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Gène du vice ? – Chapitre 1




Personnages :

-Hoa, narratrice, jeune asiatique de 18 ans au début de lhistoire

-Adrien, son copain, 20 ans

-Virginie, la sur dAdrien, 18 ans

PREMIERE PARTIE

CHAPITRE 1

Le début de cette histoire sest déroulé il y a bien longtemps. Je venais tout juste de fêter mes 18 ans et jétais éprise de liberté. Javais passé une adolescence assez classique dans une ville de province, je terminais le lycée par lobtention dun Bac professionnel en vente. Il ne me semblait pas que mon enfance ait été troublée par le fait que jai été adoptée par une famille française lorsque jétais bébé. Certes javais conservé les traits de mes parents vietnamiens, mais je me sentais totalement intégrée à ma famille et à mon entourage.

Côté relations amoureuses, tout se passait au mieux. Mon physique, par son côté « exotique », attirait le regard de nombreux garçons. Je ne faisais dailleurs rien pour les détourner. Même si je ne me maquillais que très légèrement, je mhabillais de manière sexy, mais pas provocante, et jouais de mes longs cheveux sombres très lisses et jentendais généralement avec plaisir les commentaires flatteurs de la gente masculine.

Assez jeune je fus attirée par les joies du plaisir physique. Après quelques séances dauto-découverte de mon corps et des plaisirs quil pouvait me procurer, jai franchis le pas en fréquentant quelques garçons un peu plus âgés qui mont fait découvrir et apprécier les rapports sexuels.

Jai rencontré Adrien quelques jours après mes 18 ans et jai rapidement été séduite par ce beau garçon blond de 2 ans mon ainé. Mon attirance pour les joies du sexe ma poussé à coucher avec lui très vite, en plus je me plaisais en sa compagnie. Il était le candidat idéal à une première relation sérieuse. Dès nos premiers ébats, jai compris que sil nétait peut-être pas encore amoureux de moi, il me désirait très fortement. Mon visage asiatique à la peau lisse, mon ventre tout plat, mes petits seins fermes bien dessinés et mes jambes souples semblaient lexciter très fortement. Je crois que mon prénom vietnamien, Hoa, contribuait également à son désir. Je compris rapidement quil avait davantage dexpérience sexuelle que mes précédents partenaires, il savait faire monter mon plaisir et me maintenir ensuite longtemps dans un état proche de la jouissance, mais sans me la faire atteindre. Cette attente et cette frustration décuplaient ensuite la puissance de mon orgasme. Pour la première fois javais laissé un garçon me sodomiser. Cette pratique me questionnait beaucoup, la plupart des copines avec lesquelles jen avais parlé trouvaient cela répugnant, mais ne lavaient jamais expérimenté. Javais décidé de juger par moi-même. Si les premières minutes de pénétration ne mavaient pas procuré de plaisir particulier, petit à petit la sensation dêtre remplie mavait excité et javais globalement apprécié lexpérience.

Nous avions rendez-vous par un bel après-midi, je devais le rejoindre dans sa chambre, chez ses parents, qui habitaient une maison de banlieue. Je vivais encore chez les miens et étais venu en scooter. Jai eu limpression de tomber de très haut lorsque jentrai par le jardin non clôturé qui donnait sur sa chambre. Je toquai discrètement à la porte-fenêtre et entrai sans y avoir été formellement invitée. Je surpris mon petit-ami torse nu face à une jeune fille en sous-vêtements, allongée sur le lit ! Je poussai un cri, il se retourna et ma main le gifla avant quil ne prononce une seule parole. Ce geste me calma quelques secondes, qui lui suffirent pour mexpliquer que la fille en question était sa sur et que je ne devais pas memporter de la sorte. Je ne crus pas à cette histoire et jai exigé de voir la carte didentité de la donzelle. Elle se plia à ma demande et je dû reconnaître ma méprise : la belle rousse dévêtue devant mon copain se prénommait Virginie, elle portait bien le même nom quAdrien, elle avait mon âge, il sagissait bel et bien de sa sur.

