Pour débuter ce récit, je vais me présenter, je m’appelle Sophie. J’ai fêter mes 23 ans la semaine passée, de nature introvertie mon parcours fut pour le moins chaotique . Placé en famille daccueil dés mon plus jeune âge, en résultat a une incapacité pour mes parents de m’élever dans de bonnes conditions. Les répercussions du passé nous laisse des traces a vie. En découle un manque de confiance certain et un besoin omniprésent de demeurer invisible aux yeux d’autrui. Je suis portant jolie, si l’on en juge le retentissement du klaxon des voitures dans la rue ou l’angle de rotation du cou de certains passants masculin. Mes parents ne m’avaient pas offert grand chose si ce n’est leur mélange génétique . Héritage de la silhouette fine, pourvu de seins proéminents de ma mère et les yeux clairs du côté de mon père .
J’avais alors 18 ans, ma tutrice Isabelle avait une fille, Laura, du même âge que moi. Nous nous entendions a merveille, élève brillante faisant la fierté de la famille .Quant a moi, j’avais de grosse difficulté et un manque dintérêt conséquent pour mes cours de première. Isabelle voulait que je m’en sorte, on avait longuement discuté sur les objectifs professionnels que j’envisageais. Afin de mettre toutes les chances de mon côté, elle avait consigné Laura a m’aider une heure chaque soir. Mais rien a faire, notre complicité empêchait la productivité de ces séances qui finissaient très souvent en discussion sur les plus beaux garçons de l’école ..
Constatant l’absence de résultat, Isabelle organisa un conseil de famille où tout le monde eu son mots a dire ! L’issu du débat fut sans appel: si je voulais m’accrocher aux objectifs que je mettais fixé, il me fallait de l’aide extérieur à la famille qui ne disposait manifestement pas du talent pédagogue nécessaire à me faire remonter la pente. J’ai dû m’en accommoder malgré ma réticence a l’égard des cours particuliers qui forcément, m’obligerai a me concentrer, ne serais ce que pour éviter de passer pour une idiote .. Je ne souhaitai guère me faire remarquer et encore moins par mon manque de connaissance et mes lacunes que j’entassais depuis des années.
J’appris quelques jours plus tard que ma tutrice avait engagé, par l’intermédiaire du conseil général, un étudiant en faculté de mathématiques (ma matière la plus faible avec la physique) . Le planning était arrangé, ils s’étaient convenu d’un forfait de deux heures tout les mercredi soir. Ce jour arriva rapidement a mon grand regret. Gérard, le mari d’Isabelle, travaillait jusqu’à tard dans la soirée et rentrait au alentour de 21h . Quant aux deux autres femmes de la maison, c’était mission course au supermarché. L’ambiance calme présageait deux longues heures studieuses et ennuyantes. La sonnette retentit au moment où je dressais la table du salon où devais avoir lieu le cours.
-Salut, tu dois être Sophie. Moi c’est Maxime
Un bonjour timide franchit mes lèvres. Je lui indiquais le chemin tout en le détaillant d’un regard décent. il était grand, son t-shirt laissait imaginer une musculature imposante. Ses deux bras musclés confirmaient ma thèse. Des yeux d’une couleur entre le bleu et le vert, une légère barbe, des cheveux châtain clairs ébouriffés. Un homme véritablement charmant.
-Ta maman m’a expliqué que ta moyenne en maths n’avait rien de glorieux
-Ce n’est pas ma mère, mais ma tutrice et en effet, j’ai de gros problèmes en maths.
— Je l’ignorai, on va tacher de reprendre le programme ensemble et d’éclaircir les zones d’ombre si tu le veux bien.
-Oui avec plaisir, ça commence bien je dois dire..
lui annonçais je avec un sourire enjôleur
-Pardon ?!
j’étais honteuse, ses mots était sorti tout seul de ma bouche. Moi qui rougis lorsqu’un garçon me complimente. ça n’a pas loupé, en prenant conscience de la portée de mes mots, j’ai piqué un phare tout en essayant de me justifier sous forme de balbutiement
-Eum..oui… pour l’instant, j’ai tout compris…donc ça démarre plutôt bien..
