Vacances d’été
Début juillet
Cette année, Isa et moi avons décidé de prendre nos vacances d’été dans le Midi. Nous avons loué un pavillon situé dans une grande propriété viticole en bord de mer. Les propriétaires ont construit quatre pavillons identiques qu’ils louent durant l’été pour arrondir leurs fins de mois.
Un couple d’amis a profité de l’opportunité pour louer un des autres pavillons, nous ne serons donc pas seuls et pourrons sortir en groupe.
Je ne vous l’ai pas encore précisé mais Isa et moi avons une petite fille de deux ans, Caroline (que nous appelons Caro). Bien sûr, elle nous accompagnera en Provence.
Pendant l’année, lorsque nous avons une activité extérieure, nous faisons appel à une baby-sitter. Lorsque c’est possible, c’est Maud qui s’y colle, avec les avantages secondaires pour moi quand on rentre! Sinon nous faisons appel à Nathalie, la fille de nos voisins.
Pour les vacances, Maud étant elle-même en location à 200km, nous avons proposé à Nathalie de nous accompagner pour s’occuper de la petite. N’ayant aucun projet, elle a accepté avec enthousiasme.
Nous voici donc arrivés sur place. Nous déchargeons la voiture et nous installons dans notre pavillon.
Celui-ci est composé d’un grand séjour, de deux chambres, d’une cuisine et d’une salle de bain. Le séjour et une des chambres s’ouvrent sur une vaste terrasse couverte, donnant elle-même sur le jardin commun, les autres pièces sont à l’arrière et regardent vers les vignes à l’infini. L’endroit me semble parfait et, après avoir investi les lieux, nous nous mettons à la terrasse pour déguster notre premier apéro des vacances.
Isa et moi avons choisi d’occuper la chambre vers la terrasse et nous avons installé Nat et Caro vers les vignes! Vu que je suis un lève-tôt, ça me permettra de sortir par le jardin sans éveiller toute la maisonnée et de descendre à vélo jusqu’au petit port prendre mon premier café accompagné d’un croissant.
Nos amis n’arrivant que le lendemain, nous décidons d’aller dormir tôt, nous avons quand même fait un long trajet en voiture.
Le lendemain matin, comme à mon habitude, je me réveille vers six heures, frais et dispo après une bonne nuit de repos. Avant de sortir par la terrasse pour ma petite balade matinale, je me dirige vers la cuisine pour boire un peu d’eau car le vin d’hier soir m’a laissé la bouche un peu pâteuse.
Je m’aperçois que la porte de la deuxième chambre est entrouverte. Je jette un coup d’il distrait en passant et je vois ma petite Caro profondément endormie. Par contre, ça a l’air de bouger dans l’autre lit.
Intrigué, je regarde plus attentivement et je vois Nat qui se tortille dans son lit. Le drap de lit est secoué par de petites saccades au niveau de son ventre et le haut est également agité par des mouvements plus lents. Qu’est-ce qui lui arrive …? Elle n’a pas l’air malade et pourtant elle gémit tout doucement. C’est alors que je réalise: elle est tout simplement occupée à se branler.
Ca alors, je n’en crois pas mes yeux. La petite Nathalie, la fille de mes voisins, la baby-sitter de Caro qui se branle! Je mets quelques instants à réaliser puis je me dis que, tous comptes faits, il n’y a là rien d’étonnant: elle a dix-huit ans et, à son âge, je me branlais aussi, …et même bien avant.
A cette pensée, je sens que mon sexe se tend et, comme je dors nu, ça doit se voir. Diable, ce n’est pas tous les jours que je peux regarder une fille de dix-huit ans se masturber. Et je ne vais pas me priver du spectacle!
Malheureusement, elle est cachée par son drap qui la recouvre entièrement et je ne peux qu’imaginer ce qui se passe en dessous. Mais ça suffit à me donner une trique d’enfer dont je ne sais quoi faire. Je n’ai pas trop le temps de me poser la question car, rapidement, je vois les mouvements de Nat s’accélérer et, dans un ultime sursaut, son corps se tend, son ventre se soulève et elle jouit avec un soupir étouffé.
Je me retire prestement afin qu’elle ne s’aperçoive pas de ma présence car je ne veux pas la mettre dans l’embarras. N’empêche, ce que j’ai vu a suffi pour me donner envie d’en voir plus et je me promets de la tenir à l’il pendant ces vacances car je suppose que d’autres occasions se présenteront.
Mais maintenant, que faire avec la belle érection qu’elle m’a procurée. Je ne peux tout de même pas aller réveiller Isa et lui dire: "J’ai envie de baiser parce que j’ai regardé Nat se branler"! Je ne peux pas non plus aller me soulager aux toilettes car le bruit de la chasse d’eau réveillerait tout le monde et on me poserait des questions. Je fais donc la seule chose possible: frustré, je fais le deuil de mon érection, je retourne silencieusement dans ma chambre, j’enfile mon short et mes sandales et je sors par la porte-fenêtre. Je prends mon vélo et descends vers le port. Entretemps, mon sexe a repris des dimensions plus discrètes et je peux m’attabler devant mon premier café de la journée.
En remontant au pavillon sur le coup des neuf heures, je trouve tout mon petit monde levé et prêt à passer à table. Ça aussi, ça fait partie de mes habitudes: en rentrant de ma ballade, je ramène le pain et les croissants et on peut déjeuner dès mon retour. Le café est prêt, Isa et Nat sont habillées (légèrement, c’est l’été en Provence!), Caro m’accueille à bras ouverts.
