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Le voleur de chocolat – Chapitre 1




Il est 16h, Clarisse vient de partir sur son vélo pour rejoindre son amie Loriana à la piscine. Les jumeaux sont avec mon ex-mari en randonnée, les filles ne voulant pas venir. Quant à ma belle-fille Rose et mon aîné Fabien, ils sont à l’île d’Oléronn, chez les parents de Rosen, pour une semaine. Élise, la petite dernière, vient de partir chez sa copine Léna pour une soirée pyjama. Me voilà seule à la maison avec mon époux. Marie finit de ranger ses courses dans le placard et décide de prendre un carré de chocolat. Et là ! Ho surprise, sur les trois tablettes maxi achetées il y a une semaine, il ne reste plus qu’une entamée.

Il est vrai qu’Élise aime le chocolat au lait, mais passer deux grandes tablettes, non. Le constat est vite fait, il y a un voleur de chocolat. Agacée, elle bâcle son rangement. Vu la chaleur, elle va boire un verre d’eau gazeuse et monte à l’étage rejoindre Max allongé sur le lit, torse nu, en train de lire. Elle rentre dans la chambre légèrement sombre. Les volets sont en tuiles, la fenêtre est ouverte, un léger vent fait bouger les voilages du baldaquin.

Alors que Marie reste à l’entrée de la chambre, elle peut à loisir admirer son Viking nordique. Sa main droite est derrière son cou pour soutenir sa tête, dans la gauche, son livre ! Pour 52 ans, Maxime est toujours aussi magnifique qu’au premier jour où elle l’a vu sur le quai. Toute à ses pensées, Marie ne remarque pas qu’il a légèrement bougé la tête et la regarde également.

Dans la pénombre dans laquelle il se trouve, Max peut à loisir regarder sa femme. Le vent fait légèrement danser sa robe empire en voile autour de ses genoux. Il devine sa poitrine généreuse amoureusement moulée par le tissu. Le contre-jour dans lequel elle est et la légèreté du tissu lui permettent de voir le dessin de ses jambes diaphanes jusqu’au début de ses hanches rondes à souhait. Ses longs cheveux bruns virevoltent autour de son visage.

S’apercevant qu’il la regarde, Marie s’avance vers le lit, toute troublée comme à chaque fois qu’il s’amuse à l’observer tel un lion prêt à se jeter sur sa proie, elle se sent vulnérable, mais avec également, une pointe de désir de se faire prendre dans ses bras vigoureux et complètement prête à jouer la proie s’il lui en venait le désir. Mais là, ce sera elle la lionne et lui la proie.

Dis-moi ! Est-ce que c’est toi qui as mangé une des tablettes de chocolat au lait ? dit-elle d’une voix assez ferme.

Non ! dit-il avec un léger sourire.

C’est bien quelqu’un, il me semble !

Certes, je suis d’accord avec toi, mais demande aux enfants !

Ils sont pas là, mais à mon avis, je pense savoir qui sait ! lui répond-elle, en se rapprochant du lit et tout en se penchant au-dessus de lui.

Hummm ! Ah bon ? Dis-moi ? dit Max en lâchant son livre avec un large sourire aux lèvres.

Rêve pas ! lui lance-t-elle en se redressant brusquement.

Max, surpris de sa réaction, la regarde faire le tour du lit à baldaquin pour ouvrir un tiroir de la commode et en tirer deux foulards.

Petite coquine ! Je te préviens, je ne suis pas un homme facile !

Mais j’espère bien ! On va voir jusqu’où va aller ta résistance, lui lance-t-elle avec un sourire diabolique.

Marie retourne vers le lit et se met à attacher les poignets de son mari aux montants du lit. Max est toujours à l’aise, car il pense qu’elle va faire semblant de le torturer pour ensuite lui faire l’amour ! Pensée un peu confirmée par le fait qu’elle vient de lui retirer son short et son boxer et se retrouve nu comme à la naissance ! Mais… cette certitude s’ébranle quand Marie se met à lui attacher les chevilles également.

Tu as décidé d’innover ?

Non ! lui dit-elle en reculant et en observant la scène sous ses yeux !

C’est parfait ! lance-t-elle en sortant de la chambre.

Max, interloqué et ne comprenant plus grand-chose, voit sa femme se retourner et quitter la chambre sans plus d’actions. Son érection, due à l’excitation du moment, retombe aussi vite !

