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Baise-moi Hector – Chapitre 1




Hector est un jeune homme de 30 ans, vivant seul. Il est actionnaire dans plusieurs grandes entreprises de la place, ce qui lui vaut ses 3 maisons et ses 6 voitures. Mesurant 1m87, il est brun avec une belle chevelure de footballeur.

Un jour de pluie, il quitte le bureau un peu tard, disons vers 23h du matin. Il pleut des cordes, mais malgré les lampadaires de la ville et ses phares, la route n’est pas très visible. Hector roule en pensant à ce qu’il pourra bien faire ce Week-end vu qu’il n’a rien de prévu. Il ne fait pas trop attention à la route et ne remarque pas de premier abord cette silhouette humaine en plein milieu de la route. Lorsqu’il vit la silhouette, il se mit à klaxonner et commença à freiner. Mais avec la pluie, la route est glissante. Néanmoins, il arrive à s’arrêter à 2 centimètres de cette personne. Il vit que c’était une jeune femme. Il descendit et s’approcha d’elle. Elle tremblait, toute chétive.

Ça va Mademoiselle ?

Elle se tourna vers lui, son regard exprimait une grande peur et de la tristesse.

Voulez-vous que je vous raccompagne chez vous ? Demanda-t-il.

Elle le regarda pendant 2 secondes et se mit à lui donner des coups avec ses petites mains frêles.

Pourquoi vous ne m’avez pas écrasée ? Allez remonter dans votre voiture et roulez-moi dessus.

IL attrapa ses mains, l’attira à lui et lui fit un gros câlin. A ce moment, il se rendit compte qu’elle pleurait.

Vous allez venir avec moi cette nuit, vous reposer et remettre vos idées en place.

Tout ce que je veux, c’est disparaître.

Il l’a conduit à la voiture, la portière côté passager et la fit s’asseoir. Il s’assit à sa place et reprit la route. Tout le long du trajet, elle pleurait en répétant" j’en peux plus". Arrivé chez lui, Hector remarqua qu’elle s’était endormie.

Il l’envoie dans la salle de bain, il lui enlève ses habits tout déchirés. Elle est en sous-vêtement sous ses yeux. Il l’admire. Cette inconnue est brune avec un teint pâle et de belles formes. Des idées commencent à germer dans son crâne. Il lui caresse le visage. Elle est magnifique. Hector l’habille finalement d’un peignoir. Il la porte à nouveau et l’envoie dans une chambre non occupée, près de la sienne et la borde.

IL sort de la chambre et va au bar pour se servir un verre de whisky sans glaçons. Il se pose des questions sur cette fille. Qu’est-ce qui a pu lui arriver ? D’où vient-elle ?

Il finit son verre et va se coucher dans sa chambre, mais il n’arrive pas à s’endormir. Il pense trop à cette demoiselle couchée dans la chambre à côté. Il se lève et va dans la chambre de sa colocataire de la nuit. Il se couche près d’elle et s’endort.

Il est 8h lorsque Hector se réveille. La jeune fille dormait encore. Il entreprit alors de lui préparer un petit-déjeuner copieux. Le Week-end, ses employés ne travaillent pas, alors il se chargea de la tâche. Des crêpes par-ci, des fruits par-là et des céréales avec évidemment du jus d’orange.

Quelque temps après, elle se réveille un peu dépaysée, se demandant où elle se trouvait. Elle se rappela de la scène de la nuit dernière et se rendit compte qu’elle n’avait plus ses habits.

M’a-t-il violée ? Non j’ai encore mes sous-vêtements.

Au même moment, Hector entre dans la chambre avec son plateau-repas.

Salut ! Tiens, mange.

Bonjour !

Elle hésita au début, mais avec le regard d’ange d’Hector, elle commença à manger comme une vraie affamée.

Wow, t’avais vraiment faim.

Elle lui répond d’un signe de la tête, la bouche trop pleine.

Au fait, moi, je m’appelle Hector et toi ?

Julienne.

Il prend un raisin qu’il avale. Elle le trouve trop beau, mais avec un air un peu arrogant comme tous les riches du coin.

Maintenant, tu peux me dire ce qui t’est arrivé au point de vouloir te suicider, reprit-il.

L’expression du visage de Julienne devint triste, les larmes aux yeux. Il s’approcha plus d’elle et lui mit la main sur l’épaule. Elle sursauta à ce contact. Elle le regarda, il souriait. Julienne décide alors de tout lui raconter.