Après le petit déjeuner, Isa fait la vaisselle avec l’aide de Nat et moi, je joue avec ma petite fille. Vers onze heures, nous décidons de descendre à la plage. A cette annonce, Caro ne se tient plus et nous partons par le petit chemin qui relie la propriété au bord de mer. Nat marche devant en poussant le buggy de Caro, Isa et moi suivons à dix mètres avec le matériel de plage.
Après ma découverte de ce matin, je ne regarde plus Nat de la même manière. Jusqu’à présent, elle était pour moi la gamine des voisins que j’avais vue grandir sans y porter plus d’attention que ça. Il faut dire que, quand nous avons emménagé, elle avait à peine dix ans.
Mais celle qui marche devant moi est devenue une belle jeune fille, avec tout ce qu’il faut là où il faut! Bien sûr, à cet âge-là, et pour autant qu’elles fassent un minimum attention, toutes les filles sont jolies … surtout quand elles portent peu sur elles, ce qui est le cas de Nat pour l’instant. Elle a revêtu une robe de plage en coton blanc, légèrement translucide, qui me permet de deviner sa silhouette à travers le tissu. Elle est mince, de taille moyenne, je dirais un mètre soixante-cinq, les cheveux blonds assez courts, de jolies jambes et de mignons petits seins pour autant que je puisse deviner. Disons, 85B à vue de pif. De plus, je constate qu’elle a une démarche ondulante que je n’avais jamais remarquée, ce qui achève de remettre le feu dans mon slip.
Evidemment, ça ne pouvait pas échapper à Isa qui, suivant mon regard, comprend tout de suite la cause de mon émoi.
"- On dirait que la petite Nathalie te fait de l’effet." me dit-elle. "Je peux te comprendre car c’est devenu une sacrée jolie fille sans qu’on s’en aperçoive. Mais, bas les pattes, c’est la baby-sitter de Caro, pas une proie à draguer pendant tes vacances."
Sur le fond, je suis d’accord avec elle mais, sapristi, ça va être dur d’éviter le mélange des genres.
Arrivés à la plage, nous nous installons à dix mètres de l’eau. Comme nous sommes au début de l’été, nous avons de la chance car il n’y a pas encore beaucoup de monde. Nous choisissons un endroit calme et je dresse le parasol. Isa étend les serviettes et nous prenons une boisson fraîche dans la glacière.
Impatiente de se baigner, Caro insiste auprès de Nat pour aller dans l’eau. Mais avant cela, il faut se de protéger du soleil. Isa retire donc la petite robe de Caro et Nat se débarrasse de sa robe de plage. Elle porte par dessous un petit bikini qui laisse plus que deviner ses formes. Je me dis alors que ça va vraiment être très difficile de ne pas la regarder avec envie. D’autant plus que, s’emparant du flacon d’huile solaire, elle commence à s’en enduire le corps avec des gestes lents, limites provocants! Quelle beauté!
Et, bien sûr, n’étant pas de bois, en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, mon maillot de bain est déformé par mon sexe qui se gonfle à toute vitesse devant ce spectacle. Et, tout aussi sûr, Isa s’en aperçoit aussitôt.
— – J’ai l’impression que je vais devoir éteindre beaucoup d’incendies cet été! Note que ce n’est pas pour me déplaire mais j’aimerais que tu penses aussi à moi quand tu bandes.
Confus, je l’attire contre moi et l’embrasse tendrement. C’est fou ce que je suis amoureux d’elle mais la vue d’une aussi belle plante ne peut laisser personne indifférent. Comment vais-je faire pendant un mois avec ce dilemme?
Après s’être habituées à la fraîcheur de la mer, ce qui, au passage m’a permis d’apercevoir les tétons dressés de Nat à travers le tissu de son soutif, les filles sont maintenant dans l’eau et elles jouent au ballon dans trente centimètres de profondeur.
Tout à coup, je sens la main d’Isa qui se referme sur ma virilité dressée et qui commence à imprimer des mouvements de va-et-vient que je connais bien. Se déplaçant discrètement, Isa se met entre le bord de l’eau et moi, cachant ainsi sa manuvre aux yeux des filles devant nous.
"- Je ne peux pas te laisser souffrir ainsi sans te porter secours, mon chéri." me dit-elle avant d’engouffrer ma verge turgescente dans sa bouche. Consciente qu’à tout moment on pourrait être surpris par des badauds ou, pire, par les filles, elle expédie sa petite affaire vite fait en me masturbant vigoureusement tout en me léchant la queue et les couilles. Je jouis brutalement dans sa gorge en me retenant de crier. Après tout ce que j’ai vu et imaginé ce matin, il était temps que je me soulage et ça m’a fait un bien fou de décharger dans la bouche accueillante de ma femme.
"- Ne crois pas t’en tirer comme ça!" me dit Isa un sourire aux lèvres. "- Tu as joui par mes uvres en regardant cette jolie jeune sylphide quasi nue, j’exigerai en temps voulu ma récompense."
— – Ne t’inquiète pas mon amour, je te rembourserai au centuple le bien que tu viens de me faire.
Le reste de la journée se passe comme toute journée de vacances, entre baignades, bains de soleil et farniente.
Vers dix-huit heures, je décrète le lever du camp et le retour au pavillon. En effet, nos amis Christine et Renaud ne vont pas tarder à arriver et la moindre des choses est d’être présents pour les accueillir. Tout le monde ramasse ses affaires et nous remontons vers nos pénates.
