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Petite-fille et fille, perverses ou nymphos. – Chapitre 7




Chapitre 7 : Le jardinier

Le lendemain matin je préviens ma petite fille que je vais faire des courses et que le jardinier doit passer entretenir les haies qui sont un peu hautes.

-Tu verras, cest un petit blond, environ 20 ans et un peu timide. Alors retiens-toi et ne lui saute pas dessus ! Il sappelle Éric.

-Papy ! Je sais me tenir !

Ouais je nen suis pas si sûr.

Je pars faire mes courses et si Laurine à quelque chose à vous dire, elle est assez grande pour le faire elle-même.

Bien sûr que jai quelque chose à dire. Je vais vous raconter ma matinée.

Un peu plus tard jentends du bruit dans le jardin et sortant par la porte fenêtre, japerçois Éric le jardinier qui prépare ses outils. Il est penché en avant et ma fois il a un beau petit cul mis en valeur par un short qui moule bien ses fesses et en haut une sorte de t-shirt moulant, lui aussi, qui laisse voir une belle musculature. Et cest plus fort que moi, je me demande si son sexe est aussi musclé. Du coup jai un coup de chaud dans ma chatte. Mon hyper sexualité me travaille de nouveau et jai envie de sexe.

Je mavance vers lui et lorsquil entend mes pas sur le gravier il se retourne, regarde autour de lui et constate que nous sommes seuls.

— Bonjours mademoiselle, je suis Éric, le jardinier.

Encore un qui me prend pour une gamine.

— Bonjour Éric, mon grand-père ma prévenu. Faites ce que vous avez à faire. Je vais mallonger près de la piscine. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, nhésitez pas à me le demander.

— Merci, mademoiselle, répond-il avec un sourire timide.

En bonne salope je me dirige vers la piscine en retirant ma courte robe dété pour lui faire voir mon mini bikini. En tournant ma tête, je vois quil ne me quitte pas des yeux et du coup, jaccentue le balancement de mes hanches.

Je mallonge sur un transat et je retire négligemment mon haut de bikini. En voyant quil me regarde, je métire les bras en faisant bien ressortir ma petite poitrine.

Pendant plus dune ½ heure je me tourne et me retourne dans tous les sens et dans toutes les positions et je me demande comment Éric arrive encore à tailler la haie car il est plus intéressé par moi que par ce quil fait.

Moi je suis surtout intéressée par la bosse qui prend de lampleur dans son petit short, car vu de loin jai bien limpression quil a une belle bite.

Mon string a une belle tache dhumidité et il est temps de passer aux choses sérieuses.

— Éric je vais me rafraîchir. Si vous avez envie de quelque chose venez à lintérieur.

— Merci, mademoiselle, jai presque fini.

Dit-il avec ses mains qui essayent de cacher son érection et ses yeux fixés sur ma poitrine nue.

— Appelez-moi Laurine, on est presque du même âge.

Je vais prendre rapidement une douche pour massurer que ma chatte est toute propre pour ce beau jeune homme. Je reste nue et jattends Éric.

Il ne tarde pas et frappe à la porte fenêtre et japparais dans toute ma nudité, comme si je venais de sortir de ma douche.

Il reste figé, les yeux grand ouvert et je vois la bosse de son short faire un bond.

— Je viens de prendre ma douche et il fait si chaud que je nai pas envie de mhabiller.

Dis-je en le regardant avec un sourire de lolita aguicheuse.

— Je vois que vous avez transpiré, vous devriez faire comme moi. Première porte à gauche pour la douche.

Il obéit comme un zombi et disparais dans la douche.

Dès que jentends la douche sarrêter jentre dans celle-ci en disant.

— Ça va ? Ooooohhhh pardon !

Il est debout devant la glace, sa bite en main et il se branle.

— Heeeuuuuuuu

— Enlève ta main que je te vois mieux.

Quand il retire sa main, sa bite se redresse et je constate quil a une belle bite.

