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Ce garagiste, Mon Maitre – Chapitre 4




A 15h, je lattendais, entièrement nue, dans mon appartement, bien-sûr, les fenêtres étaient ouvertes, afin que les voisins ne manquent pas le spectacle.

Il sonna.

"Je vais avoir besoin dune clé de chez toi. As-tu un double ?"

"Oui, Maître !", et je le lui tendis.

"Reste à genoux et montre-moi ton cul, je vais chercher ta tenue, nous partons faire une ballade dans les bois."

Il vient avec des talons hauts de 7 cm, une mini jupe et un chemisier blanc, transparent.

Nous voilà dans sa voiture, il roula environ 1h. Une fois sortis du véhicule, nous marchâmes sur un chemin, nous enfonçant dans la forêt. Il releva ma jupe, ainsi javais les fesses à lair, puis, toujours en marchant, il ouvrit ma chemise. Javais peur que quelquun me voie.

"Chère soumise, tu aimes marquer ton corps et bien, il va être marqué. Tu as pris tant de plaisir, hier, à être, ainsi, exhibée. À genoux, lendroit est parfait. Je vais te marquer."

À genoux, à moitié nue, dans les bois. Jentendais mon Maître faire quelque chose, mais quoi ???

Après plusieurs minutes, il me plaça debout, retira mon loup. Il me mit un mord dans la bouche. Il plaça des menottes au poignet, quil accrocha à des arbres, pareil aux chevilles.

Jétais nue, bras et jambes écartelés, à la merci de mon Maître.

"Ma chère soumise, tu es à moi. Ton corps va être marqué. Ni tes larmes et tes cris ne pourront me faire stopper."

Il avait une branche très souple dans la main et le premier coup arriva sur mes fesses. La douleur fut immense, que déjà, un second, puis un troisième, 10 coups sur chaque fesse, je pensais être en sang. Il fit le tour, il fit de même sur mes seins et ma chatte.

"Te voilà bien rouge pour un petit début. Je vais te marquer sur tout le corps."

Il reprit sur mon ventre, mes jambes, avant de recommencer sur mes fesses et mes seins. Je criais de douleur, je pleurais Il vint vers moi, dun large sourire, il me prit le clito avec son pouce et les autres doigts prirent possession de ma chatte.

"Des larmes et pourtant tu mouilles, ma jeune salope."

Jétais au bord de la jouissance quand il reprit les coups… Le temps était stoppé. À chaque fois, il memportait au bord de la jouissance et à chaque fois, il reprenait les coups, jusquau moment où il me donna, enfin, ma jouissance.

"Très bien petite chienne, tu es très douée. Ton corps est magnifiquement marqué pour une partie de la semaine."

Il me rhabilla et maccompagna dans mon appartement.

"Mets-toi nue sur le lit, je vais te passer une pommade, pour atténuer la douleur."

Il mit beaucoup de soin à appliquer la pommade, sur mon corps meurtri. Il me massait avec tellement de douceur et de gentillesse. Jétais fière des marques quil avait laissées sur mon corps, fière de lui appartenir.

"Suce-moi une dernière fois et viens, demain, à 19h, au garage !"

"Oui, Maître !"

$$$$$$$$$$$

Jai très mal dormi cette nuit, la douleur des coups me rappelant ma condition de soumise.

Lundi, de suite après le travail, je pars rejoindre mon Maître dans son atelier, il me salue en membrassant goulûment et il mordonne de me mettre à poil.

Il me conduit au fond de latelier, mallonge sur un matelas posé sur le sol. Il mécarte les bras et les attache. Il me place un mord dans la bouche, puis à laide de deux chèvres, il mattache les chevilles et lève mes jambes, puis les écarte au maximum.

"Jai une vue imprenable sur ta chatte luisante et sur ton cul."

Il me place une dizaine de pinces sur les seins. Il approche avec un objet rouge, je ne tarde pas à savoir ce que cest ! Une première décharge électrique sur mon sein gauche, puis immédiatement sur mon sein droit. Quelle douleur, je me secoue pour pas que mon Maître recommence, mais, bien-sûr, si je suis attachée, cest justement pour ne pas échapper à cette arme. Il recommence à plusieurs reprises, samuse beaucoup à me voir me tordre de douleur.

"Alors, ma chienne, cest douloureux ? Tu finiras bien par apprécier."

Il pose lobjet et il met une paire de gant et commence la pénétration vaginale. Jai bien compris quil veut me mettre la main entière dans la chatte. Il entre 3, puis 4 doigts. Dès que ça coince, il me donne de nouvelles décharges électriques. Petit à petit, entre douleur de pénétration et douleur électrique, la main de mon Maître entre entièrement dans mon vagin.

"Voila une belle salope."

Je suis remplie à fond, quelle sensation !! La main de mon Maître tourne à lintérieur de moi, je sens le plaisir monter et là, je reçois de nouveau des décharges !

"Je tinterdis de prendre ton plaisir !!"

Le ton autoritaire me faire presque peur, mais je dois obéir à mon Maître. Je tente de contenir mon plaisir. Puis il retire sa main, me laissant vide. Il me retire également le mord et les pinces, puis me détache entièrement.

"Jai un coup de téléphone à passer, viens me sucer."

