Petite séance de préparation avant de faire une virée aux WC publics.
Premièrement, se laver le cul puis y introduire deux ou trois doigts ou un gode afin de s’assurer d’une bonne propreté et accessibilité. L’ouverture doit être souple, accueillante pour permettre toutes sortes d’intromissions.
A ce stade, je ne sais évidemment pas encore ce qui est susceptible de m’arriver.
Ensuite, enfiler et ajuster des bas de femme puis un jockstrap qui aura pour effet de montrer des fesses rebondies tout en laissant le passage complètement libre.
Pendant ces préparatifs je ressens déjà ma queue s’humidifier. Il y a même quelques petites gouttes qui perlent au bout de ma queue.
Puis cinq minutes de pinces à seins juste au bout de mes tétons afin de les rendre plus sensibles et douloureux.
Il n’y a plus qu’à revêtir un T-shirt court pour que mes fesses soient bien dévoilées et accessibles au moment où je baisserai mon pantalon à mi-hauteur.
Me voilà donc paré avant de marcher les 400 mètres qui me séparent de ma destination.
Lorsque je descends les escaliers menant aux pissoirs, personne ne s’y trouve.
Comme d’habitude, je fais semblant de pisser en me tripotant la nouille jusqu’à ce qu’un gars entre.
Il ne se dirige pas vers les urinoirs mais reste à attendre je ne sais quoi.
Je continue mon manège comme si de rien n’était puis entends quelqu’un descendre les escaliers.
Mince, il s’agit de Gary. Je reconnais instantanément son visage décidé, son attitude qui impose l’obéissance inconditionnelle.
Il se presse contre moi tout en me faisant reculer au milieu de la pièce puis, sans un mot, entreprend de déboutonner complètement ma chemise pour ensuite baisser sans ménagement mon pantalon jusqu’aux chevilles malgré la présence d’un gars dans la pièce.
Cette soumission habituelle à laquelle je me prête sans sourciller ni réfléchir n’a toujours pas fini de m’étonner et me sentir le jouet de ce gars que je ne connais qu’au travers de rencontres épisodiques dans ces mêmes WC ne m’apporte que de l’excitation.
Il me triture assez violemment mes deux tétons, passe une main appuyée sur ma queue turgescente avant de me fourrer deux doigts épais dans le fondement. Mon orifice avait suffisamment été préparé pour que cette pénétration abrupte se passe sans aucune douleur.
Je ne peux m’empêcher d’effectuer de petits mouvements secs et rapides du bassin, confirmant ainsi le plaisir que j’éprouve.
J’en avais presque oublié la présence du gars qui stationnait dans la pièce lorsque mon attention fut attirée par un autre inconnu qui descendait les marches de l’escalier. Il s’est soudain trouvé face à moi, avec ma queue était érigée à l’horizontale, le froc traînant par terre, les tétons à nouveau pincés et ondulant sans retenue du bassin.
Sans se formaliser le moins du monde il a ouvert sa braguette en nous dévoilant une queue courte mais très épaisse surmontant une paire de couilles très impressionnantes, sans un poil et rondes à souhait. Exactement le genre d’attributs dont je raffole, de ceux qui viennent hanter mon esprit et mon imagination lorsque j’élabore des scénarios en me branlant doucement.
Instinctivement, j’ai allongé le bras afin de soupeser ses couilles massives puis ai commencé à effectuer un lent mouvement de va-et-vient autour de sa queue avec ma main.
Sa queue était très humide au toucher, facilitant ainsi des mouvements tout en douceur.
Gary, qui s’était déplacé derrière moi m’appuya fortement sur le dos afin que je me penche en avant tout en continuant de me fouiller mon trou de plus en plus humide. Je portais ma main libre en arrière afin d’agripper sa propre main et tenter de compter combien de ses doigts effectuaient ce mouvement de va-et-vient qui ravissait mon cul.
Suspectant que mon changement de position était une invite, l’inconnu s’est rapproché de moi au point que sa bite se retrouve à l’entrée de mes lèvres qui étaient soudain devenues très sèches. Par réflexe, mes lèvres se sont ouvertes en grand, suffisamment en tout cas pour que sa bite y soit immédiatement introduite.