Après une douche bienvenue pour évacuer les traces de sel, nous nous installons à la terrasse avec un verre de vin. Il ne faut pas attendre plus d’un quart d’heure pour voir nos amis débouler à l’entrée de la propriété. Embrassades, commentaires à propos du voyage, visite de leur pavillon, nous décidons de prendre l’apéro ensemble avant qu’ils ne s’installent chez eux.
C’est le moment des présentations car Nat ne les connaît pas. Heureusement, ils sont accompagnés de leur fille Aline, âgée de dix-neuf ans, ce qui facilite la chose. Aline est une jeune fille au caractère assez renfermé, taiseux. Elle est généralement avare de paroles mais, vu la proximité d’âge avec Nat, le contact a l’air de bien passer. Elle est physiquement assez proche de Nat sauf qu’elle a de longs cheveux noirs et des seins nettement plus développés. Cela ne se remarque pas vraiment car elle s’habille toujours n’importe comment sans chercher à mettre son physique en valeur, ce qui est plutôt rare chez une jeune femme de son âge.
En fait, Christine m’a expliqué un jour que sa fille avait été victime de harcèlement pendant son adolescence et qu’elle en avait développé un sentiment de rejet de la gent masculine. En un mot comme en cent, Aline est devenue homosexuelle. Comme Nat est une fille, il n’y a donc pas de problème entre elles.
Le temps passe et il est l’heure de donner le repas à Caro et de la mettre au lit. Isa s’en charge pendant que j’aide Christine et Renaud à décharger leur voiture et à s’installer. Pendant ce temps-là, Nat et Aline font plus ample connaissance en discutant de sujets de leur âge.
Puis, comme nous hier, Renaud déclare qu’il est fatigué par la route et qu’il ne va pas tarder à aller dormir. Ça m’arrange plutôt bien car j’ai fermement l’intention de tenir au plus vite la promesse que j’ai faite à Isa ce matin sur la plage!
Je retourne donc à notre pavillon. La petite est au lit et dort déjà. Isa nous a préparé une légère collation et je suis étonné de ne voir que deux assiettes à table. Isa me dit que les deux jeunes filles ont décidé d’aller manger un morceau ensemble dans un des petits restos le long du port puis de sortir en boîte. Elles profitent du fait qu’Isa et moi restons au pavillon et que nous n’avons pas besoin de baby-sitter ce soir. Ma femme a précisé à Nat de ne pas faire de bruit en rentrant pour ne pas réveiller Caro. Dans ce but, elle a dit qu’elle laisserait la porte-fenêtre du séjour entrouverte pour éviter les bruits de clés.
Nous mangeons donc en tête à tête et j’en profite pour admirer la beauté de ma femme. Elle a revêtu une longue robe d’hôtesse en tulle semi-transparent, fendue des deux côtés jusqu’aux hanches et profondément décolletée dans le dos. Par dessous, elle n’a mis ni slip ni soutien-gorge. Dès qu’elle bouge, je vois ses jolis seins balancer et son pubis entièrement épilé m’apparaît fugacement. Lorsqu’elle se retourne, son dos est nu jusqu’à la naissance de ses fesses et le début de sa raie se dévoile. Bon sang, elle a vraiment l’art de m’enflammer et ce qui devait arriver ne tarde pas à se manifester. Je n’ai pas encore avalé ma dernière bouchée que mon short est déjà prêt à exploser.
Je m’empresse donc d’aller à la salle de bains me laver les dents (j’ai horreur de faire l’amour avec les dents sales!) ce qui me permet de me calmer un peu. Il était temps, je pense que je l’aurais bien embrochée sans attendre sur la table de la terrasse. Je reviens ensuite rapidement et m’assieds sur ma chaise. Isa est occupée à débarrasser les reliefs du repas et tous ses mouvements m’offrent un spectacle qui m’embrase aussitôt.
Après avoir déposé le plateau de vaisselle à la cuisine, je vois qu’elle s’isole aussi un moment à la salle de bain ce qui me confirme, si besoin en était, qu’elle a le même plan que moi pour la soirée. En effet, Isa a un rituel avant de s’offrir à moi: elle va soulager sa vessie pour éviter toute surprise, elle fait une toilette intime, répand un léger parfum sur son pubis et, comme moi, elle se lave les dents.
Lorsqu’elle revient, elle arbore un léger sourire et vient s’assoir sur mes genoux en soulevant les pans de sa robe au passage. Je sens alors ses fesses et sa vulve nues sur mes cuisses, ce qui achève de raidir ma queue. Ce n’est plus un sexe que j’ai dans mon short, c’est un pieu brûlant qui a écarté l’élastique. Isa ne se prive pas de frotter son sexe sur ma tige qui sort à moitié du short. Je sens qu’elle mouille abondamment, mes cuisses et ma queue sont trempées et nous n’avons même pas commencé!
Elle tourne son visage vers moi et pose ses lèvres chaudes et humides sur ma bouche. Avec la pointe de sa langue, elle écarte mes dents et vient l’enrouler sur la mienne. Nos langues s’emmêlent, nos salives se mélangent, nos températures montent dangereusement. Je passe alors ma main dans son dos nu et descends du bout des ongles le long de sa colonne vertébrale jusqu’à la naissance de sa raie fessière. Je la sens frissonner de plaisir, elle ne peut pas résister à cette caresse. Elle ronronne déjà de désir anticipé et je décide de pousser encore plus loin mon exploration. Ma main se glisse entre sa peau et le bord de la robe, contourne ses côtes et arrive sur son sein droit. Je sens le téton se dresser instantanément et je le roule entre mes doigts. Je sais qu’elle ne va pas pouvoir résister longtemps et, de fait, elle passe sa main entre nos corps, achève de sortir mon sexe de mon short et se met à le malaxer. Elle se dresse légèrement sur la pointe des pieds, guide le bout de mon gland vers l’entrée de son vagin et se laisse tomber d’un seul coup.
