Si tu veux que du sexe passe les premiers paragraphes rends toi ===>

    Elle est là, juste devant moi, allongée sur le lit, les draps la recouvrent des fesses au coup, ce qui me permet d’apercevoir ses jambes fines et délicieuses dans la lumière de la lune. De temps en temps un courant d’air soulève légèrement le tissu de soie et m’accorde un bref aperçu de ses fesses.

    Elle c’est Laurianne, une nana que je viens de rencontrer ce soir même, pendant la soirée d’un pote, John un ami de longue date, c’est la seule personne que je connais ici, je viens de rentrer de mission et il m’a invité pour qu’on fête ensemble mon retour. Il m’avait prévenu qu’il y aurait des femmes sublimes mais elle n’était pas juste sublime, je veux dire par là que des filles bien faîtes cours les rues, il suffit de sortir de chez soi pour en trouver mais cette fille est également maline, loin d’être naïve, elle sait qu’elle est belle et en joue. John nous a présenté, elle m’a souri puis est parti sans dire un mot. Tout au long de la soirée je n’ai fait que penser à elle et la regarder quand j’en avait l’occasion, dailleurs John qui avait compris sur quoi portait mon regard :

«Arrêtes donc de mater son cul, me dit-il d’un air moqueur. Je souris.

-Elle a un mec ? Demandais-je

-Oui et justement…

-Justement quoi ?

-Oubli la, je connais bien ce type, il est cool mais super possessif et particulièrement en ce qui concerne Laurianne ( c’est là que j’ai su son prénom ), cette fille le rend dingue.

-Ce n’est pas parce qu’il y a un gardien qu’on ne peut pas marquer de but ! S’exclama Alex qui suivait notre conversation, un peu beauf mais bien placé.

-Pourtant il n’a pas l’air très proche d’elle, répondis-je

-Il la laisse aller où elle veut mais il la surveille de près crois moi et il prend un malin plaisir à dérouiller ceux qui s’approchent trop près..

-Tu sais que ce que tu viens de me dire la rend encore plus attirante?

-Tu ne changeras donc jamais, mais fais attention de ne pas gâcher la soirée.»

    J’ai descendu mon verre cul-sec, quitté mon observatoire et rejoins Laurianne sur la piste, elle danse avec un gars, sûrement un pote de son mec. Sans hésiter je me place derrière elle, passe mes bras par dessus ses épaules et les croisent sur son ventre, elle ne se retourne pas, peut-être m’a-t-elle confondu avec son petit ami. Mais elle se retourne quand elle voit le mec qui dansait avec elle me lancer un regard noir. Elle ne s’arrête pas de danser pour autant. Je place une main sur sa hanche puis la descend un peu plus bas mais sa main saisi mon poignet puis le relâche plus haut. Je la regarde en souriant et elle me fait «non» de la tête. Soudain elle me sourit, je me demande quelle en est la cause et je sens une main me taper sur l’épaule, je me retourne. C’est le type de toute à l’heure qui dansait avec Laurianne, il me dit que Nicolas veut me parler. J’en ai déduis que c’était son mec.

« Dis-lui d’aller se faire foutre »

Le gars se retourne sans rien dire. La musique se coupe brutalement. Les gens se retourne vers la sono, un type s’approche, les gens s’écartent. Il arrive près de moi et me bouscule.

« Tu crois pouvoir draguer ma copine sous mon nez sans conséquences, mais pour qui tu te prends putain !

-Tu dois en avoir une bien petite pour avoir une si grande gueule, rétorquais-je.»

    Son coude se leva, suivis de son poing et il me mis une sacrée droite dans la mâchoire, je recula étourdi, il me balaya les chevilles, je me retrouva allongé sur le sol, il en profita pour s’accroupir au dessus de moi et me donner frapper au visage jusqu’à que John intervienne pour l’arrêter.

    C’est la scène que Nicolas avait imaginé dans sa petite tête sauf que cette fois-ci il n’était pas tombé sur le bon gars, je croisa le regard de John qui me faisait signe de ne pas l’amocher mais à peine son coude levé je me suis baissé pour esquiver son coup, une fois entraîné par son élan ( il était saoul) je lui ai donné un crochet dans l’estomac, suivis d’un chassé dans le genou pour finir avec un fouetté dans le visage.

    Il ne pouvait plus tenir debout, ses potes le transportèrent jusque dans une voiture, je ne l’ai est pas revu de la soirée. Je n’aime pas me battre mais savoir me défendre fais parti de mon métier. Personne n’aimait vraiment Nicolas, c’est pourquoi la soirée repris dès qu’il était parti.

Je retourna m’asseoir avec John et Valentin. Il y avait un blanc.

«Quoi? Je n’avais le choix.

-Si tu l’avais, je t’avais prévenu, dit John.

-C’est toi qui a invité ce connard et la fille qui plus est. Justement Laurianne arrive vers nous.

-Je peux vous l’emprunter ? Demanda-t-elle.

-Non mais je rêve, répondit John.

-Tiens tu vois, j’avais raison ! S’exclama Alex »

Elle me prend par la main et memmène à l’écart de la fête. On est assis sur un muret.

« Toi on peut dire que tu n’as pas froid au yeux, dit-elle.

-Tu ne m’en veux pas ?

-Si énormément, je voulais larguer Nico ce soir mais à cause de toi j’en ai pas eus l’occasion.

-Qu’est-ce que je peux faire pour me rattraper ? Elle se lève et se s’assoie sur mes genou en me faisant face.

