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La ligne ténue de l'équilibre des corps – Chapitre 4




La ligne ténue de l’équilibre des corps

Chapitre 4

Il est 8h00 du matin quand jouvre les yeux.

Je me remémore la nuit dhier et un festin démotions et de sentiments mhabite.

Entre regrets et remords, en passant par une honte intense, je réalise que maman et moi avons dérapé solide.

Ça me rappelle vaguement quand jai eu une baise sauvage avec la blonde de mon meilleur ami.

Je me revois devant lui à le regarder dans les yeux avant de tout lui avouer. Amitié oblige !

Ça lui a pris dix ans à me pardonner !

Je ne sais même pas comment je pourrai regarder papa en face et jai même pas touché à maman.

Trop fatigué pour recoller les morceaux brisés, je laisse mon ordinateur fermé pour avoir du temps.

Il est clair pour moi que je nirai pas chez mes parents aujourdhui !

Jai dit ça sous le coup dun instant de folie et je me doute que maman espère ne pas me voir avant un moment, question de digérer un peu le tout.

Jai quand même un petit quelque chose au bas du ventre quand je repense à sa proposition de sembrasser pour essayer.

Je fais tout pour chasser cette idée !

Je passe les jours suivant devant mon travail et je nouvre pas mon ordinateur. Pour prendre mon courrier, je me sers de mon téléphone cellulaire.

Javais dit à mes parents que jirai la fin de semaine prochaine, passer quelques jours chez eux.

Je sais que papa compte sur moi pour travailler sur lextérieur de la maison.

Je ne pourrai pas toujours esquiver la situation et jembarque, non sans appréhension, dans ma voiture pour une longue route me menant vers la maison de mon enfance.

Pour ne pas arriver sans mannoncer, jappelle mes parents une bonne heure avant darriver, question de leur laisser le temps de cacher la poussière sous les tapis.

Cest papa qui me répond et je nen suis pas fâché.

Devant la porte, jai terriblement mal au ventre et je sais bien pourquoi.

Papa vient mouvrir et je vois maman au milieu du corridor, à une quinzaine de pieds de moi.

Elle est vraiment superbe, dans une jolie petite robe dété. Discrètement maquillée, je lai rarement vue aussi bien arrangée lorsque je viens à la maison.

« Voyons chérie ! Viens embrasser ton fiston qui arrive de loin ! »

Son commentaire a leffet dun coup de couteau pour elle et moi et cest vraiment hésitante quelle sapproche pour me donner la furtive bise sur la joue.

Papa en rajoute :

« Mon doux ! Normalement, tu te jettes à son cou en le couvrant de becs ! Plaisante-t-il, en la regardant.

Ҫa va papa ! » Lui dis-je pour changer de sujet.

Jai remarqué, quand-même, en lui prenant la taille pour lembrasser, que sa robe moule sa fine taille et je suis surpris de lampleur que ça donne à son merveilleux derrière, lorsquelle marche devant moi vers la cuisine.

« Je vais aller chercher de la bière ! Dit papa, en prenant les clés de sa voiture.

.. Tu viens avec moi ?

Euh ! Non merci, jai fait assez de route aujourdhui !

Dans ce cas, je reviens ! »

Appuyé contre le comptoir de cuisine, je regarde maman qui se tient sur le bord de la table et attend, manifestement, le départ de mon père.

Aussitôt la porte refermée, elle me dit à voix basse :

« Bonjour Gabriel !

Bonjour maman ! »

Elle avance timidement vers moi en laissant traîner ses doigts fin sur la table.

Son regard ne quitte pas le mien, lorsquelle sapproche de moi en prenant ma taille de ses mains.

Maman et moi, nous nous regardons sans mot dire quelques secondes, puis elle vient appuyer sa tête sur ma poitrine, ses mains glissant dans mon dos en me serrant fortement.

Je referme mes bras autour delle en la serrant avec la même intensité et nous restons comme ça sans rien dire.

Jappréhendais tellement ce moment et maman rend le tout si facile et si tendre.

Ses mains glissent en réconfort dans mon dos et je limite dans sa caresse maternelle.

Juste un peu avant que papa ne revienne, elle relève la tête et dépose sa douce main sur ma joue en une caresse dune profonde tendresse, puis elle sétire sur la pointe des pieds, saisissant mon visage de ses deux mains et dépose ses lèvres sur les miennes pendant deux, trois secondes.

Se retirant à peine, elle me regarde dans les yeux et je sais bien, à la regarder, quil ny a pas de pots brisés, ni de scène malheureuse et déchirante.

