Le tintement du carillon de l’entrée me fils sursauté Je commence à m’assoupir malgré l’inconfort de la position. Je ne rends plus compte depuis combien de temps je suis ainsi cloîtré dans m’ont réduit. Cest une pratique que nous nous sommes découvertes l’un et l’autre et à laquelle nous nous adonnons depuis que je lui ai confié mes penchants pour les jeux de domination. Je ne dis pas à tour de rôle mais plutôt suivant l’humeur du moment. Depuis ce matin, suivant un rituel bien établi, une sorte de code entre nous, dès que l’un de nous en a envie nous échafaudons des petits scénarios, qui immanquablement finissent par des punitions ou humiliations diverses, tout cela à ma grande joie, parce que j’en ai presque un besoin viscéral. Je ne peux pas vivre sans, en bref ma sexualité est basée là-dessus depuis mon adolescence. Et ce matin je suis le grand gagnant si l’on peut dire. Jai malheureusement eu la maladresse d’échapper un bol en desservant la table du petit déjeuner. Le bol évidemment c’est fracassé en mille éclats au beau milieu de la cuisine, bravo le PIREX.
Ça a commencé comme ça.
— Qu’as-tu fait là ! .
— Parce que tu crois que je l’ai fait exprès peut-être.
— Mais il répond en plus !
— Tu vas immédiatement aller te changer pour ramasser ça, tu sais ce que l’on a dit !
Ce matin je sentais Marie particulièrement, comment dire cela pas excitée, mais disons plutôt, émoustillée. Elle avait sûrement dû faire un rêve ou avoir des pensées érotiques cette nuit ou alors elle avait particulièrement de bonnes dispositions au réveil et malheureusement, je n’ai pas su en profiter et elle se venge.
Il est vrai que nous avons quelques habitudes c’est du reste pour cela que nous vivons ensemble actuellement. Une sorte de complémentarité en quelque sorte. De ce côté-là nous nous sommes en effet bien trouvés. Divorcés tous les deux nous nous sommes rencontré sur un site de rencontres par Internet. Nous avons d’abord échangé une correspondance disons amicale et puis au fil de nous discutions-nous avons appris à nous découvrir l’un et l’autre. Depuis nous ne nous quittons pratiquement plus. Nous vivons ensemble depuis plusieurs mois et je peux dire que chacun y trouve son compte. Marie à déménagé avec tous ces meubles et petites affaires comme l’on dit.
Il faut avouer que Marie est très autoritaire quelquefois et c’est cela qui m’a plus en elle. Et aussi bizarrement que cela puisse être, elle a aussi exactement le même trait de caractère mais totalement opposé tout dépend de son humeur de la journée ou bien de la situation..
Et l’occasion est trop belle pour quelle la laisse passer.
— File te changer et ramasse-moi ça !
Docilement je m’exécute, au fond de moi-même je suis ravi, j’adore ces situations. De retour dans la cuisine, je me retrouve rapidement à quatre pattes sur le sol, une pelle et une balayette ont la main entrain de ramasser tous les éclats de verre.
Marie est debout dans l’angle de la porte les bras croisés et me regarde radieuse, un sourire aux lèvres Apparemment, elle a l’air ravie de la situation.
— Là il en reste !
De la pointe de sa mule elle me désigne un endroit sous la table. Je suis obligé de me cambrer pour passer entre les chaises pour ramasser les morceaux épars. Pendant que je m’applique, Je sens sa main me donner une tape sur les fesses.
— Applique-toi sinon !
Sinon, sinon quoi ! Je sens quelle à envie de profiter de la situation. Après mette activer à tout nettoyer, soigneusement. Elle s’exclame.
— C’est bien maintenant tu vas aller ranger la pelle a sa place. !
Je me tiens à une chaise pour me redresser, pour accompagner mon geste pour me relever.
— Non, tu restes par terre tu viens à genoux jusqu’au placard, qu’est-ce que tu crois, du reste je crois bien que tu va passer un moment dans le placard.
— Non j’ai plein de chose sa faire ce matin, pas ce matin il faut que je débarrasse la chambre pour ta copine.
— Martine-elle ne vient que ce soir, tu auras le temps cette après-midi.
Ne pouvant pas contrer sa décision je la suis à quatre pattes dans le couloir avec mes ustensiles à la main. Elle ouvre la porte du réduit où nous rangeons tous les balais et d’autres divers objets.
— Tu te mets à genoux là et tu ne bouges plus.
Je la vois qui va vers le fond du couloir pour revenir aussitôt avec une sangle a la main
— À non pas la laisse du chien, j’ai beaucoup de choses à faire pas ce matin.
— Tais-toi et fais voir ton cou !
Je sens le collier qui se referme, ça y est me voila coincé pour un moment, adieu mes projets de rangement pour ce matin. Elle accroche lautre bout de la laisse dans le placard, referme les portes. Cela fait bien dix bonnes minutes que je suis enfermé ainsi, la porte s’ouvre à nouveau. Je me dis chique maintenant ont vas aller s’amuser un peu, c’est souvent comme cela que cela se termine.
Marie est devant moi un grand sourire illumine son visage, elle tient à bout de bras une paire de menottes ainsi qu’un cadenas, ce sont des accessoires que nous employons de temps en temps pour nos petits jeux.
— Devine qui est ce qui va être puni, met les mains dans ton dos.
— Ce n’est pas le moment, il faut que je range la chambre d’amis, tu le sais.
— Tais-toi! Tu es puni pour le moment, tu n’avais qu’à faire attention.
— Juste pour un bol tu parles.
Et là je reçois une gifle d’une telle violence, je me retrouve comme un con et complètement abasourdi par ce geste. Je sens ma joue me picoter assez rapidement.
— Cette fois, tu as compris tu te tais !