Bien enfoncée jusqu’à la garde, elle reste immobile un instant, se délectant de l’envahissement total de son fourreau. Puis, tout en continuant à m’embrasser fougueusement, elle se met à monter et descendre le long de ma hampe. Je réponds à ses mouvements en donnant de grands coups de reins pour qu’elle sente bien ma trique frapper le fond de son sexe. Je lui malaxe un sein directement sur sa peau nue, l’autre à travers le fin voile de son vêtement.
Il ne faut évidemment pas longtemps pour qu’on atteigne le paroxysme du plaisir et nous explosons ensemble dans un magnifique orgasme. Tout ça sur la terrasse extérieure!
Je ne pense pas que nous ayons pu être observés en plein ébat car, entretemps, le jour a décliné et la luminosité est faible. De plus, Isa a gardé sa robe sur elle et tout ce qu’un éventuel voyeur aurait pu voir, c’est un couple sembrassant passionnément … et agité de quelques soubresauts! Et puis zut, nous sommes amoureux et l’amour n’est pas un crime.
Après avoir récupéré un peu, Isa se relève. Je sens mon sexe encore à moitié gonflé se retirer à regret de sa chatte.
— – Tu m’as dit ce matin, lorsque je t’ai fait une gâterie sur la plage, que tu me rembourserais au centuple. Je n’ai pas oublié et je n’ai surtout pas l’intention de te faire crédit. Ce n’est donc pas avec un seul orgasme, même s’il était délicieux, que tu as payé ta dette. Donc, on continue! Mais nous allons rentrer car ici on ne voit plus rien et j’adore te regarder pendant que tu me baises.
Nous rentrons dans notre chambre et tirons les rideaux pour pouvoir allumer car, comme Isa vient de le dire, nous ne concevons ni l’un ni l’autre de faire l’amour dans le noir. La jouissance du corps de l’autre, ça passe par tous les sens. D’abord le toucher, par les caresses buccales, manuelles et sexuelles, ensuite le goût par le mélanges des liquides corporels, l’ouïe en profitant des gémissements, râles et soupirs du partenaire, l’odorat en respirant ses parfums intimes et, enfin, la vue en admirant les corps qui bougent et s’entremêlent.
Isa se plante devant moi et fait glisser les bretelles de sa robe qui tombe à ses pieds. Elle est maintenant entièrement nue à un mètre de moi. L’intérieur de ses cuisses dégouline d’un mélange de cyprine et de sperme. Elle est belle et désirable à se damner.
Quant à moi, je me suis immédiatement débarrassé de mon short en me levant et je suis donc déjà en tenue de combat. Suite à mon éjaculation sur la terrasse, ma verge a diminué de volume mais Isa connaît la recette pour me remettre en forme. Elle tombe donc à genoux à mes pieds, empoigne ma queue et l’engouffre toute entière dans sa bouche. Elle lèche ma hampe et mon gland pour les nettoyer du même mélange de sperme et de cyprine que sur ses cuisses. Elle avale goulument jusqu’à la moindre goutte de ce divin mélange et, malaxant d’une main mes testicules et masturbant de l’autre ma tige, elle entreprend avec succès de redonner forme à celle-ci.
Me voilà prêt pour le deuxième round qui a toutes les chances de durer bien plus longtemps que le premier. Isa le sait et c’est pourquoi elle m’a rapidement fait jouir sur la terrasse.
Je la prends par les épaules, la fais se relever et l’enlace dans une étreinte brûlante. Ma langue danse la sarabande dans sa bouche, mes mains courent tout le long de son merveilleux corps, mon sexe tendu se frotte contre son ventre. Je la bascule alors sur le lit. Je relève ses jambes et les écarte au maximum. Son compas est grand ouvert, ses petites lèvres gonflées et palpitantes, son clitoris dressé comme un petit sexe. Je fourre ma tête entre ses cuisses et entreprends de lui prodiguer le même nettoyage que celui dont je viens de profiter. La seule différence, c’est que, plus je lèche et plus elle mouille, surtout que je viens d’introduire dans sa chatte deux doigts que j’agite frénétiquement.
Elle commence à sérieusement monter dans les tours et, pour l’achever, je m’étends sur elle dans la bonne vieille position du missionnaire. Je n’ai même pas besoin de guider mon sexe vers l’entrée de son vagin, il connaît le chemin par cur! D’une puissante poussée je m’enfonce d’une traite jusqu’à la garde et elle noue ses jambes autour de mes hanches. Sans transition, je la besogne profondément jusqu’à la mener vers son deuxième orgasme de la soirée. Au moment de jouir, elle lance un long cri semblable au feulement d’une tigresse en chaleur et m’enfonce ses ongles dans le dos. Elle ne peut retenir un violent jet d’éjaculation féminine puis est agitée de soubresauts qui semblent ne jamais finir. Elle halète, secoue la tête de gauche à droite, transpire à grosses gouttes. Je ne l’ai jamais vue jouir aussi violemment!!! Comme quoi, pas besoin de rechercher des positions acrobatiques pour atteindre le nirvana.
Petit à petit, elle se calme et revient sur terre. Elle en a les larmes aux yeux.