J’optai alors pour l’option de ne pas utiliser mes mains pour tenir sa queue, me laissant pénétrer et baiser la bouche au rythme exact souhaité par son légitime propriétaire.
Par contre, je ne me lassais pas de lui triturer les couilles qui décidément étaient tout à fait à mon goût.
Gary me farfouillant l’anus, une queue épaisse me remplissant la bouche et de grosses couilles dans mes mains ne pouvait qu’amplifier mon excitation au point que je sentais ma queue suinter en gouttes régulières tombant sur le sol.
Au moment où je m’y attendais le moins, la bite que j’avais en bouche se retira, Gary sortit ses doigts de mon cul, m’empoigna le bassin de ses deux mains en me faisant pivoter d’un demi-tour rapide tout en maintenant une pression sur mon dos afin que je reste penché en avant.
Tout s’est alors enchaîné à la vitesse de l’éclair.
Mon anus qui avait repris sa « respiration » normale et se décontractait à l’air libre fut surpris par l’introduction en une seule poussée ininterrompue du membre épais à la tête boursoufflée qui remplissait ma bouche.
Les mouvements de cette queue épaisse furent alors réguliers et incessants, me pilonnant sans relâche.
Je sentais que la tension du plaisir intense allait s’intensifiant et que je ne pourrais empêcher ma queue d’éclater en spasmes et mon sperme de se répandre alentour.
J’allais demander de ralentir le rythme dans l’espoir de reprendre un tant soit peu le contrôle de mes émotions lorsque Gary m’attrapa violemment les tétons pour les étirer de façon continue et douloureuse.
Un orgasme intense n’allait pas tarder, j’en étais sûr.
Tout occupé à essayer de garder le contrôle de mon corps, je ne sentis qu’au dernier moment une queue inconnue me pénétrer la bouche sans ménagement et exploser presque immédiatement au fond de ma gorge et en ne bougeant plus et m’empêchant tout mouvement.
Je ne savais plus ni où j’étais, ni qui me pilonnait le cul, qui me déchargeait dans la bouche.
Lorsque cette bite inconnue délaissa ma bouche, elle fut presque immédiatement remplacée par celle, d’un plus gros diamètre, qui précédemment me limait le cul.
Deux secondes à peine après que mon cul fut libéré, ce dernier eut à affronter une main vigoureuse qui voulait à l’évidence profiter de cette entrée très dilatée pour s’y blottir confortablement au chaud, ce qu’elle réussit pleinement après avoir franchi la partie la plus large.
Cette main inquisitrice se mit à me labourer les entrailles, mon cul état en feu
Le gland épais qui avait pris possession de ma bouche entreprit ses va-et-vient à un rythme soutenu de plus en plus rapide jusqu’à cracher lui aussi son sperme par saccades au fin fond de ma gorge qui n’avait même pas eu le temps d’évacuer la précédente décharge de foutre.
Totalement dans les vapes, n’ayant plus aucune conscience du monde qui m’entourait, je ne réagis pas lorsque cette bite se retira de ma bouche.
Une personne de l’assistance dit qu’il fallait nettoyer tout ça et aussitôt une queue longue et mince s’introduit dans ma bouche qui n’avait pas réussi ni à cracher ni à déglutir.
Mais au contraire des deux précédentes elle ne s’activa pas et resta immobile.
Ce n’est qu’au moment où je sentis un liquide abondant et beaucoup moins sirupeux que du sperme que je réalisais qu’un individu se soulageait tout naturellement la vessie. Conscient de l’étouffement qui me guettait, je n’eus d’autre solution que d’avaler en une fois tout ce que ma bouche contenait, soit deux décharges de foutre épais plus des lampées de pisse chaude dont le jet semblait intarissable.
A ce moment la main inconnue qui me fistait se retira délicatement en laissant un orifice haletant et béant.
Au bord de la syncope, je me relevais en titubant pour constater que quatre personnes étaient présentes et que chacun se reboutonnait sans m’avoir adressé la parole ni le moindre regard.