Un peut désarçonné par son comportement je baisse la tête, je la sens qui verrouille mes poignets dans les bracelets dacier, puis elle tire sur la laisse pour immobiliser le tout avec le cadenas.
— Comme ça tu ne la ramèneras pas !
Elle referme la porte et j’entends ces pas s’éloigner dans le couloir. J’ai la joue en feu ça me pique sur tout le coté droit du visage. Ne comprenant pas trop la violence de son geste, d’habitude se sont plutôt des humiliations verbales, rarement de la violence ou bien alors symboliquement. Je me cale dans une position pas trop inconfortable et commence à prendre mon mal en patience. Je l’entends s’activer dans la maison et peux ainsi deviner plus ou moins ses activités. Le placard étant situé presque au milieu de la maison il jouxte l’entrée le salon et la cuisine. Je peux facilement déduire dans quelle pièce Marie ce trouve. Je ne sais plus depuis combien de temps je suis ainsi a genoux dans le noir. La position devient de plus en plus inconfortable je me pose tantôt sur un genoux, tantôt sur l’autre. Au bout d’un temps qui me semble une éternité je n’en peux plus et je l’appelle
— Marie……… Marie !
Pas de réponse ou elle ne veut pas me répondre ou bien elle fait celle qui n’entend pas, je recommence de plus belle.
— Marie. Marie !
D’un coup la porte s’ouvre, la clarté du couloir me fait cligner des yeux, ce qui fait que je n’ai pas eu le temps de la voir venir. Cette fois c’est la joue gauche qui prend, les larmes me montent presque aux yeux tellement le coup a été fort. Je redresse la tête, Marie est devant moi debout à contre jour, dans l’encadrement de la porte la ceinture de son peignoir défaite.
— Tu es punis tu reste la dans ton placard, et tais-toi ! Je ne veux plus t’entendre.
Disant cela je la vois qui écarte les pans de son peignoir, lève une jambe et enlève sa petite culotte. Elle l’approche de mon visage.
— Ouvre la bouche ! ……ouvre la bouche, ou je tant colle une autre!
Les mains attachées dans le dos, je ne peux difficilement ne pas m’exécuter ne pouvant pas me protéger le visage, j’ouvre timidement la bouche. La, d’autorité, elle me la fourre au fond, en prenant bien soins de la bourrer consciencieusement avec ses doigts. Une fois que tout les tissus ai au fond de ma gorge elle me relève la tête par le menton et de sa main droite elle men recolle une autre et sexclame.
— Cette fois, je ne veux plus t’entendre, tu comprends le Français !
D’un hochement de tête je fais signe que oui, les joues gonflées de sa culotte les larmes aux yeux tellement j’ai le feu aux joues. La porte du placard se referme une nouvelle fois. Je l’entends s’éloigner à nouveau.
Par le bruit qui parviennent jusqu’a moi des portes de la cabine de douches et le bruit de l’eaux qui coule, j’en déduis quelle est dans la salle d’eaux.. Je l’entends au loin chantonné un grand moment, puis les portes de la cabine de douche s’ouvrent à nouveaux, j’entends divers autres bruits dans la salle d’eaux. Pendant ce temps, je me dandine d’un genoux sur l’autres les bras toujours en arrières. Cest fous comme une position devient vite inconfortable lorsque l’on ne peut pas bouger. Jessaye malgré tout de repousser les tissus avec ma langue, mais il n’y a rien a faire je n’arrive pas a bouger les mâchoires, je sens ma salive imbiber le tissus. Jai de plus en plus mal la douleur se diffuse de partout les crampes s’installent peut à peut partout. J’entends à nouveaux des bruits de pas dans l’entrée. Puis la porte s’ouvre à nouveaux, Marie est devant moi en sous-vêtements, resplendissante elle a une main dans son dos et me fixe avec un regard étrange, je la trouve magnifique et terriblement excitante. Cette fois ça y est, elle va me libérer cela a assez duré.
— Regarde ce que j’ai pour toi, je suis sur que tu vas aimer.
En disant cela, elle sort la main qui est dans son dos et me brandi le plug gonflable que nous avons acheté en ligne dans une boutique spécialisée. Moi qui n’en pouvais plus déjà, ça ne va pas recommencer.
— Penche-toi en avant !
Je fais non de la tête ne pouvant parler à cause de la lingerie au fond de ma gorge.
D’autorité elle me pousse en avant. Les mains dans le dos, je ne peux me retenir et gêné par la laisse attachée à mon cou, je chute sur le coté. La immédiatement, je la sens qui essaye de m’introduire de force le gode dans mon petit trou, je me débats tant que je peux, mais entravé comme je suis je ne peut guère luter. A force d’insister, et malgré mes grognements de douleur, elle arrive à ses fin, bientôt lengin est complètement en moi. En plus elle me fait atrocement mal, étant pas préparé j’ai l’anus en feu. Ensuite elle presse rapidement sur la poire en caoutchouc plusieurs fois de suite, je sens le gode gonfler, très vite je me sens remplis, et elle gonfle encore, je gémis, ça commence me faire mal, je ne sais pas quelle mouche la piqué ce matin.
— Voila comme cela j’espère que tu me laisseras finir de me préparer tranquillement Elle me repousse au fond du placard et referme la porte. Cest de pire en pire pour moi, je me redresse tant bien que mal pour me remettre sur les genoux de plus de la position inconfortable voila que j’ai le cul complètement dilaté par ce gode qui me fait en plus un mal de chien. Mais que lui arrive t’il ce matin pourquoi elle est comme cela avec moi. D’un seul coup, elle change toutes les règles que l’ont c’étaient fixé, ça commence à ne plus être un jeux, là elle veut vraiment me punir. Je retourne à mes réflexions solitaires en me trémoussant sur les genoux, le gode dans mon cul me fait très mal, il veut à tout pris ressortir, mais vus la taille qui doit avoir gonflé ainsi, il ne peut plus et il force, il force.
