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PokémonVR – Chapitre 19




Nous poursuivîmes notre aventure à l’est de Céladopole, où, avant que nous ne le vainquissions, un Ronflex endormi empêchait toute progression. Nous pûmes alors atteindre la fameuse route « piste cyclable ». Son nom provient du fait que le joueur, afin de la traverser, doit monter sur sa bicyclette sans possibilité de descendre. Bien que les événements terribles que nous avions vécus précédemment occupassent la quasi-totalité de nos esprits, nous nous demandâmes comment Secoya avait pu contraindre le joueur à ce mode de déplacement. La réponse fut simple : un mur invisible ne nous laissait pas passer sans que nous fussions sur nos vélos. Nous quittâmes alors la ville pour nous rendre sur la prochaine route. Nous vainquîmes tous les PNJ, majoritairement des motards, tout en chevauchant nos bicyclettes. La route se composant d’une pente assez raide, nous accélérions très rapidement ; un vent frais et agréable caressait notre peau tandis que nous avancions. Si ce jeu n’avait pas pris une aussi terrible tournure, nous aurions pu profiter de ce moment. Cependant, je crus déceler un léger sourire sur les lèvres d’Ayaka tandis que le vent balayait sa douce chevelure brune. Je décidai alors de fermer les yeux tandis que je poursuivais ma descente ; un sourire naquit de lui-même sur mon visage.

Notre petit groupe, composé des dix bêta-testeurs encore en vie, fit une halte au centre Pokémon de Parmanie, la ville accueillant la cinquième arène. Le champion, Koga, est un spécialiste des Pokémon de type Poison, un type ne devant aucunement être sous-estimé. Comme nous en avions l’habitude, nous nous regroupâmes à l’entrée de l’arène afin de discuter stratégie.

-Si je peux me permettre, dis-je avant que la réunion stratégique ne débutât, j’aimerais passer par le Parc Safari avant d’affronter Koga.

Chacun des membres du groupe me regarda avec un regard vide. Un frisson glacial me parcourut alors tandis que je fixais leurs yeux trahissant la fatigue générale.

-Tu as raison. C’est pour Surf ? demanda Ayaka.

-Pas seulement. J’ai besoin d’un Leveinard.

Lorsque je prononçai le nom de ce Pokémon, Ayaka esquissa un léger sourire en s’agrippant à mon bras. Elle ne connaissait que trop bien mon Leuphorie, celui qui, lors de plusieurs tournois, lui avait donné beaucoup de fil à retordre.

-Dans ce cas, je propose que nous y allions tous, annonça alors Loser. Récupérer l’attaque Surf nous donnera une arme supplémentaire contre Koga.

Surf, une capacité de type Eau, est l’une des plus puissantes attaques de ce type. Elle permet également de se déplacer sur l’eau, la rendant primordiale pour la suite de notre aventure. Nous nous lançâmes tous un regard d’approbation avant de nous mettre en route pour le Parc Safari, au nord de la ville. Nous entrâmes dans un grand bâtiment aux murs gris et au toit orange. À l’intérieur, un PNJ, portant une tenue intégralement vert foncé, semblait nous attendre. Nous avançâmes dans sa direction jusqu’à nous trouver juste devant lui.

-Bienvenue au Parc Sari ! Vous souhaitez entrer ? nous demanda ledit PNJ.

Nous répondîmes par l’affirmative.

-L’entrée vous coûtera cinq cent PokéDollar (une misère, pour ceux qui se poseraient la question). Vous aurez alors droit à trente Safari Ball et à cinq cent pas. Si vous utilisez toutes vos Balls, ou si vous effectuez vos cinq cent pas, vous serez redirigés à l’entrée du parc. Avez-vous des questions ?