Nous partons donc dans son bureau. Il avait pris soin de me mettre une laisse, pour que je suive à 4 pattes, comme une bonne petite chienne que je suis.

Je prends donc la queue de mon Maître dans la bouche, toujours avec plaisir. À la fin de sa conversation, il me prend la tête entre ses puissantes mains, pour minfliger son rythme, jusquà éjaculation. Javale tout et je nettoie correctement sa bite avec ma langue.

"On y retourne !"

Je le suis comme je suis venue, à 4 pattes. Cette fois, il mattache la tête et les mains au sol, mobligeant à garder le cul en lair. Il me remet en place le mord ainsi que les pinces. Mes fesses subissent les décharges électriques. Et il tente de rentrer sa main dans mon cul. La douleur est bien plus forte que dans ma chatte. Il lubrifie, pourtant, beaucoup, mais la main ne passe pas.

"Je men doutais, ton cul nai pas encore assez souple. Je vais te mettre un plug ce soir et je ten donne un à mettre demain matin. Ainsi demain, je rentrerai."

Il me plaça donc, un gros plug dans le cul et me détacha. Le second plug me paraissait énorme.

"Mets de lhuile, s’il a du mal à rentrer. Rentre chez toi, rdv demain, ici même heure."

Et il me laissa ainsi, seule. Je me rhabillai et partis avec mon plug dans le cul et lautre dans mon sac.

Je mendormis très tard, la douleur du plug dans mon fondement, se fit de moins en moins forte. Au petit matin, je mis en place le second. Il nétait, dapparence,

pas beaucoup plus gros que celui que javais, mais une fois bien au fond de moi, je savais quune nouvelle journée de douleur anale mattendait.

Comme la nuit passée, la douleur se fit oublier. À 19h, jentre dans le garage de mon Maitre. Du fond du garage, il me cria :

"A poil, et en place, comme hier !". Chienne obéissante, je le fis.

"Très bien, tu as le plug dans ton cul. Aujourdhui encore, je ne veux pas que tu prenne de plaisir !"

"Oui, Maître !"

Il me plaçât, de nouveau, le mord et les pinces et mattacha, toujours le cul bien en lair.

Il recommença la pénétration de sa main, douloureuse, très douloureuse, mais elle finit par entrer dans mon cul, dans un grand éclat de rire de mon Maître. "Quel salope tu es. La main entière de ton Maitre dans le cul. Je vais te remplir à fond, tu va reprendre mon autre main dans ta chatte !"

Il joignit le geste à ses paroles. La seconde main força lentrée de ma chatte, je naurais jamais cru pouvoir prendre les deux mains, mais avec fermeté, délicatesse et force, il me pénétra la chatte. Le mord, dans ma bouche, mempêchait de crier ma douleur. Une main dans la chatte, lautre dans mon cul, quel bonheur dêtre possédée ainsi, quel plaisir dêtre une salope, dêtre une chienne.

"Ma salope, maintenant je sais, quavec toi, je peux faire beaucoup de choses. Mes mains dans tes entrailles, prouvent ton appartenance. Nous allons pouvoir passer à létape suivante !"

Jétais dans un état second, entre la douleur toujours présente, ses mains qui bougent en moi. Il se retira, me laissant à genoux, hébétée, vide. Il me retira les pinces et le mord, me détacha et me fit tomber sur le coté. Jétais vide de partout, mon corps ne voulant plus répondre. Mon Maître mallongea sur le dos, et il se plaça au dessus de moi, je pris sa queue en bouche et il me baisa la bouche, comme il laurait fait de mon cul. À plusieurs reprises, il me coupa la respiration, avant de me lâcher sa semence.

"Tu vas rentrer chez toi, connecte toi, demain à 18h !"

Je repartie, cul et chatte encore ouverts du traitement de mon Maître.

Mercredi, 18h, je suis nue devant mon PC.

"Ma soumise, je ne peux pas te voir ce soir, tu vas donc faire un exercice par cam. Tu va te mettre à genoux, jambes écartées, main sur les cuisses, paumes vers le haut,et tête baissée. Prends soin, avant, de mettre une pince à linge en bois sur ton clito, tes seins et ta langue. Tu restes en position, je te dirai quand tu pourras arrêter !"

Jexécutai lordre de mon maitre. Les minutes passent, puis lheure, je suis complètement endolorie, quand la voix de mon Maître se fait entendre dans le PC.

"Très bien petite chienne. Retire les pinces, retourne-toi, face contre terre et écarte bien les fesses avec tes mains, je reviens !"

Et encore de longues minutes dimmobilisation devant lécran. 30 min plus tard : "Bien ma chienne, je dois te laisser pour ce soir, demain ic,i même heure !"

Jeudi 18h. "Bonjour soumise. Jai peu de temps, tu vas me répéter 4 fois, cette phrase : Je suis Sophie, soumise de Maître D. Je lui ai laissé mon corps par contrat signé. Il a pris entièrement possession de mes trous ce mardi, en entrant ses mains dans ma chatte et mon cul, en même temps. Je nai pas dautre limite que celle que mon Maître souhaite. Je suis sa soumise, sa propriété, son plaisir, son jouet. Très bien, ma soumise, je passe te chercher, demain à 17h, à ton travail, habit obligatoire : talon, mini jupe ample, chemisier décolleté et toujours sans sous-vêtements. À demain, ma chienne !"

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