J’entends Marie qui s’active dans la maison et moi qui suis comme un con fermé dans ce placard, je médite intérieurement, pourquoi ? Pourquoi ? La porte s’ouvre un instant et Marie apparaissent dans louverture.
— Combien de temps il te faut pour préparer la chambre ?
Je secoue la tête. En faisant de grands yeux, elle répète.
— Combien de temps il te faut pour préparer la chambre ? …. une heure, deux heures ?
Je fais oui de la tête sa culotte me remplit la bouche, à ce moment la, elle se penche attrape la poire du plug par terre entre mes jambes et en donne deux coup rapidement. Sous la soudaineté, j’ai l’impression que mon cul va éclater, puis elle referme la porte à nouveaux. Je reste seule avec en plus de la position l’anus complètement en feu et le gode qui pousse, qui pousse. Mais quand vas elle me libérer ? Je suis dans le noir depuis un temps qui me semble une éternité, la sonnette de l’entrée retentie.
J’entends des pas dans le couloir se diriger rapidement vers la porte d’entrée. Je l’entends s’ouvrire.
— Oh, Martine, quelle surprise ont ne t’attendais pas avant ce soir!
— Bonjour Marie, je pense que je ne vous dérange pas, jai pus me libérer plutôt, a lors me voila.
— Je ne t’ai pas entendu arriver tu es rentré ta voiture, le portail était ouvert ?
— Oui je l’ai mise en bas devant le garage.
— Rentre je suis contente de te revoir, ça fait tellement longtemps.
— Une paye tu veux dire.
— Rentre, donne-moi ton sac
Cette fois c’est la total, mes pensées se bousculent dans ma tête, il manquait plus que ça et sa copine qui arrive en avance. Je n’ose plus bouger dans mon réduit. Je les entends passer devant ma porte en gloussant.
— Rentre, pose-toi.
— Vous êtes pas mal installer, ça fait longtemps que tu habite-la. Au fait, raconte-moi, il est comment ?
— Attend je t’explique… Et toi comment vas tu, ta petite santé ?
— Pas mal en ce moment, comme toi les années passent. Tu es seule? Il n’est pas la. – Attend, je t’explique tu es bien curieuse.
— Pour une fois que tu vie avec un mec, il faut que tu me raconte tout.
— Je t’offre quelque chose a boire.
— Merci, j’ai pris un café sur l’autoroute. Ça va pour le moment, tout à lheure si tu veux.
— Martine tu as bonne mine, tu es superbe, tu as des jambes magnifiques toi au moins. Moi c’est de pire en pire avec la ménopause, je t’explique pas.
J’entends des bruits de fauteuils qui bougent.
— Regarde-moi comme j’ai grossi
– Mais non tu dis des bêtises nous avons que cinq ans d’écart arrête.
J’entends tous ce quelle se racontent, c’est bien le moment de se comparer la silhouette, je n’en peux vraiment plus j’ai des larmes pleins les yeux tellement je souffre de partout. De plus une envie naturelle est en train de venir, je le sens, avec le cul remplis comme ça, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps.
— Alors tu la rencontré ou?
— Sur le net, c’est tellement pratique maintenant.
— Il est comment, il est pas la, il bosse le samedi ? Raconte, il a quel âge ?
— Décidément tu veux toujours tout savoir toi, tu n’as pas changé, je t’en pose des questions moi.
J’essaye de faire le moins de bruit possible, mais je ne vois pas d’issue a cette situation, je sens que cela vas mal finir, je vais me taper la honte de ma vie. Tout ça pour un jeux à la con. Mais pourquoi ce matin, qu’est ce qu’il lui a pris. Je n’en puis vraiment plus. Il faut que je me soulage, ma vessie va éclater. Doucement j’essaye de lâcher progressivement. Mais une fois que j’ai laissé partir quelques petits jets pour essayer de contenir. Je ne tiens plus cela fait tellement de bien, petit a petit je sens que je lâche tout. Dabord ça fait étrange, une sensation de chaleur sur mes cuisses, je me vide, il me semble que cela dure une éternité. Puis le bien être de me vider, mêler à la honte d’être découvert, c’est presque divin comme sensation si ce n’est la douleur du gode derrière qui me tiraillent. Ca y est je me suis vider complètement, tant pis il arrivera ce qui arrivera. Il n’y a plus que la position qui me fait un mal de chien. J’essaye de ne pas trop bouger pour ne pas attirer l’attention. Et ça discute dans le salon Marie est en train de raconter notre rencontre sur Internet, lui raconter mon boulot, laménagement de la maison, notre loisir avec la moto, chose quelle apprécie.
Martine n’en revient pas de voir tous les changements dans la vie de sa copine. Puis je l’entends demander à Marie.
— Dis donc, peut tu m’indiquer tes toilettes, j’ai besoin de changer, je suis en pleins dedans, cette semaine.
— Au fond du couloir a gauche, tu verras.
— Merci j’y cours, ça urge, je crois.
J’entends des pas qui vont dans le couloir. La porte des toilettes qui se verrouille, je me dis, vite quelle vienne m’ouvrir pour que je puisse me changer, n’importe ou même au sous-sol mais vite, quelle ouvre. Au lieu de cela, je l’entends qui s’active dans la cuisine et crié à l’intention de sa copine.
— Martine ne jette rien dans les toilettes, ont a un souci avec les évacuations si tu as des choses à jeté met dans la poubelle à coté.
— OK .
Un moment ce passe ,puis les toilettes s’ouvrent a nouveau j’entend que ça bouge du coté de la salle d’eau ,puis les pas repassent devant ma porte. D’un seul coup je suis tétanisé , j’entend.
— Marie , viens voir , tu dois avoir une fuite dans le couloir , c’est tout mouillé par terre .
Cette fois c’est la fin , je suis mort de honte. Je n’ose plus bouger une oreille .J’entend d’autre pas qui se rapprochent .