Marie !!! MARIE !!! hurle Max ! REVIENS ! ME LAISSE PAS AINSI !

Mais Marie, le sourire aux lèvres, le laissa s’époumoner un peu, et pendant ce temps, fait un peu de rangement dans la chambre d’Élise

Au bout de 15 minutes, elle décide de revenir dans la chambre. Elle entre ! Elle a une main dans son dos !

Marie, détache-moi ! C’est pas amusant !

Humm ! Un grand gaillard comme toi a peur de ce qu’un petit bout de bonne femme comme moi peut te faire ? lui dit-elle d’un ton suave tout en s’avançant vers le lit.

Justement, là ! Tu ne m’inspires pas !

Pourtant, tout ce que je vais te faire, ce sera pas amour pour toi !!!

Tout ! Tout ce que tu vas me faire ???? Détache-moi !!

Non ! Place aux jeux !! dit-elle, en sortant sa main de derrière son dos.

Elle pose un bol dans lequel se trouvent des glaçons ! Marie s’assoit sur le bord du lit et prend un glaçon qu’elle dépose sur son nombril et commence doucement à descendre vers son pubis. Max se tortille. Le chaud de son corps avec le froid du glaçon et la petite brise qui passe par la fenêtre lui donnent plein de frissons. C’est à la fois agréable et pas du tout. Elle se délecte de le voir gigoter comme un ver.

Avec une grande lenteur, Marie s’amuse à ce jeu plusieurs fois de suite. Elle passe autour et sur ces tétons qui pointent fièrement, le long de son torse. Elle joue avec le lobe de son oreille et descend le long de son cou. Elle remonte aussi par l’intérieur de sa jambe jusqu’à l’aine, se faufile sous les bourses pour taquiner la veine cet endroit qui va jusqu’à l’anus. Elle n’oublie pas ses bourses dont la peau se crispe de suite, décalotte le gland pour que lui aussi ait la même punition !

Max gémit, même si le froid est un peu désagréable, il doit bien avouer qu’il prend du plaisir dans cette torture. Mais toute chose a une fin et notamment, le fait que les glaçons fondent vite et surtout l’été ! Son bol vide, Marie se lève et sort de la chambre laissant son mari toujours attaché, avec le corps nu et ruisselant !

Ha non ! Tu ne vas pas recommencer ! Ne me laisse pas ainsi !! Marie !!

Mais encore une fois, elle file sans se retourner. Alors qu’elle descend l’escalier, elle l’entend se débattre dans le lit et proférer quelques jurons. Et sans aucune honte ou culpabilité, Marie savoure ces instants.

Alors qu’une dizaine de minutes se sont écoulées, elle revient dans la chambre avec cette fois, une belle grande plume et se met à l’utiliser de la même façon que les glaçons, elle joue avec son épiderme. Marie aime se sentir puissante devant lui, elle, petit bout de femme 1m59, lui, un grand costaud 1m78, et prend plaisir à le voir ainsi à sa merci totale. Après quelques minutes de ce nouveau jeu, elle se lève et ressort. Cette fois, Max ne dit rien, car il sait qu’elle va revenir, et qu’il est vain ! Patiemment, il prend son mal en patience. Il se dit ainsi qu’elle va revenir plus vite et compte bien la provoquer en feignant l’indifférence.

Marie est un peu déçue de sa réaction et se met à réfléchir de ce qu’elle va pouvoir lui faire pour à nouveau amener chez lui une réaction de détresse. Assise sur la terrasse à l’abri du soleil d’été, elle pense et puis l’éclair de génie, alors qu’elle boit un verre d’eau glacée.

Elle va dans la cuisine, sort un grand verre, le remplit de glaçons et rajoute de l’eau. Puis elle attend que le verre se mette à ruisseler avant de remonter le voir. Marie sourit intérieurement sur ce qui va suivre pendant qu’elle remonte doucement à l’étage.

Max, impassible sur le lit, attend sa nouvelle torture et fut surpris de voir Marie avec un simple verre d’eau à la main rempli de glaçons. Elle avait déjà fait le jeu des glaçons et se montre assez dubitative, encore plus devant le sourire qu’elle arbore alors qu’elle s’avance féline. Elle pose le verre sur la table de nuit et se penche vers lui.

Délicatement, elle se met à effleurer le corps de Max avec sa bouche en déposant de temps à autre le plus léger des baisers.