« Viens ! » Me dit-elle, en me prenant la main.

Je sais bien quelle me mène vers ses orchidées, passion commune que nous avons, elle et moi, depuis des années.

Debout devant la multitude de plantes dans le solarium, jadmire ses talents dhorticultrice pendant, quà coté de moi, elle me serre la taille en me collant contre elle.

Répondant à son geste, je dépose mon bras autour de ses épaules et cest enlacés de la sorte que papa vient nous rejoindre avec deux bières.

« Bon ! Dit-il en nous voyant.

.. Je ne trouvais pas ça normal que ta mère ne te colle pas à ton arrivée ! » Avant de moffrir une bière et den prendre une grande gorgée.

Au souper, nayant pas vu mes parents depuis un bon moment, la différence dâge entre papa et maman me frappe soudainement.

Je savais que mon père avait près de quinze de plus que maman, mais pour la première fois, je remarque quil a pris un coup de vieux.

Jimagine que de boire de la bière en quantité comme il le fait, ne doit pas aider.

Tout pour lui est prétexte à sen déboucher une. Mon arrivée, le fait de travailler dehors, parce quon a terminé le boulot, parce quon rentre, bref il a toujours une bière à la main.

Si bien quil sendort tôt dans le divan, tous les soirs.

Je pense retourner le lundi tôt, papa retournant aussi au boulot.

Jen fais part à maman dans le salon pendant quil ronfle.

Assise contre moi, elle tient mon bras des siens, la tête appuyée contre mon épaule.

« Tu pourrais bien rester une journée de plus, tu ne mas pas aidée moi ! Dit-elle, en caressant lintérieur de mon bras de sa douce main.

.. Je sais que ton boulot avance bien ! Tu pourrais rester un peu avec moi ? »

Le bout de ses doigts glisse doucement sur lintérieur de mon bras, à la limite du chatouillement.

Je soupèse le pour et le contre, pendant que ses doigts habiles glissent sur mon poignet et ma main.

Pendant quelle pratique cette caresse, je regarde papa ronflant et je sens une chaleur intense moner à mes joues.

« Daccord, mais juste une journée !

Parfait ! » Dit-elle, en se serrant contre moi.

Mon lit est confortable et lorsque jouvre les yeux, il doit bien être 9h00.

Descendant létage, je retrouve maman à la cuisine.

Papa est parti depuis bien longtemps déjà.

Elle me sert un déjeuner de roi et je remarque quelle est bien jolie dans sa robe.

Avec ses bas nylons, je ne peux que remarquer ses belles jambes que je voyais à la webcam.

De délicats et fins souliers habillent ses petits pieds.

« Wow ! Tes super belle comme ça ! Papa doit avoir aimé ?

Je me suis habillée après quil soit parti !

Et tu vas quelque part ?

Oui et tu viens avec moi ! »

Nous partons tous deux à pied, en cette superbe journée ensoleillée, panier à la main, en direction du grand parc.

Au bout de quelques pâtés de maison, maman saisit ma main dans la sienne, nos doigts sentrelaçant.

Elle me regarde en me faisant son plus joli sourire.

Jai vaguement limpression de marcher avec ma copine plutôt quavec ma mère.

Sur notre chemin, nous croisons beaucoup détudiant de mon âge, se dirigeant vers luniversité, tout près doù nous allons.

Croisant le regard de certains garçons, je réalise que je suis plutôt fier de marcher au bras dune si belle femme.

Dailleurs, regardant derrière moi en marchant, je remarque plusieurs jeunes hommes tournent la tête vers les fesses de maman une fois quils nous ont croisés.

Les jeunes filles semblent plutôt regarder sa généreuse poitrine et son délicat visage, essayant du coup dévaluer son âge.

À 45 ans, maman na que quelques légères rides au visage qui ne font quaccentuer la beauté de son regard.

Se tournant vers moi, elle me demande :

« Tu penses quils croient que je suis ta petite copine ?

Oui ! Et jen suis très fier maman !

Moi aussi, ça me fait cet effet-là ! Rajoute-t-elle, sur un ton de confession.

.. Ça me fait me sentir jeune ! Ce nest pas déplaisant ! Dit-elle, en regardant droit devant elle.

Tas remarqué le nombre de jeunes hommes qui lorgnent ton derrière ?

Lol ! Sesclaffa-t-elle. Cest toujours comme ça, Gabriel ! Jy suis plutôt habituée !

Oh ! Excusez-moi, Madame la top modèle ! Lui lancé-je, en la narguant.

