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Ecole du sexe – Chapitre 14




Tu es prête ? demandai-je à Alice. C’est aujourd’hui que ta dispense prend fin.

Alice, encore emmitouflée dans les bras de notre lit commun, s’étira en baillant. Tandis qu’elle avait du mal à se réveiller, j’ôtai les couvertures de son corps sous ses plaintes matinales. Ses seins se révélèrent alors au grand jour, une trace de suçon au niveau du téton gauche dont, je ne peux que l’admettre, j’étais entièrement responsable.

Non, s’il te plaît, encore cinq minutes, murmura-t-elle.

Je veux bien, mais on raterait les cours du matin. Tu ne crois pas que ça ferait mauvais effet ?

J’en sais rien, qu’est-ce qu’on a en premier.

Jeu de rôle, dis-je en riant. Tu as réellement oublié ton emploi du temps ?

Jeu de rôle ? poursuivit-elle en faisant fi de ma remarque. Je ne me rappelle pas de ce cours.

Tu m’étonneras toujours, ris-je.

 

Alice rit à son tour, mais puisqu’elle ne se levait toujours pas, je décidais de passer à la vitesse supérieure.

Si tu n’es pas levée dans cinq secondes, je serais obligé d’appliquer la sentence des chatouilles.

Tu n’oserais pas, dit-elle d’un air de défi.

Cinq…quatre, commençai-je en la regardant amusé.

Tu bluffes, dit-elle en me tapant légèrement la cuisse.

Trois…deux…un…

Je n’y crois toujours pas, petit cur (le surnom qu’elle m’avait trouvé pendant ces quelques jours de répit).

Zéro. Attention, continuai-je le sourire aux lèvres, monsieur Chatouillis arrive.

Je m’approchai alors d’elle, les mains grandes ouvertes devant moi. Elle me regarda d’un air de défi, et décidant d’aller jusqu’au bout, je m’assis à califourchon sur elle, mon sexe reposant sur le bas de son ventre. D’une main je bloquai ses deux bras au-dessus de sa tête, l’autre agrippa son flanc.

Non, Bastien, arrête. D’accord, tu as gagné, je me rends ! Arrête, d’accord, je vais me lever !

Trop tard, Alice. Monsieur Chatouillis ne repart jamais bredouille.

Avec un visage euphorique, je commençai à chatouiller ma petite-amie au niveau des flancs. Étant très chatouilleuse, elle commença à hurler de rire tandis qu’elle s’agitait dans tous les sens possibles et imaginables. Mon bras avait de plus en plus de mal à contenir les deux siens, si bien que, après avoir torturé son ventre et ses seins, elle réussit à se libérer.

Tu es un monstre, petit cur, me dit-elle en me tirant la langue.

Je sais, mais au moins tu es debout, ris-je. Bon, on va manger, Tang’Alice (son surnom à elle) ?

Elle me fit oui de la tête et, me prenant par la taille, nous nous rendîmes dans le réfectoire.

    Il s’en était passé des choses depuis la mésaventure de ma bien-aimée. Le jour suivant les faits, Fabian avait été renvoyé. Ma sur, Mylène, avait également retrouvé les cinq autre garçons ayant participé à cette abomination de par leurs visages. Eux aussi avaient été renvoyés fissa. Alice avait également décidé de porter plainte pour agression sexuelle. Il faudrait attendre plusieurs mois avant qu’un passage au tribunal ne soit décidé. Mylène devint ma seconde partenaire, mais suivre les cours avec deux filles en même temps était certes époustouflant, mais extra-ordinairement difficile. C’est pourquoi il fut décidé qu’un nouvel étudiant rejoindrait l’école : Romaric. Un garçon sympathique, bien que je me méfiais. Il n’y était pour rien, c’est juste que c’était de cette manière que Fabian et Mylène étaient devenus partenaires. Avant que ce nouvel étudiant ne pût rencontrer ma sur, je décidai de lui parler et de lui présenter la situation. Je fus alors ravi d’apprendre qu’il semblait comprendre ce que je ressentais et m’assura à de nombreuses reprises que je pourrais conserver ma relation avec ma sur sans crainte, sans non plus abuser. Nous tombâmes rapidement d’accord et nous liâmes d’amitié aussitôt. Ainsi, l’année pouvait se poursuivre dans la joie et la bonne humeur.