— Qu’est ce qui ce passe une fuite ou ça ?
— La regarde par terre , c’est tout mouillé.
— Regarde ……… Ca vas loin ,en plus ça suit les joints du carrelage.
— C’est bizarre , je ne vois pas d’ou ça peut venir.
Je sent dans cette réponse une voie pas très a son aise et un peut , pour ne pas dire carrément gêné.
— Ouvre , tu verras bien ce que c’est.
La porte s’ouvre en pleins ,je ferme les yeux devant la lumière. j’entend.
— C’est quoi ça , plutôt , c’est qui ?
— Je vais t’expliqué , enfin , je veut dire que .
Je baisse la tête ,tellement j’ai honte de me retrouver dans cette situation et aussi cette accoutrement .Je me retrouve a genoux dans un placard la bouche pleine d’un truc immonde. Le pire devant une tierce personne que je ne connais pas . Je tombe sur le coté n’en pouvant plus de ma position a genoux .Je m’affale sur le carrelage dans la flaque de mon urine ,j’en ais partout je suis trempé .je n’ose regarder Marie et encore moins de lever le regard sur sa copine. Et la j’entend Marie .
— Je te présente "tit pute".
-" Tit pute" c’est qui ça ,tu ne vas pas me dire que c’est le mec avec qui tu vis. Je ne te crois pas .
— Sort de la ,ça suffit et relève toi un peut dit bonjour a ma copine Martine.
Je suis carrément pas à l’aise , j’ai toujours les mains immobilisées dans le dos , j’ai mal partout .Sa copine ne peut pas ne pas voir mon état dans mon travestissement en sous-vêtements féminin .La honte total pour moi . de plus ,je vois que Marie , au début apparemment gêné assume maintenant complètement la situation.
— Redresse toi quelle puisse voir la tête de la petite salope qui lui sert de mec.
En disant cela elle me prend la tête par les cheveux et m’oblige a regarder Martine dans les yeux ., je suis mort de honte .Je pue la pisse mon accoutrement est ridicule le fond de robe avec le quelle je suis vêtu me colle sur la peau ,les bas sur mes jambes sont imbibés d’urine .Je suis à moitié à genoux , baignant dans mon jus ,la combinaison en nylon ,rendue transparente par l’urine ne peut pas dissimuler le soutient gorge sur ma poitrine .Plus une poire en caoutchouc pend entre mes jambes .. Totale déchéance .Je vois au regard que sa copine me porte , la surprise totale elle reste bouche bée a me regarder . Je vois que son regard insiste entre mes fesse . Je suis humilié d’être ainsi exhibé. Marie elle a l’air de s’amuser ,une fois la surprise de ma découverte passer elle a l’air d’assumer tout à fait.
— Lève toi ma salope ,hein ,…dit a Martine que tu est ma petite pute.
je n’ose regarder personne en face et elle insiste .
— Répète a prés moi , je suis une petite pute.
Je ne peut pas parler, sa culotte me remplie la bouche , le nylon me colle a la peau et goutte par endroit sur le sol, et la sans prévenir elle me recolle deux baffes magistrales. fourre ses doigts dans ma bouche et retire la pièce de lingerie rendue gluantes par ma salive.
— Répète après moi , Je suis la pute de Marie .
Les joues à nouveaux en feux ,la bouche desséché , je balbutie entre mes lèvres .Elle s’empare de la poire en caoutchouc au sol et la presse de deux grand coups à la suite. Je hurle de douleur tellement le déchirement est atroce .
— Je suis une pute,….je suis une pute.
— Tu est la pute a qui, j’ai pas entendu !
— Je suis la pute de Marie.
Les larmes coulent sur mes joues, la douleur dans mon cul est insupportable.
— Arrête Marie , t’est folle tu vas lui faire mal.
— Tu rigole, il adore ça , …..Hein tu aime ça salope.
— Oui j’aime
— j’ai pas entendu répète plus fort.
En parlant elle m’attrape les deux tétons a travers le soutient gorge et ce met a les tirer violemment en décrivant des cercles.
— Oui j’aime ,….Oui j’aime .
Martine nous regarde, gênée tout de même. Je pense pas que dans sa tête ,les retrouvailles avec sa copine se passerais ainsi. Marie m’enjambe, tire sur la laisse et détache le cadenas du placard
— Lève toi maintenant arête de faire ta mijoré.
Je me redresse , je suis collant de partout .Marie attrape la poire en caoutchouc , appuie sur le bouton pour vider l’air du gode. Il se dégonfle instantanément puis tombe à terre repoussé par mes intestins .
— T’est vraiment qu’une grosse cochonne ,regarde moi ça., ramasse le , tu vas en mettre partout avec ta merde.
Je me baise alors pour ramasser l’objet , il a encore une jolie forme bien ronde preuve qu’il n’est pas dégonflé en plein. Elle me l’arrache des mains pour me le fourrer aussitôt sous le nez.
— Nettoie moi ça tout de suite !
Martine interviens .
— Arrête , c’est sale quand même ,arrête.
— Il adore ça d’habitude , allez léche , sort ta langue.
Elle me frotte le gode souillé sur le visage , timidement , par petit coup, je commence a le nettoyer du bout de la langue.
— Plus fort, regarde , la , il en reste ,insiste.
En même temps elle le fait pivoter pour que je puisse faire le tour consciencieusement.
— Tu vois, tu est une bonne pute , quand tu veut.
— Je suis sur les fesses de te voir ainsi ,Marie décidément , toi si douce et si câline avant , tu as bien changé. Tu était plutôt du genre soumise avant non ,si mes souvenirs sont exact . Rappelle toi le père de tes gosses ,il ’t’en as quand même bien fait baver.