Je m’en sortais bien, on s’accorda sur les rendez vous et sur la forme du cours. Il me fît partagé brièvement sa méthodologie.
-Très bien, tu peux me donner ton cahier de cours que je puisse voir où tu en es ?
je lui tendis, il feuilleta le livret, le survola avec une aisance remarquable. On rentra directement dans le vif du sujet. Au menu, fonction, dérivé et suite arithmétique. Il avait une voix chaleureuse me redonnant du courage et une manière de présenté les choses de manière a ce que je participe activement . j’étais pendu a ses lèvres, outre le fait qu’il me plaisait, il captait et captivait mon attention faisant en sorte d’exposé ses explications de façon a ce que je les comprennent. Les deux heures passèrent à une vitesse impressionnante, j’étais presque déçus d’arriver au terme de ce cours.
Je le raccompagna jusqu’à la porte d’entrée
-N’oublis pas de terminer l’exercice 3 de ta feuille d’exercices, on le corrigera ensemble la prochaine fois !
-Oui pas de problème, merci en tout cas Maxime
-Je suis payé pour ça mais de rien Sophie, tu es une élève très attentive
-C’est surtout que j’ai un professeur très intéressant…
J’avais tout de même osé le complimenter dans un dernier élan par peur de regretter une opportunité de le retenir encore un peu . Il me répondit d’un grand sourire et s’en alla. Je glissais le long de la porte refermée, un mélange de bonheur et de bien être m’envahissait, j’étais bien.
Aux retour, les filles me demandèrent comment s’était passé le cours. Je savais que j’allais raconter deux versions différentes mais la version officiel faisait l’éloge de ce personnage sur le plan éducatif, ce qui par ailleurs était totalement véridique.
Laura eu droit au détail croustillant, une présentation plus objective et plus sincère. j’étais charmé, il fallait l’admettre.
La semaine se déroula lentement, il accaparait mes pensées. Il n’y avait qu’en mathématiques que le lien m’empêchait d’être évasive, l’atmosphère me rappelait ce cours révélateur a tout point de vue.
Le mercredi soir arrivait a grand pas, j’avais décider de me faire coquette sans pour autant éveiller les soupçons, utilisant au passage le parfum d’Isabelle . J’étais fin prête lorsque enfin il sonna .
C’est Laura qui c’était empressé d’aller laccueillir, voulant vérifier mes dires et se faire sa propre opinion . Je mettais installer dans le salon, en observant du coin de lil le passage par lequel il devait arrivé, le voilà ..Laura le suivait me faisant un signe de la main alambiqué me montrant son consentement.
-Comment vas tu Sophie, alors la semaine s’est bien passée ?
Mais avant que j’eu le temps de lui répondre, Isabelle rentra dans la pièce le saluant de vive voix et lui proposant de monter a l’étage dans la chambre des filles pour être tranquille , elle avait prévu de faire son repassage a proximité de la télé comme a son habitude. A cette idée, j’étais a la fois gênée et enthousiaste. Lui présentant les lieux, on s’installa a mon bureau . Le cours commença. Au beau milieu d’une explication mon pied effleura son mollet ce qui eu pour effet de mélectriser, je n’étais plus attentive a la substance de ses paroles, concentré sur mon sens tactile, j’essayais de rapprocher furtivement ma jambe dans sa direction. je réussis a blottir mon pied contre le siens tout en continuant de poser des questions pour éloigner la suspicion. Cela ne sembla pas le déranger, je me risqua a bouger légèrement pour qu’il sente ma présence. Je senti dans sa voix qu’il s’était rendu compte de mon petit jeu, il avait l’air hésitant. L’homme confiant s’était volatilisé, profitant de sa fébrilité je continuais mon traitement. La Sophie réservée avait laisser place a une femme entreprenante n’ayant pas froid aux yeux. Moi même, j’étais étonné de mon attitude, mais son sourire m’amenait dans un état second. Quelques blagues détendit l’atmosphère..
-Alors je t’ai préparé une feuille test récapitulative pour voir si mes conseils ont porté leurs fruits, si tu n’as aucunes fautes tu pourras choisir…
-Une récompense ?