Tu ne finis pas ta tartine, Tang’Alice ? demandai-je à ma petite amie.

Elle me la tendit et je croquai dedans, l’engloutissant en trois bouchées.

Tengalice ? C’est pas un Pokémon, ça, par hasard ? ricana Véronica, notre voisine de table.

C’est aussi le surnom qu’il m’a trouvé hier soir, répondit la concernée en me lançant un regard amusé.

Et on peut savoir pourquoi ? renchérit Stéphane, le partenaire de Véronica.

C’est très simple, commença-t-elle. Hier, puisque nous nous ennuyions, nous avons parlé de notre première masturbation. Lui, c’était dans son lit, en pensant à sa petite-amie de l’époque, dit-elle naturellement.

Euh, tu aurais pu zapper cet épisode, tu ne penses pas ? lui reprochai-je.

Pourquoi ? Il faut bien que je me venge de ce surnom, me dit-elle en me tirant la langue derechef.

Haha, très drôle, ironisai-je.

Bon, je disais. Ah oui, tu te masturbais en pensant à Charlotte. Ensuite, ç’a été mon tour. Je lui ai raconté que j’avais lu un récit sur un site de littérature érotique, Xstory. Si je me rappelle bien, l’auteur se faisait appeler Matchless (c’est mon récit, j’ai le droit d’être narcissique). Bref, je l’ai lu et, sans m’en rendre compte, une main est tombée dans ma culotte. Enfin, dans mon tanga. Au bout de plusieurs minutes, je me suis surprise à jouir ; je ne connaissais rien de tout ça à l’époque. Mon sous-vêtement a fini trempé et je m’étais fait la réflexion que mon tanga était tout lisse. Du coup, Bastien a pensé à tanga lisse qui a donné Tang’Alice.

Véronica et Stéphane faillirent pouffer de rire en entendant la fin de l’histoire. Je ne pouvais qu’avouer que cela pouvait paraître ridicule, mais je n’avais pas trouvé l’inspiration pour autre chose. Je n’allais tout de même pas appeler Alice « petite puce ». Sérieusement, une puce. Le petit truc qui se colle aux poils des chiens et qui le grattent sans jamais s’arrêter. Non, je voulais quelque chose d’original, de novateur, de

Allô Bastien ici Alice, me dit-elle en me criant aux oreilles.

Je secouais la tête, reprenant le fil de la conversation qui tourna autour des surnoms de nos amis.

    Une fois les brioches et autres mets délicieux ingurgités, nous nous rendîmes en cours de jeu de rôle. Notre professeur nous laissa inventer un petit scénario au cours duquel Alice et moi nous amusâmes beaucoup. L’heure s’écoula rapidement, et lorsque la sonnerie retentit, nous quittâmes la salle pour rejoindre madame Nymphéa pour un cours de fellation. L’heure s’écoula rapidement également, notre professeur avait juste conseiller à quelques filles de ranger leurs dents, parce qu’apparemment ce n’était pas agréable. Si pendant cette première heure, Alice était agenouillée devant moi, ce fut l’inverse qui se passa durant cette heure de cunnilingus. Je commençais alors à m’appliquer sur son vagin, le caressant délicatement avec le bout de ma langue. Puis un détail me revint en mémoire.

Si je ne m’abuse, tu as dit que monsieur Chatouillis était un monstre, ce matin, lui dis-je avec une idée derrière la tête.

Parce qu’il l’est, rit-elle entre deux gémissements.

C’est bizarre que tu dises ça, parce que je sens qu’il est juste à côté, et d’après ce que je sais, il est susceptible et rancunier.

Non ! Bastien, pas ici ! Arrête, tu es fou ! Tout le monde va nous remarquer !