-Je ne sais pas trop, tu n’as pas une petite idée ? Répondit-elle en rapprochant doucement ses lèvres des miennes.

-Je pense… Nos lèvres se touchent, un petit baiser, puis un second et on s’embrasse passionnément pendant quelques minutes. J’en ai profité pour placer une main sur ses fesses bien fermes.

-Tu ne connais pas un endroit où on pourrait se mettre plus à l’aise ? Demande-t-elle entre deux baisers.

-Je sais où se trouve la meilleur chambre de cette baraque.

-Cela devrait faire l’affaire."

ICI ====> Nous voilà dans la chambre, elle me pousse sur un fauteuil situé dans un angle de la pièce face au lit. Elle me tourne le dos, enlève son chemisier, le jette, elle a un tatouage en bas du dos, elle défait sa ceinture, déboutonne son jean, le fait descendre lentement en se penchant vers l’avant pour le faire descendre jusqu’à ses pieds. J’assiste à ce qui me paraît être un rêve, son cul est simplement PARFAIT, deux petites fesses bien dessinées et bombées, séparées par un string noir à dentelle bleu azur. Elle se met à quatre pattes, se retourne et avance vers moi. Elle me regarde droit dans les yeux pendant que ses mains sortent ma queue de mon jean. Elle me branle lentement, sa tête descend au niveau de ma verge, elle parcourt mon sexe avec sa langue de sa base jusqu’à son extrémité, toujours en me fixant du regard. Elle prend mon gland en bouche, je penche la tête en arrière tellement j’apprécie l’instant, chaque rotation de sa langue autour de mon gland me donne des frissons. Qu’est-ce qu’elle suce bien ! Elle laisse échapper un peu de salive sur mon membre pour ensuite l’engloutir entièrement jusqu’au fond de sa gorge. Elle accélère les va-et-vient de cette façon. Je lui dis que je ne vais pas tenir longtemps si elle continu ainsi, mais à ma grande surprise elle me branle tout en caressant mon gland avec sa langue. Elle sent une soudaine contraction et place alors mon gland dans sa bouche, mon foutre se déverse alors dans sa cavité, elle ouvre la bouche et me montre qu’elle a tout garder, puis elle l’avale sans quitter mon regard.

    Je me lève, la soulève et l’allonge sur le bord du lit, je l’embrasse, je retire son soutien-gorge, et lui masse un sein avec ma main droite pendant que mon autre mains caresse son entre jambe déjà trempé. J’embrasse son coup, son souffle s’accélère ce qui mexcite d’avantage. Je mordille maintenant délicatement ses tétons, je couvre son ventre de baisers, puis ses cuisses, je retire son dernier vêtement avec mes mains et mes dents, sa vulve est inondée de plaisir. Ma langue titille son bouton, pendant que jintroduis un doigt dans son antre. Deux doigts maintenant font des aller-retours dans sa chatte. Je retire mes doigts et ma langue quitte son clitoris pour rejoindre son petit trou. Ses gémissements m’encourage, ma langue s’introduit maintenant dans sa fente, au même moment mon index masse l’entrée de son second trou. Elle jouit. Ma verge est de nouveau bien dure. On se place en missionnaire, ça respiration est calée sur mes va-et-vient, au bout de cinq minutes elle me murmure à l’oreille «Je prends les choses en mains». Je m’allonge sur le dos, elle me chevauche le dos tourné vers moi, elle a compris que la partie de son corps que japprécie le plus est son cul. Je regarde ses lèvres bien écartées coulisser sur ma bite. Ses mouvement de bassins sont juste divins.

    Je ne vais quand même la laisser croire qu’elle me possède complètement. Je la saisie aux épaules, effectue un mouvement de roulade et nous nous retrouvons en position de levrette. Je la saisi par les hanches et la baise de manière plus brutale, ses cris cautionnent mon changement d’attitude. Je ralenti la cadence et place mon pouce sur sa pastille. Au fur et à mesure des va-et-vient mon pouce pénètre d’environ 1cm son petit trou. Je me retire alors de sa vulve, je lubrifie son trou avec ma salive et sa mouille. J’enfonce petit à petit mon index, phalange après phalange, mon majeur rejoins mon index, puis un troisième doigt. Je me redresse et présente mon sexe à l’entrée de son antre, la pénétration fût facile ce qui confirma mes suppositions, avec un cul comme celui-là elle ne devait pas être à sa première sodomie. Je commence tranquillement les aller-retours, je vois dans le miroir en face de nous qu’elle à les yeux fermés et elle se mort les lèvres, elle m’excite tellement ! J’augmente la cadence, elle gémi de plus en plus fort, je lui met une claque sur ses fesses de temps temps, elle cri à chaque fois, j’accélère encore. Elle se branle le clito avec sa main gauche, deux minute plus tard elle hurle de plaisir, je sens que je viens, je donne quelques derniers coup au fond de son antre, je me retire et jouis sur son petit trou ( qui n’est plus si petit que ça à présent), ses petites fesses rebondies marquées par les traces rougeâtres des fessées, son anus dilaté et mon sperme dégoulinant sur celles-ci, je ne pourrais les oublier. Elle plonge deux doigts dans son trou pour y récupérer ma semence puis les conduit à sa bouche. Elle se retourne pour nettoyer ma verge avec sa langue. Nous nous sommes ensuite endormis.

    Et me voilà maintenant assis dans ce fauteuil, 2h plus tard, en train de regarder cette femme avant de la quitter pour toujours.

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