Max apprécie, car très vite, sa verge prend de l’ampleur et se redresse fièrement ! Il se dit que c’est gagné et qu’elle va enfin le libérer de tout cela et qu’il allait pouvoir ainsi, lui rendre la monnaie de sa pièce. Mais loin d’émouvoir Marie, elle continue de lui déposer de temps à autre des baisers tout en descendant vers son pubis. Avec ses lèvres, elle frôle le gland tout gonflé de Max qui, dans un mouvement de bassin, essaye de pénétrer sa bouche, mais ce n’est pas prévu pour le moment, et elle continue sa balade au grand dam de Max.

Elle s’amuse avec ses bourses afin de continuer à provoquer son désir et à faire monter son excitation. Puis de bout en blanc, elle se redresse et prend le verre d’eau bien froide et boit quelques gorgées. Après s’être désaltérée, elle gobe son pieu dressé d’une seule traite. Max pousse un cri de surprise.

Elle s’amuse ainsi à le maintenir dans sa bouche un instant jusqu’à ce que la température remonte, avant de reboire un peu d’eau pour infliger la même punition à ses bourses, arrachant à nouveau un cri à son mari. Elle est finalement ravie de la réaction et s’empresse de continuer d’alterner moments tendres et intenses avec des baisers et des caresses légères et des moments plus intenses, mais glacials. Cela dure le temps du verre et puis Marie repart une nouvelle fois. Max ne peut s’empêcher cette fois de crier.

MARIE ! Non ! S’il te plaît ! Pas maintenant ! Suis chaud là !

Derrière la porte, elle sourit et à du mal à se retenir de rire ! Son petit manège a porté ses fruits ! Contente d’elle, elle retourne sur la terrasse, s’allonge dans le transat et prend son crochet pour continuer sa couverture.

Max est furieux contre lui-même d’avoir pensé et cru que Marie était venue comme ça sans une idée derrière la tête, et encore plus, d’avoir osé le laisser dans cet état ! Il se promet qu’une fois que tout cela soit fini, il allait se venger.

Alors qu’il vient de finir sa pensée, Marie pénètre dans la chambre et se dirige d’un pas décidé vers le lit. A la main, elle tient une écharpe en tissu et après lui avoir ôté ses lunettes, lui bande les yeux. Et elle sort aussi vite qu’elle est venue ! Max est un peu perdu devant cette évolution du jeu et avec quelle rapidité elle a agi, le laissant bouche bée sur le coup !

Marie ? Marie ? Tu es là ? MARIE ! hurle-t-il !! Et c’est le souffle du vent qui lui répond. Mais !

En vérité, elle n’a pas quitté la chambre et admire – assise dans le petit fauteuil – son mari allongé sur le lit, attaché et à sa merci totale, maintenant qu’il est aveugle, ses sens vont encore plus réagir. Marie se lève doucement et se dirige vers le lit. Elle sent dans sa culotte en coton blanc, une légère humidité se former.

Cette fois, elle se penche vers sa bouche, et avec ses lèvres, effleurent les siennes. Max sourit et entrouvre sa bouche. Marie dépose un baiser sur sa lèvre du bas, tendre et délicate comme un pétale. Puis un deuxième, un troisième. Max veut plus et essaye de l’embrasser carrément, mais Marie reste sur ses petits baisers ! Elle veut y aller progressivement, car elle veut faire durer son plaisir à elle ! Malgré cette chaleur qu’elle commence à ressentir au fond de son ventre et au creux de ces reins.

Après quelques minutes de cette douce torture, c’est dans une pluie de baisers légers qu’elle descend le long de son cou, puis arrive à ses tétons. Elle les lèche, les titille, les pince légèrement. Max se tortille, se tend de plaisir. Il gémit ! Il aime ce qu’elle lui fait ! Il sent que la fin est proche et cela l’excite encore plus. Des millions de décharges parcourent son dos et font croître encore plus son envie de lui faire l’amour. Elle remarque que ses muscles se crispent, que sa verge commence à couler de désir.

Sans préambule, elle se lève et sort de la chambre ! Max est au désarroi le plus total. Elle se penche à son oreille gauche et lui murmure !

Pas encore mon amour ! Lui dépose un baiser sur le front et quitte la pièce.

MARIE ! MARIE ! CE N’EST PLUS AMUSANT ! REVIENS ! Sa voix exprime clairement sa frustration et sa colère, mais cela ne suffit pas à Marie pour arrêter son jeu. Toutefois, elle doit admettre qu’heureusement que les enfants ne sont pas là, car avec sa voix tonitruante, ils se seraient posé des questions sur ce qui peut bien se passer dans cette chambre.