— Justement maintenant je ne me laisse plus faire , j’ai décider de me venger ,
— Détache le au moins , le pauvre .Qu’est ce qu’il a fait pour mériter ça .
— Ce con il a cassé un bol ce matin et il sais que maintenant c’est comme cela , je ne le louperais plus , en plus il adore ça .Tu vois ça tombe bien , il est content ,ou plutôt elle est contente , je ne sais plus si c’est un homme ou une femme dés fois , moi aussi ,alors ont auraient tord de se priver.
Du coup elle m’enlève les menottes , je peut enfin me détendre les bras ,la laisse pend devant moi maintenant ,je dois avoir bonne mine avec ce collier autour du cou, je m’essore la combinaison sur moi ,elle goutte encore plus et me colle a la peaux, ça me fait une sensation pas désagréable ma fois. Je fait mine de partir a la salle d’eaux pour aller me changer et surtout me doucher .
— Hep hep hep , ou vas tu toi,….Tu reste comme ça aujourd’hui ,je veux que tu sèche comme ça dans ton odeur de cochonne, j’espère que tu auras bien honte ,de rester avec Martine habillé en salope.
Quand pense tu Martine .Ca te choque toi un homme habillé en pute ?
— Je dois dire que je suis surprise , je ne pensais pas vous rencontrer dans ces conditions . mais si c’est vos habitudes , après tout , c’est plutôt marrant de voir ça .Je savais que ça existais mais je ne pensais pas que ma meilleure copine , surtout son mec aimait ça .
— De toute façon ,je ne sais plus si c’est un mec , comme tu dis et il à pas à aimer maintenant il est obligé , tu saisie la nuance.
— Et toi pendant que l’on retourne au salon, vas chercher une serpillière, je veut que ce soit nickel tu as entendu .Autrement , je te fais lécher le sol compris …… Tu répond, tu as compris !
— Oui
— Oui qui ?
— Oui Marie.
— A la bonne heure maintenant tu ne diras plus oui Marie, tu diras oui Madame ,compris
— Oui Marie.
La j’ai repris une baffe de suite . j’ai compris immédiatement.
— Oui Madame.
Je leur passe devant pour aller a la cuisine chercher une serpillière , un seaux d’eau chaude avec du produit à sol. J’entend Martine qui dit .
— Quand même , tu y vas un peut fort .
— T’inquiète , il adore ça et maintenant que tu est la , je crois que l’on vas bien s’amuser toute les deux .J’ai pleins d’idées pour ce pauvre chérie.
Me revoilà à quatre pattes a passer la serpillière une nouvelle fois , je m’applique de mon mieux en ne laissant rien sur le sol , je n’ai pas l’intention de finir le sol avec la langue . Elle en est bien capable après tout ,comme c’est parti aujourd’hui… Après dix minutes d’effort j’estime que le couloir a repris son état de propreté , je vide l’eau salle et range tout les ustensiles , j’entend.
— "Tit pute" !
— je m’approche des deux femmes qui sont au salon en train de papoter
— Oui Madame .
— J’ai commencé le repas tout à l’heure , tu allume le four et tu continue , dépêche toi. mais avant , tu vas nous servir quelque chose a boire….. Que veut tu Martine ?
— Oh un vin cuit si tu as !
— Bien sur, moi aussi , tiens ont vas en profiter pendant que nous avons une petite boniche à notre disposition . Elle est pas mignonne comme ça pas vrais ?…….. Tu pue la pisse , tu le sais .Sert nous deux frontignan et retourne a la cuisine .
Je m’exécute en ayant bien conscience du grotesque de la situation .Il m’arrive quelque fois de porter des sous-vêtements féminin le soir dans l’intimité je reconnais que c’est un peut une seconde nature chez moi, Marie étant parfaitement au courant de ce petit vice .Mais jamais au grand jamais, nous avons introduit une tierce personne dans nos délires , ont vas appeler ça comme cela.
En ce moment précis , je suis complètement désemparé je ne sais plus que faire sincèrement ou je m’en vais , je sort de la pièce et file me laver et me changer , ce petit jeux a assez duré. Mais une force invisible me pousse à rester ainsi humilié devant ma copine et son amie . Le sentiment de honte qui m’envahi à ce moment est très excitant pour moi , j’adore se ressenti ,j’ai un début d’érection sous mon jupon de nylon .Malgré la douleur qui s’estompe peut a peut de mes reins , je me sent bien .Je fais ainsi le service ,la laisse me bat les flans dans chacun de mes mouvements sur le devant et entre mes jambes .Avec la chaleur de mon corps ,le nylon blanc commence a sécher par endroit , mais l’odeur persiste elle .
— Approche , viens ici .Fais voir a Martine a quoi tu ressemble….. Approche met toi à genoux devant nous .
Je m’approche du salon et je me pose à genoux en baissant la tête .Je suis sur le tapis à coté de la table basse.
— Met toi plus loin tu vas me pourrire le tapis tellement tu pue.
Je me décale sur le coté toujours à genoux en m’aidant de mes mains au sol.
— Stop!……… Tu est bien ici regarde nous dans les yeux.
Doucement je lève la tête elles sont resplendissantes toutes les deux elle me regarde moqueuses un petit sourire au lèvres .Maintenant je peut voir Martine .Effectivement c’est une belle femme , un peu plus jeune que Marie , je dirais cinq ou six ans de moins pas plus .Elle est plus grande quelle aussi .Je constate quand même que pour une femme de son age ,elle est habillé assez sexy . "De son age" ,il ne faut pas exagérer non plus disons une bonne quarantaine d’années tout au plus. Elle a de grande jambes gainées de nylon . Je ne peut pas dire si ce sont des collants ou des bas pour le moment ,je ne suis pas en face de ses jambes .
— Fait voir a Martine retrousse toi un peut .Pour quelle t’admire..
