Quelques moments après que Bianca ait retirée ma semence de son corps, je mapprochai delle et la caressai doucement, débutant par sa ferme poitrine et son visage désormais purifié. Elle me sourit timidement et laissa tomber le drap de bain près de Cathy, qui le saisit rapidement.
Ma queue molle, qui reposait paisiblement à quelques centimètres de la bouche de Bianca, fut saisit par cette dernière. Bien que ses mouvements de lèvres fussent lents et délicats, la sensation désagréable de me faire sucer alors que mon pénis était en phase réfractaire me contraint à lui demander de lâcher prise.
Tandis que je la poussai doucement sur le sol et minstallai près delle, elle mit sa main sur une partie de mon précédent éjaculat : elle laissa échapper un cri de dédain et suite à mon excuse, se mit à ricaner légèrement, signifiant que la situation nétait pas catastrophique. Bianca me semblait être une bonne vivante et jappréciai passer ce moment de pure folie avec elle. Alors que je continuai à dorloter sa douce poitrine aux mamelons brunâtres, je mapprochai de sa bouche pour lassener de longs baisers langoureux.
Cest le moment que choisit Cathy, entièrement rhabillée, pour sortir discrètement de la pièce en refermant la porte derrière elle. Je portai mon regard aux alentours : le grand Antoine, encore en tenue dAdam, était près du lit et se tâtait la queue. Bianca sembla lui offrir un sourire et après quelques instants, retourna son visage vers le miens. Mes mains se baladaient sur son corps et en la scrutant, jeue la soudaine envie de lui stimuler encore une fois le clitoris. En mettant un doigt sur la protubérance, elle fut saisie dune courte convulsion et se mordit les lèvres. Je poursuivis en embrassant plusieurs fois chacun de ses mamelons et exécutai un long parcours, toujours parsemé de baisers, jusquà sa féminité bien humide, que je lichai doucement.
En guise de réponse, elle me saisit le dos à laide de ses jambes, me forçant à poursuivre ma lancée. Désormais prisonnier, je ne pouvais faire autre chose que de la stimuler à laide de ma langue : dès que je levais la tête, elle y posait une main pour me signifier de continuer. Ma salive se mélangeait à sa mouille et je tentais tant bien que mal de lui caresser ses mamelons dressés, question de lexciter adéquatement. De son autre main, elle parcourait vivement son corps, haletant et se laissant aller à quelques légers gémissements.
Après quelques minutes de doux plaisir, je sentis ma verge se saisir de nouveau et être prête à passer à lattaque. Cessant temporairement les stimulations clitoridiennes, je lui demandai si elle avait apporté dautres préservatifs, mais elle me répondit à la négative dun signe de tête. Voulant assaillir ma proie mais nayant pas la protection nécessaire, je fermai les yeux et me résignai à continuer mon cunnilingus bien que ma langue commençait à se fatiguer.
Dans les autres pièces, nous pouvions encore entendre les puissantes émissions de la chaine stéréo. La fête battait son plein, et requérait-t-on ma présence, mais jétais beaucoup trop occupé pour y porter une attention particulière. Soudainement, alors que Bianca gémissait ouvertement auparavant, je lentendis plutôt contenir ses plaintes, comme si elle fermait désormais la bouche.
Ouvrant mes yeux dans loptique dobtenir une réponse, japerçu la longue queue brune dAntoine fermement ancrée entre les lèvres de Bianca. Le grand gaillard reposait au sol près de la tête de la jeune femme : il ne bougeait pas et se laissait simplement sucer le gland. Je nappréciais guère que sa queue ait prit la place de la mienne dans la bouche de la douce mulâtre, mais je ne pouvais lui en vouloir puisque les lèvres onctueuses de la douce créature nous invitaient à nous laisser aller à ce genre de pulsions.
Antoine commença à gémir, signifiant que la belle lui procurait satisfaction. Sensiblement au même moment, Antoine me lança un préservatif emballé, souriant à pleines dents. Son objectif semblait plutôt clair : il désirait que lon rende à Bianca le plaisir quelle nous avait procuré et cest alors que nous entreprîmes la quête de la mener jusquà lorgasme. Tout en continuant à lécher la chatte de la jeune femme, jenfilai le condom le long de ma grosse queue et je massurai que tout était en ordre avant de relever brusquement ma tête et lui serrer la poitrine. Elle émit une plainte, et je juge, à postériori, que jy suis malheureusement allé un peu trop fort.
Après les quelques moments passés à lui serrer fermement les seins, elle retira la longue queue dAntoine de sa bouche, et me dit, en reprenant sa respiration :
— Tom, jaimerais que tu te places en-dessous de moi.