Tout à coup, la sonnette retentit ! Très vite, elle descend les escaliers et répond. C’est Clarisse qui est rentrée de la piscine. C’est là que Marie découvre qu’il est 18h.

Maman ! Est-ce que je peux aller chez Loriana ce soir ? Sa mère est d’accord !

Heu oui ! Bien sûr ! Il n’y a pas de soucis ! répond Marie, soulagée !

Super ! Merci maman ! Je t’adore ! Je vais chercher mes affaires et je file ! Max est là ? Que je lui dise au revoir ? dit-elle en montant l’escalier.

Heu non ! Il est sorti se balader !

Ha OK ! Pas grave ! Me dépêche !

Oui oui ! N’oublie pas de mettre ton maillot à laver ?

Oui maman !

Très vite, Clarisse réapparaît dans l’escalier qu’elle dévale à une vitesse fulgurante.

Tu as tout ?

Oui ! Suis prête ! Merci maman ! Je t’aime ! A demain !

A demain ! Amusez-vous bien !

Marie regarde partir sa fille avec la copine et la mère. Une fois le portail de la cour refermé, elle réalise que la voilà seule avec son mari dans la maison. Cela faisait bien longtemps que ce n’était pas arrivé.

Elle rentre, ferme la porte d’entrée, monte à l’étage et se dirige vers la salle de bain en prenant soin de faire assez de bruit pour que Max entende et s’interroge sur ce qu’elle pouvait bien faire.

Max croit que Marie fait pipi, tire la chasse, se lave les mains ! Il s’interroge sur la suite des événements maintenant que les voilà seuls dans la maison. Il a tout entendu puisque la fenêtre est ouverte, et avait craint à un moment que Clarisse ne se souvienne pas qu’il était dans la chambre et ne rentre. Mais heureusement, Marie a détourné le problème et la gamine – trop heureuse d’aller chez sa copine – n’a pas cherché plus loin.

La porte de la chambre s’ouvre ! Marie rentre ! Elle s’approche du lit ! Lui dépose un baiser sur la bouche ! Très vite, Max bande ! Il la sent se redresser, et entend un bruissement de tissu ! Que fait-elle ? De nouveau, il sent le lit s’enfoncer, mais cette fois, plus lourdement ! Il sent le long de son torse un morceau de peau le frôler.

Marie ?

Chut ! Laisse-toi faire et profite ! lui chuchote-t-elle au creux de son oreille.

Tout à son interrogation, alors qu’il pense qu’elle va enfin lui donner ce qu’il attend, il sent qu’elle se positionne vers le haut de son corps ! C’est à ce moment-là que ces lèvres rentrent en contact avec un morceau de peau tout doux, chaud et légèrement humide ! Et là ! Il comprend ! Sans l’ombre d’une hésitation, il sort sa langue et se met à lécher ! Et son instinct avait eu raison.

Marie vient de s’asseoir sur son visage ! Ses cuisses lui entourent le visage, son nez est à proximité de son mont ! Elle lui offre son intimité ! Et c’est avec douceur que Max entame son travail. Il donne de légers coups de langue sur sa grande et petite lèvre. Elles réagissent de suite, comme Marie d’ailleurs, qui gémit et ondule légèrement le bassin. Elle sent le feu du désir doucement s’intensifier au fur et à mesure que Max joue avec son nénuphar.

Max utilise sa langue de temps en temps comme un doigt ou un gode pour s’introduire dans sa caverne de laquelle s’écoule un ruisseau tiède et sucré qu’il récupère avec gourmandise et se met à lui manger la minette de plus en plus férocement, Marie gémit de plus en plus fort. Il la sent onduler au-dessous de lui de plus en plus rapidement. Il aime lui bouffer la chatte, ce nest pas nouveau, mais le cadre dans lequel il le fait aujourd’hui, augmente son désir pour elle.

Marie a de plus en plus de mal à se retenir de jouir. Un déferlement électrique le long de sa colonne l’a fait frissonner de désir. Il est doué et elle aime ça ! La bretelle de sa robe descend le long de son épaule. Un sein commence à se dévoiler au fur et à mesure que le tissu glisse, mais se retrouve stoppé par le téton fièrement dressé par le désir. Marie prend appui sur la tête de lit, le tissu finit par tomber complètement mettant à nu ses seins lourds et ronds ! Elle a chaud. Le plaisir se fait intense, la brise qui rentre dans la chambre lui caresse le dos ! Elle sait qu’elle va jouir, elle n’en peut plus. C’est un brasier tout entier qui la possède à cet instant.

