Ah les soirées. Tout le monde aime ça, ou presque. Sortir entre amis, danser dans les clubs, passer du temps dans les bars, marcher des heures dans les rues en pleine nuit sans trop savoir où aller ; simplement profiter de l’instant présent.
En cet instant présent qu’est-ce vendredi soir, c’est dans une soirée en appartement que nous nous rendons ; moi, Serge, et Sonia. Je connais Sonia et Serge depuis le collège, nous étions tous les trois dans la même classe les deux dernières années. C’est avec eux que toute mon adolescence s’est construite: les sorties la nuit, les premières cigarettes, l’alcool et, bien sûr, le sexe…
Dès le lycée, nous nous sommes intéressés de très près à la chose. Le soir où nous avons fêté notre diplôme, après une nuit bien arrosée, alors que je comatais à moitié sur le vieux divan de la mère de Serge, mes deux compères en ont profité pour "découvrir" les choses de la vie ensemble. Le lendemain matin, ils sont venus me réveiller comme des furies. Moitié éveillé moitié dans les vapes, je les entendais me raconter les détails de leur nuit passée ensemble. Ils employaient des mots comme "bizarre" voire même "gênant" au début, mais très vite ils passèrent à "bon", "délicieux", "extase" et "orgasme".
Tous les deux étaient d’accord sur le fait que je devais essayer la chose très rapidement. Si rapidement qu’une nouvelle soirée fut organisée le week-end d’après ; Sonia était plus que partante pour retenter l’expérience, qui plus est avec une nouvelle personne.
C’est chez elle que nous nous sommes réunis ce soir-là. Elle vivait seule avec sa mère dans un grand loft situé dans un quartier très bourgeois, cette dernière était en voyage d’affaires à Singapour, dieu seul sait pour quel genre d’affaires.
Sonia, Serge et moi nous sommes mis à l’aise et avons descendu quelques bouteilles en rigolant et en se racontant les dernières conneries qu’on avait entendues à droit et à gauche. Au bout d’une heure ou deux, un léger silence venait de s’insinuer dans la pièce quand soudain, Sonia se leva du long canapé en velours couleur ocre du salon pour aller baisser légèrement l’intensité des lumières à l’aide d’un interrupteur au mur, jusqu’à obtenir une ambiance plus tamisée qui commençait à donner le ton. D’une démarche pompette, elle revint vers nous, se planta en face et commença à déboutonner son chemisier blanc en nous disant:
— Alors les gars ? Lequel d’entre vous veut me prendre en premier ?
Un léger blanc, puis nous éclatons de rire tous les trois, un rire à la fois gêné mais aussi plein d’excitation. Me voyant hésiter, Sonia s’agenouille entre mes jambes et me caresse l’intérieur des cuisses, ses yeux ont l’air de vouloir me dévorer l’entrejambe tant elle est excitée. Quelques caresses de plus suffisent pour me faire durcir. D’abord doucement puis, d’un seul coup, je sens mon sexe devenir si dur qu’il me fait mal dans mon jean’s, je ne l’avais presque jamais senti comme ça. Pour me soulager, je défais un à un les boutons qui enferment ma verge qui n’en peut plus d’attendre. Aussitôt l’entrave défaite, mon sexe se déploie hors de mon caleçon telle une fusée en plein décollage. Sonia se retrouve avec ma bite incroyablement dure et tendue à quelques centimètres de son visage. Elle s’exclame:
— Wow ! C’est quoi cet engin ? T’as vu la taille ?! Il doit bien faire…
— 19,7 centimètres répondis-je. Je l’ai mesuré encore il n’y a pas si longtemps. Mon père dit que c’est de famille.
— Eh bah ! Moi qui pensais que Serge était bien monté avec ses 18 centimètres, mais toi c’est un autre niveau. dit-elle en contemplant ma queue dressée et veineuse.
En disant cela, elle se retourna vers Serge qui était en t-shirt, la bite à la main en train de nous regarder. Il est vrai que sa queue était aussi très impressionnante ; longue et prépondérante surplombant son énorme paire de bourses, une large veine parcourait tout le long de sa tige et venait rejoindre son gland triomphant. Je ne sais pas pourquoi mais elle me faisait très envie, là d’un coup.
C’est alors quune sonnerie se mit à retentir dans tout l’appartement. Sonia se précipita sur le téléphone pour répondre: c’était sa mère. Elle partit dans la salle de bain en grommelant, nous laissant seuls Serge et moi.
Les minutes passèrent, Sonia ne revenait pas. J’avais remarqué que Serge, toujours en train de malaxer son sexe, me regardait de haut en bas. Moi, discrètement, je jetai de rapides coups d’il sous sa ceinture. J’ignore pourquoi mais sa bite me fascinait au plus haut point.
