Je ne peux que deviner un corps souple agrémenté de formes plus qu’agréables. Le pantalon long blanc cache ses jambes. Les deux pans gracieusement souples dégagent une atmosphère sensuelle. Xiu est grande pour une Asiatique. Elle est élancée. Sa poitrine cachée par son vêtement me paraît bien ronde. Après s’être débarrassée de son chapeau, je découvre son visage. Elle a une allure de princesse khmère, son visage un peu rond est charmeur. Sa chevelure longue noir de jais est réunie en une queue-de-cheval basse et descend jusqu’au niveau de ses fesses. Elle est trop jolie. Nous commençons une discussion professionnelle. Je la regarde sans arrêt. Le battement de ses cils longs et noirs m’indique qu’elle est un peu intriguée par mon regard persistant.

Et là le hasard fait bien les choses. Le téléphone d’Anh Dung sonne. Il se lève pour répondre. Le silence s’installe entre la belle jeune femme et moi. Notre directeur revient :

— Je dois m’absenter. Veuillez m’excuser !

Puis il s’adresse à Xiu :

— Xiu, je vous confie Jérôme. Vous le ramènerez à l’usine et le guiderez pour les travaux de mise en place du nouveau système. Si j’ai bien compris, Jérôme va rester quelques mois dans vos montagnes.

Xiu lui répond d’une manière très révérencieuse :

— Je vais faire de sorte que M. Jérôme soit le mieux accueilli possible dans notre magnifique région du nord, Monsieur…

Anh Dung répond :

— Je sais que je peux vous faire confiance Xiu… Au revoir Xiu… Au revoir Jérôme…

Et nous restons tous les deux sans savoir comment continuer la conversation. Pour lui être agréable j’essaie de me fendre d’un compliment :

— Vous êtes très jolie, Mademoiselle Xiu…

Le regard qu’elle me jette est incendiaire, meurtrier ! Je tente de m’excuser…

— Excusez-moi, Mademoiselle Xiu, je ne cherchais pas à être indélicat, mais seulement à vous dire la vérité !

Elle est très étonnée. Son air courroucé disparaît. Elle commence à me sourire. Ses yeux bridés semblent avoir été faits pour le sourire. Elle en est encore plus belle. D’un geste machinal elle arrange son vêtement qui n’avait pas bougé…

Nous papotons de sa région. Nous dînons tranquillement. Le repas terminé je lui propose de la ramener à son hôtel. C’est elle qui me propose de m’emmener en ville avec sa voiture. Elle est très fière de posséder un véhicule. J’accepte. Elle me conduit vers un petit coupé Honda assez âgé. Elle m’ouvre la porte et je m’installe. Xiu fait le tour de la voiture et s’installe à son tour. En cours de route, mon regard glisse sur ses jambes que les deux pans de son áo dài laissés libres. Ses cuisses sont moulées par le pantalon. Je remonte vers sa poitrine qui vue de côté me semble bien agréable. Nous arrivons à mon hôtel. Xiu se gare et descend de la voiture.

— Nous sommes arrivés…

— Je vous remercie de m’avoir ramené à mon hôtel.

Son visage se fend. Un sourire éclatant découvre des dents blanches et très belles.

— C’est aussi mon hôtel !

Nous entrons. C’est à ce moment qu’elle me prévient :

— Demain nous partons à huit heures !

Je m’étonne :

— Demain dimanche ?

— Oui, Monsieur le français, la route est longue jusque chez nous… En partant à huit heures nous devrions être vers 18 heures à domicile ! Bonne nuit ! Faites de beaux rêves !

Je n’ose pas lui dire que sa vue me fera passer de très beaux rêves…

Lorsque le réveil sonne, j’ai l’impression de ne m’être endormi que depuis quelques minutes. Il est pourtant l’heure de se lever. Passage dans la salle d’eau, habillage sport et descente dans la salle de restaurant. Xiu est déjà là.

— Bonjour Monsieur le français ! Bien dormi ?

Un plateau est posé en face du sien.

— C’est pour moi ?

— Pour qui voulez-vous que ce soit ?

— Il nous reste peu de temps. Je vous retrouve dans une quinzaine de minutes dans le hall.

J’avale mon petit-déjeuner et remonte me laver les dents. 11 minutes plus tard, je suis dans le hall. Xiu m’attend !

Et mince je suis toujours en retard avec cette trop jolie miss. Elle se lève et me lance :

— Apportez votre bagage !

