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Découverte du SM – Chapitre 3




Chapitre 3

Résumé du chapitre précédent : Jai inauguré le nouveau donjon de ma maitresse et subit mes premières tortures sexuelles.

« Cest bien joli tout ça mais je ne tai pas attaché comme ça juste pour te prendre en photo. Il y a longtemps que je fantasme sur ce que je vais te faire subir. Ce nest pas dune grande perversion mais à chaque fois que jimagine te le faire, ça me fait mouiller. »

Elle alla chercher quelque chose sur la table, revint à reculons avec lobjet caché dans son dos. Elle exhiba soudain un martinet à larges lanières de cuir, en finit tourner les lanières, un sourire jusquaux oreilles.

Je poussai un soupir de soulagement. Je mattendais à pire, un engin genre cravache ou badine de bois.

« Tu y a peut-être déjà gouté quand tu étais plus jeune ? »

« Oui Maitresse Cathy, mais pas souvent et toujours sur les mollets, jamais ailleurs. »

« On commencera par-là alors ! Mais dabord, je vais te débarrasser de ces pinces, un châtiment à la fois ça suffit pour une première fois. »

Elle sapprocha de moi, me masturba légèrement et me retira les pinces des seins une par une. Il ne me restait plus que les pinces aux tétons. Elle les saisit, les fit tourner dans un sens puis dans lautre et me les arracha dun coup sec. Le retour de la circulation provoqua une douleur intense et je ne réussis à maitriser un cri quen serrant les dents et en me laissant pendre aux cordes qui attachaient mes poignets.

« Je mexcuse mon pauvre chéri, jaurais dû faire plus doucement, jessaierai dy penser la prochaine fois. » Rire de gorge.

Elle reprit le martinet et refit tournoyer les lanières avant de men donner un coup sur les mollets.

« Le petit garçon va de nouveau être puni ! Mais cette fois ci pas que sur les mollets.»

Les coups se mirent à pleuvoir sur mon ventre, mon torse. Elle visait particulièrement mes seins. Pour le moment, ça ne faisait pas vraiment mal, je trouvais même ça plutôt agréable. Cependant après une vingtaine de coups, la peau commença à me chausser sérieusement et je laissai échapper quelques gémissements de douleur et de plaisir mêlés. Petit à petit, elle délaissait mon torse et les coups de concentraient sur mon ventre et mon pubis, effleurant de plus en plus souvent ma bite. Je ne ressentais plus la douleur, chaque fois que les lanières entraient en contact avec ma peau, jy prenais plaisir. Etais-je réellement maso ou des souvenirs denfance enfouis remontaient-ils à la surface ? Je repris contact avec la souffrance au premier coup quelle mappliqua sur la bite. Déjà bien irritée par les ongles de ma maitresse, elle était devenue hyper sensible. Je donnai un violent coup de rein en avant.

« Je vois que jai touché ton point sensible. Bien ! Il mavait semblé que tu y prenais plaisir quand je te fouettais le haut. On va voir si cest toujours le cas. »

Elle reprit le fouettage de ma queue, alternant les coups plus ou moins forts, de face ou dun côté ou de lautre. Après quelques minutes de ce traitement qui me parurent dune longueur infinie, je pliai les genoux et me laissai pendre par les bras. Je navais pas lâché un cri, ne tenant pas à renouveler lexpérience de la balle de mousse, mais jétais au bout de ce que je pouvais supporter.

« Cest pas mal pour une première fois ! Et je dois dire que jy ai pris autant de plaisir que dans mes fantasmes. Tu as bien mérité une petite pause ainsi quune petite récompense. »

Elle défit mes liens et alla sassoir dans un fauteuil.

« Approche à quatre pattes le chien. »

Arrivé devant elle, elle croisa les jambes me présentant la semelle dune de ses escarpins.

« Lèche-moi ça le chien pendant que je me donne un peu de plaisir. »

Elle glissa une main entre ses cuisses serrées et commença à se masser la chatte à travers de sa combinaison en lycra. Je mappliquai de mon mieux à lécher sa semelle à grands coups de langue et je lentendais gémir de plus en plus fort. Je finissais à peine mon nettoyage quand je vis son corps se tendre, ses fesses se décoller du fauteuil avant quelle ne retombe en haletant.

« La vache ! Ça faisait longtemps que je navais pas joui comme ça. Merci mon chéri ! »

« Approche, viens sentir le résultat. »

Je mavançai entre ses jambes écartées, elle me plaqua la tête contre sa chatte et je pus en effet constater quelle était trempée. Lodeur de sa jouissance était intense et si agréable à respirer. Je me sentis prêt à subir de nouveau tout ce quelle voudrait bien me faire endurer.

Elle me repoussa la tête brutalement.

« A ta place ! On na pas fini ! »

Je retournai sous mes anneaux. « Comme spécialiste de la douche froide, elle se pose-là. »

« Couche-toi sur le dos et positionne ta bite bien entre les anneaux. »

Elle se saisit de mes couilles, fit un nud à la base avec chaque corde du plafond puis les noua au crochet du mur. Les cordes étaient tendues de telle sorte que je nai pas à me décoller du sol pour tenir la position. Cependant, elle avait serré relativement fort et mes boules étaient maintenant violacées. Elle prit les cordes en main et donna des secousses rapides. Je me demandais si elle nallait pas finir par me les arracher. Après ces agaceries, elle tira de façon prolongée si bien que je dus relever les fesses pour suivre la traction. Elle maintint la position quelques secondes et relâcha la corde brusquement. Le soulagement fut bref car de son pied elle mappuya sur le pubis et plaqua de nouveau mon cul au sol. Elle prit une photo en gros plan de mes boules violettes puis revint vers moi le martinet à la main.