— Mais tu as été gâté par la nature, Éric. Cest moi qui te fais bander comme ça ?

Complétement estomaqué par mon comportement, il ne dit rien et jen profite. Je mavance et attrape sa queue en lui disant.

— Suis-moi dans ma chambre que jexamine ça de plus prés.

— Laurine ! Et si ton grand-père arrive

— Il nest pas près de rentrer et crois-moi il en a vu dautre !

Je ne sais pas sil comprend bien mon allusion, en tout cas il se laisse faire et me suit dans ma chambre.

La porte tout juste refermée je me jette dessus, mes bras autour de son cou et je tire sa tête pour lembrasser. Nos lèvres se réunissent dans une chaude étreinte passionnée et nos langues se glissent dans la bouche de l’autre.

Enfin il réagit. Ses bras autour de moi il m’attire sur son corps. Mes tétons excités et durs frottent contre sa poitrine et sa bite toute raide se presse sur mon ventre.

— Whaou ! Laurine ! Si je mattendais à ça ! Je narrête pas de bander depuis que je suis arrivé ! Tes super excitante ! Et jai envie de toi

— Moi aussijai une grosse envie et de gros besoins !

Jembrasse sa poitrine musclée et je lèche ses tétons avant de glisser vers son ventre et titiller son nombril du bout de ma langue. Puis je mattaque à ma friandise préférée.

Tout dabord je fais des bisous mouillés tout autour de sa queue, que je tiens dune main pour la branler doucement. Elle est sacrément dure et ma langue se porte sur le bout de son gland pour laper le liquide translucide qui suinte. Quand jentoure de mes lèvres son gland, Éric gémit fortement et je baisse ma tête pour engloutir sa queue tout en faisant courir ma langue dessus.

Et je me régale ! Elle est chaude, douce, juste de la grosseur quil faut pour en profiter pleinement. Je lui taille une pipe en prenant soin de ne pas aller trop vite ou trop fort pour que ça dure. Mais lorsque je prends dans ma main ses couilles, Éric crie.

— Arrête ! Je vais jouir !

Je lève mes yeux pour le regarder et voyant quil a les yeux grand ouvert et quil me regarde avec sa bite dans ma bouche, jenveloppe plus étroitement de mes lèvres ce morceau succulent et je continue de masser ses couilles. Sa queue frémit dans ma bouche et giclée après giclées il se vide au fond de ma gorge. Mon dieu que jaime ça ! Jen jouis presque quand javale ce nectar masculin. Croyant quil a fini, je retire sa bite de ma bouche, mais quelques gouttes sécoulent encore de son gland tout rose et avec ma langue, je lèche consciencieusement pour ne pas en perdre une seule goutte.

Puis Éric me soulève et me couche sur le lit en écartant mes cuisses de ses genoux. Sa queue, toujours aussi dure quune barre dacier glisse dans mon aine et finit sur le dessus de ma chatte. La dureté et la chaleur de sa queue la font vibrer de plaisir. Il caresse ma poitrine et dit.

— Tu as de beaux seins et tu suces merveilleusement bien pour une gamine.

Je le laisse dire car apparemment ça le gène pas de croire quil va baiser une gamine.

Il roule mes tétons entre ses doigts et jen ai des fourmillements dans le ventre. Puis il membrasse, lèche et aspire mes tétons si fragiles et surtout si sensibles. Ensuite il tire mon cul sur le bord du lit et agenouillé sur le sol, il met mes jambes sur ses épaules et regarde ma chatte pendant au moins une minute.

— Ta chatte est magnifique Laurine, je sens que je vais me régaler.

Mes lèvres doivent-être gonflées et luisantes car je sens mon jus couler dans le bas de ma chatte. Sa langue se faufile entre mes grandes lèvres en commençant par le bas et en remontant vers le haut, mais en s’arrêtant juste avant mon clito. Je sens quil utilise ses pouces pour séparer les lèvres de ma chatte pour enfoncer sa langue plus profondément et boire mon jus qui coule. Il tourne autour de mon clito mais il ne le touche jamais, pour me faire languir et pas trop mexciter.