Je lui obéis et la suis. C’est alors que je remarque que Xiu a abandonné la tenue traditionnelle pour une jupe courte et un tee-shirt décolleté. Je charge ma valise dans le petit coffre et m’installe. Aussitôt assis, Xiu démarre en trombe. Nous sortons de Hanoï et prenons une route passagère et quelque peu défoncée. Le paysage est magnifique et je me remplis les yeux de pure splendeur. C’est à cet instant que Xiu m’interpelle :

— Le paysage vous plaît ??

— Je me retourne vers elle et lui réponds :

— Votre région est mer… veilleuse…

Je viens de découvrir que la jupe courte de ma très belle conductrice vietnamienne est remontée très haut sur ses cuisses. J’ai la chance de voir deux très jolies cuisses rondes mât de peau. Ses jambes me sont parfaites. Je dois me retenir pour ne pas poser ma main sur la cuisse la plus proche pour apprécier le grain de peau. Xiu, sans me regarder, me lance, un peu mutine :

— Je vois que la vue vous plaît, Monsieur le français…

Je balbutie quelques mots :

— Ou… oui c’est vrai, le paysage est merveilleux…

Je vois un sourire s’esquisser sur son visage. Est-elle si innocente que cela ?? Xiu bavarde gentiment. Elle m’explique les vues, les paysages. L’air de rien, elle bavarde en se tournant régulièrement vers moi. Je me rends compte qu’elle me surveille. Enfin qu’elle suit mon regard lorsqu’il s’attarde sur ses cuisses dévoilées. Elle sourit et semble être très contente quand elle s’aperçoit que mon regard stationne plus que nécessaire sur ces jambes. Alors pour me narguer ou bien pour m’exciter, quand elle change de vitesse, sa jupe remonte encore un peu. Mais par moments mon regard remonte le long de son torse et tente d’évaluer le volume de ses seins. Ils m’ont l’air très ronds et très fermes. La situation ne semble pas la déranger, nous continuons notre périple. Vers 13 heures, Xiu nous arrête dans un petit village. Une petite gargote nous accueille. Une soupe vietnamienne, un fruit et un thé noir nous redonnent du courage pour finir le trajet. Xiu m’a déjà annoncé que la fin du parcours est beaucoup accidentée.

Qu’est-ce que va être !!! En effet les lacets se suivent et il faut beaucoup de dextérité à Xiu pour nous mener au terminus sans ennuis. Nous passons devant l’usine et aussitôt, Xiu tourne à droite. Une maison traditionnelle est au bout du chemin. Elle s’arrête et me lance :

— Nous sommes arrivés, enfin !

Je m’empresse de la féliciter :

— Bravo Mademoiselle Xiu ! Je n’aurai pas pu conduire aussi bien que vous sur cette route, un peu endommagée…

Xiu me regarde un peu par en dessous et me dit avec un sourire mutin :

— Monsieur le français, vous êtes un flatteur… et je ne suis pas un corbeau…

Elle fait allusion à la fable de M. de La fontaine « le corbeau et le renard ». Je souris franchement à son allusion et à sa culture.

— Vous connaissez bien les auteurs français ! Mais je ne vous flatte pas, je pense sincèrement ce que je viens de vous dire !

— Merci alors !!

— On termine le voyage ?

Xiu descend. Je la suis et ouvre le coffre et m’empare de ma valise et de son sac.

— Je vous suis, Mademoiselle Xiu…

Elle ouvre la porte et me guide au bout du couloir. Elle ouvre une porte et me dit :

— Voilà votre chambre…

— Mais je ne suis pas à l’hôtel ?

— Non, Monsieur le français, vous êtes logé comme moi dans une maison qui appartient à la société…

— Ma chambre est en face de la vôtre !

Cette information me provoque un chamboulement dans ma tête. Je vais dormir à quelques mètres de cette charmante personne ! Je n’y crois pas !

— Je vous laisse vous installer et nous allons dîner ?

Que répondre ???

— Bien je fais vite !

