Il ne lui fallu que 3 secondes de plus pour que son short tombe à ses chevilles. 

Il me regardait bouche bée pendant que je sortais mes seins du maillot de bain, tandis qu’une petite érection sortait elle de sa toison pubienne.

Ma main commença à malaxer son petit pénis, il trépignait sur le rebord, d’excitation, à croire qu’une seule main pouvait lui faire autant d’effet.

J’allais aller plus loin quand j’entendis les parents revenir, la voiture empruntait le chemin de graviers, une bonne alarme en soit.

— "Vite, rhabille toi !"

D’abord surpris, il remonta vite son short de bain et fila à l’intérieur de la maison, moi le suivant de près. 

Le soir même, après un repas très bien arrosé et la chaleur aidant, tout le monde était un peu à l’ouest, mes parents partaient se coucher à 23h tandis que ma grand-mère était déjà monté depuis un moment se reposer.

Nous n’étions plus qu’avec Didier, qui ronflait devant la TV, beaucoup trop fort car on entendait à peine ce qu’il se passait sur ces énièmes émissions de télé-réalité du début de nuit.

Vous vous en doutez surement déjà, mais une petite idée bien perverse me traversa l’esprit à ce moment-là, me rappelant l’épisode des testicules à la piscine. 

— "Eh Antoine, rapproche toi il faut que je te dise un truc !" chuchotais-je à mon frère, qui était à l’autre bout du canapé. 

— "Quoi ?" – "Tu aimerais pas faire plaisir à grand-père ?" – "De quoi tu parles ? Il dort, tu veux lui faire plaisir comment à part le faire ronfler plus fort ?"

Je m’approcha de Didier et commença à pointer du doigt son entrejambe. 

— "Moi je te fais plaisir, tu peux aussi faire plaisir aux autres personnes non ?" – "Mais non, je peux pas, c’est papy ! Puis le plaisir c’est seulement avec les filles !" – "Tu n’es pas curieux de voir une vraie bite toi ?" – "Voir … je sais pas, mais voir c’est juste voir". 

Avec un grand sourire malicieux et sachant que grand-père dormait profondément, je glissais un petit peu son short vers le bas, pour nous laisser bouche bée devant un engin, certes flasque, mais totalement immense !

— "Wow" lacha Antoine presque choqué par la chose et ses 2 boules qui tombaient. 

— "Et bien, c’est quelque chose" dis-je en commençant à la toucher, elle était douce et bien poilue, elle mesurait au moins 12 centimètres alors qu’elle était au repos, elle était déjà plus grosse que celle d’Antoine ! 

— "Mais il va se réveiller t’es folle on avait dit qu’on regardait juste !" – "TU as dit qu’on regardait juste, moi je ne veux pas que regarder".

Il ne savait pas quoi faire en face de cette belle bite toute molle et son grand-père qui ronflait toujours autant comme si son rêve prenait une tournure très sympathique.

— "Elle est toute douce comme la tienne, ça doit être de famille" glissais-je à Antoine qui n’osait pas bouger.

Mes petites caresses sur la queue de papy avait pour effet de la faire grossir, je le sentais entre mes doigts, mais aussi je le voyais, nous le voyons visuellement parlant devant nous. 

— "On dirait qu’il n’y a pas que papy qui se sent tout dur hahaha".

Je ricanais à côté d’un Antoine rouge pivoine et son pénis qui venait bousculer le tissu de son short. 

— "Je ne comprends pas pourquoi ça me fait ça Dori !".

— "Viens la toucher toi aussi, ça aidera peut être à te faire comprendre ce qu’il se passe dans ton caleçon".

Je guidais sa main vers l’entrejambe de Didier, son membre était presque dur à 100% et commençait à mesurer dans les 18-19 centimètres, avec surtout 6 ou 7 centimètres d’épaisseur. 

Moi-même ayant pu voir pas mal d’engins, celui-là était quelque chose !

Il posa sa main avec timidité d’abord, puis ensuite avec plus d’assurance, malaxant ces testicules flasques mais toujours avec autant de discrétion, il ne fallait pas le réveiller à tout prix.

A 4 pattes sur le sol et touchant son grand-père, je baissa le short d’Antoine et commença à le branler.

— "Hmm …" – "Antoine, tu crois que si tu fais ça en face de lui, tu ne vas pas le réveiller ?" – "Je suis désolé Dori …" – "Regarde bien ce que je vais faire"

Je m’allongeais presque sur le sol pour atteindre le niveau d’Antoine, enfin surtout le niveau de sa bite. 

Ma bouche s’ouvra délicatement et mes lèvres se posèrent sur la petite tige de mon frère, qui écarquilla les yeux quand il se rendit compte qu’il était en train de profiter de sa première fellation.

J’allais d’avant en arrière, tout doucement, le laissant savourer.

Il se calquait sur le rythme de ma bouche pour branler Didier, ce qui était très drôle à voir.  

J’accelera la cadence et titilla son petit trou arrière avec mon index, malaxant l’entrée, toujours en engloutissant sa petite saucisse jusqu’au fond de ma gorge. 

— "Dori ça vient, arrête …"

Ses fesses s’ouvraient d’excitation, une vraie cochonne que j’avais envie d’enculer profondément mais malheureusement, ce n’était pas le moment. 

Mon doigt s’arrêta donc au massage de son anus, qui rendait son sexe encore plus dur que la normal.

— "Dori, s’il te plait, je n’arrive pas à tenir …"

Il réussi à articuler ces quelques mots quand plusieurs jets intenses vinrent taper le fond de ma gorge.

Une très belle quantité de semence bien chaude au fond du gosier que j’avala avec plaisir : Antoine faisait toujours attention à ce qu’il mangeait et le goût était délicieux.  

— "Oh mon dieu que c’est bon …"

Je nettoyais avec plaisir son gland et remonta son short. 

Il avait toujours la queue de Didier dans la main, qu’allait-être la suite ?

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