Il la sent prête à exploser ! Il accélère ces coups de langue, se décide à s’occuper de son ptit bouton tout gonflé et devenu hypersensible de par ce plaisir grandissant que Max se délecte de provoquer. Il joue avec, l’aspire, le titille ! Il sent ses cuisses se resserrer autour de son visage, ses ondulations de bassin sont plus saccadées. Elle va jouir, il le sait, sa cyprine coule à flots de sa caverne qui se met à se contracter, elle coule également le long du menton de son Viking. Il aime quand elle est dans tout ses états. Puis…..

Un cri retentit dans la chambre ! Marie vient de se tendre d’un coup ! Son corps entier est pris de soubresauts et de tremblement ! Jamais elle n’avait joui aussi intensément avant, même si Max est doué, mais aujourd’hui…

Marie, les mains crispées sur le bois de la tête de lit, reprend un peu ces esprits, elle remonte sa bretelle, se passe la main dans les cheveux. Max la sent se relever, mais au lieu de s’occuper de lui, comme il croit, elle redescend du lit, l’embrasse à pleine bouche et sort afin de finir de se remettre de ses émotions en espérant que ses jambes ne flanchent pas d’ici la porte. Elle sent la cyprine lui couler le long de ses cuisses, et sa caverne lui faire légèrement mal, signe qu’elle en veut plus ! Mais ce nest pas tout de suite ! Elle veut rester maîtresse de l’instant et se dirige vers la salle de bain pour se rafraîchir.

Dans le miroir, elle aperçoit son reflet ! Ses pupilles sont complètement dilatées, sa bouche est légèrement plus rouge et pulpeuse et ses joues sont rouges. N’importe quel imbécile qui la voyait à cet instant aurait compris ce qui venait de se passer. Elle ouvre le robinet d’eau, remonte sa robe jusqu’à la taille, prend un gant et lave assez succinctement l’excédant de cyprine, ce qui lui permet de calmer le feu qui couve en elle. Le froid de l’eau au contact brûlant de son nénuphar lui provoque un gémissement de plaisir. Une fois fini, elle redescend un petit moment.

MARIE ! C’EST VRAIMENT PLUS AMUSANT LA ! J’AI TROP ENVIE DE TOI ! MARIE !!!!

Ses hurlements deviennent des murmures de supplication. Au loin, il entend Marie gémir dans la salle de bain ! Qu’est-ce qu’elle a bien pu faire ? Il l’entend passer devant la porte et descendre.

Marie ?

Mais elle ne répond pas. Max ne débande plus ! Il est dans un tel état de désir et d’excitation qu’il reste dressé. Il a tellement envie de la posséder. Il sent la brise se rafraîchir un peu sur son corps bouillant. Il se dit que le soir doit arriver.

Entre temps, Marie revient dans la chambre, mais il ne s’en aperçoit pas. Elle doit admettre qu’elle a trop envie de sa tige fièrement dressée qui est devant elle. Elle oublie tout ce qu’elle voulait lui faire. L’envie est trop importante pour elle aussi. Elle fait glisser les bretelles et sa robe tombe à ses pieds. Entièrement nue, elle avance vers le lit. Malgré ses cinq enfants, elle a su garder un corps harmonieux. Et comme Max n’aime pas non plus les sacs d’os, le léger surpoids de Marie était loin de lui déplaire.

Le lit bouge. Max sent une présence. C’est elle ! Il le sait, son corps réagit ! Sa peau est frôlée par une autre peau. Alors qu’il veut parler, il est stoppé par une bouche qui se pose sur la sienne. Le baiser est doux délicat. Les lèvres s’ouvrent et les langues se mettent à jouer ensemble. Le baiser doux devient plus passionné, plus intense.

Les lourds seins de Marie s’écrasent contre son torse velu. L’une de ses mains lui caresse l’épaule tandis qu’il sent l’autre enserrer son sexe. Entre temps, Marie enfourche son bassin.

Alors qu’elle continue à l’embrasser, que d’une main, elle prend appui sur son épaule, elle dirige sa belle verge vers sa caverne bouillante. Un léger feulement sort de la bouche de Marie quand elle sent le gland de son Viking toucher ses lèvres, les écarter pour se glisser doucement dans son antre.