Quelques minutes plus tard nous nous retrouvons dans le couloir. Xiu me prend la main et me guide au-dehors. Elle connaît sa ville. Une petite échoppe nous concocte un dîner délicieux. Je souhaite régler l’addition, mais Xiu me dit :

— Monsieur N’Guyen me fâcherait s’il savait que vous avez payé un repas. Tout est pris en charge par l’usine…

Xiu porte toujours son tee-shirt très décolleté. Lorsqu’elle se penche pour prendre une bouchée de nourriture, elle m’offre une vision de rêve sur sa vallée mammaire. Malgré mes efforts pour ne pas me faire prendre la main dans le sac, Xiu me regarde dans les yeux et me dit :

— La vallée que vous regardez n’est plus la même… La trouvez-vous aussi agréable que celle de cet après-midi ??

Jérôme, tu viens d’être pris en flagrant délit de matage de décolleté, provocant certes mais pris quand même ! Bref, elle est la fille parfaite en apparence. J’ai pourtant vu son jeu de jambes dans la voiture. Ou elle a cherché à me provoquer ou elle cache bien son jeu ?

— Je ne peux qu’admirer le merveilleux paysage que vous m’offrez…

Xiu rit de toutes ses très jolies dents et me lance :

— Demain, il faut travailler ! Allons nous coucher !

Je m’interroge : Xiu est-elle une coquine ou bien une allumeuse de première ? Je vais bien voir… Nous arrivons à notre maison. Nous nous dirigeons vers nos chambres respectives. Nous y entrons. Avant de fermer sa porte, Xiu me dit :

— Je vais prendre une douche ! Je passe avant vous ?

— Bien sûr, Mademoiselle Xiu !!!

Quelques minutes plus tard, j’entends de l’eau couler. Puis soudain, Xiu appelle :

— Jérôme ! Jérôme !

N’écoutant que mon courage, je me précipite ! Devant la porte, je m’arrête brusquement. Je frappe à la porte en demandant :

— Mademoiselle Xiu ? Que vous arrive-t-il ?

Xiu me répond d’une voix nullement effrayée :

— Entrez, c’est ouvert !

J’entre et me trouve face un spectacle rare : dans la cabine de douche dont la porte est grande ouverte, une très jolie jeune femme, belle comme un cur, sa longue chevelure ramenée en un savant chignon sur le haut de sa tête. Xiu ne porte qu’une serviette autour des reins. Elle est torse nu. Là, je découvre ce que je pensais. Ses seins sont ronds, et haut perchés. Sa peau mate met en valeur ce corps offert à mes yeux ! Cette fois, je ne peux me retenir et avance vers elle. La voir ainsi me donne envie d’elle.

— Vous m’avez appelé ???

Xiu hoche doucement la tête de haut en bas.

— Je suis là !

De son index elle me fait signe d’approcher. J’avance. Je suis de plus en plus près d’elle, de ce corps splendide… Je la prends dans mes bras. Je suis contre elle. Sa peau humide mouille ma chemise. J’avance ma bouche vers la sienne pour l’embrasser. Ses lèvres sont douces. Ma langue écarte ses lèvres et pénètre sa bouche. Je regarde derrière Xiu. Le fond de la douche est un miroir complet. Mes mains passent de ses épaules douces comme de la soie, à sa taille fine et bloquent sur la serviette qui ceint ses hanches. Je glisse mes index de chaque côté de ses hanches et tire doucement. La serviette tombe à terre.

Je découvre son dos et aussi ses fesses rondes haut perchées au bout des très belles jambes que Xiu m’a fait entrevoir durant le trajet. Mon corps me trahit. La voir ainsi provoque en moi une montée d’adrénaline. Je bande. Je la porte sur mon lit. Je la dépose délicatement. Nos deux bouches ne se sont pas quittées. Nous nous embrassons, j’ai l’impression que nous ne formons qu’un seul être. Nous reprenons notre souffle. Ses seins m’attirent. Je pose mes lèvres sur le téton le plus proche de ma bouche. Xiu ne dit rien, bien au contraire. Elle se laisse faire en tenant ma tête pour que je ne quitte pas son téton. Elle ne risque rien. Aucun risque, je prends plaisir à bien faire les choses. Je suce longuement le bout de son sein. Je réunis ses deux tétons dans ma bouche, les coince derrière mes dents et agace les tétons dardés du bout de ma langue dure. Xiu tient ses seins pour me les offrir. Mes mains libres descendent dans son dos, épousent ses hanches avant que l’une d’elles quitte la rondeur pour fondre dans la fourche de ses cuisses.

