Aujourd’hui, c’est jour de punition. Nous sommes samedi matin. En inspectant mes draps de lit, ma mère vient de se rendre compte de mes coulées nocturnes rendues seulement possibles, malgré l’appareil de contention qui m’emprisonne le sexe au repos, par une pression naturelle incontrôlable:
_Tu as encore rêvé de moi, espèce de saleté!
Ma mère m’administre deux gifles cinglantes en feignant la colère. Puis, elle me tire violemment les bourses à pleine main. Elle serre fort et j’ai, un instant, très peur qu’elle n’ait d’autre intention que de me les écraser. Je suis trainé par les cheveux, à quatre pattes, par mon père jusqu’à la cave aménagée par ses soins, fixé à la croix de St André par des harnais de cuir et basculé sur le dos à l’horizontal. La séance commence par une série de coups de martinet sur les parties fragiles. Ma mère se défoule sur mes couilles que mon père accroche à un poids suspendu à quelques centimètres du sol. Ensuite, il s’arrange pour me détacher les jambes, l’une après l’autre de manière à pouvoir les attacher à des crochets en métal situés au-dessus de moi. Ainsi, je me retrouve très vite les membres inférieurs repliés à l’extrême sur ma poitrine de sorte que j’expose à mes parents mon anus glabre et très ouvert que maman lacère de coups nerveux, aussitôt. J’ai les couilles affreusement distendues par le poids de l’engin. Pour me faire "fermer ma gueule", papa mintroduit un bâillon-boule dans la bouche qu’il resserre à la fermeture en cuir jusqu’au dernier trou. Mes supplications sont assourdies par une déglutition de salive qui se fait mal. Je me mets bientôt à baver sur moi comme un veau effrayé lorsque j’entraperçois l’énorme gode de plus de dix centimètres de circonférence que mon père prépare pour moi à grand renfort de gel:
-Honneur aux dames!, dit-il.
Maman se fait une joie visible à forcer lentement, mais sûrement, mon fondement meurtri. Je sens mes chairs qui se déchirent, je suis dilaté à l’extrême. C’est à la limite du supportable. Elle doit s’y reprendre plusieurs fois pour faire entrer la tête de l’engin aux proportions démesurées. Je grimace de souffrance:
_ça t’apprendra à prendre ton pied sans ma permission, raclure, sale enculé!
Cette fois, le pieu est enfoncé assez profondément en moi pour tenir tout seul. On prend bien soin de l’y laisser afin que je tente de m’y habituer. J’entends mes parents faire l’amour sur le canapé de la salle de tortures. Ma honte, ma douleur, les excitent. Je demeure dans cette position très incommode durant une bonne demi-heure à les entendre se faire du bien grâce à moi. Maman se tient maintenant au dessus de mon visage, ses seins lourds frottent mon nez, mes joues. Elle grimace de plaisir et halète, prise en levrette et secouée comme un prunier par les assauts puissants et nerveux de mon père qui lui défonce la chatte sans retenue. Elle va jouir, je le sens. Elle jouit, saisie par des contractions violentes et bruyantes qui ne trompent pas. J’ai mal et j’ai sous les yeux la chaude figure maternelle qui rayonne de bonheur, son corps en sueur transporté par l’extase. Elle ne peut prendre un tel plaisir sensuel qu’en me sachant à ses côtés, attaché, impuissant et honteux. Et, c’est dans un état second qu’elle grimpe sur la table où je suis cloué pour venir se frotter vigoureusement la chatte sur ma face. Elle met tant d’énergie furieuse à son face-sitting improvisé que je manque plus d’une fois d’étouffer sous le charnu de ses lèvres vaginales enflées et ruisselantes de cyprine. C’est mon père, ensuite, qui viendra se faire lécher les couilles et brouter le cul une fois que ce maudit bâillon m’aura été ôté.
A suivre.