Elle rit en serrant mes doigts de plus belle.

Rendus au parc, nous nous approchons du lac où nagent des cygnes et des canards, nourri par les nombreux passants qui profitent, comme nous, de la belle température.

Je ne peux que remarquer la grande quantité de jeunes couples étendus ici et là sur lherbe, senlaçant dans des étreintes amoureuses.

Quelques jeunes, jouent au frisbee et dautres se lancent un ballon un peu plus loin.

Latmosphère du parc est paisible, les grands arbres majestueux nous entourant ainsi que le temps qui semble ralenti en ce lieu, maman choisi un joli coin sous un arbre pour y déposer son panier et retirer ses jolis souliers fins.

Tout juste avant que je massois, elle me surprend dans un moment déquilibre précaire pour me pousser en senfuyant.

Me relevant prestement, je pars après elle, pendant quelle détale comme un lapin en fuite.

Je suis surpris de voir, en courant derrière elle, quelle porte ce que je suppose être des bas de nylon blanc diaphane qui seront sûrement tachés dherbe verte au terme de sa course.

Rendu à un arbre vénérable, elle sen sert pour tourner autour afin de méviter.

Maman rit à pleine gorge et lance de petits cris lorsque je feins de lattraper, puis elle repart de nouveau vers un autre arbre.

Son petit manège se répète quelques fois, je la laisse toujours aller, comme si je nétais pas capable de la saisir.

Puis, à bout de souffle, elle sarrête finalement sur larbre, tout près de notre panier de pique-nique.

Appuyée, dos à larbre, ses mains le tenant derrière elle, maman remonta son pied en lappuyant sur lécorce, me signifiant de son corps, que la course était terminée.

Je ralentis la mienne en me dirigeant vers elle, tentant de reprendre un peu mon souffle.

Marchant finalement en mapprochant, je tends mes mains en saisissant sa mince taille et les redescends sur le haut de son bassin en tirant le bas de mon corps sur le sien.

Tout deux silencieux, jentends clairement le souffle de maman se mêler au mien.

Elle et moi, restons un long moment dans cette position, se regardant mutuellement.

Puis, elle finit par briser le silence :

« Tu veux quon essaie ? »

Je sais très bien de quoi elle veut parler.

Là, dans sa jolie robe dété à mi-cuisse, tenu aux épaules par de délicates bretelles, maman est comme un fruit mûr tombé de larbre.

Si près delle, je scrute minutieusement les détails de son visage, en constatant la beauté de lensemble.

Mais cest ses lèvres qui attirent surtout mon regard.

Parfaites, légèrement pulpeuses, elles donnent envie de sy poser confortablement.

« Elles te plaisent, nest-ce-pas ? Voyant mon regard les fixer.

Oui ! Lui acquiescé-je.

.. Comment je nai pu les remarquer plus tôt ? » Lui demandé-je, en me rapprochant un peu plus.

Maman avance aussi son visage vers le mien, ses lèvres touchant presque les miennes.

« Parce que tu nétais pas prêt ! » Dit-elle, en chuchotant.

Je tourne la tête en regardant les passants nous observer, puis replace mon visage devant le sien.

« Cest excitant de faire ça avec ça mère ? Me demande-t-elle.

Oui ! Beaucoup ! Sentant mon sang séchauffer.

..Et toi ? Ça texcite aussi de le faire avec ton fils ? »

Elle tourna la tête pour regarder deux jeunes femmes passer près de nous avec leur carrosse.

Plutôt que de me répondre, elle hoche la tête positivement en me regardant.

Maman écarte légèrement sa jambe repliée, permettant à mon pubis daller bien se coller contre le sien.

« Jcroyais quon commençait par sembrasser ? Lui dis-je, pour la taquiner, sentant bien los de son pubis fortement appuyé sur mon pénis.

Je vois que tes déjà prêt ! » Me dit-elle, en souriant.

Avançant ma bouche pour combler les deux millimètres séparant nos bouches, elle me surprend en reculant la tête, empêchant le contact désiré.

« Tes certain Gabriel ? Me demande-t-elle, de ses grands yeux.

Oui, jen suis certain ! » Répliqué-je.

Doucement, elle avance sa bouche sur la mienne, ses lèvres sécrasant sur les miennes en un baiser chaste de quelques secondes à peine.

Jouvre les yeux, surpris, encore sur le nuage quelle vient de créer sur ma bouche.

Maman me regarde.