La peau est délicieusement douce. Ma main continue sa descente inexorable. La fourche atteinte, je découvre que Xiu est nue comme au jour de sa naissance. Pas de poils pour entraver l’accès à la grotte secrète. Mes doigts avancent vers cet antre si recherché. Je trouve un paradis de douceur et de chaleur. Sa chatte ruisselle de cyprine. Je flatte ses grandes lèvres qui bordent son bel abricot. Je débusque son clitoris. Mon pouce retient le capuchon et de l’index et du majeur, je la caresse. Xiu se tend comme un arc. Elle m’offre son ventre. Soudain, elle pousse un cri. Surpris, je cesse ma caresse. Xiu maintient ma main entre ses cuisses et me chuchote à l’oreille :

— C’est bon !!! Je t’en parlerai après, continue…

Ne suivant que les ordres et desiderata de Xiu je continue. Je la caresse comme toutes les filles que j’ai connues.

Xiu reprend du plaisir. Elle feule comme une tigresse. Je la questionne :

— Raconte-moi !

Xiu se recule et me regarde droit dans les yeux.

— J’ai déjà couché avec un homme. Mais voilà, il était un très mauvais amant. Je me suis donc tourné vers des filles. Elles savent comment nous donner du plaisir. Et puis hier soir, j’ai eu le coup de foudre ! Je sais, cela n’existe pas, mais voilà. Dans mon cur et dans mon corps, j’ai ressenti comme un appel. Voilà, tu es le premier homme depuis que je couche avec des filles…

Je suis un peu sidéré. Une femme qui vous avoue qu’elle est lesbienne et qui prend du plaisir avec un homme ! Soudain elle me dit avant de se coller contre moi :

— Je voudrais que tu me fasses l’amour…

Pour une fille adepte du saphisme, elle m’étonne. Mais que répondre à une telle demande. Il ne reste plus qu’à m’exécuter… sans trop d’obligations et au contraire avec beaucoup de plaisir. Je la prends délicatement dans mes bras, la regarde dans les yeux, et lui donne un baiser auquel elle répond avec ardeur, nos langues se cherchent et se mélangent. J’en profite pour descendre progressivement mes mains vers sa poitrine ronde, fière et très ferme. Ses tétons sont eux très tendus. Je les caresse un à un puis les suce. Elle est sensible et émet des petits cris de plaisir. Je picore ses seins, puis ses lèvres. Mes mains parcourent ses cuisses puis caressent son sexe lisse. Son sexe déborde de cyprine. Je suis heureux qu’elle participe à notre union. Tout à coup, elle souffle, gesticule et transpire, pour atteindre en peu de temps, un orgasme assez fort. Pendant quelques instants, elle est inerte et reprend peu à peu ses esprits, elle me regarde en souriant, je reprends possession de sa bouche et de ses seins, ses cuisses bien ouvertes, n’attendent qu’une chose, que je la pénètre.

Je positionne mon sexe à l’entrée de sa grotte toute luisante de plaisir. Je pousse doucement. Centimètre par centimètre, mon gland écarte ses limbes. Je l’embrasse, tout en la pénétrant lentement. Mon sexe emplit le sien. C’est chaud, doux et humide à souhait. Bien planté au plus profond d’elle, je ne bouge plus. Je laisse retomber nos excitations respectives. Je veux lui prodiguer un plaisir maximum pour effacer le travail d’un sagouin… Xiu me regarde dans les yeux. Elle me saisit par les cheveux et me force la bouche, viole mes lèvres. Je crois bien qu’elle apprécie… Je la lime lentement puis progressivement j’accélère la cadence. Au bout d’un long moment, je me tourne et l’entraîne avec moi. A genoux, elle m’offre ses seins ronds à sucer. D’elle-même, elle monte et descend sur mon sexe, s’empalant bien à fond. Je la regarde au-dessus de moi. Cette vision est particulièrement excitante. Je suis fou de cette ravissante jeune femme. Pendant cinq minutes elle me chevauche. Sentant venir ma jouissance, j’accélère, elle sent que je vais jouir.

Elle se cambre au maximum, et tend bien ses fesses, pour que je la pénètre au plus profond d’elle. J’éjacule longuement, tant le plaisir de baiser cette jeune femme est intense. Nous restons un long moment soudés, savourant le plaisir que nous venons de prendre. Repus mais très heureux, nous nous embrassons longuement et allons prendre une douche ensemble, ma partenaire est radieuse et moi comblé. Le retour de la salle d’eau est très tendre et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.