Jamais je n’avais éprouvé d’envie homosexuelle mais voir cette queue bien droite et conquérante devant moi m’émoustillait encore plus que le corps de Sonia. C’est alors que Serge me dit:
— Je t’ai cramé tu sais. Je vois que t’as quelque chose derrière la tête.
— De quoi ? fis-je en rougissant.
— Je vois bien que tu mattes ma bite mec, et je te connais ; je sais quand tu penses à des trucs cochons.
Voyant que j’étais embarrassé, il se rapprocha de moi et posa sa main sur ma cuisse, tout près de mon sexe vigoureusement dur.
— Tu veux goûter ? dit-il en me montrant sa queue d’un signe de tête.
— Non je… Tu crois ? Enfin je veux dire… je peux ? Ça ne te dérange pas ?
— Si je te le propose c’est que ça me dérange pas, au contraire… répondit-il en rigolant.
Je commençai par poser ma main dessus. Elle était toute chaude et tellement dure, comme de la pierre. A mesure que je la caressais, je la sentais frémir entre mes doigts, comme si elle m’appelait. J’accélérai le mouvement en approchant mon visage ; la queue de mon pote commençait à me rendre fou. Encore une caresse ou deux puis enfin, j’apposai mes lèvres encore vierges de tout contact génital sur ce gland luisant de liquide séminal. Le premier contact fut étrangement enivrant. Le goût un peu salé et l’odeur de cette queue en érection me faisaient bander comme un cheval en pleine saison de rut. Je fis promener mes lèvres le long de son membre, embrassant chaque partie délicatement en laissant glisser mes mains autour de ses boules légèrement poilues.
— Mec faut que tu me suces là, je te jure j’en peux plus ; mes boules vont exploser si tu fais pas vite quelque chose.
Voyant la désespérance de mon partenaire, je ne pus qu’obéir à ses dires. J’avalai ma salive un bon coup avant de me lancer en la contemplant encore une fois avant de gober le haut de son gland. Centimètre par centimètre, ma tête s’enfonça sur la queue de Serge. A chaque centimètre gagné, un léger va-et-vient. Sa bite était si longue et large qu’il me fallut plus de cinq minutes pour arriver rien qu’à la moitié.
La sensation de ce sexe brûlant et volumineux dans ma bouche était extraordinaire. Le frottement contre mes parois buccales me donnait des frissons dans tout le corps, ma bite était si dure qu’elle m’en faisait mal même sans pantalon.
Au bout de quelques minutes seulement, la main de Serge m’appuya contre l’arrière du crâne pour m’empaler le visage quasi complètement sur sa bite.
— Je suis désolé je… J’en peux plus !
Avant que j’aie le temps de comprendre, je sentis un flot de liquide ardent envahir l’intérieur de ma bouche. La main de Serge m’empoignait si fort qu’il me fut impossible de me dégager, si bien que le liquide coula lentement dans ma gorge. En un rien de temps, j’avalai la totalité du sperme que Serge avait craché en moi, ayant l’impression que c’était presque naturel d’avaler ce liquide. Pendant un instant, je sentis un sentiment de soumission m’envahir vis-à-vis de mon ami tandis que j’avalais son sperme épais et chaud. Et c’est étrange mais j’ai adoré ça. Au point d’être presque déçu que ce se soit passé si vite.
Dans un timing parfait, alors que nous venions tout juste de terminer, Sonia entra dans la pièce toute paniquée.
— Les mecs, ma mère rentre plus tôt de son voyage, elle sera là d’ici une heure. Désolé mais pour notre soirée c’est foutu.
Vite, Serge et moi nous nous rhabillèrent pour quitter rapidement les lieux. En partant, Sonia me fit:
— Désolé pour la galère, je voulais vraiment te sucer ce soir… T’inquiète, bientôt elle repartira et on se la fera cette soirée.
Si elle savait…
Une fois dehors, Serge et moi nous nous échangèrent un regard complice, presque intime. Nous marchâmes ensemble jusqu’à ma station de bus, sans un mot, simplement en nous échangeant des regards. Une fois arrivés, il me prit la main.
— J’ai vraiment aimé notre moment ensemble. Je ne sais pas trop ce que tu en penses mais… si tu veux… on peut se revoir au calme, chez moi…
— Serge, moi aussi j’ai aimé le… non pardon, j’ai adoré le moment qu’on a passé ensemble. Je ne sais pas trop ce que ça signifie pour le moment mais… je veux bien que l’on se revoie, seuls ; juste toi et moi.
Son visage s’illumina d’un sourire. Je pris mon bus direction la maison, encore rêveur de ma soirée coquine. J’espère qu’on va vite se revoir lui et moi.