Je rebaisse les yeux , cette fois elle m’en demande trop ,je ne peut pas m’exhiber devant une inconnue comme cela, elle vas trop loin .Pourtant ce sentiment de honte est tellement puissant et bien je me suis retroussé devant ces deux femmes. Doucement j’ai relevé la combinaison de nylon qui me recouvrais les jambes .Les mains dessous le menton retenant le tissus pour bien dégager mon bas ventre .
— Tu vois cette petite pute , regarde comme elle est mignonne elle est très sexy depuis que je l’oblige a se raser entièrement le corps .D’accord ça lui fait du boulot au moins tous les trois jours minimum , mais il faut qu’il prenne soins de lui , mais admire le résultat .regarde comme sa petite bite est bien sage . Tu vois elle est vraiment petite . Quand pense tu Martine.
Martine a l’air quand même assez gêné de répondre , visiblement elle ne s’attendais pas a un tel accueil et je la sent un peut désarçonnée.
— Oui …..Oui , c’est vrais elle est vraiment petite , ça me rappelle le sexe de mon fils lorsqu’il était petit .
— Tu vois je n’invente riens c’est quand même un cas .
— Oui mais quelque part tu est avec lui,…… Enfin vous vivez ensemble quand même.
— Je ne savais pas qu’il était comme cela au début. Il ma bien avoué deux ou trois perversions au début, comme tous le monde .Ont a tous notre jardin secret .
— Oui , je suis d’accord avec toi ,mais quand même elle est petite .
— Relève la tête , ce n’est pas fini .fait voir tes tétons a Martine .
Je suis au ange ,cette humiliation finalement me ravi de plus en plus. Je me sent libéré d’un poids .Enfin je peut apparaître tel que je suis réellement .je suis presque fière d’être ainsi , finalement. je me retrousse complètement, malgré le soutient-gorge dont je suis affublé .
— fait voir tes seins de pute a Martine,…. "tit put" !
Je rabat les bonnets du soutient-gorge sur mon ventre et exhibe mes tétons .dont je suis particulièrement fière .Depuis mes treize ou quatorze ans en effet je me les travails avec acharnement , les tirent , les maltraitent avec des pinces à linge ,des crochets de rideaux ,des cintres à pinces. Enfin n’importe quoi qui puisse me procurer du plaisir .Je me suis même confectionné tout un attirail d’instruments comme des seringues médicale coupées, de plusieurs diamètre différents , pour me les tenir aspirés et depuis ils sont de plus en plus gros et aussi pour m’infliger des petit sévices dont je suis friand.
— Regarde , je suis sur qu’il a des tétons plus gros que les tiens . de plus tu vois il y a un anneau sur chaque téton.
— C’est toi qui la obligé de se faire percer .C’est vrais , on dirais qu’il à presque de seins , j’en reviens pas.
— Pas du tous , lorsque je l’ai rencontré il était déjà comme ça . Il m’a dit qui se les était fait lui même, comme quoi , tu vois il est quand même un peut maso quelque part.
— C’est étonnant pour un homme les tétons percés.
-A mon avis ,maintenant que je le connais un peut mieux , ce n’est pas vraiment un homme. Si tu savais comme c’est pratique aussi , quand il est pas sage , je peut y accrocher pleins de trucs et il adore ça. Tu verras je te ferais voir certaines choses tu vas tomber raide ,je t’expliquerais comment un jour je l’ai retrouvé dans la maison, ça à été plutôt. cocasse .
— Qu’est ce que tu veut dire par ce n’est pas vraiment un homme, il n’y arrive pas ?
— Si ,il y arrive, mais il faut quand même bien flatter son coté soumis, petite pute , il adore quand je le traite de cochonne, tu vois il est entre deux a mon avis .
— Il te fais jouir au moins
— Pour cela ça vas encore , mais il préfère que je prenne l’initiative tu vois. Il aime bien que je lui triture les tétons ,que je lui caresse les couilles. en fait son sexe , on dirait qu’il sans fou un peut .
— Comment ça qu’il sans fou ?
— Oui , il préfère me donner du plaisir plutôt que en avoir lui même .
— J’ai remarqué qu’il ne joui pas systématiquement , on dirais qu’il sans fou.
— Ca m’étonnerais ils sont quand même tous pareil , non !
— Il est différent , il adore me lécher le vagin lorsque l’on vient d’avoir un rapport , tu vois , des trucs comme ça .
— Il te léche après ?
— Oui et il adore ça , ce qu’il aime même , c’est que je me mette sur lui ,mon sexe hauteur de sa bouche et que son sperme refoule et coule sur son visage . La ,il me dévore carrément et c’est divin. De plus je le sent humilié de lécher son propre sperme ça me décuple mon orgasme. Des fois je t’avoue , je me lâche un peut voir même carrément, on dirais même que ça l’excite encore plus .Il n’en perd pas une goutte , il avale tout
— C’est quand même un vrai cochon tu ne me diras pas le contraire.
— Tu ne sais pas tout en plus , tu vas voir .Je lui est déjà fait faire plusieurs fois mais cette fois grâce a toi ça vas être encore plus hard
En entendant ces paroles , je m’attendais encore au pire.
— Voir quoi !
— "Tit pute" , vas à la cuisine chercher un grand verre à Coca.
je rabat mes vêtements et me lève je reviens de la cuisine avec un grand verre a Coca et le tend a Marie .
— Regarde a quel point il est cochon.
Marie se lève ,
— Suis moi!
Marie m’entraîne dans la salle d’eux , se met face au face au mur, retrousse sa jupe, écarte la petite culotte de son entre jambes s’accroupie légèrement et se met a pisser sans plus de manière dans le verre que je lui ai donné. Un jet dru et bruyant rempli le verre d’un liquide ambré .elle le repose sur le lavabo .ensuite elle passe ses doigts sur sa vulve toute humide et me tend ses doigts.