Au fait, je suis une orpheline qui a grandi dans un orphelinat, à 15 ans, je me suis fait adopter par un couple. La femme n’était jamais à la maison, je restais donc seule avec lhomme qui était la moitié du temps saoul. Une nuit, je finissais le ménage dans la cuisine quand j’ai senti l’odeur de l’alcool derrière moi. Il s’est approché de moi et a commencé à caresser mes fesses, souleva ma jupe et mit sa main dans mon caleçon. J’ai retiré sa main et me suis éloignée de lui en demandant de me laisser tranquille. Mais entre un homme soul et un homme sourd, il n’y a pas de différence. Il réussit à me coincer dans un coin et se mit à m’étrangler tout en enlevant maladroitement sa ceinture. Avec le peu de force qui me restait, je lui mis un coup de pied dans les boules. Il me lâcha sur le coup et je pus m’enfuir. J’ai fait pratiquement un an dans la rue quand j’ai été recueillie par un centre d’assistance sociale. J’y suis restée jusqu’à mes 18 ans. A ce moment, je me mis à chercher un emploi. Je faisais de petits boulots par-ci par-là parce que je n’arrivais pas à garder un emploi plus de 3 mois sans me faire harceler. A 23 ans, je voyais bien que j’étais une charge pour le centre qui ne s’occupe que des mineurs. J’ai décidé un soir de ne plus rentrer au centre en prenant soin de remercier ceux qui se sont occupés de moi à travers une lettre. Hier, totalement épuisée et déprimée, j’avais décidé d’en finir et c’est là que je vous ai rencontré. Je comprendrai si vous me chassiez de chez vous.

Julienne pleurait tout au long de son récit. Quand elle eut terminé, Hector eut une idée.

Je ne vais pas te faire partir de chez moi, et je suis vraiment navré pour tout ce qui t’arrive, mais je peux t’aider.

Comment ?

En te trouvant un emploi. Tu sais, j’ai besoin d’une employée personnelle disponible 24h sur 24 et 7 jours sur 7, surtout les week-ends.

Et ce travail consiste en quoi ?

A faire tout ce que je te demanderai, comme le ménage, la cuisine et bien d’autres choses. Tu vois, je te sauve en quelque sorte la vie et tu me dois bien ça. Mais ne t’inquiète pas, mes demandes seront à la mesure du possible et surtout, tu seras bien payée.

Elle se mit à sourire, ses larmes ne coulaient plus.

Tu devras vivre avec moi ici, ça, c’est une des conditions.

Et quelles sont les autres ?

Tu devras faire tout ce que je te demande sans ronchonner ou te plaindre. C’est d’accord ?

Euh… Oui !

Tant mieux. Maintenant, lève-toi et va prendre une douche.

Julienne descendit du lit, et Hector lui montra la salle de bain. Elle alla prendre sa douche et lui partit dans sa chambre. Quand il revint, elle avait fini et était assise sur le lit, une serviette autour de la taille. Hector lui tend une tablette sur lequel s’affichaient un document et un stylet.

C’est ton contrat pour le job, signe et tu travailleras officiellement pour moi.

Elle commença à le lire et vit que tout ce qu’il lui avait dit figurait effectivement sur le document, elle sauta le milieu et lut la fin qui stipulait que le contrat devait durer 3 ans et le signa. A partir de ce moment, le document ne pouvait plus être modifié. Il était bloqué.

Très bien, dit Hector, maintenant, enlève la serviette.

Julienne était un peu choquée par cette demande. Hector reprit donc :

Ne sois pas si étonnée, tout est stipulé dans ce document que tu viens de signer, alors je te veux à poil maintenant.

Son ton était dur. Avec les larmes aux yeux, elle se déshabilla.

Ouvre les jambes.

Je pensais que tu serais différent, mais t’es comme tous ces connards qui me couraient après.

Il lui asséna une gifle à ces mots.

Je t’ai déjà dit que je ne veux pas t’entendre ronchonner, la prochaine fois que je t’entends sans permission, tu auras une punition bien méritée. Maintenant, écarte les jambes.

Julienne l’obéit en pleurant de sa naïveté. Il s’abaissa au niveau de sa chatte, écarta les lèvres mal épilées et y introduit un doigt. Il remarqua alors qu’elle était encore vierge.

Très bien ! Maintenant, réponds-moi honnêtement : tu te masturbes ?

_…

REPONDS-MOI QUAND JE TE POSE UNE QUESTION.

Oui, dit-elle entre 2 sanglots.

Fais voir.

Il s’assit sur la commande pour mieux la voir. Elle descendit sa main à son sexe, attrapa un de ses seins et se mit à le caresser. Elle caressa aussi son clitoris en fermant les yeux.

Regarde-moi !

Julienne ouvrit doucement les yeux et plongea son regard dans celui d’Hector. Elle se caressa de plus en plus vite et mouilla abondamment. En regardant Hector, elle voulait plus, mais comme à chaque fois, elle s’arrêta sans pouvoir jouir.

Pourquoi tu t’arrêtes ?

Je n’arrive jamais à jouir.

Et… le veux-tu ?

Oui.

Dans ce cas, tu devras y mettre du tien lorsque je viendrai à toi. Maintenant, viens par là.

Julienne s’approche de lui.