Alors tu vas devoir ne pas faire de bruit pour que personne ne s’en aperçoive.

Je posai alors mes mains sur ses hanches et la chatouillai gentiment. Je sentais qu’elle contenait ses rires, mais plus je remuais la langue sur ses lèvres intimes, plus il était difficile pour elle d’y arriver.

Petit cur, arrête ! Je ne vais pas pouvoir me retenir !

Je n’y peux rien, c’est monsieur Chatouillis.

Je décidai alors d’accélérer mes chatouilles. Alice se cambra alors et se retint de rire. J’en profitai alors pour ranger ma langue afin de commencer à sucer délicatement le clitoris de ma petite-amie. Bien qu’elle contînt ses rires, ses gémissements, quant à eux, n’en étaient que plus intenses. J’accélérai encore en ôtant l’une de mes mains de ses hanches pour la pénétrer lentement avec mes doigts. Jamais je n’avais trouvé son vagin aussi humide. Il ne lui fallut que quelques secondes supplémentaires pour atteindre l’orgasme dans un hurlement de plaisir. Son liquide vaginale se répandit alors sur mon visage sans que je m’en plaignisse. Alice, après ce rude effort, s’affala sur sa chaise.

Je te déteste, Bastien.

D’après ce que j’ai entendu, tu avais l’air d’apprécier ce que te faisait monsieur Chatouillis.

Monsieur Chatouillis ? résonna une voix venant de ma droite.

Je sursautai lorsque je vis madame Nymphéa, intriguée soit par les ardeurs de ma dulcinée, soit par le nom qu’elle avait malencontreusement entendu.

Oh, ce n’est rien, juste un jeu entre Bastien et moi, répondit aussitôt Alice.

Madame Nymphéa nous regarda tour à tour, amusée.

Je vous ai déjà dit que vous étiez mignons, tous les deux ?

Pas plus que d’habitude, plaisantai-je.

Serait-ce du sarcasme, monsieur Chatouillis ?

Elle esquissa un sourire et commença à se diriger vers la rangée à notre droite.

D’ailleurs, ajouta sérieusement notre professeur. Je suis contente que tu t’en sois remise, Alice.

Alice la gratifia d’un sourire en la regardant se diriger vers nos camarades. Si Alice semblait se porter à merveille, il faut savoir qu’il m’avait fallu plusieurs jours afin de lui remonter le moral. Mais le jeu en avait valu la chandelle.

    Le réveil de samedi se déroula mieux que celui du jeudi ; je n’avais pas eu à la chatouiller jusqu’à ce qu’elle quittât le lit. Nous assistâmes au cours de Kama Sutra pendant deux heures, et s’ensuivit une heure de pause. Lorsque la sonnerie de onze heures retentit, je sentis l’angoisse d’Alice augmenter en nous rendant au dernier cours de la semaine : le bukkake. Bien qu’Alice allait mieux, elle était loin d’avoir oublié ce que Fabian et sa bande lui avaient infligée. Elle se cramponna à mon bras lorsque nous pénétrâmes dans la salle. Nous rejoignîmes nos places et allâmes nous asseoir. Je sentais qu’Alice ne desserrait pas son étreinte, au contraire elle l’amplifia lorsque notre professeur vînt nous voir.

Vous avez l’air tendue, chère enfant, dit-il d’un air inquiet. Vous n’allez toujours pas mieux ?

Si, elle va mieux, répondis-je en tentant de rassurer ma petite-amie, mais vous voyez, c’est justement un bukkake qu’elle a subi.

Oui, je comprends. Si cela ne tenait qu’à moi, je vous aurai dispensés de cours, tous les deux. Mais si je faisais ça, vous ne pourriez pas obtenir de bons résultats aux examens de fin d’année.

Notre professeur se mit à réfléchir pendant quelques secondes avant de se concentrer à nouveau sur nous.

Je vais devoir vous poser une question, Alice. Bastien vous a-t-il déjà éjaculé sur le visage ?