Je bredouillais quelques excuses et la jeune fille séclipsa, nous laissant enfin seuls dans la pièce. Adrien mexpliqua quil était proche de sa sur et quil arrivait quils se côtoient dans la maison en petite tenue. Après tout ils étaient frère et sur, il ny avait aucun mal. Etant fille unique, je ne savais pas vraiment quel comportement il pouvait être dusage dadopter avec un frère et je me dis que cette situation devait être tout à fait normale.

Après cet incident, nous commençâmes les préliminaires dune relation charnelle. Nous nous caressâmes par-dessus nos vêtements, puis nos mains glissèrent en-dessous, directement sur notre peau. Après quelques minutes, je mappliquai à offrir une fellation que jespérais adroite à mon homme. Jessayais de prendre la plus grande longueur de son manche dans ma bouche, mais jétais loin de parvenir à tenir toute sa verge, néanmoins ses soupirs semblaient indiquer que jétais à la hauteur. Il soccupa ensuite de mes parties intimes avec sa langue, faisant monter mon plaisir en prenant garde à ne pas me faire atteindre lorgasme. Puis il me pénétra alors que jétais allongée sur le dos.

Jeus alors la surprise de voir apparaître Virginie au travers de la porte-fenêtre qui était restée entrebâillée. Elle était restée en sous-vêtements et nous matait sans se gêner, une main sagitant dans sa culotte. Je pensais un instant me cacher sous la couette, mais une pulsion men empêcha. Toute à lexcitation que provoquait la pénétration, je me tus afin de ne pas interrompre nos ébats. Jexagérai même mes gémissements de plaisir, pour exciter encore plus cette petite dévergondée.

Adrien décida de changer de position. Alors quil membrassait amoureusement dans le cou je ne pus mempêcher de souffler à mon amant que sa sur nous observait. Je ne savais pas quelle réaction il allait adopter, mais je fus surprise de sa réponse :

-Tu voudrais quelle nous rejoigne ?

Que répondre ? Mon copain me propose une partie à trois avec sa sur ! Là encore je fus gagnée par ma perversion naturelle, que je découvrais à peine. Je répondis un timide :

-« Pourquoi pas. ». Sans croire que ces paroles absurdes sortaient de ma bouche. Je regrettais déjà mes mots lorsque Virginie à qui Adrien avait dû faire un signe entra et sinstalla à côté de nous, finissant de se déshabiller sans précipitation, le plus naturellement du monde, pendant quAdrien investissait à nouveau ma chatte ! Elle portait de longs cheveux roux qui tranchaient singulièrement sur sa peau très claire, parsemée de quelques taches de rousseur. Ses yeux bleus lui conféraient une innocence à lopposé de son comportement vicieux ! Ses seins étaient plus généreux que les miens, ses hanches nettement plus larges que les miennes.

Elle continuait à se faire du bien en triturant son bouton du plaisir, sans aucune gêne apparente. Puis elle approcha sa bouche de mon visage et plaqua ses lèvres contre les miennes. Jouvris naturellement ma bouche et sa langue sy enfourna. Ce fut mon premier baiser lesbien, pendant quAdrien continuait ses vas-et-viens dans ma chatte qui shumidifiait de plus en plus !

Virginie agaçait mes seins avec ses doigts, sa langue. Elle jouait avec le piercing que je portais au nombril depuis peu et que jadorais mettre en valeur en portant des tee-shirts très courts. Elle me proposa ensuite de quitter la belle bite qui me donnait du plaisir pour quelle la remplace par sa langue habile. Intriguée par cette nouvelle expérience qui métait proposée, jaccédai à sa demande. Que cétait bon dêtre léchée par cette langue adroite après avoir été baisée par un beau dard ! Je ne tardais pas à jouir, libérant de gros flots de mouille qui ne semblaient absolument pas rebuter Virginie.

Après cet orgasme, elle délaissa ma chatte, pour se tourner vers la bite raide de son frère. Lui jetant un regard complice, elle emboucha son gland et se mit à pomper le beau chibre de mon mec ! Jétais un peu interdite devant ce spectacle, mais jétais surtout fascinée. Quelle perversité se dégageait du spectacle que moffraient mon petit-ami et sa sur. Virginie était plus douée de que moi, elle prenait pratiquement la totalité du sexe de son frère en bouche !