"- Mon Dieu, que c’était bon! Je croyais avoir tout connu entre tes bras mais, non, tu arrives encore à me faire découvrir de nouveaux délices." me dit-elle. "- Comme on a parlé ce matin de Nat et de son joli corps, au moment de venir, je t’ai imaginé en train de lui faire la même chose qu’à moi et ça m’a complètement fait flipper."
C’est très flatteur pour moi et je range sa réflexion dans un coin de ma tête: elle m’a donc imaginé en train de baiser Nat et ça semble lui avoir fait un effet canon. Ce n’est donc pas elle qui s’y opposerait le cas échéant, bien au contraire. Il est vrai que, lorsque j’ai découvert sa relation saphique avec Maud, dont je profite depuis, j’ai réalisé qu’Isa n’était pas insensible aux charmes des corps féminins. Du coup, je me dis que la relation à trois que nous connaissons avec Maud pourrait peut-être se répéter avec Nat! Encore faut-il que celle-ci y consente.
Cette superbe perspective m’excite d’autant plus que, si Isa a déjà joui deux fois ce soir, moi, j’en veux encore et je bande toujours comme un taureau. Il est grand temps que je nous mène à l’apothéose pour ce soir.
J’empoigne donc Isa par la taille et la retourne. J’attrape ses hanches à deux mains et lui soulève le postérieur puis j’appuie sur ses épaules pour les plaquer sur le lit. Elle est maintenant à genoux, la tête et les avant-bras posés sur le matelas, la croupe offerte à mon gourdin impatient. Je me mets donc derrière elle et m’introduis tout doucement dans son fourreau dégoulinant de cyprine afin qu’elle ressente chaque millimètre de pénétration de mon membre. Lorsque je suis bien au fond, je m’arrête un instant pour sentir les palpitations de ses muscles intimes sur ma hampe. Elle me masse le sexe par l’intérieur. C’est magique! Je resterais bien comme ça toute la nuit mais j’ai surtout envie de jouir.
Je me mets donc debout sur le lit de façon à être bien au-dessus d’elle. Cette position me permet de la prendre en levrette au plus profond de son ventre. Je l’empoigne par les hanches et commence à rentrer et sortir de son vagin de plus en plus violemment. A chaque pénétration, mon gland vient frapper son utérus et mes couilles cognent ses fesses. Jahane sous l’effort et elle pousse un cri chaque fois que je viens en butée. Je la pistonne comme une bielle de locomotive lancée à pleine vitesse et je sens progressivement les picotements monter dans mes reins. Mon sperme envahit mon urètre et j’explose dans un gigantesque orgasme. J’éjacule des flots de jus dans le ventre de ma femme en beuglant pendant qu’elle pousse un râle de plaisir en dégustant son troisième éblouissement.
Epuisé, je m’affale sur le dos d’Isa qui, sous ce poids, glisse elle-même sur le ventre. Je suis toujours enfoncé en elle et mon sexe commence à se relâcher. Je passe les mains sous son corps et caresse avec tendresse ses seins durcis par tant jouissance accumulée. Il faut dire que ce soir, nous avons fait fort!
Lorsque nous avons retrouvé nos esprits, nous nous étendons côte à côte sur le dos et nous enlaçons nos doigts dans un geste d’amour. Avant d’éteindre la lumière, je me dis que demain il faudra que je vérifie toutes les serrures des portes intérieures car aucune ne ferme correctement. Je viens encore de voir bouger celle de notre chambre.
Là-dessus, je ferme les yeux et m’endors d’un profond sommeil.
Le lendemain matin, vu mes prestations de la veille, je me réveille un peu plus tard. Il est sept heures et, apparemment, tout le monde dort encore. Hier soir, j’étais tellement assommé que je n’ai même pas entendu Nat rentrer. J’imagine qu’elle et Aline se sont bien amusées et qu’elles sont rentrées passablement tard.
Je décide quand même d’aller vérifier que tout va bien car je me sens responsable de la fille de mes voisins. Elle est fraîchement majeure mais ses parents me l’ont confiée et je dois assumer.
Je vais donc jeter un il dans la chambre d’à côté. Caro dort profondément et je suis rassuré quand je vois la silhouette de Nat dans son lit. Elle a l’air de dormir, tout est en ordre… sauf que, au moment où je vais m’éloigner, je vois Nat bouger. J’ai à peine le temps de réaliser que je constate qu’elle s’est à nouveau lancée dans une séance de masturbation! Décidément, elle a l’air de faire ça à n’importe quelle heure mais ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre. Puisqu’elle semble en être au tout début, je me dis que j’aurai peut-être la chance d’en voir plus que la veille bien que son satané drap la dissimule toujours à mon regard.
La petite a l’air d’avoir de l’endurance et de l’habileté à retarder son plaisir car je reste à l’observer discrètement pendant plus d’un quart d’heure avant que son corps ne se tende et soit pris de tressautements. Elle vient encore de jouir devant mes yeux.
Je repense à ce qu’Isa m’a dit hier soir et je réfléchis afin de trouver un moyen pour amener Nat dans notre lit. Manifestement, elle a le feu au corps, Isa en a envie et ne parlons même pas de moi! Ça devrait donc pouvoir se faire mais comment y arriver sans prendre le risque de la choquer et de passer ensuite pour un obsédé sexuel aux yeux de tout le quartier où nous habitons. Prudence quand même car, si cette fille m’enflamme, je ne vais pas risquer ma réputation pour un coup d’un soir, aussi tentant fût-il.