— Léche
De retour au salon je pose le verre tiède sur la table basse
— Met toi à genoux , "tit put"
Je me repositionne sur les genoux , à ce moment Marie trempe ses doigts dans le verre d’urine et m’ordonne .
— Salope nettoie mes doigts avec ta langue.
Martine ne loupe pas un détail de la scène je la sent de moins en moins a l’aise . Visiblement elle ne s’attendait pas a tout cela de la part de sa copine. Un par un elle me fourre ses doigts dans la bouche , je m’applique à les nettoyer consciencieusement en fermant les yeux.
— Tu vois comme il se régale.!
— Vous etes quand même un peut crade tout les deux ,
— C’est lui qui à commencé ,au début il voulait que l’on mette un peut de piment dans notre relation et il adorais les jeux de pipi .Moi je n’était pas particulièrement chaude .Malgré deux ou trois expériences avec d’autre rencontre avant lui .Sous la douche ou dans le bain , ne me dit pas que tu la jamais fait, je ne te croirais pas. Puis de plus en plus je me suis pris au jeux .Ca m’excite assez de le voir humilié devant moi comme ça à boire ma pisse .
— Oui mais quand même , je suis la
— A la tienne ma petite pute , bois pendant que c’est chaud.
Elle prend son verre le toque contre celui de Martine puis le mien en dernier.
— Santé! …… Comme ça il a encore plus honte et il est encore plus humilié, cest bien que tu sois la finalement.
Je ne peut pas boire ça comme ça , ce n’est pas possible , elle ne vas pas m’obliger devant sa copine quand même .
— Alors elle a pas soif la petite pute !
Je fait non de la tête en reposant le verre .
— Tu vas boire je te dis et en vitesse .
Elle se lève , passe derrière moi et m’empoigne les bouts des seins et les tords
violemment .
— Je te dis que tu vas boire et jusqu a la dernière goutte .C’est compris!
Je reprend le verre et doucement le porte a mes lèvres , c’est chaud et infecte doucement je bois une petite lampé , c’est vraiment dégeulasse . Martine assise en face de moi me regarde avec des yeux rond. Elle n’en crois pas ces yeux apparemment.
Je suis à genoux en train de boire un grand verre d’urine tiédasse devant une inconnue et je fais à peine la grimace .
— Tu trouve qu’il n’y a pas assez de goût hein , c’est ça , je vais tant donner du goût moi .
Elle me relâche de part derrière et je la vois qui file au fond du couloir .Elle reviens trente secondes plus tard avec deux trucs dans les doigts .
— Regarde ce que j’ai trouvé pour toi dans la poubelle des toilettes , c’est un cadeau de Martine.
Elle exhibe fièrement un tampon périodique et une protection de culotte souillés de sang, quel tien délicatement du bout de son cordon avec une feuille de papier hygiénique. Martine à l’air complètement outré cette fois.
— Que vas tu faire avec ça , c’est pleins de microbe , c’est sale
— C’est bien bon pour une petite pute comme lui , tu vas voir ont vas bien s’amuser. A tu dis bonjour a Martine tous a l’heure .
— Non tu ne m’en à pas laisser le temps
— Taratata maintenant tu dis bonjour a Martine
En même temps elle me passe le tampon gorgé de menstrues sur le visage en le maintenant par son cordon .La je la vois carrément le sourire au lèvres , elle jubile . Je le vois elle m’humilie comme jamais elle aurait imaginé même dans nos scénarios les plus hard , je pense qu’elle est au taquet de sa perversion .
— Dis bonjour a Martine .
Elle me fourre la protection devant la bouche et m’ordonne ,
— Fait la bise à Martine! dit bonjour à Martine
— Bonjour Martine.
L’odeur est infecte ,elle prend un malin plaisir a me le frotter sur le visage ,je suis obligé de lécher plusieurs fois de suite sur toute sa longueur. puis elle pose la mini serviette sur ma tête ,elle appuis bien fort apparemment il doit y avoir une sorte de face autocollante ,parce que je ne la sent pas tomber Je me sens vraiment humilié.
Ensuite elle me présente le tampon devant la bouche , en prenant bien soins de ne pas se tacher .Il est vraiment énorme et tout rouge brun , .
— Embrasse Martine, je le veut.
Je fait non de la tête , c’est vraiment trop pour moi , j’ai presque la gerbe.
— Embrasse Martine , je te dis.
D’un coup elle me plaque le tampon sur le visage ,me le frotte sur les yeux , le nez , le menton , les joues tout y passe .
— Embrasse Martine , je te dis.
— Arrête Marie tu est vraiment horrible quand même ,tu n’est pas devenue comme ça , pas toi……. Hein.
— Laisse moi faire je te dis qu’il nous dois le respect , il vas nous le prouver.
Même l’intervention de Martine , rien n’y a fait ..je suis obligé de m’exécuter une fois de plus. J’ouvre la bouche , pas bien grande au début, mais elle est plus agile que moi elle me pousse violemment le truc infecte a l’intérieur .j’ai un haut le cur plusieurs hoquets de dégoût me prennent nerveusement . Elle retire le tampon et me le présente à nouveau devant le visage .
— Lèche , je le veut.
Je sort la langue timidement et m’applique de bas en haut doucement ,il vas de droite à gauche uniquement retenu par son cordon . Je me surprend a le suivre de la bouche et a l’engloutir a chaque fois que je peux telle un chat avec une souris que l’on tiendrais par la queue.
— Tu vois Martine finalement , c’est quand même une bonne pute , tu penserais un jour que quelqu’un sucerais tes tampons comme ça.
— Arrête , j’ai limite la gerbe de vous voir faire tous les deux.
Marie me présente a nouveaux le tampon devant ma bouche , mais cette fois en le tenant bien entre deux doigts avec le papier toilette . De prêt l’odeur est horrible , je me demande comment je peut me résigner a tant de bassesse . Mais au contraire , je reste la bouche en avant a attendre .