Sa main quitte larbre et vient se poser derrière ma nuque, lorsquelle avance de nouveau ses lèvres contre les miennes, penchant cette fois légèrement la tête pour membrasser comme une mère nembrasse pas son fils.

Ses lèvres pulpeuses bougent sur les miennes, ses doigts tirant sur ma nuque pour en accentuer le contact.

Au bout de quelques longues secondes, elle brise son étreinte en me regardant de nouveau :

« Wow ! Je nai jamais vécu ça ! Lui dis-je, à voix basse.

.. Ce nest pas des lèvres que tas, maman, cest les portes du paradis ! » Toujours estomaqué de son baiser.

Elle sourit de mon compliment, visiblement fière de mavoir fait vivre le plus beau baiser de ma vie.

« Cest le plus beau compliment quon mait fait à ce jour, Gabriel ! » Me dit-elle.

Elle approche sa bouche sur la mienne, son nez contre mon nez :

« Tu veux quon essaie encore ?

Ouii ! » Visiblement excité.

Cette fois, elle entoure mon cou de ses deux bras, dans une étreinte amoureuse complète.

Au contact doux de ses lèvres culminant les miennes par leurs formes, joublie le temps et le lieu, me laissant aller à ce voluptueux échange.

Brisant lentement le contact de nos bouches, un groupe détudiants, nous observant, applaudissent au spectacle, avant de reprendre leur chemin.

Maman part à rire aussi.

« Tu es tellement belle, maman !

Tu es pas mal, toi aussi, Gabriel ! »

Elle plaque un solide, mais rapide baiser sur mes lèvres avant de se défaire de mon étreinte en se dirigeant vers le panier.

« Fini ? » Lui dis-je, en la regardant.

Elle rit.

« On a toute la journée, Gabriel et il fait si beau ! De plus, à ton âge, faut ventiler si tu ne veux pas trop temballer ! Dit-elle, en fixant la bosse de mon short !

.. Viens, aide-moi, on va mettre la nappe ! »

Sentant lamour de maman dans son regard, je me penche vers elle en lui rendant son rapide baiser.

« Ça va être une journée formidable ! » Dit-elle, en saisissant ma main.

Debout devant elle, Maman, genoux au sol, est penchée dans le panier.

Je regarde ses superbes mollets dans ses bas de nylon blanc, ses jolis pieds et, surtout, ce cul de rêve, réalisant que jaurais, peut-être, parmi tout le monde, lultime grâce de me retrouver nu entre ses cuisses.

Après le dîner, déjà étendu sur mon dos, maman sinstalle le long de mon corps en déposant sa main sur mon torse.

Elle dépose gentiment un petit baiser au coin de mes lèvres, puis un autre sur ma joue avant de sapprocher de mon oreille quelle embrasse tendrement.

Je ferme les yeux, quand je sens sa langue mouillée pénétrer mon oreille en fouillant chaque recoin et tentant dentrer le plus profondément quelle peut.

Son insistante caresse, provoque aussitôt une érection et je sens mon excitation monter rapidement à limaginer faire.

Subitement, elle se relève et regarde la bosse dans mon short en riant.

« Si facile à ton âge ! » Dit-elle avec moquerie.

Elle se laisse tomber sur le dos en tirant ma taille :

« Viens ! »

Je métends tout près delle lorsquelle saisit ma nuque en mattirant vers sa bouche.

Maman ne fait plus que membrasser, elle mange mes lèvres des siennes !

Dans notre étreinte, le temps semble maintenant arrêter et le monde, pour moi, se réduit à sa bouche voluptueuse.

Je sens son souffle saccélérer légèrement, puis comme dans un rêve, je sens sa langue pénétrer doucement entre mes lèvres, annonçant son éminente arrivée.

Comme on ouvre un portail, jentrouvre alors la bouche en signe de bienvenue jéjacule presque dans mon short en sentant la langue de maman pénétrer ma bouche.

Doucement, je glisse ma langue sur la sienne en la caressant.

Maman pousse alors un gémissement profond et me rend ma caresse de sa langue.

Jai du mal à croire que maman membrasse ainsi, alors que je déguste le léger goût de sa salive.

Depuis son intrusion, le souffle, venant de son nez, est de plus en plus saccadé et des gémissements constants témoignent du plaisir quelle a.

Sa main descend sur ma hanche quelle tire vers les siennes, me montrant quelle veut que mon corps sinstalle sur le sien.

Tout en lembrassant, je relève mes hanches et minstalle entre ses cuisses quelle entrouvre pour me laisser la place.

Son souffle augmente encore quand, finalement, je glisse ma langue dans sa bouche et je sens maintenant son bassin pousser contre mon pénis érigé.