Connaissant le jeu par cur, nous n’en avions aucune. Nous nous contentâmes de payer le prix d’entrée avant de recevoir nos Balls pour ensuite partir à l’aventure. Nous pénétrâmes alors dans la zone de capture du parc. Il s’agissait d’une grande route parsemée de hautes herbes. De ces hautes herbes jailliraient des Pokémon sauvages introuvables ailleurs. Dans les versions originales du jeu, capturer un Pokémon dans le parc ne nécessite pas de combat. Il est possible, au choix, de lancer une Safari Ball, de lancer une pierre (cela rend la capture plus simple, mais augmente les risques que le Pokémon s’enfuie) ou de lancer un appât (cela réduit les risques de fuite, mais diminue les chances de capture).

-Surtout, restez sur vos gardes. Nous ignorons encore quelles surprises nous réserve Secoya, nous prévint Loser.

Nous avançâmes de quelques pas en avant. Une voix, semblant provenir d’un haut-parleur, résonna alors dans le silence du parc.

-Ceci est un message du professeur Secoya, annonça la voix semblant appartenir au PNJ de l’entrée. Le Parc Safari n’a pas été retouché dans PokémonVR. Vous ne pouvez pas envoyer vos Pokémon aux combats, et les Pokémon sauvages ne peuvent pas vous attaquer. Il n’y a donc aucun moyen pour vous de mourir dans cette zone. Vous pouvez le considérer comme un cadeau de ma part pour être arrivés si loin dans le jeu.  

La voix se tut. Entendre cela nous rassura inexorablement, mais Loser nous fit remarquer qu’il serait dangereux de croire sur parole Secoya. Nous restâmes alors sur nos gardes pendant environ dix minutes avant que nous nous rendissions compte que les Pokémon sauvages ne cherchaient pas à nous attaquer. Tout un chacun se regarda alors avec un regard trahissant nos pensées : nous allions peut-être, pour la première fois depuis le début de notre aventure, nous amuser.

Cela faisait plus d’une heure et demi que je marchais dans les hautes herbes du Parc Safari. Bien que les autres bêta-testeurs eussent achevé la quête de Surf, ils demeuraient dans cet endroit en attrapant divers Pokémon. Une voix m’annonça que j’avais effectué cinq cent pas. Je me téléportai alors mystérieusement à Parmanie, devant l’entrée du parc. Sg.Patate, le PNJ nous ayant accompagnés, Ayaka, MissMalice, Detsuky et moi-même, dans le casino, à Céladopole, s’y trouvait également. Ses cheveux bruns coiffés en houppette, il semblait occupé à observer quelque chose dans le menu.

-Toi aussi, tu comptes y retourner ? lui demandai-je.

Ne m’ayant pas vu auparavant, il sursauta de peur lorsque, en levant la tête, il aperçut mon visage.

-Putain, tu m’as fait peur, dit-il avant qu’un sourire n’apparût sur ses lèvres.

Il passa une main dans ses cheveux afin de les recoiffer, bien qu’aucune différence ne m’apparût après l’opération.

-Ouais, je vais y retourner, me répondit-il alors. Toi aussi ?

-Je n’ai pas encore réussi à choper de Leveinard, dis-je, agacé. C’est pas évident à choper, ces trucs.

-Tu l’as dit. Mais je suppose que le jeu en vaut la chandelle.

-Sans lui, je meurs contre Koga, répondis-je aussitôt. J’ai beau imaginer des millions de scénarios, sans Leveinard, je ne peux pas passer Grotadmorv.

En effet, le Grotadmorv de Koga, un Pokémon de type Poison, possède la capacité Lilliput, lui permettant d’augmenter son esquive d’un cran. Ce Pokémon devient alors très rapidement difficile à atteindre. Ma seule chance d’éviter cela serait de le vaincre en deux ou trois tours, mais aucun de mes Pokémon n’en était capable. Toutefois, grâce à Leveinard, c’était Koga qui n’avait plus la moindre chance.

-Bon, bah je vais y retourner, dis-je en me dirigeant derechef vers le Parc Safari.

-Ça marche, me répondit Sg.Patate tout en me faisant un signe de la main.

Le bêta-testeur replongea alors son visage dans son menu tandis que j’entrais pour la douzième fois dans ce parc naturel.