Le réveil est pour le moins étonnant. Des lèvres chaudes se déposent sur les miennes. Une langue dure et pointue force mes lèvres. Je résiste peu de temps. J’ouvre ma bouche et la langue fureteuse pénètre ma bouche. Une lutte féroce se déroule entre deux langues bien pendues. J’avoue que je cède facilement devant la détermination de Xiu. Brusquement Xiu s’arrête. Elle me sourit puis plonge sous les draps. Je me doute un peu de ce qui risque de se passer. Mon sexe tressaute. Xiu découvre l’objet du délit. Elle commence par l’embrasser, en déposant de petits baisers sur le bout de mon gland. Je sens sa langue sur mon sexe. Elle le décalotte. Inutile de vous dire que les sensations ressenties sont délicieuses. Elle lèche le gland et ensuite agace le frein de mon prépuce. Quelques instants plus tard, elle avale mon gland. Elle débute sa fellation. Je sens ses lèvres qui cajolent mon gland. Xiu avale entièrement mon sexe. Je le vois disparaître dans sa bouche ronde. Je ne peux retenir des gémissements de plaisirs.

Xiu me saisit les couilles d’une main et les fait rouler entre ses doigts. La sensation est étonnante. Ces caresses durent un long moment avant que je lui signale mon envie de jouir. Xiu cesse sa fellation et me dit :

— Laisse-toi aller, ne t’occupe que de ton plaisir…

Et elle replonge vers mon sexe et reprend sa gâterie avec beaucoup d’ardeur. Je me laisse aller et la laisse faire. Mon excitation grimpe de plus en plus. Je l’avertis :

— Je viens !

Xiu ne se retire pas bien au contraire. Elle maintient mon sexe au fond de sa gorge. Les spasmes de l’éjaculation arrivent. Je me déverse dans sa bouche chaude. Et là, contrairement à un grand nombre de femmes, Xiu revient près de moi et me montre qu’elle avale son sperme avec délectation. Une fois sa déglutition faite, elle repart me faire une toilette buccale de mon sexe. Elle se redresse, et s’allonge contre moi. Elle pose sa tête dans le creux de mon épaule et me dit :

— Merci beaucoup !

Je lui dis :

— C’est moi qui dois te dire merci et te féliciter pour ta technique sans pareille…

Avec un grand sourire elle me répond :

— Il y a peu d’hommes qui laissent les femmes faire cette caresse. Beaucoup d’hommes obligent les femmes à la faire… Tant pis pour eux ! S’ils laissaient faire leurs femmes, ils s’apercevraient qu’elles savent très bien faire toutes seules !

Nous partons d’un grand éclat de rire. Une douche rapide, un petit-déjeuner avalé en vitesse et nous voilà en route vers l’usine. Nous devons mettre à jour tous les postes informatiques.

La journée de travail passe très vite. La tâche est immense. Mais j’ai du cur à l’ouvrage car Xiu est dans son bureau et par les vitres je vois qu’elle me surveille. A-t-elle peur que je me laisse séduire par l’une de ses subalternes, tout aussi ravissantes qu’elle ?

La fin de journée arrive. Xiu me ramène chez elle. A peine la porte refermée, Xiu m’agresse. Elle me colle contre le mur et me viole la bouche. Elle me dépouille de mes vêtements et avant d’avoir dit « ouf » me voilà en petite tenue. Xiu me tire vers la salle d’eau et me pousse sous la douche. Elle est déjà nue. Nous commençons des préliminaires très chauds sous la pluie de la douche. Je redécouvre son corps fin avec de nombreuses courbes très sympathiques. Nous nous essuyons tendrement et je l’emporte dans mes bras vers son lit. Je la dépose avec beaucoup de délicatesse. De son front jusqu’à son nombril, je couvre Xiu de baisers. Elle apprécie mes caresses. Je glisse ma main entre ses jambes. Ses cuisses s’entrouvrent pour laisser le passage de ma main. Mes doigts glissent sur ses lèvres. Je constate une humidité qui n’est pas due à la douche. Elle se détend complètement. Elle me caresse le dos et finalement je me descends vers son entrecuisse. Je dépose sur son sexe un baiser doux comme un papillon.

