Le Mercedes pilotée par Abdou déboula à lintérieur de la cité, suivie par les deux autres véhicules. Il klaxonna plusieurs fois, puis stoppa la lourde berline dans un crissement de pneus en face de lentrée du bloc D. Les lascars des deux voitures suiveuses en sortirent, très énervés et excités, et firent une haie dhonneur entre les portes arrière de la Mercedes et lentrée du bâtiment. Les portières souvrirent enfin, Abdou et Mohammed en sortirent, acclamés par la foule. Enfin, Blanche et Violaine daignèrent quitter leur carrosse germanique, port altier, démarche aérienne, malgré une tenue quelque peu froissée et les traces collantes des assauts précédents.
La blonde comtesse savança, regardant les hommes dans les yeux, sa langue passant sur ses lèvres. Violaine la suivait, le regard haut, sa jupe mal repositionnée, à dessein, laissant voir labsence de carré de dentelle, quelle agitait négligemment du bout des doigts. Elle poussèrent ensemble la porte et se laissèrent guider vers lescalier menant aux caves. Les gars faisaient énormément de bruit, rires gras, sifflements, quelques insultes fusaient. Suffisamment de bruit pour que les quelques voisins restent tranquillement cloîtrés chez eux, et pour que quelques jalousies se réveillent.
En effet, dans la minute, descendirent deux jeunes femmes. Koumba et Leila, toutes griffes dehors, apostrophèrent Abdou et Mohammed. « Cest quoi, ce bordel ! Cest qui, ces deux putes ? » Blanche et Violaine se retournèrent vers les deux viragos. Koumba, jolie jeune black, en short moulant et tee-shirt très échancré, laissant deviner les courbes agressives de son corps musclé, laissant son regard remonter du bas de la robe en soie jusquau bustier doù un sein laiteux séchappait. « Comtesse Blanche du Breuil. Et je ne suis pas une vulgaire pute ! » Mohammed répliqua : « Cest juste une grosse salope ! » Tous les lascars éclatèrent de rire. Leila sapprocha de Violaine. Sa poitrine voluptueuse, sous un chemisier un peu passé, maintenue par un soutien gorge gros bonnet, se soulevait assez rapidement, sous lénervement. Son pantalon de survêtement portait quelques traces de saleté dues à ses entraînements de boxe. « Et toi, la deuxième suceuse, tas aussi un titre ? Baronne Violaine de la Treillère, pour têtre agréable, catin ! » répondit-elle en esquissant une révérence pleine de moquerie. Leila sourit rageusement. « Je crois la soirée va être longue Vous avez ramené vos putes, nos chattes ne vous conviennent plus ? On va voir ce quelles ont de plus que nous ! »
Toute la troupe descendit et sarrêta devant un box. Ce box etait aménagé avec chaises, vieux sofas et quelques matelas à terre. Une stéréo déversait déjà son flot de rap US, les basses très présentes faisant bouger les hauts parleurs des baffles. Les cannettes et les bouteilles dalcool fort circulaient de main en main. Koumba se plaça face à Violaine. « Jolie, ton ensemble. On échange ? » Deux blacks sapprochèrent de Koumba et lun lui ôta son t-shirt pendant que le second lui dégrafait son short. Le mini string peinait à contenir son sexe lisse et gorgé de désir. Ses courbes et son derrière rebondi étaient un appel au sexe. Ses tétons pointant trahissaient son envie de baise. Violaine fut violemment agrippée, son manteau de fourrure lui fut arraché et sa robe enlevée non sans brutalité par des mains avides de la caresser, sa jupe dézippée tomba à ses pieds dans un hurlement de joie de la part des hommes présents. Koumba tendit alors la main vers le collier de diamants de la belle aristocrate et sen empara avec un regard avide. Elle retira également violemment les bagues et les boucles doreille puis lui enleva ses longs gants de soie. Abdou et Mohammed se faisaient féliciter pour leur prise. Koumba remarqua alors la chatte taillée de la baronne. « Je vais te raser la chatte, ma belle, comme ça tauras plus les poils qui collent ! » Elle se colla à Violaine, tétons contre tétons, et lembrassa goulûment.
Violaine se dégagea rapidement, dégoûtée et lui cracha à la figure. Koumba sourit, puis la gifla à deux reprises. « Empoignez la ! » Un grand black se plaça derrière Violaine et lui enfonça son gland dans la rondelle. La prenant par les hanches, il commença à senfoncer centimètre par centimètre dans lanus délicat de laristocrate. Abdou sapprocha et tira en arrière la chevelure brune pour la maintenir. Deux beurs setaient chargés décarter chacun un bras légèrement en arrière. « Taimes pas les meufs, la bourge ? Tes pas encore assez salope ? » Par provocation, Koumba se pencha pour lui lécher les tétons. Violaine répliqua par un coup de genoux maladroit vers la black. Aussitôt, deux autres se chargèrent de lui immobiliser les jambes, et de les soulever du sol, genoux pliés, pieds vers le haut contre les fesses. Son corps était agité par les coups de butoir du grand black. Leila sapprocha alors. « Ces toi qui ma traité de catin, hein, la pute ? Tu te sens bien, tu profites, avec une grosse bite de nègre dans ton cul ! » Puis elle se mit à lui gifler les seins à plusieurs reprises, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Son cul était soumis à de vrais coups de bélier, elle sentait le sexe en elle grossir, prêt à exploser. Dans un hurlement, le black lui remplit lorifice en linsultant.