Une demi-heure plus tard, tandis que j’avais fui face à un Tauros puis face à un Noeunoeuf, un Leveinard apparut sous mes yeux. C’était le quatrième que je rencontrais en deux heures ; les trois autres s’étaient enfuis avant que je ne pusse les capturer.

-Celui-là, il est pour moi, me dis-je à moi-même tandis que le menu s’ouvrit.

Le taux de capture de Leveinard étant particulièrement faible, je ne pouvais pas me reposer sur les appâts. Au contraire, je devais prendre des risques et lancer des pierres sur le Pokémon. J’en lançai une première. Leveinard me fixa du regard, un air courroucé sembla se dégager du visage du Pokémon. Ce dernier avait la forme d’un uf rose, possédait deux bras, deux jambes et portait un uf de Pokémon dans une poche, située sur son ventre, de la même manière qu’un kangourou porterait son enfant. Je respirai un grand coup avant de lancer une deuxième pierre. Leveinard ne s’était pas encore enfui.

-Il va en falloir une autre, me dis-je afin de me donner espoir.

J’en lançai une troisième. J’avalai péniblement ma salive en attendant la réaction de ma cible. Je poussai alors un léger cri satisfait lorsque je compris que le Pokémon sauvage n’avait toujours pas fui. Je croisai alors les doigts et envoyai une Safari Ball en direction du Pokémon rose. La balle remua une fois, une seconde fois, puis elle s’ouvrit en laissant s’échapper ma cible. Au fond de moi, je n’espérais qu’une seule chose ; Leveinard ne devait pas s’enfuir. Je me sentis plus léger lorsque le « combat » se poursuivit.

-J’ai déjà eu de la chance qu’il ne s’échappe pas. Je pense que si je rate celle-là, c’est terminé, me chuchotai-je.

Je rassemblai alors toutes mes pensées positives dans ma main. Puis, sans arrêter d’espérer capturer ce Pokémon, je lançai ma Safari Ball. Refusant de voir la scène, je fermai les yeux. La balle remua une fois.

-Pitié, murmurai-je en joignant les mains devant moi. J’ai besoin de ce Pokémon.

La balle remua une deuxième fois. Je sentais une pression énorme peser sur mes épaules, si bien que je me demandai comment je parvenais à rester debout. La balle remua une troisième fois. Ma gorge, devenue sèche, me brûlait légèrement. Pourtant, je continuai d’espérer. Je multipliai les prières adressées à quiconque pouvait les entendre, et j’attendis. Les deux secondes qui suivirent me semblèrent durer éternellement. Enfin, j’entendis un dernier clic. Lorsque j’ouvris les yeux, je pus remarquer que j’étais parvenu à capturer mon précieux Pokémon.

-Putain, c’est fait !!! hurlai-je de joie tandis que toute la tension accumulée en à peine cinq minutes me libéra subitement.

Je me sentais tellement bien, c’était une sensation que je n’avais plus ressentie depuis le début de ce jeu ignoble. La sensation de se sentir en sécurité ne m’avait jamais semblé aussi précieuse qu’en cet instant, si bien que j’ignorais si j’aurai la force de quitter cet endroit. Je me rassurai en me disant que cette sensation devait être partagée par les autres joueurs ; aucun d’eux n’avait plus rien à faire ici. Me décidant enfin à me déplacer, j’effectuai le trajet jusqu’au PNJ détenteur de l’attaque Surf avant de quitter le Parc Safari.

Lorsque je sortis du bâtiment au toit orange, j’eus la surprise de découvrir que les neuf autres bêta-testeurs m’attendaient tous ensemble. Je les regardai, intrigué, tandis qu’Ayaka me rejoignit avant de m’embrasser succinctement.

-Ne me dites pas que vous m’attendiez, leur dis-je.

-On ne t’attend pas depuis longtemps, répondit Detsuky.

-Quand on t’a entendu hurler, on a compris que tu avais capturer ton Leveinard, ajouta MissMalice en souriant.