Elle écarte bien les cuisses. Je lèche ses lèvres couvertes de cyprine. Elle sent bon et sa mouille est délicieuse. Elle est trempée. J’aime beaucoup, avant de faire l’amour à une femme avoir le goût de son sexe dans ma bouche. Elle demande :

— Je veux ta langue… sur mon clitoris… On dit que les Français savent très bien faire cela…

Son sexe est une merveille. Je caresse autour, elle est toute douce. Son vagin est épilé depuis peu, son abricot est doux, ses lèvres régulières et son clitoris est étonnamment gros. Je le prends dans ma bouche. Je le caresse avec ma langue et le roule dans ma bouche comme je le ferai avec un petit pois. Xiu apprécie et se met à ronronner comme une chatte. Pendant tout le temps que je la suce, elle se fait chatte. Puis sans annonce préalable, elle feule comme le ferait une tigresse. Mon dos peut confirmer le statut de tigresse de Xiu. Ses ongles se plantent dans la peau de mon dos, laissant de profondes estafilades. Le feulement fait place à un cri à réveiller tout un cimetière. Xiu vient de jouir. Elle me tient par les cheveux et tire en arrière. Elle veut que je cesse ma caresse. Pour lui permettre de reprendre son souffle, j’arrête quelques instants. Xiu me dit :

— C’est la première fois !

Je m’étonne :

— C’est la première fois qu’un homme te suce ?

Avec son sourire désarmant, elle me répond :

— C’est la première fois que c’est aussi bon et aussi fort ! Prends garde, je risque fort d’y prendre goût ! Et tu seras obligé de recommencer chaque fois que j’en aurai envie !!!

J’utilise ma langue pour déclencher des spasmes de plaisir. J’y entre ma langue à la recherche de zone innervée et très érogène. Sur le haut de son vagin, je trouve une zone granuleuse. Je titille cette zone du bout de ma langue dure. Xiu feule de nouveau. Je viens de trouver son point G. ce fameux point G que beaucoup d’hommes ne trouvent pas et qui laisse les femmes pantoises.

J’accentue ma caresse. Xiu ne peut se retenir. Elle pousse un cri de plaisir, un cri à réveiller tout le village. Elle jouit et s’effondre sur le lit. Lorsque l’on voit cela, on comprend pourquoi la jouissance des femmes est appelée « orgasme », la petite mort. Xiu est dans un état autre, perdue et béate. Je ne me retiens pas. A peine a-t-elle récupéré que je recommence à exciter son point G. et Xiu ne peut se retenir et grimpe de nouveau au septième ciel. Je recommence mon jeu trois fois de suite. C’est Xiu qui me supplie d’arrêter :

— Arrête Jérôme ! Je n’en peux plus !

Nous nous reposons allongés sur le lit. Xiu regarde son réveil :

— Non, ce n’est pas possible ! Cela fait presque deux heures que tu me fais l’amour ! Tu es infernal ! Mais c’est très bon ! Mais maintenant j’ai faim !

Elle se lève et vêtue comme au premier jour de sa vie, elle part vers sa cuisine. Je pars vers la salle d’eau pour me rendre plus présentable et surtout moins gluant. Je retrouve Xiu entièrement nue hormis un petit tablier qui dissimule son bas-ventre. Je lui lance :

— Tu es ravissante ainsi, mais très sexy et même très attirante !

Xiu vient vers moi et m’embrasse à pleine bouche.

— Merci mon amour de Frenchie !!

Nous dînons tranquillement dans les bras l’un de l’autre. Le sommeil nous gagne et nous nus endormons enlacés.

Pendant tout le premier mois, les mêmes scènes se répètent. La journée au travail, avec une Xiu très patronne, sans l’ombre d’un instant, elle n’est chatte, amoureuse. Et le soir, c’est une bacchanale de sexe qu’elle me propose.

Cela fait maintenant trois semaines que je suis avec Xiu. Jamais je n’ai pensé à Charlotte. Elle mène sa vie, moi la mienne.

En revenant ce soir, je trouve Xiu différente, lointaine, distante. Elle me demande de vérifier son PC portable et va prendre une douche seule. Mais ce que femme veut…

Nous dînons et nous allons nous coucher. Pour la première fois depuis mon arrivée, je n’ai pas droit à une soirée d’amour. Nous sommes allongés. Elle pose sa tête sur mon épaule. Je lui caresse discrètement son sein. Je crois que cela l’excite. Alors, sa main descend vers mon sexe. Sa main me saisit. Je suis flasque mais très vite la consistance de ma verge change. Elle se retrouve avec mon mandrin en pleine forme. Elle délaisse mon épaule et sa tête descend sous le drap. Xiu trouve mon sexe. Elle commence une fellation dont elle a le secret. Elle me procure un plaisir hors du commun. Je lui dis que je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps et que je vais me vider dans sa bouche. Mes mots lui font l’effet d’une décharge électrique. Xiu remonte et elle me demande :

— J’ai envie… de… que tu m…

Je la regarde droit dans les yeux :

— Que veux-tu ?