Adrien sallongea sur le lit, sa sur devant lui, à quatre pattes aspirant profondément son membre dans sa gorge. Il minvita à me mettre à califourchon sur son visage pour me prodiguer un nouveau cunnilingus, jen éprouvais à nouveau un plaisir intense.

Il cessa son jeu de langue avant que je ne jouisse à nouveau et me demanda de magenouiller sur le lit, ce que je fis volontiers. Il présenta alors sa queue dans la raie de mes fesses et appuya sur mon anus. Sil mavait déjà sodomisé une fois, cette pénétration pris un peu de temps. Virginie facilita les choses en caressant ma chatte et en humidifiant mon trou et la bite de son frère avec sa salive. Adrien fut suffisamment délicat pour que son intromission se fasse sans réelle douleur. Je me laissais aller et profitais de ces instants. Quel bonheur de se sentir bien prise Je ne sais pas pourquoi les filles se disent tellement rebutées par le sexe anal. Personnellement cette pénétration me procurait un plaisir intense, différent des rapports vaginaux, mais tout aussi apte à me faire jouir.

Dès quil eut trouvé son rythme dans mon cul, Virginie sallongea devant moi en écartant ses cuisses, elle voulait clairement que je lui retourne son cunnilingus. Malgré mon inexpérience et les pénétrations régulières dans mon fondement, je me mis à lécher sans doute un peu maladroitement son sexe orné dune fine toison entretenue. Après plusieurs minutes de sodomie, Adrien accéléra le rythme de son piston et je jouis une seconde fois !

Lui, en revanche navait pas encore éjaculé. Alors que je meffondrais après lorgasme dévastateur, sa sur lui fit signe de venir la prendre et il planta sa bite trempée de mon jus dans la chatte de sa sur que je venais de préparer. Je matais mon mec en train de baiser sa propre sur, quel spectacle immoral et délicieux ! Je découvris alors le plaisir dobserver des personnes en train de baiser. Même si je ne participais pas directement, la vue dune telle scène me faisait mouiller. Mes doigts glissaient naturellement sur mon bouton damour.

Il la pénétrait très fort et elle ne fut pas longue à venir, en poussant des cris de folle. Adrien sorti de son sexe trempé et dinstinct je mapprochais de sa verge pour la prendre dans ma bouche. Excité comme un fou, il juta sur mon visage. Je nétais pas encore bien habituée à recueillir du sperme dans ma bouche, mais cela ne me rebutait pas du tout. Virginie non plus ne semblait pas dégoutée par le foutre, elle vint me rouler une pelle bien baveuse Adrien nous félicita et nous dit quil recommencerait dès quon voudrait

Après cette après-midi de débauche, jaurais voulu rester plus longtemps chez Adrien, mais je devais rentrer pour préparer un prochain entretien dembauche. Je retournais donc à regret chez mes parents.

Après une soirée occupée à préparer lentretien qui avait lieu le lendemain matin, jallais me coucher. Je commençais seulement à réaliser limmoralité de la scène à laquelle javais participé. Le premier partenaire de ma vie avec lequel jenvisageais une première relation sérieuse niquait sa sur sans aucune gêne et me demandait de participer ! Une partie de moi me disait de le plaquer sans délai. Mais tout de même, javais accepté de coucher avec eux, personne ne mavait forcé. Et puis, quel plaisir javais ressenti lorsquil me prenait pendant que je prodiguais mon premier cunnilingus. Que la sensation de la langue de Virginie sur ma chatte avait été forte ! Javais beau tenter de me raisonner, je savais dès les premiers instants quAdrien avait mis au jour mon instinct profond, celui dune salope perverse. Dès que jarrivais à cette conclusion, je me sentis mieux, je devais assumer ma nature et profiter de lopportunité que moffrait mon petit ami et de sa très belle sur. Je me dis que javais une chance assez incroyable davoir rencontré un garçon et une fille aussi attirants et qui pourraient me permettre dexplorer le côté pervers de ma sexualité naissante.

Je repensais à la scène et naturellement ma main glissait dans ma culotte déjà trempée. Je me donnais du plaisir avant de mendormir.

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