Mets-toi à genoux et enlève mon pantalon.

Elle obéit et vit à travers son boxeur qu’il bandait.

Embrasse-le, à travers le tissu.

Elle n’avait jamais embrassé un mec avant, donc elle se contenta de faire de petits bisous sur le pénis d’Hector à travers le tissu.

Ne me dis pas que tu ne sais pas embrasser !

Je n’ai jamais embrassé personne de ma vie.

Lève-toi et laisse-toi faire.

Il lui attrapa la tête et s’approcha doucement de son visage. Il commença par des bisous chastes.

Tu peux fermer les yeux, fais comme moi et surtout, respire par le nez.

Il se mit à sucer tout doucement sa lèvre supérieure, puis la lèvre inférieure. Il lui pinça son téton gauche de sa main libre. Julienne ouvrit légèrement sa bouche sur le coup. Il y introduit la langue et chercha la sienne. Il passa légèrement sa langue sur le bout de sa langue et elle fit pareil. Julienne avait l’air d’apprécier ce baiser qui devenait de plus en plus intense et profond. Elle en voulait plus.

Hector, lui de son côté, ressentait quelque chose, la fragilité de Julienne, ce qui lui donna encore plus l’envie de lui faire l’amour et de goûter chaque partie de son corps. Il descendit doucement ses mains en procurant à Julienne des frissons sur chaque partie qu’il touchait. Il fit pression sur ses fesses avec ses mains. Au même moment, Julienne lui mordit légèrement la lèvre supérieure. Sur le coup, Hector grogna et banda deux fois plus.

Toujours en l’embrassant, il la coucha sur le lit. Il la caressa encore, mais cette fois-ci, des seins à la chatte. La température avait augmenté dans la pièce. Il lâcha les lèvres de Julienne et s’attaqua à son cou. Puis il lui dit :

Tu as un corps magnifique, et même si tu as signé ce contrat, j’aimerais ton consentement pour te dévierger.

Après ces mots, il descend un peu plus en lui léchant le corps à travers de doux baiser.

Julienne répondit sur le coup.

Je préfère que ça soit vous qui le fassiez.

Hector avait suivi son trajet jusqu’à cette magnifique chatte un peu trop serrée. IL y déposa un rapide baiser et y introduit un doigt. Lorsque Julienne s’adapta à cette présence, il inséra un deuxième et se mit à faire de légers mouvements de va-et-vient à l’intérieur de ce sexe. Une fois qu’il fut bien humide, il retira ses doigts et les porta à sa bouche. Julienne grogne en ressentant ce vide et en redemande à être remplie.

Tu sais que t’as un très bon goût princesse.

Julienne sourit légèrement à cette appellation.

Maintenant, reprit Hector, laisse-moi te faire goûter au paradis.

IL retira complètement son boxer et se mit à caresser son clito avec son gland. En position missionnaire, il captura les lèvres de Julienne avec les siennes et la pénétra le plus lentement que possible. Julienne gémit de douleur. Le sexe de l’homme au-dessus d’elle était trop gros et long. Son avancée dans son antre n’en finissait pas. Après 15 bonnes secondes, il fut entré en elle jusqu’à la garde ; il resta sans bouger quelques instants, puis il ressort entièrement pour répéter le processus, une fois, deux fois. A la troisième fois, Julienne se mit à bouger son bassin en demandant plus.

Tu seras servie, crois-moi.

Il écarta un peu plus les jambes de sa partenaire et commença des mouvements rapides et profonds, mais à la fois doux. Julienne se mit à gémir de plus en plus fort. Trop de sensations l’envahissaient en même temps. Elle avait l’impression de devenir folle, tellement c’était bon.

Hector devenait de plus en plus sauvage et il la pénétra avec une violence si bien calculée que des spasmes ravagèrent le corps entier de cette jeune femme. Elle pensait mourir, tellement c’était bon. 15 minutes plus tard, Julienne lâcha un grand cri, signe de sa jouissance. Elle n’avait plus de force, enfin c’est ce qu’elle pensait.

Hector l’embrasse à nouveau et lui demande de se mettre à 4 pattes. Elle lui obéit, le pied un peu chancelant. Il la pénétra nouveau en attrapant ses hanches. A chaque coup, ses testicules venaient taper le clitoris de Julienne, ce qui la fait entrer dans un état second.

Elle était à son 3e orgasme. Cependant, Hector, lui, n’avait pas encore joui. Tout en restant en elle, il la fit redresser, s’assit sur le lit et il lui demanda de bouger d’elle-même. Julienne se mit à le chevaucher en alternant les mouvements, tantôt lents, tantôt rapides.

Hector savait qu’il ne résisterait pas longtemps. Il mit sa partenaire dos à lui et la masturba avec une certaine agressivité. Elle jouit et lui se retira pour jouir sur son dos. Il la pommada avec son sperme avant de se lever pour se rhabiller.

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