En les voyant tous réunis, je ne pus m’empêcher de penser que cette escale au Parc Safari nous avait fait le plus grand bien. Nos visages avaient repris leurs couleurs, et le silence s’étant installé suite à l’épisode de la Tour Lavanville semblait avoir disparu. Je ne pus alors réprimer un sourire lorsque, en rejoignant le reste du groupe, nous nous dirigeâmes vers l’arène.

-Ne t’en va pas trop loin, me dit Ayaka tandis que nous fîmes le tour du zoo, dans lequel divers Pokémon, tels que Amonita, Leveinard ou encore Voltorbe, étaient observables.

-Pourquoi ça ? lui demandai en m’arrêtant.

-Parce que nous allons faire une petite balade, rien que toi et moi, me répondit-elle en se laissant tomber contre mon torse.

Elle enroula ses bras autour de moi tandis que sa joue reposait contre mon épaule gauche.

-Nous n’en aurons que pour une dizaine de minutes, précisa-t-elle, alors ne t’inquiète pas pour les autres. Et puis, je les ai prévenus.

-Prévenus de quoi ? ne pus-je me retenir de demander.

-Ne sois pas si curieux, sourit-elle.

Elle appela alors son Roucarnage qui, instantanément, sortit de sa PokéBall. Sa huppe rouge orangé lui donnait un air majestueux, air largement amplifié par les petites brises la faisant voleter.

-Roucarnage, emmène-nous à Jadielle ! intima la dresseuse à son Pokémon.

Ma petite-amie et moi-même enfourchâmes le Pokémon avant que ce dernier ne s’envolât dans les cieux. Lorsque nous traversâmes un nuage parfaitement blanc, je souris tandis qu’Ayaka riait de joie.

Environ dix minutes plus tard, nous atterrîmes à Jadielle. À peine eûmes-nous le temps de poser les pieds au sol qu’Ayaka rappela son Roucarnage avant de ma prendre par la main et m’attirer en direction de la forêt de Jade. Cette fameuse forêt, que nous avions traversée au début de l’aventure, représentait beaucoup pour nous : c’était l’endroit dans lequel nous avions vécu notre première relation sexuelle, marquant ainsi le début de notre relation de couple. Cela me rappela alors un temps lointain, un temps durant lequel nous ignorions encore l’enfer dans lequel nous serions plongés. Lorsque nous entrâmes dans ladite forêt, nous trouvâmes, devant un grand arbre nous faisant face, un PNJ que je connaissais bien. Habillée d’une robe rose et blanc, elle portait également une toque blanche sur laquelle une croix grise était dessinée. Le tout était accompagné par de magnifiques cheveux roses donc les extrémités étaient coiffées afin d’en faire des boucles.

-Pourquoi l’infirmière Joëlle est-elle ici ? demandai-je à Ayaka. Elle n’est pas censée rester au centre Pokémon ?

-J’ai demandé à Secoya de nous faire une faveur.

-Tu as quoi ?! ne pus-je m’empêcher de crier.

-Ne t’en fais pas, il n’attend rien en retour.

Je respirai un grand coup en faisant fi du fait que ma petite-amie avait fait appel à l’homme que nous détestions tous.

-Mais je ne sais toujours pas pourquoi elle est ici, ajoutai-je tandis que nous nous approchions de l’infirmière.

-En fait, je me suis rendue compte que tu avais réalisé l’un de mes fantasmes, mais que je ne t’avais jamais rendu la pareille, m’expliqua-t-elle.

Je m’apprêtais à lui demander à quel moment j’avais fait une telle chose, puis je me rappelai de la fois où, à Azuria, je lui avais fait l’amour sous l’eau.

-Et quel serait ce fantasme, selon toi ? la questionnai-je.

-Quelle question ? rit-elle. Quel mec n’a jamais fantasmé sur l’infirmière Joëlle ?

-Je plaide coupable, admis-je en rougissant légèrement. Non pas que je ne te veuille pas ! me rattrapai-je en m’apercevant de ce que je venais de dire.

-Tu es trop mignon, rougit-elle tandis que nous n’étions plus qu’à cinq mètres du fameux PNJ. Écoute, je n’ai pas envie de te céder à quelqu’un d’autre, alors tu devras te contenter d’un plan à trois.