Bon, ne précipitons pas les choses, on verra bien, le hasard me sera peut-être favorable.
……………………..
Les vacances se passent agréablement entre plage, excursions, plongée sous-marine et ski nautique (Renaud a amené son bateau). Nous allons régulièrement avec nos amis au restaurant le soir ce qui justifie la présence de Nat auprès de Caro. En dehors de ses prestations de baby-sitter, Nat est généralement en compagnie d’Aline qui lui a appris à skier.
Je ne vous ai pas encore beaucoup parlé de Christine et Renaud pour la bonne raison qu’il n’y a pas grand-chose à en dire dans le cadre de ce récit. Ils ont environ dix ans de plus que nous, Christine est secrétaire de direction dans une grande entreprise de construction où son mari officie comme commercial. C’est une gentille femme et je m’entends particulièrement bien avec elle mais je n’ai aucune attirance physique pour elle. Outre la différence d’âge, elle n’est ni belle ni moche, disons transparente…
Son mari par contre est un chaud lapin et saute sur tout ce qui porte jupon. Il a évidemment essayé avec Isa mais il s’est pris un tel râteau qu’il n’est pas près de recommencer. Quand je l’ai vu entamer ses manuvres d’approches, je n’ai pu m’empêcher d’en sourire car je savais comment ça allait se terminer. Je vous l’ai dit, Isa est la femme d’un seul homme (moi en l’occurrence pour mon plus grand bonheur) et il n’avait aucune chance.
Par contre, il semble de plus en plus évident qu’elle est tentée par d’autres femmes et qu’en plus elle veut m’en faire profiter. Elle sait qu’un homme a difficile à détourner le regard en présence d’une jolie fille et que la température a vite tendance à s’emballer dans son slip dès que l’imagination s’en mêle. C’est donc sa manière de gérer le sujet et de s’assurer de mon amour: plutôt que de prendre le risque que j’aille voir ailleurs, elle choisit elle-même les filles qui lui plaisent et elle me les offre en partage.
Ceci dit, revenons à nos moutons.
Une semaine de vacances s’est donc déjà écoulée. Tous les soirs, je m’arrange pour rembourser ma "dette" à Isa! Nous baisons comme des fous, toutes les positions du kamasutra y passent et nous en ressortons chaque fois repus de jouissance.
En prime, tous les matins, je me régale du spectacle de Nat qui semble accro à la masturbation. Ma seule déception, et elle n’est pas mince, c’est qu’elle semble aussi accro à son drap de lit! Après une semaine complète d’observation, j’ai vu de nombreux orgasmes mais pas un seul petit centimètre de pubis ni un petit bout de sein. Méga frustrant! Isa, à qui j’ai raconté ces petites séances regarde parfois avec moi et s’amuse de la situation car elle se rend compte qu’au final c’est elle qui profite de mon excitation.
Cet après-midi à la plage, Isa m’a fait une révélation qui me remplit d’espoir. Elle m’a dit:
— – Je me demande si Nat ne nous épie pas quand nous faisons l’amour. J’ai chaque fois l’impression que la porte de notre chambre bouge pendant qu’on est en pleine action. Je sais que tu as essayé d’arranger les serrures et qu’elles ne vont pas bien mais quand même. Note que ça ne me dérange pas car cette fille m’émoustille et je sais que tu bandes pour elle. Mais laisse-moi faire, on va en avoir le cur net.
Ce soir donc, nous allons nous coucher vers 23h. Comme tous les soirs, nous nous déshabillons mutuellement en nous prodiguant force caresses et baisers. La température de nos corps monte rapidement et nous basculons sur le lit. Isa engloutit mon membre dans sa bouche et commence à me lécher, me sucer et me masturber. Il ne faut pas longtemps pour que je présente un gourdin impressionnant dont j’ai hâte de me servir. Je m’apprête à embrocher ma femme lorsque je l’entends dire à faible voix:
— – Je sais que tu es derrière la porte Nat. N’aie pas peur, tu peux entrer, nous ne sommes pas choqués parce que tu nous observes.
Du diable si je m’y attendais. Mais rien ne se passe. Ou plutôt si, j’ai l’impression que la porte a légèrement bougé. Mais rien de plus.
— – Allons, ne fais pas la timide, puisque tu nous regardes faire l’amour depuis une semaine, c’est que ça t’intéresse. Alors viens en profiter avec nous.
Et à mon grand étonnement, je vois la porte pivoter et Nat apparaître dans notre chambre. Elle a le feu aux joues. De honte ou d’excitation…? Isa avait donc bien vu et elle a résolu tout naturellement le problème que je me posais depuis des jours: Nat est dans notre chambre alors que nous sommes tous les deux nus, prêts à baiser comme en témoigne la trique que j’arbore.
Nat ne porte sur elle qu’une nuisette courte et décolletée qui lui descend jusqu’à mi-cuisse. Elle semble hésiter mais Isa lui tend la main qu’elle prend. Isa la tire alors tout contre elle et lui colle un baiser brûlant. Au bout de quelques secondes, je me rends compte que Nat répond au baiser d’Isa et se laisse aller. Leurs langues s’entremêlent et leurs mains commencent à courir sur le corps de l’autre. Ca y est, l’incendie est allumé et plus rien ne pourra l’éteindre si ce n’est le pompier de service avec sa lance: moi et ma queue turgescente.
Je suis excité comme un puceau. J’ai compris que maintenant les dés sont jetés: nous allons enfin faire l’amour avec cette superbe ado d’à peine dix-huit ans.