« Donne-moi un nombre entre deux et dix. »

« Cinq ! » répondis-je.

« Alors tu auras droit au nombre de coups que javais prévu plus cinq ! »

« Jaurais dû dire deux. »

« Non, non ! Pour deux et trois jaurais fait la multiplication. Tu aurais dû choisir quatre. Mais tu nes pas à un près mon chéri ?!»

« Non, Maitresse Cathy »

Elle se positionna au-dessus de moi, debout jambe écartées. Après quelques moulinets en lair le premier coup sabattit sur mes couilles. Elle me demanda de compter les coups et de la remercier. Je comptai donc : « Un ! Merci Maitresse Cathy. Deux ! Merci Maitresse Cathy »

Jarrivai enfin à quinze. Je ne sentais même plus la douleur, seulement une sensation de chaleur dans tout le sexe. Elle me détacha et me fit mettre à genoux. Elle me demanda de prendre le manche du martinet entre mes dents et prit une nouvelle photo. Elle me fit lever et me retira le cockring.

Libre de cette contrainte, je débandai instantanément. Elle partit dun grand éclat de rire.

« Dommage que ta bandaison soit partie, tu vas en avoir besoin tout de suite. Mais comme je suis gentille je vais taider à la retrouver. »

Elle recula vers son fauteuil et retira sa combinaison de façon lascive en tortillant du cul et en se caressant le corps. Quand elle fut nue, ne gardant que ses escarpins, elle sassit dans le fauteuil, jambes grandes ouvertes et se passa langoureusement un doigt dans la fente.

Ce spectacle ne me laissa pas indifférent et mon sexe reprit bientôt une position quasi verticale sans que jaie eu besoin de me toucher.

« Branle-toi maintenant ! Et éjacule pour ta maitresse ! »

Je démarrai donc ma branlette mais ma bite était trop sensible et javais du mal à la serrer. Je concentrai donc mon va et vient sur la base du gland et finis par lâcher cinq ou six giclées qui atterrirent au sol.

« Très bien ma chienne ! Lèche-toi les doigts et enlève les cochonneries que tu as faites ! Avec la langue !»

Je me léchai les doigts, pris ma position à quatre pattes et léchai consciencieusement le sperme répandu sur le sol. Quand jeus fini, elle recroisa les jambes et me tendit la semelle de lescarpin que je navais pas encore léché.

« Finis ce que tu as commencé tout à lheure ! »

Je nettoyai donc la seconde chaussure. Probablement satisfaite du résultat, elle me repoussa et se leva.

« Cette petite séance ma mise en forme ! A toi de me faire jouir ! »

« Avec plaisir, Maitresse Cathy ! »

« Tu as besoin dun sérieux décrassage avant de me toucher ! Monte te laver, et vite ! Et noublie pas de bien rincer ta bouche qui pue le sperme! »

Je montai les escaliers quatre à quatre, pris une douche, me lavai les dents et rejoignis le donjon.

Ma maitresse avait posé les mains sur la tables de salon et me tendait son derrière, jambes écartées. Quelle vue splendide sur ses fesses, sa rondelle et sa chatte bombée.

« Ne reste pas planté comme ça, viens toccuper de moi ! Lèche moi un peu la rondelle et branle-moi ensuite avec tes doigts, jai envie de me faire défoncer le minou ! »

Je me mis donc à genoux devant sa croupe et après quelques coups de langue bien appuyés sur sa rondelle, je lui enfonçai deux doigts dans la chatte et je la branlai doucement tout dabord puis accélérai le rythme. Elle balançait les reins, venant à la rencontre de mes doigts, poussait des gémissements de plus en plus forts.

« Mets-en un troisième ! Branle bien ta maitresse ! Ouiiii ! Cest bon ! Plus vite !»

« Je vais venir ! Mets-moi un doigt dans le cul ! »

Je me léchai le majeur de la main gauche et lui enfonçai dans la rondelle. A peine avais-je fini de lintroduire quelle se redressa, serra les jambes, coinçant mes doigts dans ses orifices. Elle fut secouée dun long frisson et poussa un long Ouiiiii qui nen finissait pas. Elle se retourna, me bouscula pour se jeter dans le fauteuil, le souffle court, les abdos parcourus de spasmes.

« Brave chienne qui a bien fait jouir sa maitresse ! » me dit-elle quand elle eut retrouvé son calme.

« Une petite promenade et au lit. »

Elle attacha la laisse à mon collier et je la suivis faire le tour du jardin. Quand nous fumes arrivés à la haie, elle me fit mettre de nouveau à quatre pattes.

« La chienne va faire son petit pipi avant de rentrer ! »

Je levai une jambe pour essayer de pisser.

« Pas comme un chien, abruti, comme une chienne ! Accroupis-toi ! »

Je réussis à faire quelques gouttes puis je repris la marche en évitant soigneusement de poser les pieds dans ma pisse. Elle marrêta dun coup sec sur ma laisse.

« Une vraie chienne renifle lendroit où elle a pissé ! Il faut vraiment tout te dire ! Exécution ! »

Ce que je fis ! Nous rentrâmes, primes notre douche et nous couchèrent. Elle se blottit contre moi et me murmura à loreille : « Je suis très contente de toi. Tu as bien supporté mes tourments, tu as été bien obéissant. Cest pour ça que je taime ma petite chienne chérie. Bonne nuit mon amour ! »

« Bonne nuit Maitresse Cathy ! »

A suivre

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