-Je n’ai même pas envie de contester, répliquai-je, gêné.

-Dans ce cas, donne-moi ta main, m’ordonna-t-elle.

Tandis que nous nous trouvions en face d’une infirmière Joëlle rougissant plus que de raison, je tandis ma main à Ayaka qui s’empressa de la passer sous la robe de l’infirmière Joëlle. J’eus à peine le temps de comprendre ce qui se passait que mes doigts entrèrent au contact d’un tissu fin que je caressai immédiatement. Je sentis alors une sensation d’humidité au bout de mes doigts. Tandis que je massais la grotte intime de l’infirmière à traversa sa culotte, ma petite-amie attrapa mon autre main pour la porter au niveau du bouton de son pantalon. Je le défis en vitesse avant de m’occuper de sa fermeture éclair. Bientôt, le tissu recouvrant ses jambes tomba à ses pieds. Ma main se mit alors à masser ses parties intimes déjà humides. Ayaka se mit alors à gémir, puis l’infirmière se joignit à elle. La superposition de ces deux voix me fit monter la tête, si bien que je sentis mon sexe prendre méchamment de l’ampleur. Je résistai à mon envie de le libérer et écartai les culottes de mes deux partenaires. Mes doigts se mirent alors à masser leurs deux sexes directement. Alternant entre clitoris et grandes lèvres, je ne les laissais pas respirer.

-C’est bon ! gémit Ayaka en m’embrassant.

L’infirmière, quant à elle, était désormais totalement rouge. Ses yeux étaient clos ; elle semblait grandement apprécier ce qui se produisait, bien qu’elle ne fût qu’une I.A. Tandis que j’usais de mes doigts sur les grottes intimes des deux femmes, je sentis deux mains se poser contre mon entrejambe. Mon pantalon et mon caleçon ne restèrent pas longtemps à leur place ; Joëlle et Ayaka s’en étaient rapidement débarrassé. Ma verge tendue se retrouva alors entre deux mains expertes. Je sentis ensuite une forte chaleur se répandre dans mon corps tandis que le plaisir prit possession de moi. Il ne fallut que quelques secondes supplémentaires pour que les deux femmes se retrouvassent à genoux devant moi afin que chacune m’offrît une fellation à tour de rôle. Chacune de leurs langues me donna beaucoup de plaisir, si bien que je dus lutter pour ne pas jouir dans la bouche de l’infirmière.

-Cliff, prends-moi ! m’envoûta Ayaka en s’allongeant dos au sol, les jambes écartées.

Je ne perdis pas une seconde et, m’agenouillant, plaçai mon sexe contre le sien. La seconde femme, quand à elle, enjamba Ayaka avant de s’asseoir sur son visage. Cette vision paradisiaque me donna une pulsion violente qui me fit violemment pénétrer ma petite-amie. J’entendis le cri étouffé de celle-ci avant qu’elle ne reprît son cunnilingus lesbien. Bientôt, les rôles furent inversés ; je pénétrai l’infirmière tandis qu’elle caressait, à l’aide de sa langue, la vulve de ma petite-amie. Je ne pensais pas prendre autant de plaisir en faisant l’amour à une femme autre que celle que j’aimais. Sans doute le fait qu’il se fût agi de l’un de mes fantasmes inavoués y était pour quelque chose. Au bout d’environ trois minutes de cette douce situation, je sentis ma limite approcher.

-Ayaka, lève-toi ! ordonnai-je à ma petite-amie.

Cette dernière obéit en me regardant m’agenouiller à côté du visage du PNJ. Je masturbai alors mon pénis jusqu’à la jouissance suprême. Mon sperme quitta mon canal déférent pour atterrir sur le visage angélique de l’infirmière qui, surprise, ferma les yeux de justesse. Lorsque je fus vidé de toute énergie, je me levai en observant le résultat : le visage de l’infirmière Joëlle était recouvert de ma semence. C’était une image que je ne pensais jamais pouvoir vivre, mis à part en surfant sur Internet. 

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