Max est aux anges ! Il sent doucement le vagin de Marie engloutir millimètre par millimètre son sexe brûlant de passion. De légers frissons parcourent les deux corps quand enfin, ils se retrouvent soudés l’un à l’autre. Leurs bouches se détachent, Marie se redresse et commence des petits mouvements de bassin. Droit et empalé, son corps se met à onduler, faisant échapper de petits sons de plaisir.

Max donne des coups secs de bassin vers le haut afin d’accentuer les sensations et le plaisir. Il aime et imagine même s’il ne voit pas Marie qui danse sur sa tige, ses hanches rondes qu’il aime tant tenir dans ses larges mains, ses seins lourds, mais fièrement dressés qui sautent doucement et dont il adore caresser, mordiller les tétons. Tout cela fait encore plus monter son excitation.

Dans le silence de la maison, la mélodie des souffles des deux amants se fait entendre. Marie accélère ses va-et-vient, raccourcit son amplitude de mouvements. Max se tend et se crispe. Elle sent son gland palpiter au fond d’elle. Un dernier mouvement et l’explosion des sens est là ! A l’unisson, ils expriment leurs émotions dans un cri de plaisir. Elle le sent se répandre en elle et elle aime ça ! Toujours empalée sur la chiffe de son mari, Marie reprend un peu ses esprits.

Doucement, elle se relève et laisse ressortir son amant de son antre. Un filet de cyprine et de sperme mélangé les réunissent encore, mais elle n’en a que faire. Elle prend appui sur son large torse et lui ôte son bandeau. Du revers de la main, elle lui caresse sa joue et approche son visage du sien. Et l’embrasse avec douceur. Toujours à califourchon sur sa monture, Marie détacha les mains de son mari.

Celui-ci, sans l’ombre d’une hésitation, emprisonna le visage de Marie dans une main et de l’autre, il enserra sa taille pour la maintenir contre lui alors qu’il se redresse dans le lit. Une fois en position assise, il libère ses chevilles. Enfin libre, il laisse éclater sa passion.

Alors que la nuit commence à envelopper les amants, Max dévore Marie de baisers sur tout son corps. Ces heures passées à sa merci lui ont donné une furieuse envie de lui faire l’amour avec force et passion. L’une de ses mains emprisonne un de ses seins, le malaxe. Il joue du bout du doigt avec son téton. Elle se cambre et soupire de délice. Puis, il aspire son téton délicatement dans sa bouche chaude et le mordille et lèche avec délectation tout en faisant de petites pressions sur le sein.

Sous l’effet de cette caresse, elle ondule légèrement, comme une chatte allongée au soleil ! Max ressent le frottement de son corps contre le sien et fait remonter très vite son érection naissante. Il accentue le poids de son corps contre le sien pour le maintenir sous elle et continue à exercer son pouvoir. Mais Marie se soumet à lui sans l’ombre d’une hésitation.

Max presse son bassin contre le sien, Marie s’ouvre à lui. Il se love entre ses cuisses rondes prêtes à le recevoir. Il sent la cyprine couler le long de ses bourses bien dures et bien pleines. Un léger frisson lui parcourt le dos entre le brûlant de ses bourses et de sa douce fraîcheur. Sa tige bien dure s’introduit très facilement dans sa caverne tout humide et brûlante. Marie pousse un miaulement de plaisir, se cambre pour mieux le recevoir au plus profond de son être.

Elle aime sentir sa lance en elle, prête à éteindre le feu qui la consume. Sans pour avoir des proportions disproportionnées, il avait été moulé pour elle, car chaque partielle de sa grotte est remplie que de lui. Il prend toute la place. Chaque morceau de peau est en contact avec lui. Il resserre son corps contre le sien et tel un volcan endormi, leurs âmes s’embrasent et la lave se met à couler dans leurs veines. Complètement prisonnière de ces bras, totalement envoûtée, elle se laisse emporter vers les sommets de la passion.

Max dessine et redessine du bout de ses doigts le corps de Marie. Ses baisers sont comme des morsures brûlantes de désir.

La fièvre qui les anime, à chaque assaut de Max, les emporte encore un peu plus vers un monde irréel. Sa puissance et sa force rassurent Marie qui se livre à lui sans honte. Elle se sent plus que jamais femme. Elle relève doucement ses jambes jusqu’à sa taille. Il en profite pour saisir d’une main sa cuisse charnue pour la claquer encore plus près de sa hanche comme pour l’intégrer à son propre corps.

