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Une belle-fille particulière – Chapitre 3




Nous continuons, sa mère et moi à nous astiquer dans tous les coins pendant encore dix bonnes minutes quand on entend notre Chloé remuer comme une folle sur son siège, les yeux presque à la renverse, son corps tout entier secoué de soubresauts !

On se lève vite, sagenouillant devant elle en lui prenant chacun une main dans les nôtres et lui disons : « Pas tout de suite ma chérie, on a tout notre temps, on vient à peine de commencer. »

Nous laccompagnons jusquau lit et je la vois, enfin devant moi, debout dune féminité à tomber par terre, son doux visage dange, ses magnifiques yeux noirs teintés dun soupçon de lubricité avec sa large poitrine mais pas trop grosse (je sais quelle fait un 85 d), ses hanches sculptées à la perfection et tout cela agrémenté dune belle «bite de femme» que je peux enfin détailler : elle doit bien atteindre les 25 ou 28 cm pour un diamètre de 5 ou 7 cm et encore elle sest un peu ramollie, un filet de pré-sperme reliait lintérieur de sa cuisse au bout de son gland et Stéphanie pose sa main sur sa peau pour retirer ce petit filet et sa queue réagi en une fraction de seconde, comme si elle avait reçu une décharge électrique et elle sursaute brusquement un coup en lair en giclant une grosse goutte qui atterrit sur mon visage !

Nous éclatons tous de rire et je sens la chaleur de cette chaude perle couler sur ma lèvre supérieure, je passe naturellement un coup de langue dessus que je remets dans ma bouche.

« Délicieux ma chérie »

Quand elles me voient faire ça, Chloé de remet à bander de plus belle et Stéphanie veux, elle aussi goûter ce succulent breuvage et lui lèche la cuisse ou il y avait encore un peu de crème. Si ma mémoire est bonne je crois quelle peut en déverser des litres et des litres !

Stéphanie a une idée pour atténuer un peu la sensation tactile de nos mains sur sa peau « tu devrais enfiler une paire de collants ça sera beaucoup mieux tu vas voir. »

« Ok maman, par contre tu mas dit que je pouvais vous demander des trucs alors jaimerais bien que vous refassiez un 69 et quOlivier fouille tes fesses avec sa langue, jadore vous voir faire ça ».

On sexécute pendant quelle revêt son collant et nous rejoint sur le lit, sa belle queue enveloppée dans le textile soyeux de son écrin de Nylon.

Nous lui caressons langoureusement les pieds, les chevilles, les jambes et les cuisses pendant quelle se tortille doucement en ronronnant.

Notre ascension se dirige inexorablement vers sa verge qui commence à déformer le collant, Stéphanie lui masse la queue pendant que lui caresse et malaxe les couilles sans oublier quelques chatouilles avec mes ongles.

Elle est aux anges, gémit de plaisir et se lèche les lèvres en ondulant du bassin.

Dans la chambre, règne un calme plat. Seul le souffle de Chloé, de plus en plus saccadé vient donner du rythme à ce spectacle esthétique éblouissant de tendresse.

Stéphanie sort alors une paire de ciseaux dun tiroir pour ajourer le collant et ainsi libérer le sexe et les testicules de sa fille.

Une fois la bite et les couilles à lair libre, cuisses bien écartées Chloé nous demande avec son plus beau sourire : « Alors ! Qui suce ma bite maintenant ? »

Au moins, on ne peut pas lui reprocher de nous saouler avec des circonvolutions verbales.

Je navais quune envie : me jeter la tête la première, bouche ouverte sur ce pénis et lui administrer la meilleur des fellations de sa vie, puis jai réalisé que je navais jamais pratiqué une chose pareille, à part une fois ou deux sur un gode pour faire le malin devant une compagne.

Finalement jai pensé à une alternative plus sage et rationnelle et jai dit :

« Je pense quen la matière, Maman a quand même plus dexpérience que moi, je ne voudrais pas te blesser belle fille chérie, ha ha ha ! »

« Vas-y Maman, toi Olivier tu vas lécher mes bonnes couilles pleines de sauce ! »

Ce rôle de subalterne mallait à merveilles et son franc parler commençait à bien mexciter.

Prévoyant, comme je savais que lon allait être occupés pas mal de temps je décide daller chercher une bouteille deau dans la cuisine. Mais au lieu de my rendre directement je mimmobilise un instant derrière la porte en espérant entendre un phrase du genre « Alors, ça te plais ? Le comportement dOlivier te convient ? ».

Au lieu de quoi jentends « Maman taurais dû aussi faire un trou à larrière du collant, tu sais bien que ça me rend dingue quand tu me doigte le cul ! » Puis, comme un bruit de claque sur les fesses et Stéphanie dire « Tais-toi ! si il tentend on est démasquées ! Tes folle, ou quoi ? »

Jétais sur le cul, bouleversé. Un peu en colère, pour quoi dailleurs, parce quelle mavait menti ou bien pour avoir été assez naïf dimaginer quil ne se serait rien passé entre elles durant la traversée de leur désert affectif et sexuel ?

Quel naze je fais ! Bon comment jopère maintenant que je sais quelles se « gouinent ?», je ne sais même pas quel terme employer pour qualifier un acte sexuel de cette nature, qui me rend fou dexcitation par ailleurs.

Je vais faire comme si je navais rien entendu, moi aussi jai droit à mes petits secrets.

Aussitôt, la mécanique audiovisuelle de mon cerveau minonde de courts-métrages dans lesquels je les vois se donnant du plaisir, Stef godant le cul de la petite en lui dévorant la queue et Chloé lui fourrant sa bite je ne sais où !

Tout cela me rend fou et jimagine des scènes dignes des plus grands pornos quand tout à coup un flash me revient : tout au début de notre relation, je passe chez elles après le travail et Stéphanie, chaude comme je ne lavais jamais vu me saute dessus et au moment de la pénétrer une minuscule coulée de sperme sort de son vagin.

Je lui fais remarquer et me répond

« Tu ne souviens même plus quon sest vu à midi nigaud ? Hé bien ! Ça fait plaisir ! »

Cela me parut inconcevable quelle garde ma semence en elle tout ce temps mais bon, cétait le début puis le chaud et doux fourreau dans lequel je venais de mintroduire eurent raison de ma logique et je chassais vite cette pollution de ma pensée.

Plusieurs autres moments aux déroulements déroutant me revinrent à lesprit comme quand

« Hé ! Tu es parti la chercher où cette bouteille deau ? Si tes descendu chez le Pakistanais jespère que tu as pris mon imper sur la porte dentrée car tes fringues sont toujours dans la chambre ! » Suivi déclats de rires venant de la chambre. « Jarrive les filles, je me rafraichissais un peu ».

Il est clair que pour être frais jétais bien frais puisque javais passé au moins 5 minutes à poil devant le « frigo » la porte ouverte sans débander.

(Record à battre !)

De retour dans la chambre je file me réfugier sous les draps tellement jai froid. Elles sen aperçoivent et entreprennent de me réchauffer pour me remercier dêtre allé si loin leur chercher de leau.

Leurs mains douces et chaudes sur ma peau me font le plus grand bien et si je ne bandais pas autant je me serai bien laisser aller à une petite sieste.

Mais pas question de sassoupir quand la bouche Stéphanie sempare de mon sexe et que celle de Chloé se pose délicatement sur la mienne.

Surtout quune autre pensée vient de simmiscer dans ma tête déjà perturbée : et si Camille participait aussi à leurs orgies triangulaires ?

(à suivre )

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