Isa attire Nat sur le lit et la couche sur le dos. Elle continue à l’embrasser à pleine bouche et glisse une main dans son décolleté. Je la vois malaxer les seins de Nat à travers le tissu.
De mon côté, je ne peux plus résister. Je relève la nuisette de Nat et dévoile son pubis. Il est garni d’une légère toison blonde qui ne cache pas son sexe. Je glisse mes mains entre ses cuisses, en caresse l’intérieur puis les écarte. Sa vulve est maintenant grand ouverte, son clitoris est dressé et ses petites lèvres palpitent. Sa chatte est une supplique à l’amour et j’entame mon hommage à sa beauté.
J’approche mon visage de son mont de Vénus et je m’enivre de ses effluves. Elle dégage un parfum discret où se mêlent une odeur de violette due à son savon de toilette et l’odeur musquée de ses sécrétions intimes déjà bien abondantes. J’écarte délicatement ses petites lèvres et pose ma langue sur son clitoris gonflé de sang. C’est comme si je l’avais électrocutée: elle pousse un cri et tout son corps se bande. Je commence alors à lécher son petit bouton rose et ses petites lèvres. J’introduis ma langue dans l’ouverture de son vagin et me soule de sa cyprine qui coule sans fin. Elle répond à mes coups de langue en ondulant du bassin et pousse un gémissement continu. Je pénètre dans son vagin avec un doigt et, très rapidement, je rencontre la barrière de son hymen.
Comme je m’en doutais, elle est vierge ce qui me met une responsabilité supplémentaire. Serai-je celui qui va la déflorer? On pourrait bien sûr se contenter des préliminaires mais, au point où j’en suis, ce serait une énorme frustration. Cependant, c’est à elle de décider. Je lui dis donc:
— – Nat, comme je le pensais, je viens de constater que tu es vierge. Je constate que tu prends un plaisir extrême sous nos caresses et que tu ne demandes qu’à les prolonger. Mais es-tu bien consciente que, si on continue, nous ne tarderons pas à atteindre un point de non-retour et que tu perdras ta fleur unique. Est-ce bien ça que tu désires ou préfères-tu qu’on se calme et qu’on n’aille pas plus loin. Il est encore temps d’arrêter.
— – Non Cédric, c’est déjà trop tard. Si tu ne me prends pas sur-le-champ, demain matin j’irai m’offrir au premier garçon que je rencontrerai!
Alors ça, jamais! Plutôt mourir que de laisser s’échapper une chance pareille.
— – Dans ce cas, dis-moi si tu te protèges car je ne voudrais surtout pas que tu te retrouves enceinte de mes uvres.
— – Ne t’inquiète pas pour ça. Comme c’est la première fois que je partais en vacances sans mes parents, ma mère m’a obligée à prendre la pilule depuis trois mois.
Je bénis mentalement l’esprit avisé de cette brave dame, plus rien ne s’oppose à ce que je passe à l’action. Ma décision est donc prise: c’est bien moi qui vais la déflorer.
Je me redresse dans le lit et empoigne le bas de sa nuisette que je lui fais passer par-dessus la tête. Elle est maintenant entièrement nue devant moi dans toute la splendeur de sa jeunesse. Ses petits seins sont fièrement dressés, durs comme du marbre, ses tétons pointus sont érigés au milieu de ses aréoles roses. Son ventre est plat, sa peau est douce, comme veloutée. Sa bouche est entrouverte et le bout de sa langue passe entre ses lèvres semblant attendre le contact d’une autre langue. Elle est splendide.
Je me mets donc entre ses cuisses et approche mon dard de l’entrée de sa grotte. Je guide le bout de mon pénis entre ses petites lèvres pour être sûr de ne pas me présenter de travers et de ne pas lui faire plus mal que nécessaire. Lorsque mon gland rentre en contact avec son clitoris, elle se met à trembler de tout son corps. Le moment fatidique approche et elle le sait. Elle s’en délecte à l’avance.
Heureusement, elle mouille énormément et mon sexe pénètre sans difficulté dans l’entrée de son vagin. Immédiatement, mon gland vient buter contre son hymen. Je m’arrête de pousser, comme pour lui laisser un ultime moment de réflexion. J’attends encore un petit instant mais je sais déjà que je ne reculerai plus!
Isa est à genoux à côté de nous et observe la scène avec gourmandise. Elle a mis deux doigts dans son vagin et se masturbe furieusement tout en se caressant les seins de l’autre main. Elle est hyper excitée par le spectacle que nous lui offrons. Diable, ce n’est pas tous les jours qu’on regarde son mari déflorer une ado!
Tout à coup, c’est Nat elle-même qui met fin au suspense. D’un brusque coup de reins, elle se soulève et vient s’empaler d’un seul coup sur ma verge. Elle noue ses jambes autour de mes hanches et les referme pour m’empêcher de bouger. En même temps, elle entoure mon torse de ses deux bras et me serre encore plus fort. Ses seins sont écrasés contre ma poitrine. Je ne pourrais pas bouger d’un poil mais ça tombe bien: je n’en ai aucune intention. La sensation que je ressens est tellement délicieuse que je voudrais qu’elle se prolonge éternellement. Son jeune vagin tout neuf est tellement étroit que je sens les battements de son cur dans ma queue. Et ça bat la chamade!