Les souffles sont haletants, les regards intenses. La danse se fait de plus rapide, malgré le fait qu’il désire faire durer le plaisir, mais il ne peut tenir. Lui faire l’amour est tellement bon et elle a tellement bien su le provoquer durant l’après-midi qu’il a du mal à se retenir.

Elle remarque son changement de cadence et aime ça ! Les va-et-vient deviennent des coups secs au fond d’elle. Ils sont puissants, ils tapent sur son col, lui arrachant des petits cris. Marie se cambre encore plus, il se relève un peu, la prend par la taille pour la soutenir, se penche et déverse une pluie de baisers de son nombril jusqu’au milieu de ses seins. Les épaules de Marie reposent sur le lit. Elle bouge la tête de droite à gauche. Sa respiration est de plus intense. Il sent son cur battre la chamade.

Il accélère encore, et encore, chaque coup la submerge, telle une vague, elle le veut encore plus en elle ! Elle le veut totalement. Marie, dans un mouvement de bassin, oblige Max à un changement brutal de position. Elle remonte ses jambes pour que le creux de ses genoux prenne appui sur les épaules musclées de son Viking. Il sourit et comprend la stratégie.

Il lui prend les hanches dans ses larges mains, et maintient ainsi Marie au plus près de lui, se penche légèrement, et recommence à ses mouvements. Marie crie de plaisir ! Ça y est ! Il fait céder et passe le col de l’utérus. Son gland gonflé se retrouve en parti pris dans le col, alors que le gland est dans son utérus, provoquant une petite pression faisant augmenter le plaisir. Il se met à accélérer avec vigueur. Marie s’accroche à ses avant-bras. Le lit tremble devant le puissant. Elle pousse des cris qui l’excitent encore plus.

Ho ouiiii ! Viens mon amour !!!! Donne-moi tout !!!

A ces mots, Max lui assène encore deux trois coups de boutoir et explose en plusieurs jets dans son utérus qui, sous l’effet de l’orgasme, se contracte ! Les deux amants unissent leurs jouissances en un long baiser. Ils restèrent un petit moment dans cette position afin que Max la remplisse bien, comme une chienne en chaleur. Mais elle s’en moque, elle aime quand il fait ainsi. Max étant un gros jouisseur, en tout point, elle ne peut imaginer une sensation plus agréable que celle-ci. Ressentir le pénis de son amant palpitait au fond d’elle et déverser sa précieuse semence en un flot plus que généreux.

Elle avait été et est toujours impressionnée de la puissance de ses éjaculations et de la quantité qu’il donne. Malgré son peu d’expérience masculine, elle doit admettre qu’il est largement au-dessus de la moyenne à son avis.

Max, alors qu’elle est dans ses pensées, regarde Marie. Délicatement, il se dégage de son emprise et le voilà allongé sur le côté en train de l’admirer. Ses pupilles sont dilatées par le plaisir, ses lèvres sont légèrement gonflées. Les tétons sont toujours dressés et pointent fièrement vers le ciel. Une chair de poule parcourt son corps nu. Quelques cheveux sont collés à son front par la transpiration. Du bout du doigt, il en dégage un. A cet instant, Marie tourne son visage vers le sien.

Elle lui sourit. Elle aimait et aime s’offrir à lui. Aucune de leurs joutes sexuelles n’est pareille, mais le bonheur et la jouissance du moment, si. Malgré le fait qu’ils venaient de finir de faire l’amour, Marie sent encore l’incendie qui couve dans son ventre. Son esprit imagine encore sa tige droite et ferme la pénétrer et la mener vers l’orgasme pour la remplir une nouvelle fois de sa sève nacrée.

Marie se redresse et prend appui sur son coude. Max, un peu surpris, voit tout de suite qu’elle est en manque. Elle se penche vers lui et l’embrasse avec passion. Elle l’oblige à se rallonger sur le dos. Les seins de Marie viennent s’écraser sur son torse ruisselant de transpiration. Ses mains prennent appui sur ses épaules et elle enfourche une nouvelle fois son amant qui, cette fois, est libre.

Va falloir travailler un peu la bête ! dit Max d’un ton moqueur.

Pas de souci, Marie commence à onduler son bassin contre son pubis. Doucement, ses lèvres rentrent en contact avec la verge de Max qui récupère un peu. Mais la danse fait très vite son effet. Marie le sent durcir et prendre de l’ampleur. Elle sourit de satisfaction.