Enfin, il utilise le bout de sa langue pour décapuchonner mon clito et doucement il le repousse derrière pour aspirer ce petit organe sensible. Je gémis de plaisir quand il augmente la pression de sa langue dessus.

Et il me fait jouir ! Jattrape sa tête pour bien la maintenir en place et je crie ma jouissance.

— AAAaaaahhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiOooohhhhh,ouiiiiiiii

Mon corps se tend vers le haut et jenserre mes jambes autour dÉric pour le piéger entre mes cuisses. Des vagues de plaisir orgasmique traversent mon corps et je ne le relâche que lorsque je tombe en arrière, haletante et gémissante.

Cest bien la première fois quun jeune de son âge me fait jouir autant et jai envie de connaître létendue de ses connaissances sur le sexe et la baise.

Mon souffle retrouvé, je lattire pour lembrasser langoureusement pour le remercier et en même temps je peux goûter mon jus sur ses lèvres.

Nos lèvres toujours jointes je sens sa queue qui cogne sur ma chatte et glissant une main entre nos deux corps enlacés, je caresse sa bite de haut en bas comme pour la mesurer avant de présenter son gland entre mes lèvres trempées.

Il glisse lentement sa bite en moi, sans à-coups ni arrêt, jusquà ce que son pubis touche mon clito encore sensible. Jarrête de lembrasser pour gémir.

— Ooooohhhh, cest bon ! Jaime sentir une belle bite qui senfonce en moi.

Il se retire aussi lentement quil ma prise, juste pour laisser son gland prisonnier de ma chatte, et revient doucement pour de nouveau presser mon clito et frotter son pubis dessus. Des frissons de plaisirs roulent entre mon ventre et ma chatte et il recommence son manège, encore et encore, pendant que je gémis à chaque retour de sa queue dans ma chatte brûlante.

Chaque déplacement excite mon désir jusqu’à ce que jexplose une nouvelle fois en hurlant sous des spasmes qui contractent ma chatte sur sa queue.

Je reprends pied avec sa queue toujours dure et enfouie profondément dans ma chatte. Il roule sur le lit en me maintenant et je me retrouve au-dessus de lui. Lentement, il ondule des hanches, se cambre pour bien se coller contre ma chatte avec sa bite bien au fond qui caresse le col de mon utérus. Je prends le relais et je monte et descends sur sa bite pendant quil soccupe de mes seins et de mes tétons trop sensible car à chaque toucher, mon corps fait un bond sur sa queue. Je vais de plus en plus vite sur sa bite et quand il jouit en moi jai un nouvel orgasme. Il me tire sur lui et sous ses giclées de sperme je suis comblée et je crie.

— Ouiiiiiii, encoreencorecontinueOOOohhhhhh

Mais je meffondre sur lui en gémissant, pour attendre la fin de notre orgasme mutuel.

Quand je peux de nouveau parler, toujours allongée sur lui qui a relevé ses genoux et me tient entre ses cuisses, sa bite toujours dans ma chatte, je lui dis.

— Ben dis donctu sais te servir de ta queue ! Cest bien la première fois quun gars de ton âge est aussi doué pour la baise. Tu as pris des cours ?

— De mon âge ? Je nai pas 15 ans moi ! 20 il y a 1 mois !

— Moi non plus ! Je viens tout juste davoir 18 ans.

— Non ! Tu mens. Tu as peut être un corps de 18 ans mais tu as un visage de petite fille perverse.

— Perverse peut-être, mais je tassure que jai 18 ans malgré mon air de bébé.

— En tous cas tu sais ce que tu veux et ce nest sûrement pas la première fois que tu fais lamour. Ton corps réagit au quart de tour !