-Précisément.. le prochain chapitre que tu voudras abordé
-je m’attendais a quelque chose de plus motivant (en tentant de dissimuler ma frustration)
Il me regarda d’un air amusé
-Du style ?
— j’aime assez les massages
je n’en revenais pas, je venais de lui demander de me faire un massage, quelle audace ! mais ça en valait la chandelle, j’étais déterminée.
-bon et bien si tu as tout juste, c’est d’accord !
Mon cur battait la chamade, je rassembla le semblant de lucidité qu’il me restait et me pencha sur les exercices qu’il m’avait concocté. Une demi heure d’intense résolution me suffis a venir a bout des problèmes posés. Il examina mes réponses et me fit pars de deux erreurs d’étourderie, l’empressement allait me coûter un fantasme naissant . Me voyant nerveuse et contrarié, il céda et se plaça derrière moi. Avant qu’il me touche, j’entrepris d’ôter mon gilet pour que laccès a mes épaules soit plus facile. il massait divinement bien, j’étais aux anges, les yeux fermés..
— il reste une heure de cours, tu penses qu’il n’y a aucun risque que quelqu’un nous surprennes ?
-Attend, je vais fermer la porte a clé, comme ça on ne risquera pas d’être pris la main dans le panier
tout en me dirigeant vers la porte, je constata que mon allusion ne l’avait pas laisser indifférent, deux tours de clé et je revenais sur mes pas. Puis, après réflexion, me dirigea sur le lit .
— je préfère être allongée
Il avait l’air sérieux a présent, comme s’il s’était débarrassé d’un poids de conscience. Il grimpa sur mon dos, s’assis sur mes fesses et commença un massage plus lent et plus appuyé que le précédant. S’attardant sur le contour de mes seins écrasé par le matelas, je sentais des picotements dans mon bas ventre, j’aimais ses caresses, j’en voulais plus ..
-Je peux te masser moi aussi ?
-Tu dois même..
Il commença a se mettre sur le ventre, mais je restais là a côté de lui sans bouger. ma main rejoignit sont dos le caressant sur toute sa longueur, comprenant que je n’allais pas le chevaucher pour lui prodiguer mes soins, ils se tourna de mon côté. J’aperçu au niveau de son entre-jambe une forte érection qu’il ne pouvait me dissimuler. Prenant mon courage a deux mains
-C’est ma récompense ?
-Elle est soigneusement emballée pour toi
ma main descendit sur ses abdominaux durs et continua en direction de son sexe, j’ouvris sa braguette et introduisis ma main. Je sentais sa queue bandée, cloisonnée dans sa prison de tissus. Je découvris avec stupeur la taille de son engin. Je sentais sa vigueur au bout de mes doigts. Me relevant d’un bond, je déboutonna son pantalon, en sortie son chibre et commença a le branler énergiquement. Qu’est ce qu’elle était grosse, mon expérience était certes restreinte mais cette queue était véritablement démesurée.. J’approcha mes lèvres délicatement et déposa un baiser sur son gland violacé, il sembla ne pas apprécier la demi mesure car au moment où mes lèvres sont entrées en contact avec sa virilité ses mains puissantes m’encercla la tête, l’avançant inévitablement vers cette monstrueuse queue. J’ouvris la bouche, en une fraction de seconde, celle ci fût investi en totalité . Je n’arrivais pas a la prendre entièrement en bouche évidement, plus de la moitié ne pouvait pas rentrer mais j’entama tout de même une fellation. Il avait l’air concentré a ne pas faire de bruit puis-quaucun son ne sorti de sa bouche. Je m’appliquais pour lui montrer de quoi j’étais capable et ce que j’étais à même de lui offrir. Il gémissait en se contenant, lorsque je sentis sa bite émettre de la chaleur et se contracter au fond de ma gorge. Il déversa une quantité hallucinante de sperme, je dû me retirer par manque de place, il souilla une partie de mon visage et ma couette lorsque tout a coup, quelqu’un tenta de rentrer, se ravisa voyant la porte fermé a clé et toqua …
-Maxime ? L’heure est dépassée
C’était Isabelle qui venait mettre un terme a nos ébats
-Oui…Eu…On termine l’exercice et je descend
Il se rhabilla en un éclair sans me regarder et parti en fermant la porte derrière lui…