Je la regarde avec tendresse et reconnaissance car elle vient de m’offrir ce qu’elle avait de plus précieux: elle. Ses yeux sont fermés, son joli visage est légèrement crispé, des gouttes de sueur perlent sur son front, sa respiration est haletante. Je pose ma bouche sur son front et lèche délicatement les perles de sueur. Elle commence à se détendre et, tout en gardant les yeux fermés, elle esquisse un merveilleux sourire. Je descends alors mes lèvres vers les siennes et lui donne un long baiser. Pour la première fois, nos langues s’entremêlent et nos salives se mélangent. Son baiser est maladroit mais tellement spontané que j’en suis tout ému.
Bienvenue dans le monde des adultes, Nat!
Tout doucement, elle relâche la pression de ses bras et de ses jambes et commence à bouger son bassin. Je ne précipite rien car je veux qu’elle imprime elle-même le rythme de notre premier rapport sexuel. Pour rien au monde je ne voudrais la faire souffrir.
Je la sens se soulever vers moi puis redescendre et je l’accompagne. Pendant un long moment, ses gestes sont lents et de faible amplitude. Puis, petit à petit, elle accélère et augmente la profondeur de ses va-et-vient. Je réponds à cette demande et reprends tout doucement les commandes. Mes mouvements se font progressivement plus amples, le rythme monte. Elle est maintenant tout à fait libérée et je peux la pénétrer à fond, comme je le ferais avec Isa (qui ne perd pas une miette du spectacle!).
Comme c’est ma première chevauchée de la soirée, je sens le plaisir monter rapidement dans mes reins mais je me retiens car je veux absolument que Nat connaisse l’orgasme vaginal dès son premier rapport sexuel. Aux soubresauts de son ventre, je comprends qu’elle est occupée à venir et je pousse encore plus à fond mon pénis dans son fourreau brûlant. Elle pousse alors un long gémissement et se tend comme une corde de violon. Je ne peux plus résister et je laisse libre cours à mon orgasme. J’éjacule dans son ventre au moment exact où elle jouit avec un long râle.
En écho, j’entends Isa émettre un profond soupir: elle a atteint son but en même temps que Nat et moi. Elle se laisse tomber sur mon dos, ivre de plaisir et me couvre de baisers humides. Le sexe de Nat palpite sur le mien durant de nombreuses minutes puis tout se calme. C’est alors que je réalise vraiment ce qui vient d’arriver: la fille de mes voisins s’est transformée de baby-sitter à amante passionnée!
Nous démêlons la lasagne à trois couches que nous formons et nous nous étendons côte à côte sur le lit, moi au milieu, Isa et Nat de chaque côté.
Emportés par le désir, nous n’avons pas pris les précautions nécessaires pour protéger les draps. Je m’attendais donc à trouver des traces de sang sur la literie mais non, pas la moindre goutte. Nat fait sans doute partie de ces filles dont l’hymen est si souple qu’il se laisse pénétrer sans saignement, voire sans douleur ou presque. C’est ce qui lui a permis d’avoir un premier rapport harmonieux ponctué d’un vrai et profond orgasme. Par contre, le drap est largement souillé de cyprine et du sperme qui est ressorti du vagin de Nat.
Je suis épuisé par cette débauche d’efforts et d’émotions et, pour une fois, je décide d’en rester là pour aujourd’hui. Cela me permettra de savourer à mon aise le merveilleux moment que je viens de partager avec la femme de ma vie et la plus désirable des jeunes filles.
Nat se dresse alors sur un coude et pose un doux baiser sur mes lèvres.
— – Merci Cédric pour ce moment merveilleux. Tu as fait de moi une femme avec beaucoup de douceur et d’amour. Et merci Isa de m’avoir offert ton homme pour ce passage inoubliable. Je pense que, quoi qu’il advienne dans ma vie, je n’oublierai jamais votre générosité à mon égard. Je dois aussi vous présenter mes excuses pour vous avoir espionnés tous les soirs pendant que vous faisiez l’amour, mais je n’ai pas pu résister. Il faut dire, Isa, que tu avais placé la barre très haut dès le départ. J’ai bien vu le premier jour sur la plage que tu offrais une fellation à ton mari et ça m’a embrasée instantanément.
"- Ah, parce que tu as vu ça aussi!" s’exclame Isa. "- Note que tout ça ne nous choque pas et tu n’as pas besoin de t’excuser. Mais ce que tu ne sais sans doute pas c’est que j’ai dû faire ça pour éteindre l’incendie que tu avais allumé dans son slip en te masturbant le matin. Il t’avait vue et, d’ailleurs, depuis lors, il te reluque tous les matins durant ta petite séance de bien-être!"
— – Oui, oui, je sais. Je l’ai remarqué dès le premier jour et, de savoir qu’un homme me regardait me branler, ça a décuplé mon plaisir. C’est pour ça que, dès le lendemain, je t’attendais avant de démarrer ma branlette et que tu as pu assister chaque jour à l’exercice complet! Et j’ai toujours gardé mon drap sur moi pour que ça t’excite encore plus! D’ailleurs, ce n’est pas par hasard que la porte de ma chambre était entrouverte tous les matins: je la laissais ainsi intentionnellement tous les soirs après vous avoir regardé faire l’amour. Je ne vous cacherai pas non plus que pendant que vous baisiez, je me branlais et ce spectacle m’a procuré mes plus beaux orgasmes jusqu’à aujourd’hui!
Et dire qu’on la prenait pour une jeune oie blanche et innocente!
Après ces explications croustillantes, je ferme les yeux bien décidé à m’endormir car je suis vidé et je crains que la conversation ne glisse à nouveau vers un embrasement généralisé et, honnêtement, je ne pourrais plus. Et, de fait, je m’endors instantanément.