Elle fit non de la tête en regardant notre professeur.

Très bien. Vous m’en voyez navré, Alice, mais aujourd’hui vous allez devoir le faire.

Mais monsieur, répliquai-je.

Si personne ne la pousse un minimum, elle risquerait de ne pas passer l’année, répondit-il en compatissant. Je vous promets d’adapter les exercices que je vous ferai faire, mais je ne peux pas faire moins. Allez, je vous regarde, dit-il en se reculant légèrement.

En jetant un il aux alentours, je remarquai que les filles de la classe s’étaient agenouillées en ligne, leurs partenaires en train de se masturber devant elles. Sans nul doute allaient-ils tourner à chaque éjaculation. J’imaginais très mal Alice faire ce genre de choses, mais elle n’avait pas le choix si elle devait passer en deuxième année.

Tu peux y aller, Bastien. Je vais tenir.

La voix d’Alice me ramena à la réalité. Je la voyais à genoux devant moi, son visage devant mon sexe dur.

Très bien, répondis-je.

Je commençai donc à me masturber. Il me fallut environ une minute et demi pour atteindre l’orgasme. Au bout de ce temps, je lançai de légers râles de plaisir tandis que mon liquide séminal s’échappa de mon gland. Alice ferma les yeux au dernier moment et reçut les trois salves qui s’écrasèrent sur ses joues, son front et son menton. Je m’attendais alors à la voir tressaillir en sentant ce liquide chaud sur son visage, mais il n’en fut rien. Contrairement à ce à quoi je m’attendais, Alice ne réagit pas. Lorsqu’elle fut assurée que j’eus terminé, elle rouvrit les yeux et me regarda amusée.

C’est bizarre, dit-elle. Ça me rappelle la fois où j’ai reçu une chiure de pigeon dans les cheveux.

Toi alors, ris-je.

Notre professeur s’approcha de nous et tendit un mouchoir à ma dulcinée.

C’est un bon début, dit-il en la regardant s’essuyer le visage. Nous irons chaque cours un peu plus loin, mais rassurez-vous, je vais adapter le rythme.

Alice le remercia du regard, et celui-ci regarda sa montre.

Bon, le cours est censé se finir dans trois quarts d’heure, mais je vais vous libérer. Surtout, n’hésitez pas à vous entraîner de votre côté. Cela ne pourra qu’accélérer les choses.

Surpris, nous quittâmes la salle sous les regards des autres étudiants. Enfin, surtout des hommes ; les femmes n’avaient plutôt pas intérêt à ouvrir les yeux.

    Alice et moi nous rendîmes dans notre dortoir afin de discuter de ce qu’elle avait pensé de cette première faciale. Si je m’étais inquiété au début, je fus rapidement rassuré en apprenant que la sensation qu’elle avait éprouvée était totalement différente de l’humiliation causée par Fabian et sa bande.

À ce propos, me dit Alice, j’aurais un service à te demander, petit cur.

Tout ce que tu veux, Tang’Alice.

Mardi, nous aurons cours de SM. D’après ce qu’on m’a dit, le prof n’est pas aussi sympathique que l’a été notre prof de bukkake. S’il te plaît, s’il te demande de me faire quelque chose, fais-le.

Même s’il me demande de te faire mal ? lui demandai-je surpris.

Surtout s’il te demande de me faire mal. Le prof a dit quelque chose tout à l’heure qui m’a ramenée à la réalité : nous avons des examens à la fin de l’année. S’il s’avère que nous n’avons jamais pratiqué le SM ou le bukkake, nous serons recalés à coup sûr, et ce sera de ma faute. Alors je te le demande, petit cur. Ne me laisse pas nous faire rater nos examens.

Je faillis hésiter, mais ses yeux posés sur moi me suppliant d’accepter eurent raison de ma volonté.

C’est noté. Si mardi on me demande de te faire mal, je te défonce, plaisantai-je.

Alice sourit à son tour, et nous passâmes le reste de la journée dans les bras l’un de l’autre.

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