– Tu vois comme elle aime ça la petite salope , elle fait sa timide , maintenant elle ne peut plus sans passer. ….Allez suce encore plus au fond , ta langue aussi .
Je me retrouve en sous-vêtements de femme ,à moitié recouvert de pisse avec un collier autour du cou une laisse entre mes genoux en bas nylon en train de faire une fellation a un tampon usager d’une fille que je ne connaissais pas il y a deux heures . et j’aime ça.
– Regarde Martine , je crois bien que notre petite pute a une grosse envie.
— Je n’en reviens pas décidément , tu est tombé sur le roi des cochon.
— Des cochonnes tu veut dire regarde comme il se régale………. C’est fini maintenant , stop
Elle retire brusquement le tampon de ma bouche, il est gluant de salive , je dois avoir la bouche toute barbouillé de sang .
— Regarde notre petite pute , elle a pas mérité de se rincer la bouche !
En même temps quelle dis cela ,elle plonge le tampon sanguinolent dans le verre de Coca plein de son urine et commence à l’agiter doucement comme l’on ferais avec un sachet de thé ,le verre se teinte immédiatement d’une couleur rougeâtre et le tampon triple de volume a l’intérieur.
— Qui c’est qui va s se régaler maintenant . …. A la notre .
Elle me tend mon verre d’autorité .
— Allez force toi un peut je sais qu’au fond de toi tu en mort d’envie ….hein , dit moi oui.
Je suis a genoux le verre entre mes mains et ne sais que faire , si je bois, jusqu’ou iras t’elle après ,si je ne bois pas elle risque d’arrêter peut être , au fond de moi même , j’aime trop cela . Allez je bois , je ferme les yeux et porte le verre à mes lèvres .C’est encore tiède ,doucement gorgé par gorgé , je bois le liquide infecte .le tampon au fond du verre touche mes lèvres , je repose le tout sur la table basse .Martine est scotché sur son fauteuil , elle n’en revient pas .
— Attend, tu bois jusqu’au bout !
Marie se relève prend le tampon gorgé d’urine et me dis .
— Ouvre la bouche , tu allais gâcher le meilleur.
Docilement j’ouvre la bouche en grand, elle fait descendre doucement le tampon dans ma bouche qui est a peine assez grande pour l’accueillir tellement il est gonflé.
Du liquide refoule et me coule sur le menton ça me goutte de partout. Je sens les gouttes me tomber sur la poitrine. Une fois le tampon au fond de ma bouche ,elle lâche le cordon qui me retombe sur le nez et dans le yeux.
— Ferme ta bouche maintenant , je ne veut pas que tu en perde une goutte .
je resserre les mâchoires doucement, autant mordre une éponge pleine , je suis obligé de déglutire au fur et à mesure , j’ai le visage inondé .Je regarde les deux copine assises sur le canapé, elles ont l’air au anges . Bientôt le tampon n’est plus qu’un truc tout ratatiné entre ma langue et mon palais .Je relève la tête et ose affronter enfin leur regards, elles trinques ensemble un grand sourire au lèvres .
– Maintenant tu vas recracher tout ça dans la poubelle de la cuisine , bouge pas , je t’accompagne, tu reste a genoux , comme une chienne .
Dans la cuisine marie appuie sur la pédale de la poubelle pour ouvrir le couvercle .
— Approche "tit put " ,.
Elle me tire par le collier jusque sur la poubelle ……..
— Allez recrache la dedans , t’est vraiment qu’une salope finalement, allez file ,relève toi tu nous met le couvert et tu nous sert , …..Compris "tit pute" , et surtout tu reste comme tu est ,c’est un bonheur de te voir comme ça dans la maison souillé de pisse et de saloperies sur tes sous-vêtement de cochonne. En plus je suis sur que tu mouille comme une cochonne , fait voir.
D’un coup elle relève le bas de ma combinaison et me retrousse. Mes bas ont séché entre temps sur mes cuisses, par contre de longs filets de mouille sorte de mon sexe ridiculement petit ,comme elle le fait constater à sa copine le haut de mes bas est pleins de traînées visqueuse .
— Regarde Martine , en plus elle mouille comme une pute, tu vois elle adore ça , je suis sur quelle mouille du cul, ont verra ce soir ……Après le repas tu descendra au garage chercher le sac de Martine dans Sa voiture et tu feras de la place au garage pour quelle puisse la rentrer . ok. n’oubli pas de préparer sa chambre aussi , sinon !
— Oui madame.
— On passe à table ,………….. Viens nous faire le service….. Approche que je te défasse de cette laisse, tu as l’air complètement emprunté avec ça !
Je vais de l’une a l’autre en desservant les assiettes de la cuisine au séjour et vice versa .Elle ne prêtent aucune attention a moi , continue de discuter entre elle .Martine quand même ,je le sent à son regard quelle me jète de temps en temps à l’air plus gênée qu’autre chose. Par contre moi je crois bien que si ça continue , mon repas de midi vas ce réduit à sa plus simple expression. Arrive le moment du dessert ou je leurs sers chacune un éclair au chocolat ,acheté la veille ,accompagné d’un café. Elle n’en finissent pas de discuter , de se raconter les derniers potins.
— "Tit put", approche , viens ici.
Je m’avance à coté de Marie l’air un peut constipé , je doit dire . Ne sachant plus trop bien ou est ma place.
— Mais toi a genoux et ouvre ta bouche !
Je m’exécute ,trop content au fond de moi même, ne sachant pas trop ce quelle vas encore inventer. .Consciencieusement elle passe ses doigts dans sont assiette pour amasser le restant de crème de son dessert et me tend ses deux doigts souillés .
— Lèche salope!
Un par un ,je lèche ses doigts , elle me les enfonces vicieusement dans la bouche en les tournant et les retournant en tous sens.
— Tu vois Martine