Elle baisse la tête et rougit et me dit :

— J’aimerais que tu me fasses connaître quelque chose…

Je lui saisis le menton et l’oblige à me regarder :

— Que veux-tu exactement ?

Elle ferme les yeux, rougit encore plus et me dit :

— Je suis dans une mauvaise période… Je ne peux pas faire l’amour… Je suis impure pour quelques jours ! Enfin deux jours, maximum trois !

Je souris et lui réponds :

— Je sais que les femmes sont indisponibles quelques jours par mois, mais non impures ! Mais cela ne change rien dans mon amour pour toi !

Elle m’embrasse goulûment. Et elle continue :

— Je voudrais que tu me prennes…

Je m’étonne :

— Que veux-tu exactement ? Dis-moi !

Xiu cache son visage dans le creux de mon épaule et me susurre doucement son désir au creux de mon oreille :

— J’aimerais que tu me prennes comme un garçon ! Enfin si tu veux bien ! Si tu ne veux pas faire l’amour ainsi, ce ne l’est pas grave !

Je lui relève le visage et l’embrasse très amoureusement.

— Tu veux vraiment te faire prendre par-derrière ?

Elle me regarde, un peu gênée :

— Oui, je veux que tu me prennes par mon petit trou…

Je la questionne :

— Tu veux vraiment que je te sodomise ?

Elle me répond :

— Oui… Enfin j’aimerais connaître cette façon de faire l’amour… Mais je ne crois pas que vous dites en France ?

Je l’oblige à me regarder dans les yeux :

— Tu veux que je te sodomise, enfin que je t’initie à la sodomie… C’est bien cela ?

Elle hoche la tête de bas en haut.

— Donc, comme tu dis en France et très péjorativement, on dit aussi que je vais t’enculer ! C’est bien ça ?

Elle hoche la tête de nouveau.

— Bien, je vais donc t’enculer !

Xiu m’embrasse et me remercie.

— Comment dois-je faire ?

Je la guide :

— Viens contre moi !

Je présente mes doigts à sa bouche. Elle me regarde étonnée.

— Suce mes doigts !

Elle m’obéit. Mes doigts humectés de sa salive descendent dans son dos et glissent entre ses fesses rondes. De mon autre main, j’écarte ses fesses pour que mon autre main trouve sa petite rondelle. Mes doigts titiller son petit trou. Posant mes doigts autour de son anus, je commence à masser doucement cette zone tellement érogène. Je lui offre cette caresse pendant de longues minutes. Xiu régit. Son petit cul rond se soulève, vient à la rencontre de mes doigts fureteurs. Je sens son anus se détendre et s’ouvrir, s’épanouir. Je lui demande de se mettre à quatre pattes. Xiu s’exécute avec beaucoup de bonne volonté. Elle a un petit cul de toute beauté. Je dépose une kyrielle de petits baisers sur ses fesses rondes et soyeuses. Je continue ma caresse. Mon majeur force doucement la rondelle ferme. Sa rondelle cède lentement et accepte l’entrée de mon doigt. Son anus est très doux et souple. Mais je constate que Xiu est une coquine. Dans cette position de levrette, l’une de ses mains s’est glissée entre ses cuisses et a débusqué son clitoris.

Ses doigts malmènent la tétine de chair. Son bassin est mû par des soubresauts. Elle ronronne dans le drap. Elle est aux anges. Après quelques instants de ce traitement, elle me demande :

— Prends-moi ! Mon petit cul t’attend…

Bien positionnée comme elle est, j’approche mon sexe de sa rondelle très humide. Je suis terriblement excité. Il y a bien longtemps qu’une femme ne m’a demandé de l’enculer. Mon sexe est énorme.

Je le présente à l’entrée si souvent interdite. Je force un peu pour entrer. Xiu se plaint un peu. Je la guide dans cette réalisation :

— Ecarte bien tes fesses… Et pousse doucement comme si tu voulais aller à la selle…

Xiu m’obéit. Quelques dizaines de secondes plus tard, mon gland entre. Je salive et humidifie encore la rondelle distendue. Et tout à coup, l’anus cède entièrement. Mon gland franchit l’anneau musclé. Xiu se fait entendre :

— Ouahou ! C’est fort ! Tu es vraiment très gros ! Je le sens passer !