Mais avant qu’il n’atteigne son volume optimal, elle s’empale sur ce pieu en devenir. Cela arrache un petit cri de la part des amants. Marie, car elle aime cette sensation d’être prise et de le sentir finir de s’épanouir en elle, attise son désir. Et Max de se sentir englouti dans cette caverne plus qu’humide d’où s’écoule le résultat de leur dernier ébat, et tout brûlant, lui donne et fait monter son désir de recommencer. Décidément, il n’a aucune chance avec elle. Elle sait provoquer son envie de lui faire l’amour. Volontairement, ou pas d’ailleurs !

Marie se met très vite à onduler afin de se positionner au mieux. Elle l’embrasse à pleine bouche, puis se redresse. Il en profite pour prendre à pleine main ses seins qui dansent avec elle, les presse, joue avec ses tétons en les pinçant entre ses doigts. Il s’en donne à cur joie, surtout après l’avoir imaginé, lorsqu’elle l’avait attaché et bandé les yeux. Ce petit traitement porte ses fruits et fait réagir Marie en amenant des petits cris. Max sait qu’il ne tiendra pas longtemps, surtout après avoir fait deux fois de suite l’amour. Marie non plus, car elle accélère déjà le rythme.

Max lâche ses seins et lui emprisonne les hanches pour la souder à lui et se cale sur son déhanché pour avancer son bassin et lui donner un effet de butoir en plus. Marie se sent partir, et rabaisse sa poitrine sur son torse, mais partiellement. Elle a ses mains sur ses épaules. Max enserre d’un bras sa taille afin de continuer son petit manège qui semble lui plaire. De son autre main, il saisit le sein le plus proche, le prend fermement et le porte à sa bouche et se met à lui sucer le téton, le mordiller.

Marie veut se dégager de son emprise des plus existantes et délicieuse, lui faisant monter le désir encore plus, mais il tient bon. Il sourit dans sa barbe. Les mouvements de bassin sont de plus en plus rapides et rapprochés. Elle sent son bourgeon frotter sur le pubis légèrement poilu de son amant, amenant un plaisir supplémentaire. Elle va jouir, elle se sait, le sent. Lui aussi, il se sent prêt à exploser et la sent se tendre.

Et c’est dans un même cri que Marie et Max expriment une nouvelle fois leur amour. Marie se laisse tomber sur le corps de Max. Elle tremble, sa respiration très saccadée, se mêle à la sienne. Pas un mot n’est échangé. Ils se laissent porter par le moment, par leurs émotions. Alors que la verge rassasiée de Max vient de sortir de la caverne de Marie en laissant s’échapper un long filet de leurs liqueurs mélangées, celle-ci se laissa glisser sur le côté. Les respirations se calment. Marie appuie sa tête au creux de l’épaule de Max qui l’enveloppe de son bras. Un soupir de bien-être sort de la bouche de Marie qui s’endort en sécurité contre son Viking.

Max dépose un baiser sur son front, prend sa petite main qui reposait sur son torse dans la sienne et ferme également les yeux. Il sera bien temps de se laver dans un moment. Il était trop épuisé et heureux pour s’en soucier.

Ce n’est que vers 23h que les deux amants épuisés, mais heureux, reprirent connaissance et pieds dans la vie. La faim traîtresse les a sortis de leurs doux songes. Ils se lèvent et regardent d’un air amusé le pauvre lit. Les draps – en partie par terre – rappellent leurs furieux ébats qui semblent réveiller ce fier soldat qui jusqu’à présent, est au repos.

Va prendre ta douche, dit Max à Marie en lui posant un doux baiser sur ses lèvres. Je mets les draps à laver et je viens te rejoindre, en lui lançant un clin d’il !

Sans attendre, Marie se dirige vers la salle de bain et commence à prendre sa douche. Max revient vite comme il a promis et avec en plus, un petit soldat au garde à vous, près au combat ! Marie sourit le rose aux joues.

Max ne peut imaginer sa vie sans elle ! Mon Dieu comme, il peut l’aimer et se dit qu’il volera plus souvent des tablettes de chocolat au lait dans le placard en se penchant pour embrasser passionnément. Marie aussi pensait la même chose en passant ses bras autour de son cou puissant et collant son corps contre le sien.

Mais ça ! C’est une autre histoire !!!!

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