Sa langue se donne à la mienne en de multiples accolades, ses gémissements accompagnant maintenant ses coups de bassin un peu plus prononcés.

Soudain, je sens ses cuisses sentrouvrir et elle passe ses pieds derrière mes genoux.

Je réalise, quelle nest plus là et que bien que nous soyons dans un parc public en plein jour, bondé de passants, détudiants et damoureux, elle a perdu la notion de réserve quimpose ce lieu.

Me laissant tomber à coté delle pour mettre fin à létreinte.

Elle se tourne vers moi en blottissant son visage dans le creux de mon cou.

« Cétait trop bon, Gabriel ! Dit-elle en chuchotant dans mon oreille.

.. Jen avais tellement envie, mais je ne pensais pas que ça mexciterait autant de tembrasser comme ça !

..Jen ai tellement rêvé !

Ah oui ? Dis-je.

Oui ! »

Prenant un grand souffle, elle me dit tout bas à loreille :

« Je peux te faire une confidence osée ?

Oui ! Jimagine ! Faisant référence à ce qui vient de se passer.

Je me suis caressée souvent en pensant faire ça avec toi !

Cest vrai ?

Mm mm ! Répond-elle, sur un ton coquin.

Tes toujours intense comme ça ?

Disons que là, je me suis surpassée !

.. Merci de mavoir arrêtée, Gabriel !

Si facile à ton âge ! » Lui renvoie-je sa réplique, pendant quelle me frappe dun coup de poing amical dans les côtes.

Elle relève discrètement la tête pour regarder autour, son regard sarrêtant sur deux vieils hommes assis sur le banc de parc, à dix mètres de nous.

« Ils étaient aux premières loges ! » Dit-elle, en constatant quils nous regardent.

Se tournant sur le ventre, elle les dévisage quelques instants, les forçant par son insistance, à lever le camp et à partir.

« Bon débarras, vieux cochons ! » Dit-elle sans conviction.

Se rasseyant en regardant autour, elle me surprend en levant rapidement les côtés de sa robe et en retirant ses Dims en un éclair.

Elle les cache rapidement dans le panier de pique nique.

« Tu sais que tas des sacrées belles jambes, maman ?

Tu trouves ? Dit-elle, en remontant sa robe au haut des cuisses pour me les exposer.

Oui ! Jaimerais bien les explorer en détails ! Dis-je, en déposant ma main sur sa cuisse pour mesurer la douceur de sa peau.

Hé hé ! Jeune homme ! On a rien décidé ensemble ! » Dit-elle, en claquant ma main qui caresse sa cuisse et en repoussant sa robe sur ses jambes.

Puis, elle part à rire et me tire à nouveau vers elle en se laissant tomber sur le dos.

« Embrasse-moi encore ! » Dit-elle, à voix basse, pendant que je me penche sur son corps de nouveau.

Cette fois, je ne glisse quune jambe entre les siennes et du coup, je me délecte de cette nouvelle sensation de sa peau sur la mienne.

Appréciant aussi la sensation, elle me dit :

« Imagine nos deux corps nus, lun contre lautre ! »

Puis elle plaque ses lèvres sur les miennes et de nouveau nos langues se retrouvent encore dans un ballet damour.

Je bouge doucement la cuisse sur son pubis pour la caresser subtilement au travers de sa robe.

Maman apprécie la manuvre et ouvre doucement ses cuisses en écartant le genou de sa jambe libre.

Nos mouvements subtils, sont plus difficilement détectables pour déventuels passants.

Ma main libre caresse son corps en résistant à lultime envie de caresser sa poitrine.

Je descends cependant ma main sur son bassin, puis sur le haut de sa cuisse, espérant pouvoir toucher à la peau de sa cuisse.

Maman semballe aussi un peu et elle rattrape ma main fureteuse en glissant ses doigts entre les miens.

« Viens Gabriel ! Je nen peux plus ! Rentrons ! » Me dit-elle, avec empressement.

Je devine par notre état, que rendus à la maison, nous allons nous embraser sans retenues, sans questionnements et, surtout, sans délais.

Maman ramasse efficacement la nappe et la fout carrément sans la plier en me tirant par la main.

« Viens ! »

Nous marchons dun pas précipité sur le chemin du retour jusquà ce que la maison apparaisse au loin.

« Merde ! Dit maman, contrariée.

Quest-ce quil y a maman ?

Ton père est à la maison ! Il a dû rentrer plus tôt pour quelques raisons ! »

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