Je la rassure :

— Le plus gros est passé ! Le plaisir va pouvoir venir !

En effet, une fois mon gland passé, c’est plus simple. Je ne fais pas dans le détail. Xiu veut ma queue dans son cul, elle va l’avoir. Je pousse et entre en elle. Je prends quelques précautions afin de ne pas la dégoûter à vie de cette pratique. Je glisse tout au fond de son rectum. Xiu pousse un cri. Douleur ou plaisir ? Mais vu comment son bassin se met en mouvement, je penche pour la deuxième hypothèse ! Je la pilonne doucement. Je pousse et tout mon sexe entre en elle. Xiu crie plus fort qu’au début. Je sens qu’elle commence à jouir. Elle se masturbe sans vergogne ajoutant au plaisir anal, le plaisir clitoridien. A genoux derrière elle, surplombant son cul rond, je vois mon sexe entrer et disparaître dans son cul. Xiu gémit et me crie :

— Mets-moi toute ta bite dans le cul !

Comment résister à cette demande ? Je la prends aux hanches et je la pénètre avec vigueur. Je sors et entre de nouveau dans son petit trou. Je m’agite sérieusement dans son rectum. La pression monte rapidement et j’ai envie de me vider en elle. Je lui dis :

— Je vais venir !

Ce à quoi elle me répond :

— Moi aussi ! Vide-toi dans mon cul ! Baptise-le !

Je veux jouir et sentir mon sperme couler en elle. Quelques secondes plus tard, je me vide dans ses entrailles. Xiu sentant mon éjaculation se laisse aller et crie son plaisir. Pendant un grand moment, elle remue la tête de droite à gauche et souffle, pour calmer cette forte intensité et prolonger son plaisir.

Je sens mon jus couler en elle. Xiu est épuisée. Elle se laisse tomber sur le ventre. Je décule de sa rondelle. Mon sperme coule de son anus et tache le drap. Moi aussi essoufflé, je me couche auprès de Xiu. Je lui demande :

— Alors, comment as-tu trouvé ?

Elle se met sur moi et m’embrasse.

— Je pense que nous pourrons recommencer dès demain soir ! Car j’avoue avoir mon petit cul un peu douloureux ce soir ! Mais c’était très bon ! Merci de m’avoir enculée pour la première fois !

Nous nous embrassons encore un bon moment. Je vais prendre une douche. A mon retour, Xiu est dans les bras de Morphée, épuisée par ce début de nuit tumultueux.

Au petit matin je me réveille par une drôle de sensation. En effet, Xiu est descendue dans le lit et me suce le sexe. Elle m’aspire mon gland tout en me pelotant les couilles. Sa langue va-et-vient sur mon sexe en érection matinale. Je lui caresse la tête avec ma main gauche pour l’encourager à continuer. Xiu remonte et me dit :

— Laisse toi aller tout va bien se passer…

Elle m’embrasse langoureusement. Elle descend et m’embrasse le torse, le nombril et arrive à mon sexe. Elle entreprend de me lécher le bout puis va jusqu’à la base. Ensuite elle le prend dans sa bouche et fait passer sa langue dessus. Je suis aux anges et n’arrive plus à contrôler grand-chose. Au bout de trois minutes, je la préviens :

Je ne peux plus tenir !

Elle accélère son mouvement de va-et-vient et je jouis dans un long grognement.

Elle me suce bien pour récupérer tout le sperme restant, remonte vers moi, dépose un baiser sur mes lèvres et me dit :

— Je vais me laver ! Tu devrais en faire autant car nous risquons d’être en retard à l’usine !!!

Elle disparaît dans la salle d’eau. Lorsque j’émerge du délicieux moment que vient de m’octroyer Xiu, celle-ci sort déjà de la salle d’eau, fraîche et pimpante. Il va falloir que je me presse !

Voilà ma vie durant le reste de mon année au Vietnam. Boulot dans la journée et baise intense avec Xiu la nuit… Et lorsqu’elle a ses règles, elle me demande de la sodomiser. Toutes les bonnes choses ayant une fin, je repars vers la France. Je n’ai pas souvent pensé à Charlotte durant mon année au Vietnam.

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