A ce moment là, Leila cessa de martyriser la douce poitrine de Violaine, rougie par les coups. Les tétons de la baronne, gonflés, sérigèrent fortement sous la pression sanguine. Elle fut jetée, jambes écartées sur un matelas. Koumba enfonça deux doigts dans son anus, recueillit un peu de sperme quelle étala sur les poils pubiens. Elle sortit ensuite une lame aiguisée. « Désolée, ma belle, pas de mousse à raser ! » Elle commença alors son travail. Violaine était immobilisée par un jeune beur qui glissa son sexe entre ses deux seins et commença à se branler contre les deux globes de chair. Surexcité par le fait de faire subir un tel outrage à une bourge, il ne tarda pas à éjaculer avec fougue, son sperme éclaboussant le fin visage de la baronne jusquaux cheveux.
Pendant ce temps, la comtesse avait depuis longtemps été débarrassée de ses atours et de sa parure pour se faire prendre par tous les lascars de la cave. Sa vulve et son anus débordaient du foutre que les zonards lui pompaient dedans minute après minute. Quant à sa bouche, il ne se passait pas trois secondes sans quune bite ne lui soit enfournée dedans de force. Leila sempara de sa robe et de ses bijoux, les passa, puis samusa à défiler et à remonter les escaliers, poursuivie par trois jeunes la bite à la main. Elle ne se sentait pas très à laise à cause de la longue traîne et de lampleur de la jupe, mais la sensation de la soie sur ses seins et des diamants sur son cou la remplissait de jouissance : il lui revenait enfin ce dont elle avait rêvé et elle contribuait à humilier une de ces bourges cathos quelle haïssait. Elle courut vers la Mercedes et fut aussitôt ceinturée par deux mains puissantes. Sans savoir ce qui se passait, elle tourna la tête pour voir deux des jeunes bloqués face contre terre par plusieurs policiers. Le troisième détala vers les caves. « Vous êtes en sécurité, mademoiselle ! » Leila décida rapidement dimproviser « Mon amie est encore à lintérieur ! Je dois la retrouver ! Oh mon dieu ! Quelle horreur ! »
Koumba admirait la chatte rasée de la baronne Violaine, qui elle, se délectait de foutre. Elle enfila alors la robe du soir de sa victime et se passa avec délectation les bijoux. Elle se dirige ensuite dans un coin du box pour sadmirer devant le miroir. Elle ne prêta pas attention aux hurlements émanant du haut des escaliers. « Une descente ! Les keufs ! Tirez vous ! Les keufs ! » Aussitôt tel une nuée de volatiles, tous les mecs, rentrant leurs queues, disparurent par les différents couloirs. Blanche, essuyant le sperme coulant de sa bouche et constatant la disparition de sa belle robe de brocart, enfila le chemisier et le survêtement laissés par Leila. Se dirigeant vers son amie, elle aida Violaine à se relever. « Ca va, ta chatte ? » Violaine avala, puis lui sourit. Passant le tee-shirt, elle constata que ses seins étaient légèrement compressés par létroit vêtement, ses tétons encore douloureux marquaient le tissu de façon arrogante. « Je suis sure quen plus, je vais nager dans le short de cette grosse vache ! » Un sourire vengeur anima alors son visage. De concert, les deux aristos se jetèrent sur Koumba. Violaine exultait. Blanche sassit sur le torse de Koumba, lui écrasant les seins, en lui bloquant les bras. La baronne sadressa à la jeune black : « Alors, baronne Violaine de la Treillère, tu ne dis plus rien, sale pute !! Quelle jolie robe, Madame la baronne ! Oh, et cette fourrure et ces diamants !» Blanche lui enfonça sa culotte de dentelle dans la bouche. Avisant une batte de base-ball posée par terre, Violaine sen empara et pointa le manche contre la chatte de Koumba. « Madame la baronne a envie de se faire défoncer la chatte ? Je suis sure que Madame la baronne va adorer ! » Blanche samusa à sortir les seins de la black du bustier et tira vers le haut les larges tétons, faisant gémir de douleur ou de plaisir le corps débène. Violaine avait à peine introduit le bout de la batte dans le sexe de Koumba, lui faisant pousser un râle distinctif quelle sentit des bras puissants se saisir delle. Les deux aristos furent violemment plaquées au sol par 6 policiers, probablement des CRS, leurs mains entravées dans le dos par des menottes. Koumba fut délicatement relevée et emmenée, le manteau de fourrure obligeamment déposé sur ses épaules par un officier de police accompagné dune auxiliaire féminine. Blanche et Violaine remontèrent les escaliers rapidement, poussées par des matraques, et furent jetées à larrière dun fourgon grillagé.
A ce moment, Leila entraînait une auxiliaire féminine vers le lieu de détention supposé de son amie la baronne Violaine de la Treillère, à savoir la chaufferie du bloc H. La jeune recrue réalisa alors son erreur davoir voulu aider seule la pseudo comtesse, quand la porte de la chaufferie se referma brutalement derrière elle et que Leila sempara de sa radio. « Alors, poulette, tas peur ? » Lauxiliaire de police Mélodie se retourna alors, et ses yeux verts firent face aux regards noirs et menaçants des quelques jeunes planqués dans cette chaufferie. « Une pute de flic ! La salope ! Toi et tes potes, vous nous avez gâchés la soirée. On allait défoncer deux bourges salopes comme on navait jamais vu ! On va se rattraper ! On va te baiser comme jamais, ma belle ! »