— Jaime le sexe et je ne men cache pas ! Quand un garçon me plait, jai envie de lui, de voir sa bite, de la toucher, et jai du mal à me retenir. Mais toi ce nest pas aussi ta première fois. Qui ta appris à si bien te servir dun corps féminin ?

Éric sourit et dit.

— C’est une longue histoireOn na pas le temps, ton grand-père va rentrer.

– Allerfait-là courte !

— Bon ! Cest une de mes voisines. Une couguar qui aime se payer des petits jeunes et elle aime la baise ! La quarantaine, pulpeuse avec de gros seins et qui jouis rapidement si on sait la manipuler au bon endroit, et elle mapprit à la faire jouir. Mon record cest 6 fois de suite en tout juste une matinée ! Cest une folle de sexe et tu seras sûrement comme elle si tu continues à sauter sur tout ce qui bouge et qui a une queue !

— Merci pour le compliment !

— En tout cas, je navais même pas 18 ans et jai été un très bon élève daprès elle.

— Et je vois que tu tiens la distance car je sens ta bite remuée dans ma chatte et elle est encore bien dure ! Mais continue.

— De semaine en semaine je maméliorais et elle m’a appris beaucoup sur la sexualité féminine, et masculine pour plaire à une femme et la faire jouir.

Mais il se retourne en me maintenant contre lui et entre mes cuisses écartées, il recommence à aller-venir dans ma chatte dégoulinante de nos jus.

Mes lèvres retrouvent les siennes et dans un baiser passionné, nos reins se meuvent ensemble pour une danse damour.

Il va de plus en plus vite et je maccroche à lui en entourant mes jambes autour de ses cuisses pour accompagner son mouvement et claquer mon corps contre le sien.

Je magrippe à son petit cul musclé et tendu sous leffort et mempalant le plus loin possible, écrasant mon clito, je crie de nouveau sous le plaisir orgasmique qui fait trembler tout mon corps et écraser sa bite de ma chatte complétement folle.

Bon dieu ! Quest-ce que jaime le sexe ! Quest-ce que jaime me faire baiser et jouir follement !

— Laurine ! Ta chatte est tellement serrée ! Putain ! Elle est bonne ! Tu as peut-être 18 ans mais jai vraiment limpression de baiser une gamine gâtée par la nature !

— Alors baise-moi encore et jouis une nouvelle fois en moi. Jadore sentir le foutre chaud dans mon vagin !

Il soulève mes jambes et écrase mes cuisses dans mes seins et il me baise avec force contrairement à la fois précédente. Je presse ses fesses dans lattente de sa jouissance et peut être encore de la mienne. Quand il explose de nouveau en moi, je méclate avec lui avec plein détoiles dans mes yeux.

Mais aussi incroyable que ça puisse paraître il a toujours sa queue bandée en moi !

— Mais tu ne débande jamais ! Elle doit être aux anges ta voisine ! Comment sappelle-t-elle ?

— Blandine.

— Et bien je devrais la remercier ! Tu es un baiseur de première classe !

— Je lui dirais, ça lui fera plaisir.

— Tu me la présenteras un jour ?

— Pourquoi pas. Parfois elle donne des parties assez animées. Tu veux que je tinvite ?

— Ooohh, oui, jaimerais ça ! Il y a beaucoup de monde ?

— ça dépend, mais tu auras le choix, crois-moi.

Et il ma encore baisée sauvagement jusqu’à ce que je gueule de nouveau de plaisir et que je lui demande darrêter avant de tomber dans les pommes.

Quand il est parti juste avant que papy ne rentre je lui ai rappelé sa promesse.

— Et noublie pas de me présenter ta voisine Blandine !

Lorsque mon papy est rentré il ma demandé si Éric avait fini.

— Il vient juste de partir et crois-moi il travaille très bien !

En voyant mes yeux brillant et mon corps en sueur il me sourit en disant.

— Tu me raconteras

— Oui, mon papy damour.

Phantome

A suivre

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