Sans me faire prier, je me couchai dos au sol alors quelle se redressa tout en commençant à branler Antoine. Examinant rapidement ma nouvelle position, elle se plaça à califourchon sur mon membre tout en me montrant le dos. Afin de conserver un certain appui, elle lâcha sa prise et déposa ses deux mains au sol, au grand dam dAntoine. Alors que je la maintenais par la taille, elle commença à sautiller sur moi, stimulant agréablement nos sexes. Pendant ce temps, lair ensorcelé, elle saisit de sa bouche la queue dAntoine qui sapprocha et se pencha légèrement, question dêtre à une hauteur plus pratique pour la jeune femme.
Je profitai de chacun de ses élans pour me reculer légèrement le bassin et ainsi être en mesure de la pénétrer plus profondément.
À laide de mouvements fermes et contrôlés de ma part, elle sembla apprécier la pénétration qui sans être agressive, savéra tout de même vigoureuse. Je me laissai longuement aller à ces gestes coordonnés entre nos corps, en oubliant pratiquement la présence du grand noir. Je récupérai mes esprits lorsque Bianca se refugia sur mon corps, délaissant la queue dAntoine et se laissant aller à une longue plainte. Je choisis ce moment précis pour la tenir par la poitrine. Continuant mon va et-vient du mieux que je le pouvais, je lembrassai sur la nuque alors que son souffle se faisait plus court et plus prononcé.
Antoine se pencha près de nous et déposa de nouveau sa queue dans la bouche de la jeune femme, qui elle, se laissait littéralement faire. Au bout de quelques secondes, je fus pris dune sensation quelque peu désagréable alors quun doigt, qui nétait pas celui de Bianca, entra en contact avec ma verge en érection. Antoine stimulait énergiquement le clitoris de la belle mulâtre, mais ce faisant, il touchait parfois à mon sexe. Comme cela plaisait considérablement à ma partenaire en extase, et que ça ne semblait pas importuner Antoine, je ny pensai pas plus longuement et continuai mon boulot alors que ma queue glissait en son sein sans aucun effort.
Les gémissements contenus de Bianca étaient de plus en plus présents avec le temps, et elle nous mentionna à plusieurs reprises de cesser nos attaques. Les claquements de mes couilles contre ses fesses sharmonisaient tellement bien aux sons provoqués par le glissement de ma queue en son milieu humide quAntoine et moi-même avons tous deux pensé quil était non seulement préférable de prolonger la durée de nos gestes, mais que nous devions aussi en augmenter lintensité.
Après plusieurs secondes de ce manège, Bianca fut saisie de nombreux spasmes et se retira rapidement de mon étreinte, sécrasant à ma droite, sur le sol. Alors que japprochai ma main de son entre-jambes, elle me saisit le bras et mindiqua un signe négatif de la tête. Je lui répondis par un sourire hésitant et dirigeai ma main vers son ventre, que je caressai doucement. Décidant sans doute que le jeu avait assez duré, Antoine positionna sa queue près du buste de la belle et se pompa hâtivement avant déjaculer une petite quantité de sperme très liquide sur le sein droit de sa cible.
Considérant que nous avions mené notre mission à terme, jeue envie dimiter le grand noir: je me plaçai donc à genoux près de Bianca et après avoir retiré mon condom trempé, entrepris de me masturber devant elle. Les mouvements que jexécutais étaient plutôt lents au départ, mais je compris rapidement que cela nallait aboutir à rien dans des délais raisonnables. En réponse, jaccélérai la cadence et Bianca simposa en saisissant ma verge en érection. Pendant un peu moins dune minute, elle manipula vigoureusement ma queue, faisant balancer mes testicules qui sentrechoquèrent à diverses reprises avec sa main. Lorsque je sentis que jallais éjaculer, je saisis promptement mon membre, le dirigeai vers son buste et laissai aller sur son petit sein gauche deux ou trois courts jets de sperme en gémissant.
Visiblement épuisée, la belle demeura sur place pendant quAntoine passait son gland dans sa semence, lui imbibant le mamelon droite. Je mapprochai et jen fis de même avec le sein gauche de Bianca, étalant mon sperme avec mon gland et chatouillant ses mamelons dressés. Elle nous laissa contempler son corps humecté pendant quelques instants avant de saisir le drap de bain de nouveau et essuyer sa poitrine, enlevant toute preuve de notre victoire conjointe. Satisfait de son travail, Antoine se releva et se dirigea vers une pile de vêtements. Pendant quAntoine shabilla, jenlaçai Bianca qui se blottit contre moi. Je profitai de ce moment de répit pour la caresser convenablement et humer la douce fragrance de ses cheveux ébène à laquelle se mélangeaient dautres odeurs un peu moins florales.